Ambialet
Ambialet (en occitan : Ambialet), est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Ségala, un territoire s'étendant sur les départements du Tarn et de l'Aveyron, constitué de longs plateaux schisteux, morcelés d'étroites vallées.
Ambialet | |
Vue générale. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Tarn |
Arrondissement | Albi |
Intercommunalité | Communauté de communes des Monts d'Alban et du Villefranchois |
Maire Mandat |
Florence Durand 2020-2026 |
Code postal | 81430 |
Code commune | 81010 |
Démographie | |
Gentilé | Ambialetois |
Population municipale |
467 hab. (2019 ) |
Densité | 16 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 56′ 51″ nord, 2° 22′ 48″ est |
Altitude | 190 m Min. 180 m Max. 502 m |
Superficie | 30,04 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Albi (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Haut Dadou |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | ambialet.fr |
Exposée à un climat méditerranéen altéré, elle est drainée par le Tarn, le Ruisseau d'Aygou, le Ruisseau de Blasou, le Ruisseau de la Broncarié, le ruisseau de Cézens, le ruisseau de Lagouste et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Ambialet est une commune rurale qui compte 467 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 3 623 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Albi. Ses habitants sont appelés les Ambialetois ou Ambialetoises.
Géographie
Communes limitrophes
Hameaux et lieux-dits
Le village est divisé en deux parties :
- Ambialet le Bas : avant la Révolution, c'était le siège de la vicomté ; deux bacs assuraient les communications en direction de Valence et Courris jusqu'à la construction des ponts après 1900. La porte de l'holmière protège le village des crues du Tarn. Un sentier à travers les maisons conduit à l'église Saint-Gilles, édifice gothique incendié en 1568, restauré en 1994-1995 et utilisé comme lieu d'expositions. Au sommet de la presqu'île s'élève le prieuré, un monastère, et son église romane du XIe siècle.
- La Vaute : le bout de la presqu'île
- Ambialet le Haut : siège administratif de la commune dominé par les ruines du château seigneurial « le Castella », auquel on accède par un sentier qui vous conduira ensuite à Saint-Raphaël (antennes de télévision), d'où l'on peut admirer un panorama exceptionnel.
- La Condomine : petit hameau aux maisons imbriquées autour de l'église Saint-Pierre au clocher roman remarquable. Là se trouvent aussi la salle communale, le court de tennis et une aire de pique-nique.
- Bonneval : hameau traversé par le GR 36 où l'on découvre les ruines d'un ancien château ; l'église est dédiée à sainte Carrissime
D'autres petits hameaux forment cette commune très étendue ; son activité principale est agricole sur les plateaux et touristique auprès de la rivière.
- Entrée village
- Le pont sur le Tarn et l'église St Gilles
- Ambialet le Bas
- Au centre la centrale électrique
- Sur la colline à droite le prieuré Notre-Dame de l'Oder d'Ambialet
- La banderole de caractère
- Chemin de Garceval
Géologie et relief
Le site est le résultat des caprices du Tarn : l'un de ses méandres, long de 3 km, enlace l'aiguille schisteuse de la presqu'île d'Ambialet sur laquelle est bâti le bourg, réunissant ainsi les cours supérieur et inférieur en un isthme d'une trentaine de mètres seulement.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la ligne 708 du réseau régional liO, la reliant à Albi et à Lacaune.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le Tarn, le ruisseau d'Aygou, le ruisseau de Blasou, le ruisseau de la Broncarié, le ruisseau de Cézens, le ruisseau de Lagouste, un bras du Tarn, le ruisseau de Cambounet, le ruisseau de la Cayrelié, le ruisseau de la Resse, le ruisseau du Gazet, le ruisseau du Riou Vieil et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 40 km de longueur totale[3],[Carte 1].
Le Tarn, d'une longueur totale de 380 km, prend sa source sur le mont Lozère, dans le nord de la commune du Pont de Montvert - Sud Mont Lozère en Lozère, et se jette dans la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave, en Tarn-et-Garonne.
Le ruisseau d'Aygou, d'une longueur totale de 15,8 km, prend sa source dans la commune de Valence-d'Albigeois et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il se jette dans le Tarn sur le territoire communal, après avoir traversé 5 communes[4].
Le ruisseau de Blasou, d'une longueur totale de 12,7 km, prend sa source dans la commune d'Alban et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest puis vers le nord. Il se jette dans le Tarn sur le territoire communal, après avoir traversé 3 communes[5].
Le ruisseau de la Broncarié, d'une longueur totale de 15,2 km, prend sa source dans la commune du Dourn et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il se jette dans le Tarn sur le territoire communal, après avoir traversé 6 communes[6].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressortit au type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bastide Solages », sur la commune de Bastide-Solages, mise en service en 1987[12] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 917,4 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 23 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[16] à 13,8 °C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[18] : la « rivière Tarn (partie Aveyron) » (2 381 ha), couvrant 41 communes dont 25 dans l'Aveyron et 16 dans le Tarn[19], et la « vallée du Tarn de puech Mergou à Gaycre » (2 562 ha), couvrant 11 communes du département[20] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[18] : la « vallée du Tarn, amont » (36 322 ha), couvrant 57 communes dont 31 dans l'Aveyron, une dans la Lozère et 25 dans le Tarn[21].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Ambialet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[I 1],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Albi, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,7 %), zones agricoles hétérogènes (37,1 %), prairies (12,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Le nom de la ville est attesté sous les formes Ambiledo en 1070, et Ambiletum en 1112[25], du gaulois ambi « autour de » et de ledo « reflux », dont le sens serait « qui coule autour », pour désigner le méandre[25].
Histoire
Ambialet a été une des deux vicomtés de l'Albigeois, dont l'origine est le siège d'une viguerie carolingienne. L'autre était la vicomté de Lautrec.
Héraldique
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Son blasonnement est : Écartelé : au premier et au quatrième d'argent au château donjonné de sable maçonné du champ, au deuxième d'azur au sautoir d'or, au troisième d'or au lion de gueules.
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Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28]. En 2019, la commune comptait 467 habitants[Note 8], en augmentation de 2,64 % par rapport à 2013 (Tarn : +2,07 %, France hors Mayotte : +2,17 %). |
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 203 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 452 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 380 €[I 4] (20 400 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 6] | 12,1 % | 6,1 % | 10 % |
Département[I 7] | 8,2 % | 9,9 % | 10 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 279 personnes, parmi lesquelles on compte 79,4 % d'actifs (69,4 % ayant un emploi et 10 % de chômeurs) et 20,6 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Albi, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 66 emplois en 2018, contre 73 en 2013 et 72 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 197, soit un indicateur de concentration d'emploi de 33,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,4 %[I 10].
Sur ces 197 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 49 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 85,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
27 établissements[Note 11] sont implantés à Ambialet au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 27 entreprises implantées à Ambialet), contre 26,7 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans le Segala, une petite région agricole située dans le nord-est du département du Tarn. C’est la relative pauvreté du sol de cette région où ne poussait jadis que le seigle qui a donné son nom à cette aire géographique. Situé en moyenne altitude, le Ségala s’étend sur des territoires vallonnés et riches en schiste.[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 49 | 32 | 24 | 18 |
SAU[Note 13] (ha) | 1 384 | 1 324 | 1 161 | 1 198 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 49 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 32 en 2000 puis à 24 en 2010[33] et enfin à 18 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 63 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[34],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1384 ha en 1988 à 1198 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 28 à 67 ha[33].
Culture locale et patrimoine
L'église paroissiale Notre-Dame
- Église de Notre-Dame dite Notre-Dame de la Capelle d'Ambialet.
Longtemps appelée Notre-Dame-de-la-Chapelle, c'est une ancienne chapelle castrale dédiée à la Vierge Marie.
Le prieuré
- Église de Notre-Dame dite Notre-Dame du prieuré d'Ambialet.
Magnifique prieuré situé en hauteur, dans la boucle du Tarn.
L'actuelle église Notre-Dame et le prieuré sont mentionnés dans le même acte en 1057.
Frotaire II, évêque de Nîmes, et son neveu Raymond-Bernard Trencavel, vicomte d'Albi, cèdent "le mont qu'on appelle de la Voute" près du castrum d'Ambialet hérité de ses parents à Dieu et "à l'autel de sainte Marie situé en ce lieu dans une église d'antique fondation"[35].
Le prieuré est donné à l'abbaye Saint-Victor de Marseille avec l'église paroissiale d'Ambialet.
Frotaire, Raymond-Bernard associé à sa femme Ermengarde, donnent en 1076 la dîme de tout cens qu'ils ont dans le mandement d'Ambialet, c'est-à-dire, sur les paroisses de Calvin, la Condomine, Bonneval, Crespinet, Fabas et Courris.
En 1079, le pape Grégoire VII confirme à l'abbé Bernard les possessions de Saint-Victor. Cet acte est renouvelé en 1135 par le pape Innocent II.
Quand, en 1150, Raimond Ier Trencavel succède à Roger Ier Trencavel, il renonce à son droit d'albergue dans le prieuré.
La croisade des Albigeois entraîne la chute de la famille de Trencavel et donc de leur appui qui avait permis l'accroissement des biens dépendant du prieuré. Les campagnes de Simon de Montfort ne semblent pas avoir eu d'autres conséquences sur le prieuré. Cette disparition de la famille fondatrice va conduire à un déclin de la vie conventuelle au XIIIe et XIVe siècles.
La croix d'Ambialet
Datée de 1759, elle est inscrite aux Monuments Historiques depuis le .
L'église Saint-Gilles
- Ancienne église Saint-Gilles d'Ambialet.
Construite au XIIIe siècle sur une falaise rocheuse en bordure du Tarn, elle a été relevée récemment.
Château d'Ambialet
Appelé, le Castella, c'est un ancien château-fort qui figure dans les armoiries de la ville.
Entièrement ruiné, sa plateforme en hauteur se voit encore à l'entrée de la boucle du Tarn où se trouve le prieuré, derrière l'église qui est l'ancienne chapelle castrale.
Il a existé avant ce château, appelé Châteauneuf dans les anciens documents (dans un traité de paix de 1142), un châteauvieux qui appartenait aux comtes de Toulouse.
Il était le siège de la vicomté.
Château du Colombié
Petit château en partie démoli au milieu du XIXe siècle, il appartenait à un rameau de la famille Del Puech.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Dalmond (1800-1847), né à Ambialet, prêtre missionnaire il meurt Vicaire apostolique de Madagascar[36].
Voir aussi
Bibliographie
- Marcel Durliat, Haut-Languedoc roman, pp. 231–237, Éditions Zodiaque (collection"la nuit des temps" n°49), La Pierre-Qui-Vire, 1978
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Ambialet » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Albi » (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Ambialet » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Ambialet » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Ambialet » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Ambialet » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale d'Ambialet », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « le ruisseau d'Aygou »
- Sandre, « le ruisseau de Blasou »
- Sandre, « le ruisseau de la Broncarié »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Bastide Solages - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ambialet et La Bastide-Solages », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météofrance Bastide Solages - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ambialet et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Ambialet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « rivière Tarn (partie Aveyron) » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée du Tarn de puech Mergou à Gaycre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée du Tarn, amont » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, p. 117
- ladepeche.fr, 2 juin 2020
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Ambialet - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Tarn » (consulté le ).
- M. Greslé-Bouignol, Notre-Dame du prieuré d'Ambialet, p. 175-190, dans Congrès archéologique de France. 140e session. Albigeois. 1982, Société française d'archéologie, Paris, 1985
- « Historique : Pierre Dalmond, un prêtre tarnais du diocèse d'Albi fonde l'Eglise Catholique qui est à Madagascar. », sur tarn-madagascar.com, (consulté le ).
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