Alçay-Alçabéhéty-Sunharette

Alçay-Alçabéhéty-Sunharette est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Alçay, Alçabéhéty et Sunharette.

Alçay-Alçabéhéty-Sunharette

L’église Sainte-Agnès et le cimetière d'Alçabéhéty.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Anicet Errecarret
2020-2026
Code postal 64470
Code commune 64015
Démographie
Gentilé Altzaiar
Population
municipale
215 hab. (2019 )
Densité 6,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 05′ 46″ nord, 0° 54′ 27″ ouest
Altitude Min. 217 m
Max. 1 535 m
Superficie 34,40 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Alçay-Alçabéhéty-Sunharette
Géolocalisation sur la carte : France
Alçay-Alçabéhéty-Sunharette
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Alçay-Alçabéhéty-Sunharette
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Alçay-Alçabéhéty-Sunharette

    Le nom des habitants est Altzaiar[1],[2].

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

    Elle se situe à 66 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 33 km d'Oloron-Sainte-Marie[5], sous-préfecture, et à 18 km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[3].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut (1,7 km), Etchebar (2,0 km), Camou-Cihigue (2,3 km), Lichans-Sunhar (2,9 km), Laguinge-Restoue (3,5 km), Alos-Sibas-Abense (3,8 km), Licq-Athérey (4,1 km), Tardets-Sorholus (4,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Alçay-Alçabéhéty-Sunharette fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[10],[11]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[12]. Elle se divise en Arbaille, Basse-Soule et Haute-Soule, dont fait partie la commune.

    Paysages et relief

    Les pics Belhygagne (également appelé pic des Vautours) et Gaztelia culminent sur la commune à, respectivement, 1 072 et 1 345 mètres[14].

    Hydrographie

    Située dans le bassin versant de l'Adour, la commune est traversée[15] par le Laurhibar, qui se jette plus loin dans la Nive, et par ses affluents, l'Arbaretcharbaretchéko erreka et l'Escalérako erreka et son affluent le Pikettako erreka.
    La commune est également arrosée par des affluents du Saison, les ruisseaux l'Apoura[16] (18 km) et ses affluents, le ruisseau d'Azaléguy et d'Ardounc.
    Paul Raymond mentionne en 1863, dans son dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[17], l’Arangaïxa, ruisseau qui arrose Alçay et qui rejoint l’Apoura.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales 117 et 247.

    Lieux-dits et hameaux

    Sept quartiers composent la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette[18] :

    • Altzai (Alçay en français)
    • Aphuraerreka
    • Arraltea
    • Altzabeheti (Alçabéhéty en français)
    • Thapia
    • Zunharreta (Sunharette en français)
    • Athegarre

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[20].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 575 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 10,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Licq-Atherey », sur la commune de Licq-Athérey, mise en service en 1970[24] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[25],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 507,1 mm pour la période 1981-2010[26]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 51 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[28], à 13,4 °C pour 1981-2010[29], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[30].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Quatre sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[32],[Carte 1] :

    • les « montagnes du pic des Escaliers », d'une superficie de 8 600 ha, présentant une flore très diversifiée marquée par une nette influence atlantique et montagnarde. Cependant, les versants exposés au Sud Sud-Est et Est abritent une flore thermophile remarquable[33] ;
    • le « massif des Arbailles », d'une superficie de 12 784 ha, présentant une flore très diversifiée marquée par une nette influence atlantique et montagnarde. Cependant, les versants exposés au Sud Sud-Est et Est abritent une flore thermophile remarquable[34] ;
    • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[35] ;
    • « le Saison (cours d'eau) », d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[36] et deux au titre de la « directive Oiseaux »[32],[Carte 2] :
    • la « Haute Soule : forêt des Arbailles », d'une superficie de 7 114 ha, présentant une grande diversité de milieux à des altitudes moyennes fournissant gîte et couvert pour la faune ornithologique pyrénéenne[37] ;
    • la « Haute Soule : forêt d'Iraty, Orgambidexka et Pic des Escaliers », d'une superficie de 5 584 ha, un massif très vaste à très grande diversité d'habitats et d'espèces. La varité des milieux et l'étagement altitudinal offre de bonnes conditions pour l'accueil de l'avifaune pyrénéenne[38].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 8] sont recensées sur la commune[39],[Carte 3] :

    • les « bordures méridionale et orientale de la forêt des Arbailles » (2 763,19 ha), couvrant 4 communes du département[40] ;
    • la « forêt des Arbailles » (6 283,64 ha), couvrant 9 communes du département[41],
    • le « pic de Behorlegi et crêtes associées » (1 959,83 ha), couvrant 4 communes du département[42] ;

    et trois ZNIEFF de type 2[Note 9],[39],[Carte 4] :

    • la « Haute-Soule » (26 095,69 ha), couvrant 9 communes du département[43] ;
    • le « massif des Arbailles » (14 782,04 ha), couvrant 13 communes du département[44] ;
    • le « réseau hydrographique des Nives » (3 596,23 ha), couvrant 33 communes du département[45].

    Urbanisme

    Typologie

    Alçay-Alçabéhéty-Sunharette est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10],[46],[47],[48]. La commune est en outre hors attraction des villes[49],[50].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (42,3 %), forêts (41,5 %), zones agricoles hétérogènes (12 %), prairies (4,1 %)[51].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

    Toponymie

    Vue du village d'Alçay.
    L'église Saint-Pierre et le cimetière d'Alçay.
    Vielles stèles discoïdales à Alçabéhéty.
    L'église Saint-André de Sunharette

    Attestations anciennes

    Le toponyme Alçay apparaît sous les formes Aucet Suzon (1337[52]), Alsay (1385[17], collection Duchesne volume CXIV[53]), Ausset-Suson (1479[17], contrats d'Ohix[54]), Alçay (1520[52]), Aucet Suson et Auset Suson (1690[52]) et Alsai (XVIIe siècle[17], chroniques d'Arthez-Lassalle[55]).

    Le toponyme Alçabéhéty apparaît sous la forme Aucet Juson (1337[52]), Auser-Juson (1385[17], collection Duchesne volume CXIV[53]), Auset Juson et Auzat Juzon (1385[52]), Aucet Juzon (1690[52]), Alcabehety (1793[56] ou an II) et Alçabehety (1801[56], Bulletin des lois).
    Pour Jean-Baptiste Orpustan[52], la base (h)altz ('aulne') s'impose pour les deux toponymes Alcay et Alçabéhéty, beheti signifiant situé en bas.

    Le toponyme Sunharette apparaît sous la forme Sunarte (1337[52]), Sunharrete (vers 1475[17], contrats d'Ohix[54]), Sunharrette et Sunarrette (1690[52] pour les deux formes), Sonharette (1793[57]) et Sunharrette (1801[57], Bulletin des lois).
    Ce toponyme provient du basque zunharr (nom souletin de l'orme ou du peuplier), amplifié du suffixe locatif romanisé ette, et signifie donc lieu d'orme[52].

    Autres toponymes

    Le col d'Arangaitz doit son nom au ruisseau Arangaïxa[17], qui arrose Alçay et se jette dans l’Apoura. Celui de Burunolatxé joint les communes d’Alçay-Alçabéhéty-Sunharette et d’Aussurucq.
    Le bois d'Arhansus est mentionné dans le dictionnaire de 1863[17].
    Paul Raymond, signale en 1863, une ferme du nom d’Athaguy, du village d’Alçay, dont la coutume de Soule[58] fait mention en 1520[17], sous les graphies Athagui et Atagui.
    Belhy, tout comme Handiague et Esquirassy, désignent des monts situés sur la commune[17].
    Couhourre était en 1863[17], un bois de la commune.
    Etcheverry est un ancien fief de la commune, relevant de la vicomté de Soule et mentionné au XVIIe siècle[17] dans les titres d’Arthez-Lassalle[55].

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Altzai-Altzabeheti-Zunharreta[2].

    Histoire

    En 1790, Sunharette était le chef-lieu d'un canton qui dépendait du district de Mauléon. Ce canton comprenait les communes d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette, Alos-Sibas-Abense, Camou-Cihigue, Etchebar, Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut, Lichans-Sunhar et Ossas-Suhare.

    Le , les trois communes d'Alçay, Alçabéhéty et Sunharette fusionnent pour ne plus former qu'une seule commune.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1983 2001 Arnaud Dascon    
    2001 En cours Anicet Erreçarret DVG  

    Intercommunalité

    La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale, du SIVOM du canton de Tardets, du SIVU de l'école de Tardets et du SIVU chargé du tourisme en Haute-Soule et Barétous[59].

    Population et société

    Avant 1833

    17931800180618211831
    Alçay[60]312352318276266
    Alçabéhéty[56]161157162164
    Sunharette[57]121118112140

    Après 1833

    Alçay-Alçabéhéty-Sunharette

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[62].

    En 2019, la commune comptait 215 habitants[Note 11], en diminution de 5,29 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    312352318276266802804754766
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    710688702665626591582553584
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    571553520507477503512487407
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    354298262283273246233226232
    2015 2019 - - - - - - -
    226215-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[63] puis Insee à partir de 2006[64].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose d'une école, l'école primaire privée Saint-Louis-de-Gonzague[65]. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire.

    Économie

    L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (élevage et pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Le classement 2006 de l'Insee, indiquant le revenu fiscal médian par ménage, pour chaque commune de plus de 50 ménages (30 687 communes parmi les 36 681 communes recensées)[66], classe Alçay-Alçabéhéty-Sunharette au rang 20 901, pour un revenu de 14 927 .

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Dix tumuli, dits d'Ibarletta[67], sont situés dans le quartier Esquirassy et inscrits aux monuments historiques depuis 1960.
    Dans le même quartier, on relève sept autres tumuli, dits d'Ibarnaba[68] également inscrits aux monuments historiques depuis 1960.
    Le gaztelu zahar Maide korralea « l'enclos des Maide » est attribué aux Maidé, des êtres mythologiques reprenant certains traits des Jentils et des Laminak.

    Patrimoine religieux

    La commune dispose d'une église romane dédiée à l'apôtre saint Pierre[69] dont l'origine remonte au milieu du Moyen Âge, possédant un clocher-tour construit au XVIIe siècle. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[69]. L'église a été restaurée au XIXe siècle. Elle recèle une croix de procession[70] du début du XVIe siècle, classée à titre d'objet aux monuments historiques.

    • Église Saint-André de Sunharette. L'église est dédiée à l'apôtre saint André.
    • Église Sainte-Agnès d'Alçabéhéty. L'église est dédiée à sainte Agnès de Rome.
    • Église Saint-Pierre d'Alçay.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur au loup d'argent sortant d'une ruche d'or, accompagné d'abeilles d'or sans nombre[71].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[31].
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    9. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Sites Natura2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) de la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux - Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
    2. Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
    3. « Métadonnées de la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Alçay-Alçabéhéty-Sunharette et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Alçay-Alçabéhéty-Sunharette et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. Stephan Georg, « Distance entre Alçay-Alçabéhéty-Sunharette et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    7. « Communes les plus proches d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette », sur www.villorama.com (consulté le ).
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
    9. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    10. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    11. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    12. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
    13. Carte IGN sous Géoportail
    14. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
    15. Fiche du Sandre sur la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette
    16. L'Apoura apparaît sous la graphie Aphourra dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque de Paul Raymond
    17. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
    18. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    19. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
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    70. Guy Ascarat
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