André Luguet
André Maurice Jean Allioux-Luguet dit André Luguet, né le à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne) et mort le à Cannes (Alpes-Maritimes), est un acteur, un réalisateur et un scénariste français.
Pour les articles homonymes, voir Luguet.
Nom de naissance | André Maurice Jean Allioux-Luguet |
---|---|
Naissance |
Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne, France) |
Nationalité | Française |
Décès |
(à 87 ans) Cannes (Alpes-Maritimes, France) |
Profession | Acteur, réalisateur et scénariste |
Biographie
Fils du directeur de l'Alhambra de Bruxelles Maurice Allioux-Luguet (1857-1934) et de la comédienne Albertine Augustine Lainé (1865-1901), pensionnaire du Théâtre-Français, André Luguet a eu très tôt la vocation du métier d'acteur. Il fait ses études en France et en Grande-Bretagne. Parlant couramment l'anglais, il débute dans un théâtre londonien et poursuit sa formation au Conservatoire de Paris.
Il fut pilote lors de la Première Guerre mondiale notamment à bord du Caudron G3.
La carrière cinématographique d'André Luguet commence avant la Première Guerre mondiale : on le voit dans des films de Léonce Perret (L'Âme du violon, 1911) ou de Louis Feuillade (Jeune fille moderne, 1912). Il se spécialise dans des rôles de jeune premier plein d'humour et de désinvolture. Son charme lui vaut d'être réclamé par Hollywood. Du côté des planches, il intègre à son tour la Comédie-Française en 1925 dont il est sociétaire de 1927 à 1932.
Jacques Feyder le dirige en 1930 dans Le Spectre vert et en 1931 dans son premier film parlant, Si l'empereur savait ça. André Luguet tourne à un rythme soutenu, tantôt à la MGM, tantôt chez Warner, dans des productions strictement américaines ou des remakes traduits par des Européens (Buster se marie, 1931, co-dirigé par Claude Autant-Lara ; Quand on est belle, id., d'Arthur Robison).
De retour en France, il campe de nombreux personnages dans la tradition du théâtre de boulevard (Bourrachon, 1935, de René Guissart ; Les Amants terribles, 1936, de Marc Allégret) qui lui assurent un statut de vedette.
Sous l'Occupation, André Luguet interprète des personnages de séducteur aux tempes grisonnantes (Le mariage de chiffon, 1941, de Claude Autant-Lara). Après la Seconde Guerre mondiale il se trouve relégué au second plan ; son style très british le conduira à incarner le major Thompson en 1955.
Puis il se trouvera souvent cantonné dans des rôles de vieux beaux, comme dans Une Parisienne (1957) de Michel Boisrond, dans Les Racines du ciel (1958) de John Huston et Sacrée Jeunesse d'André Berthomieu en 1958.
Il est également l'auteur de quelques pièces.
André Luguet se retire dans les années 1970. Sa dernière interprétation sera celle de Hugues de Bouville, dans "Les rois maudits" de Claude Barma, en 1972. Il mène alors une retraite paisible sur la Côte d'Azur, jusqu'à sa mort.
Il a deux enfants : Pierre Luguet et l'actrice Rosine Luguet.
Il est inhumé à Cagnes-sur-Mer au cimetière ancien[1].
Filmographie
Période muette
- 1909 : La Fille du contrebandier de Georges Le Faure
- 1911 : L'Âme du violon de Léonce Perret
- 1911 : On ne joue pas avec le cœur de Léonce Perret : Pierre Morin
- 1911 : La Fille du Margrave de Léonce Perret
- 1911 : Comment on les garde de Léonce Perret : Lède
- 1911 : Comment on les prend de Léonce Perret : Georges Desclos
- 1911 : Irma et le cor
- 1911 : Les Béquilles de Léonce Perret : l'acteur
- 1911 : La Demoiselle du notaire de Louis Feuillade
- 1911 : Le Mariage de Zanetto de Léonce Perret : Zanetto
- 1912 : Les Blouses blanches de Léonce Perret
- 1912 : La Chrysalide
- 1912 : La Faute de Madame Pinchard
- 1912 : Sérénade méritée
- 1912 : Stratagème
- 1912 : Les Surprises de l'amour
- 1912 : Le Délire de la belle maman
- 1912 : La Gloire et la douleur de Ludwig van Beethoven de Georges-André Lacroix
- 1912 : La Perle égarée de Henri Fescourt
- 1912 : La Conversion d'Irma de Louis Feuillade
- 1912 : Androclès de Louis Feuillade
- 1912 : L'Espalier de la marquise de Léonce Perret
- 1912 : Les Cloches de Pâques de Louis Feuillade : Sandrino Riccardi
- 1912 : Jeune fille moderne de Louis Feuillade
- 1912 : La Leçon d'amour de Louis Feuillade
- 1912 : Marquisette et troubadour de Léonce Perret
- 1912 : Nanine, femme d'artiste de Léonce Perret
- 1912 : Notre premier amour de Léonce Perret
- 1913 : Bagnes d'enfants de Émile Chautard
- 1913 : Le Ménestrel de la reine Anne de Louis Feuillade
- 1913 : La Robe blanche de Louis Feuillade : le fils
- 1913 : Le Mort qui tue de Louis Feuillade - épisode du ciné-roman Fantômas : Jacques Dollon
- 1913 : À l'ombre de la guillotine de Louis Feuillade - épisode du ciné-roman Fantômas
- 1913 : Juve contre Fantômas de Louis Feuillade - épisode du ciné-roman Fantômas
- 1913 : Le Coup de foudre
- 1913 : Léonce à la campagne de Léonce Perret : un invité
- 1913 : Léonce et Toto de Léonce Perret : le promeneur
- 1914 : Peine d'amour de Henri Fescourt
- 1914 : Manon de Montmartre de Louis Feuillade
- 1914 : Le Faux Magistrat de Louis Feuillade - épisode du ciné-roman Fantômas
- 1914 : Fantômas contre Fantômas de Louis Feuillade - épisode du ciné-roman Fantômas
- 1915 : France d'abord de Henri Pouctal
- 1917 : Les Vieilles Femmes de l'hospice de Jacques Feyder
- 1920 : Les Cinq Gentlemen maudits de Luitz-Morat : Le Guérantec
- 1921 : Le Talion de Charles Maudru
- 1921 : L'Empereur des pauvres de René Leprince
- 1922 : L'Écran brisé de René d'Auchy
- 1923 : Soirée mondaine de Pierre Colombier : Gaëtan de Bernières
- 1923 : Métamorphose de Tony Lekain[2]
- 1923 : Le Fils prodige de Tony Lekain[2]
- 1923 : On demande un mannequin de Tony Lekain[2]
- 1926 : Pour régner de André Luguet
- 1927 : La Revue des revues de Alex Nalpas et Joe Francis : Georges Barsac
- 1929 : La Voix de sa maîtresse de Roger Goupillières (court métrage)
Années 1930
- 1930 : Le Spectre vert de Jacques Feyder : Lord Montague
- 1930 : Si l'empereur savait ça de Jacques Feyder : le capitaine Kovacs
- 1930 : Le Père célibataire de Arthur Robison
- 1930 : Monsieur le Fox de André Luguet et Hal Roach : Louis Le Boy
- 1931 : Buster se marie de Edward Brophy et Claude Autant-Lara
- 1931 : Cœur de lilas de Anatole Litvak : l'inspecteur André Lucot
- 1931 : Quand on est belle de Arthur Robison : M. Broekton, le patron
- 1931 : L'Amour à l'américaine de Claude Heymann : Gilbert Latour
- 1931 : Le Génie fou (The Mad Genius) de Michael Curtiz : le comte Robert Renaud
- 1931 : Gloria de Yvan Noé et Hans Behrendt : Pierre Latour, l'aviateur
- 1932 : Le Bluffeur de André Luguet et Henry Blanke + adaptation et dialogue : Gar Evans
- 1932 : Jewel Robbery de William Dieterle : le comte André
- 1932 : L'Homme qui jouait à être Dieu (The Man who played God) de John G. Adolfi
- 1932 : Jenny Lind de Arthur Robison : Paul Brandt
- 1932 : Love is a racket de William A. Wellman : Max Boncour
- 1932 : La Poule de René Guissart : Frédéric Chapuis
- 1932 : Une faible femme de Max de Vaucorbeil : Henri Fournier
- 1933 : Matricule 33 de Karl Anton : André Cartaud / François Villard
- 1933 : Il était une fois de Léonce Perret : Patrick
- 1934 : Le Monde où l'on s'ennuie de Jean de Marguenat : Roger de Cérau
- 1934 : Le Rosaire de Gaston Ravel et Tony Lekain : Gérard Delaval
- 1934 : Jeanne de Victor Tourjansky : André Savignolli
- 1935 : Bourrachon de René Guissart
- 1935 : Samson de Maurice Tourneur : Jérôme "Jessie" Le Govain
- 1936 : Les Amants terribles de Marc Allégret : Daniel Fournier
- 1936 : À nous deux, madame la vie de Yves Mirande et René Guissart : Jean
- 1937 : L'Escadrille de la chance de Max de Vaucorbeil : Harry
- 1937 : La Dame de pique de Fedor Ozep : Iretski
- 1937 : Êtes-vous jalouse ? de Henri Chomette : Lucien Moreuil
- 1938 : Alexis gentleman chauffeur de Max de Vaucorbeil + Scénariste et dialoguiste : Alexis de Saint-Grisol
- 1938 : La Vie des artistes de Bernard-Roland
- 1938 : L'Avion de minuit de Dimitri Kirsanoff
- 1939 : Tempête de Dominique Bernard-Deschamps : Pierre Desmarets
- 1939 : Battement de cœur de Henri Decoin : le comte d'Argay, l'ambassadeur
- 1939 : Jeunes filles en détresse de Georg Wilhelm Pabst : Maître Jacques Presles
Années 1940
- 1940 : Le Collier de chanvre de Léon Mathot : (Anthony Gethryn)
- 1941 : Boléro de Jean Boyer : Rémi
- 1941 : Le Mariage de Chiffon de Claude Autant-Lara : le duc d'Aubières
- 1941 : Le Dernier des six de Georges Lacombe : Santerre
- 1942 : Mademoiselle Béatrice de Max de Vaucorbeil : Hubert de Sainte-Croix
- 1942 : L'Inévitable Monsieur Dubois de Pierre Billon : Claude Orly
- 1942 : Signé illisible de Christian Chamborant : Carlier
- 1942 : L'Honorable Catherine de Marcel L'Herbier : Pierre Morland
- 1942 : La Femme que j'ai le plus aimée de Robert Vernay : l'avocat
- 1943 : L'Homme qui vendit son âme de Jean-Paul Paulin : Martial
- 1943 : Arlette et l'Amour de Robert Vernay : le comte Raoul de Tremblay-Matour
- 1944 : Mademoiselle X de Pierre Billon : Dominique Sigard
- 1944 : Farandole de André Zwobada : le banquier
- 1944 : Florence est folle de Georges Lacombe : Jérôme Benoîst
- 1946 : Au petit bonheur de Marcel L'Herbier : Alain Plessis
- 1946 : Six heures à perdre de Alex Joffé : le voyageur et le président Léopold de Witt
- 1947 : Une jeune fille savait de Maurice Lehmann : Bernard Levaison
- 1947 : L'aventure commence demain de Richard Pottier : M. Bentley et Maxime Delcroix
- 1948 : Bonheur en location de Jean Wall : Gérard de Saint-Aignan
- 1948 : Tous les deux de Louis Cuny : Jean Defert
- 1949 : La Patronne de Robert Dhéry
Années 1950
- 1951 : Nous irons à Monte-Carlo de Jean Boyer : M. Chatenay-Maillard
- 1951 : We go to Monte-Carlo/Monte Carlo baby (version anglaise du film précédent)
- 1953 : Le Père de Mademoiselle de Marcel L'Herbier et Robert-Paul Dagan : M. Marinier
- 1953 : Les Amoureux de Marianne de Jean Stelli : M. Duboutois
- 1954 : Madame du Barry de Christian-Jaque : le roi Louis XV
- 1954 : Les Deux Orphelines (Le due orfanelle) de Giacomo Gentilomo : le comte de Lignières
- 1955 : Les Carnets du major Thompson de Preston Sturges : M. Fusilklard
- 1956 : Lorsque l'enfant paraît de Michel Boisrond : Charles Fouquet
- 1956 : C'est arrivé à Aden de Michel Boisrond : le Gouverneur
- 1957 : Mimi Pinson de Robert Darène : M. Stevenson
- 1957 : Méfiez-vous fillettes de Yves Allégret : Spade
- 1957 : Une Parisienne de Michel Boisrond : Alcide Laurier
- 1958 : Faibles femmes de Michel Boisrond : M. Ferral, le père de Julien
- 1958 : Sacrée Jeunesse d'André Berthomieu : Thomas Longué
- 1958 : Les Racines du ciel (The Roots of Heaven) de John Huston : le gouverneur
- 1959 : Suspense au Deuxième Bureau de Christian de Saint-Maurice : le chef du Deuxième Bureau
Années 1960
- 1960 : Comment qu'elle est de Bernard Borderie
- 1960 : Callaghan remet ça de Willy Rozier
- 1961 : Paris Blues de Martin Ritt : (René Bernard)
- 1962 : Le Grand Duc et l'Héritière - (Love is a ball) de David Swift : (Maurice Zoltan)
- 1963 : Une ravissante idiote de Édouard Molinaro : (Sir Réginald Dumfrey)
- 1964 : Un monsieur de compagnie de Philippe de Broca : (Le grand-père)
- 1964 : Comment épouser un premier ministre de Michel Boisrond : (Le premier ministre)
- 1964 : L'Enfer de Henri-Georges Clouzot - resté inachevé - (Duhamel)
- 1965 : La Seconde Vérité de Christian-Jaque
- 1965 : Pleins Feux sur Stanislas de Jean-Charles Dudrumet : (Le colonel de Sailly)
- 1968 : La Prisonnière de Henri-Georges Clouzot - simple apparition en invité au vernissage qui dit "C'est simple, mais ça existe"
- 1969 : La Maison de campagne de Jean Girault : (Le baron de Bocquigny)
Télévision
- 1961 : L'Alibi d'Albi de Jean Vernier
- 1962 : Les Célibataires réalisation Jean Prat
- 1967 : Le Jeu de l'amour et du hasard de Marivaux, réalisation Marcel Bluwal : M. Orgon
- 1967 : Au théâtre ce soir : Lorsque l'enfant paraît d'André Roussin, mise en scène de l'auteur, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
- 1968 : Cinq jours d'automne de Pierre Badel
- 1970 : Le Lys dans la vallée de Marcel Cravenne
- 1970 : Ne vous fâchez pas Imogène de Lazare Iglesis
- 1971 : Au théâtre ce soir : La Collection Dressen de Harry Kurnitz, adaptation Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Jacques-Henry Duval, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
- 1971 : Robert Macaire de Pierre Bureau (téléfilm) : le baron
- 1972 : Les Rois maudits, feuilleton télévisé de Claude Barma : Monsieur de Bouville
Théâtre
Avant la Comédie-Française
- 1919 : Souris d'hôtel de Marcel Gerbidon, Théâtre Femina
- 1920 : Une faible femme de Jacques Deval, Théâtre Femina
- 1921 : La Tendresse d'Henry Bataille, Théâtre du Vaudeville
- 1922 : La Belle Angevine de Maurice Donnay et André Rivoire, Théâtre des Variétés
- 1922 : L'Homme du soir de Rip, Théâtre des Capucines
- 1922 : Simone est comme ça d'Yves Mirande et Alexis Madis, Théâtre des Capucines
- 1923 : Les Vignes du seigneur de Robert de Flers et Francis de Croisset, Théâtre du Gymnase
- 1923 : Madame, opérette d'Albert Willemetz, musique Henri Christiné, Théâtre Daunou
- 1924 : Si je voulais... de Paul Géraldy et Robert Spitzer, Théâtre du Gymnase
Comédie-Française
- Entrée à la Comédie-Française en 1925
- Sociétaire de 1927 à 1932
- 373e sociétaire
- 1925 : La Nuit des amants de Maurice Rostand, Comédie-Française
- 1925 : Robert et Marianne de Paul Géraldy, Comédie-Française
- 1926 : Le Cœur partagé de Lucien Besnard, Comédie-Française
- 1928 : Le Métier d'amant d'Edmond Sée, Comédie-Française
Après la Comédie-Française
- 1929 : L'Ennemie d'André-Paul Antoine, mise en scène René Rocher, Théâtre Antoine
- 1932 : Trois et une de Denys Amiel, mise en scène Jacques Baumer, Théâtre Saint-Georges
- 1934 : L'École des contribuables de Louis Verneuil et Georges Berr, Théâtre Marigny
- 1934 : Les Amants terribles de Noël Coward, mise en scène Jean Wall, Théâtre Michel
- 1935 : Quand jouons-nous la comédie ? de Sacha Guitry, Théâtre de Paris, avec Suzy Prim
- 1936 : Trois...Six...Neuf... de Michel Duran, mise en scène Jean Wall, Théâtre Michel
- 1936 : Le Pélican ou Une étrange famille de Francis de Croisset d'après Somerset Maugham, Théâtre des Ambassadeurs
- 1939 : Entre nous revue de Rip, Théâtre des Nouveautés
- 1939 : Histoire de rire d'Armand Salacrou, Théâtre de la Madeleine
- 1941 : Échec à Don Juan de Claude-André Puget, mise en scène Alice Cocea, Théâtre des Ambassadeurs
- 1945 : La Patronne d'André Luguet, Théâtre des Nouveautés
- 1947 : La Patronne d'André Luguet, Théâtre des Célestins
- 1948 : Les Mains sales de Jean-Paul Sartre, mise en scène Pierre Valde, Théâtre Antoine
- 1949 : Les Mains sales de Jean-Paul Sartre, mise en scène Pierre Valde, Théâtre des Célestins
- 1950 : Les Œufs de l'autruche d’André Roussin, mise en scène Pierre Fresnay, Théâtre des Célestins
- 1950 : La mariée est trop belle de Michel Duran, mise en scène Michel Duran, Théâtre Saint-Georges
- 1951 : La Seconde de Colette, mise en scène Jean Wall, Théâtre de la Madeleine
- 1951 : Lorsque l'enfant paraît d’André Roussin, mise en scène Louis Ducreux, Théâtre de l’Île-de-France, Théâtre des Nouveautés
- 1954 : L'homme qui était venu pour diner de George Kaufman & Moss. Hart, mise en scène Fernand Ledoux, Théâtre Antoine
- 1954 : La Main passe de Georges Feydeau, mise en scène Jean Meyer, Théâtre Antoine
- 1955 : Affaire vous concernant de Jean-Pierre Conty, mise en scène Pierre Valde, Théâtre des Célestins
- 1956 : Le Miroir d'Armand Salacrou, mise en scène Henri Rollan, Théâtre des Ambassadeurs
- 1957 : L'École des cocottes de Paul Armont et Marcel Gerbidon, mise en scène Jacques Charon, Théâtre des Célestins
- 1959 : Mon père avait raison de Sacha Guitry, mise en scène André Roussin, Théâtre de la Madeleine
- 1959 : La Collection Dressen de Harry Kurnitz, adaptation Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Jean Wall, Théâtre de la Madeleine
- 1960 : Mon père avait raison de Sacha Guitry, mise en scène André Roussin, Théâtre des Célestins
- 1961 : La Saint-Honoré de Robert Nahmias, mise en scène Guy Lauzin, Théâtre des Nouveautés
- 1962 : Mic-mac de Jean Meyer, mise en scène de l'auteur, Théâtre du Palais-Royal, Théâtre Daunou
- 1964 : Comment réussir dans les affaires sans vraiment se fatiguer de Frank Loesser et Abe Burrows, mise en scène Pierre Mondy, Théâtre de Paris
- 1965 : Lorsque l'enfant paraît d'André Roussin, mise en scène de l'auteur, Théâtre des Célestins
- 1967 : Lorsque l'enfant paraît d'André Roussin, mise en scène de l'auteur, Théâtre Saint-Georges
- 1970 : On ne sait jamais d'André Roussin, mise en scène de l'auteur, Théâtre des Célestins
Notes et références
- « cimetières de France et d'ailleurs »
- Céline G. Arzatian, « On demande un mannequin », sur cinematheque.fr, (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
- Article sur André Luguet paru dans l'hebdomadaire "7 Jours" du , page 12, intitulé : "Pour l'amour de la Malaga, M. Luguet, notaire à Périgueux abandonna sa charge et depuis lors tous les Luguet font du théâtre."
- Yvan Foucart, Dictionnaire des comédiens français disparus 694 portraits, 2147 noms, Mormoiron, Y. Foucart, , 1185 p. (ISBN 978-2-953-11390-7)
- Olivier Barrot et Raymond Chirat, Noir et Blanc : 250 acteurs français du cinéma français 1930-1960, Paris, Flammarion, 2000, p. 351–354
- André Luguet, Le Feu sacré..., Paris, la Palatine, 1955, 293 p.
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Allociné
- (en) AllMovie
- (de + en) Filmportal
- (en) Internet Movie Database
- Ressources relatives au spectacle :
- Ressource relative à la musique :
- (en) MusicBrainz
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Notices d'autorité :
- Fichier d’autorité international virtuel
- International Standard Name Identifier
- Bibliothèque nationale de France (données)
- Système universitaire de documentation
- Bibliothèque du Congrès
- Gemeinsame Normdatei
- Bibliothèque nationale d’Espagne
- Bibliothèque royale des Pays-Bas
- Bibliothèque nationale de Pologne
- WorldCat
- Portail du cinéma français
- Portail de la réalisation audiovisuelle
- Portail du théâtre
- Portail de la télévision française