Ablon-sur-Seine
Ablon-sur-Seine, anciennement Ablon, aussi orthographié Ablons, est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France.
Pour l’article homonyme, voir Ablon.
Ablon-sur-Seine | |||||
![]() La mairie. | |||||
![]() Blason |
![]() Logo |
||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | ![]() |
||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-de-Marne | ||||
Arrondissement | L'Haÿ-les-Roses | ||||
Intercommunalité | Métropole du Grand Paris | ||||
Maire Mandat |
Éric Grillon 2020-2026 |
||||
Code postal | 94480 | ||||
Code commune | 94001 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ablonais | ||||
Population municipale |
5 852 hab. (2019 ![]() |
||||
Densité | 5 272 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 43′ 32″ nord, 2° 25′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 32 m Max. 85 m |
||||
Superficie | 1,11 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Orly | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
| |||||
Liens | |||||
Site web | ablon-sur-seine.fr | ||||
Géographie
Localisation

Les communes limitrophes sont : Villeneuve-le-Roi, Athis-Mons et Vigneux-sur-Seine, située sur l'autre rive de la Seine.
Géologie et relief
Hydrographie
Située au sud du Val-de-Marne, la ville est sur la rive gauche de la Seine, fleuve qui la sépare, vers le sud, du département de l'Essonne dont elle est contiguë à l'ouest via Athis-Mons.
À hauteur de la Saussaie des Gobelins se trouve l’écluse d’Ablon, dotée de deux sas latéraux, d’un barrage central surmonté d’une passerelle et d’une station de mesure du débit, seule écluse et dernier point de franchissement du département de l’Essonne dans le sens du courant.
Urbanisme
Typologie
Ablon-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[4] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7],[8].
Transports en commun
_-_2022-06-05_-_4.jpg.webp)
La commune est desservie par la gare d'Ablon sur la ligne C du RER d'Île-de-France.
Toponymie
Ablon est devenu Ablon-sur-Seine pour le différencier d'Ablon (Calvados, Eblelont [?] sans date, Abelon 1198)
Il peut s'agir du nom de personne germanique Abilo pris absolument[9], en revanche, l'absence de formes anciennes ne permet pas de suggérer le gaulois (celtique) abalo-, aballo- « pomme, pommier » car il aurait abouti normalement à Avallon, comme Avallon (Yonne) et Avallon, nom d'un lieu-dit en Isère.
Histoire
Des traces de présence humaine sont observées dès l'Âge du bronze, avec la découverte d'armes en 1863 lors d'un dragage de la Seine [10].
XVIIe siècle : la présence protestante
Il y eut à Ablon un château bâti par Agnès Sorel, et un temple qui fut fréquenté, jusqu'à la révocation de l'édit de Nantes, par les réformés parisiens.


Au début du XVIIe siècle, Ablon (ou Ablons) accède à la célébrité grâce à son temple protestant dont la création est autorisée par le roi Henri IV (Lettres Patentes du , publiées le ). Construit vers 1601-1603 à droite du châtel, il peut accueillir, selon les estimations de Jacques Pannier, mille à deux mille personnes. Le hameau, alors constitué, hormis du châtel, que d'une trentaine de feux repartis dans des maisons alignées sur la rive gauche de la Seine, devient ainsi, pendant quelques années, le centre du culte protestant des environs de Paris[11]. Selon d'autres textes, cet édifice religieux aurait existé à la fin de l’année 1699[12] et même depuis 1598[13]. Or, en attendant la fixation définitive de leur lieu de culte, les réformés de Paris se réunissent encore, en ce tournant de siècle, dans la grande salle du château seigneurial mise à leur disposition par leur fervent coreligionnaire Josias Mercier dans le petit village isolé de Grigny, situé à six anciennes lieues[14] du parvis de la cathédrale Notre-Dame de Paris, soit une lieue de plus que les cinq alors prescrites[15].
Par l'édit de Beaulieu (1576) et par l'édit de Nantes (1598) les rois Henri III et Henri IV avaient en effet successivement accordé la liberté de culte aux protestants, en interdisant toutefois son exercice publique à la Cour, à Paris et aux alentours de ces deux lieux, dans les limites fixés par les édits respectifs. Le choix d'Ablon, éloigné du centre de Paris d'exactement cinq lieues est conforme à la distance légale à respecter depuis la promulgation de l’édit de Nantes[16],[17].
Malgré la distance moindre, ce choix ne satisfait pas les protestants. Le chemin de terre à parcourir reste long et éprouvant pour les habitants réformés de Paris qui se déplacent le plus souvent à pied, et la voie fluviale empruntée par les plus fortunés qui utilisent le coche d'eau peut s'avérer dangereuse. Le voyage est pénible par temps de grand froid ou de grand soleil, périlleux pour les nourrissons amenés au baptême (40 décès en 1600, selon les huguenots) et, de plus, inenvisageable pour les vieillards, malades, femmes enceintes et enfants. Sur requête des réformés parisiens — soutenus par le futur duc de Sully qui se rendait chaque dimanche au temple d'Ablon[18] — la construction d’un nouveau temple à Charenton-Saint-Maurice, plus proche de Paris est autorisée, mise en chantier et achevée en 1606.
Parmi les événements qui marquent la communauté protestante réunie au temple d'Ablon figurent, parmi bien d'autres,
- le baptême, le , de Louise de Béthune (née le ), fille de Maximilien de Béthune, marquis de Rosny (futur duc de Sully) et de Raquel de Cochefilet, présentée par Gabriel de Poulignac, seigneur de Saint-Germain, assisté par Louise de Coligny, veuve de Guillaume de Nassau, prince d'Orange[19];
- la célébration du mariage, en 1605, d'Henri II, 1er duc de Rohan (1579-1638), cousin issu de germain du roi Henri IV, avec Marguerite de Béthune (1595-1660), fille de Maximilien de Béthune de Rosny, surintendant des finances et grand maître de l'artillerie de France (crée duc de Sully l’année suivante).
Histoire contemporaine

L'activité économique d'Ablon a toujours été liée au fleuve : d'une part les cultures favorisées par les sols limoneux, et d'autre part le commerce. C'est traditionnellement une commune résidentielle, à l'urbanisme majoritairement pavillonnaire.
Pendant la Première Guerre mondiale, le couvent du Sacré-cœur devient un Hôpital auxiliaire pour convalescents militaires (HACM), tandis que l'institution Jeanne-d'Arc devient l'Hôpital auxiliaire de l'Union des femmes françaises (HAUFF) n°126[20].
Politique et administration
Liste des maires
À la suite du décès de monsieur Jean-Louis Cohen, alors maire de la commune, survenu le , madame Corinne Gorlier, alors première adjointe, a été élue maire de la commune par le conseil municipal lors de la séance extraordinaire du . Lors des élections municipales de , la liste Ablon Renouveau, menée par Éric Grillon a été élue par la population ablonaise.
Jumelages
_-_2022-06-05_-_1.jpg.webp)
Ablon-sur-Seine est actuellement jumelée avec une ville d'Allemagne et une ville de Grande-Bretagne.
Neubiberg (Allemagne) depuis 1974/1975.
Penkridge (Grande-Bretagne) depuis 1986.
Tendances politiques et résultats
Lors des élections européennes de 2019, le taux de participation d’Ablon sur Seine est inférieur à la moyenne (48,92% contre 50,12% au niveau national). La liste du Rassemblement National arrive en tête avec 22,55% des suffrages, contre 23,31% au niveau national. La liste de la République en Marche obtient 21,92% des voix, contre 22,31% au niveau national. La liste d’Europe Écologie Les Verts réalise un score de 13,92% des votes, contre 13,48% au niveau national. La liste des Républicains fait un score de 8,63% des suffrages, contre 8,48% au niveau national. La liste de la France Insoumise obtient 6,75% des voix, contre 6,31% au niveau national. Les autres listes obtiennent des scores inférieurs à 5%[21].
Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[22] :
Candidat | Premier tour | Second tour | |||
---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||
François Hollande (PS) | 662 | 27,54 | 1 151 | 48,69 | |
Nicolas Sarkozy (UMP) | 653 | 27,16 | 1 213 | 51,31 | |
Marine Le Pen (FN) | 455 | 18,93 | |||
Jean-Luc Mélenchon (PG) | 299 | 12,44 | |||
François Bayrou (MoDem) | 206 | 8,57 | |||
Nicolas Dupont-Aignan (DLR) | 59 | 2,45 | |||
Eva Joly (EÉLV) | 41 | 1,71 | |||
Philippe Poutou (NPA) | 17 | 0,71 | |||
Nathalie Arthaud (LO) | 7 | 0,29 | |||
Jacques Cheminade (SP) | 5 | 0,21 | |||
Inscrits | 3 038 | 100,00 | 3 041 | 100,00 | |
Abstentions | 599 | 19,72 | 537 | 17,66 | |
Votants | 2 439 | 80,28 | 2 504 | 82,34 | |
Blancs et nuls | 35 | 1,44 | 140 | 5,59 | |
Exprimés | 2 404 | 98,56 | 2 364 | 94,41 | |
Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 dans cette commune est le suivant[23] :
Candidat | Premier tour | Deuxième tour | |||
---|---|---|---|---|---|
% | Voix | % | Voix | ||
Emmanuel Macron (EM) | 21,81 | 531 | 66,19 | 1329 | |
François Fillon (LR) | 21,40 | 521 | |||
Jean-Luc Mélenchon (LFI) | 21,15 | 515 | |||
Marine Le Pen (FN) | 19,34 | 471 | 33,81 | 679 | |
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) | 7,56 | 184 | |||
Benoît Hamon (PS) | 5,13 | 125 | |||
François Asselineau (UPR) | 1,11 | 27 | |||
Jean Lassalle (R!) | 0,90 | 22 | |||
Philippe Poutou (NPA) | 0,86 | 21 | |||
Nathalie Arthaud (LO) | 0,57 | 14 | |||
Jacques Cheminade (SP) | 0,16 | 4 | |||
Inscrits | 3 132 | 100,00 | 3 132 | 100,00 | |
Abstentions | 639 | 20,40 | 869 | 27,75 | |
Votants | 2 493 | 79,60 | 2 263 | 72,25 | |
Blancs | 46 | 1,85 | 155 | 6,85 | |
Nuls | 12 | 0,48 | 100 | 4,42 | |
Exprimés | 2 435 | 97,67 | 2 008 | 88,73 | |
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].
En 2019, la commune comptait 5 852 habitants[Note 4], en augmentation de 8,61 % par rapport à 2013 (Val-de-Marne : +3,92 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
_-_2022-06-05_-_1.jpg.webp)
Ablon-sur-Seine dispose de deux écoles maternelles et une école élémentaire publiques. La ville possède aussi un collège privé qui s'appelle le Sacré-Cœur.
Manifestations culturelles et festivités
De 2001 à 2008, Ablon s'est distinguée par la création de rendez-vous culturels variés. À l'origine de ces initiatives, une association indépendante, Il était une fois... Ablon, désireuse de faire vivre l'histoire de la ville et de susciter chez ses habitants le goût des rencontres entre Ablonais. Certaines ont marqué la ville, notamment le grand rendez-vous autour d'un rallye historique avec des thèmes comme « la découverte des quartiers », « les vieux métiers d'Ablon », « un mystère au château », etc.
Autre axe d'animation culturelle, le festival « Vos Voisins Ont Du Talent », qui accueillait les peintres, sculpteurs, photographes et musiciens de la région. Ce festival accueillait également de jeunes artistes du Conservatoire national supérieur de Paris, ou artistes nouvellement diplômés des écoles d'arts (Beaux Arts...).
Autre rendez-vous fortement apprécié par toutes les générations de la ville était le cyber-Ablon, organisé sur un week-end entier. Cette manifestation permettait aux plus anciens de s'initier à la bureautique (navigation sur internet, messagerie, Word, Excel...) et au plus jeunes de se retrouver pour des jeux en réseau.
Tous les , l'association "Il était une fois... Ablon" proposait une manifestation à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes (films, exposition de peintures et ou de photographies, conférences...).
En sommeil depuis 2008, la vie de cette association est interrompue.
Sports
La ville possède un stade et gymnase
Culture locale et patrimoine
L'ancien chatel d'Ablon
_-_2022-06-05_-_2.jpg.webp)
La tour du chatel d’Ablon qui se dresse face à la Seine, à l’angle de la grande bâtisse portant le no 7 du quai Magne, est l’unique vestige du castel médiéval construit en 1348 par Jacques de Pacy, seigneur d’Ablon.
Selon une tradition locale, ce premier castel passe pour avoir été habité par la reine Blanche de sorte qu’il est rapporté, sans fondement, que la reine Blanche de Castille (1188-1252), y aurait séjourné, alors que cela est impossible, étant donné que son décès est antérieur à la construction du castel[28]. Jean Lebeuf note, dans son Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, parue en 1757 : s'il est vrai qu’une des reines de France, du nom de Blanche, y ait fait sa demeure, ce ne peut gueres [sic] être que Blanche de Navarre[29]. Cette dernière est reine douairière depuis la mort du roi Philippe de Valois, décédé en 1350, dont elle est la seconde épouse. A ce jour, aucune source n’a permis de vérifier et de confirmer cette simple hypothèse émise par Lebeuf. De plus, toutes les veuves des rois de France portent alors le deuil blanc et sont, en raison de leurs vêtements surnommées reines blanches[30].
Jean de La Barre (mort en 1649) affirme à propos du chasteau d’Ablon que c’est la gracieuse demoiselle Agnès Sorel (1422-1450), favorite du roi Charles VII qui a fait bâtir cette maison de plaisance, mais cet historien et ci-devant preuost de Corbeil ne justifie pas non plus son propos[31].
L'ancien castel, fortement remanié au cours des siècles, échoue, à l'époque de la révolution, entre les mains de spéculateurs qui s'adonnent au pillage et au démantèlement des éléments décoratifs intérieurs[32].
Personnalités liées à la commune
- Pierre Du Moulin (1568-1658), théologien, fut le pasteur de l’Église réformée à partir de 1603.
- Jacques-Antoine de Chambarlhac de Laubespin ( - Les Estables ✝ - Paris), général d'Empire.
- Mme de Tencin (1682-1749) possédait une maison à Ablon où elle aimait beaucoup venir se reposer.
- Alain Poher (1909-1996), ancien président du Sénat, né à Ablon dont il fut maire de 1946 à 1983.
- Françoise Boudet (1925-2012), artiste peintre, Prix de Rome de peinture en 1950. A longtemps vécu à Ablon, où elle est décédée.
- François Gautier (1940), haut fonctionnaire et homme politique, conseiller municipal d'Ablon-sur-Seine, sénateur de la Seine-Maritime et maire de Rouen entre 1993 et 1995.
- Jean-Luc Lahaye (1958), chanteur. A brièvement participé aux travaux de peinture de l'ancienne mairie (réhabilitée en maison pour tous) en 1974 sur ordre du maire, Alain Poher après le saccage de son pavillon. (Source : "Cent familles" de Jean-Luc Lahaye)
Héraldique, logotype et devise
![]() |
Les armes d'Ablon-sur-Seine se blasonnent ainsi : D'azur à la fasce ondée d'argent chargée de trois ablettes de sable posées en bande, accompagnée en chef d'un rai d'escarboucle fleurdelysé d'or et en pointe d'un pampre de vigne fruité, tigé et feuillé du même.
|
![]() |
---|
Pour approfondir
Article connexe
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Site du jumelage franco-allemand
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Jean-Louis Cohen, maire, meurt pendant la mandature.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 2a.
- Alain Croix, Histoire du Val de Marne, Messidor - Conseil général du Val-de-Marne, 1987, p. 32, 353.
- Jacques Pannier : L'Église réformée de Paris sous Henri IV : rapports de l'Église et de l'État, vie publique et privée des protestants …, Ed. H. Champion, Paris, 101 (lire en ligne) sur le site gallica.bnf.fr.
- État des communes à la fin du XIXe siècle, publié par la direction des affaires départementales, Département de la Seine, Impr. Typographique de l’Ecole d’Alembert, 1904, pp. 9-10.
- Alain Hugon : Au service du Roi Catholique : « Honorables ambassadeurs » et « divins espoirs », Casa de Velázquez, 2017, p. 160 (lire en ligne).
- L'ancienne lieue de Paris équivaut à 3,248 kilomètres. Elle est en vigueur jusqu’en 1674, année au cours de laquelle est définie la nouvelle lieue de Paris qui mesure 3.898 kilomètres
- Le château seigneurial et la ferme des Blancs-Manteaux, plaquette publiée par la municipalité de Grigny (voir pdf ligne)
- Paix de Monsieur. Édit de Paris dit Édit de Beaulieu, Paris, mai 1576, sur elec.enc.sorbonne (lire en ligne).
- Édit de Nantes, Nantes, avril 1598, sur elec.enc.sorbonne (lire en ligne).
- Pierre-Joseph-Spiridion Dufey, Dictionnaire historique des environs de Paris, Paris, Ch. Perrotin, 1825, p. 1-2.
- Copie de fragments des registres de l’État Civil des Protestants détruits par l’incendie du Palais de Justice de Paris, en 1871, d’après la transcription faite par le comte Jules Delaborde, transmise à la Société de l’Histoire du Protestantisme Français et publiée dans le Bulletin historique et littéraire, Volume 21, Agence centrale de la Société, 1872, p. 225 (voir en ligne).
- Marie-Claire Roux, En arrière toutes ! Des villes de banlieue dans la Grande Guerre, Athis-Mons, Maison de Banlieue et de l’Architecture, , 96 p. (ISBN 978-2-9538890-8-6), p. 35.
- « Ablon-sur-Seine : Découvrez les résultats des élections Européennes 2019 », sur LCI (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur - Val-de-Marne (Ile-de-France), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Ablon-sur-Seine » (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur - Val-de-Marne (Île-de-France), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Ablon-sur-Seine » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Blanche de Castille séjournait fréquemment au château de Corbeil, situé à environ 17 kilomètres au sud d'Ablon, après avoir reçu le comté de Corbeil en douaire à l’occasion de son veuvage, survenu en 1226
- Jean Lebeuf: Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, Prault père, Paris (lire en ligne)
- … les roynes vefves de France ne portent que le deuil blanc ; a cause de ce sont appellées [sic] les 'roynes blanches'. Cf. Jean de Gaufreteau (1572-1639) : Chronique Bordeloise, achevée en 1636, préfacée et réeditée par Jules Delpit, 1877-1878, tome 1, p. 279 (lire en ligne sur le site gallica.bnf.fr)
- Jean de La Barre : Les antiquitez de la ville, comté et chatelenie de Corbeil, N. et J. de La Coste, 1647, p. 210 (lire en ligne)
- Georges Poisson: Le Val-de-Marne: art et histoire, Éditions de Minuit, 1968, pp. 46ff.
- Portail des communes de France
- Portail du Val-de-Marne