Arnouville
Arnouville, anciennement Arnouville-lès-Gonesse , est une commune située à l'extrémité sud-est du Val-d'Oise, à 18 km au nord de Paris (12 km de la porte de la Chapelle).
Arnouville | |||||
La fontaine, place de la République. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-d'Oise | ||||
Arrondissement | Sarcelles | ||||
Intercommunalité | CA Roissy Pays de France | ||||
Maire Mandat |
Pascal Doll (LR) 2020-2026 |
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Code postal | 95400 | ||||
Code commune | 95019 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arnouvillois, Arnouvilloises | ||||
Population municipale |
14 255 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 5 019 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 59′ 00″ nord, 2° 25′ 00″ est | ||||
Altitude | 75 m Min. 40 m Max. 76 m |
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Superficie | 2,84 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Garges-lès-Gonesse | ||||
Législatives | 8e circonscription du Val-d'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.arnouville95.fr | ||||
Géographie
Carte de la commune. Occupation des sols
Arnouville est limitrophe de : Gonesse, Bonneuil-en-France, Garges-lès-Gonesse, Sarcelles et Villiers-le-Bel.
La commune est desservie par le avec la gare située sur son territoire : gare de Villiers-le-Bel - Gonesse - Arnouville.
La ville est desservie par diverses lignes de bus :
- les lignes RATP 268 270 370 250 ;
- les lignes 20, 22, 23, 24, 25, 35, 36 et 37 des bus Trans Val-d'Oise ;
- les lignes 9502 et 11 du Réseau de bus CIF.
Urbanisme
Typologie
Arnouville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[6] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].
Morphologie urbaine
La ville est principalement résidentielle et pavillonnaire. À la différence des villes limitrophes, Arnouville ne compte aucune cité. Le quartier commerçant est situé autour de la gare RER Villiers-le-Bel - Gonesse - Arnouville. Sur le nombre d'établissements actifs, il y a 20 % d'entreprises de construction et 20 % de « commerces et réparation automobiles ».
La ville compte diverses épiceries, un Auchan, et un Lidl.
Projet d'aménagement
L'avenue du Parisis passera par Arnouville.
Toponymie
Arnoni villa au IXe siècle, Arnonvilla, Villa Ermain au Xe siècle, Emonvilla[11].
Durant le XIe siècle, le village porte le nom du propriétaire du principal domaine, un certain Ermenoldis ou Ermenoldu. Le bourg s’appelait alors Ermenouville. Ermenovilla au XIIe siècle, Ermenolvilla en 1124, Hermenovilla en 1251, Ermenovilla juxta Gonessiam au XIIIe siècle, Hermenonisvilla[11].
C'est en 1757 que le bourg prend le nom définitif d’Arnouville, sous l’influence du Comte J.-B. Machault. La ville s’appelle Arnouville-lès-Gonesse, pour ne pas être confondue avec Arnouville-lès-Mantes. Arnonville en 1794, la commune est rebaptisée Arnouville en 1801, puis Arnouville-lès-Gonesse en 1843.
Le , le Premier ministre autorise le changement de nom de la commune : Arnouville redevient le nom officiel de la commune[12].
Histoire
La terre d'Arnouville fut en 1757, érigée en comté en faveur de Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville, garde des sceaux et ancien contrôleur général des finances de Louis XV. Le château que ce seigneur y fit bâtir n'est qu'en partie réalisé[13].
Après sa disgrâce, pendant plus de trente ans il vécut oublié de tous d'abord dans sa terre d'Arnouville-lès-Gonesse, où il avait entrepris en 1750 de faire construire par les architectes Contant d'Ivry et Chevotet un vaste château moderne dans un parc. L'ensemble, qui ne fut pas achevé, les travaux ayant sans doute été interrompus avec la disgrâce de Machault, devait être grandiose : le bâtiment qui a subsisté, en équerre, comporte 18 fenêtres et lucarnes de façade et l'aile en retour projetée n'a jamais été construite. Le marquis d'Argenson avait noté dans une lettre de 1751 : « il fait des dépenses folles à son château d'Arnouville-lès-Gonesse : il y a abattu le village et fait devant sa maison une place publique grande comme la place Vendôme ; il espère que le roi y passera en venant de Compiègne, et il y fait passer le chemin. »
À la suite de plusieurs partages au XIXe siècle, le château échoit en 1868 au comte de Choiseul d'Aillecourt, qui le vend en 1872 à la baronne Nathaniel de Rothschild (1825-1899); celle-ci entreprend de dépouiller le château de ses ferronneries du XVIIIe siècle pour les faire remonter dans l'abbaye des Vaux-de-Cernay, dont elle fait l'acquisition en 1873. C'est ainsi que disparaissent une partie de la ferronnerie du grand escalier et la monumentale grille d'entrée, dessinée par Contant d'Ivry et réalisée par Nesle, artisan serrurier du village.
Louis XVIII resta à Arnouville pendant les trois jours qui précédèrent son entrée à Paris. C'est là que le , 3 000 hommes de la garde nationale de Paris se rendirent pour complimenter le roi.
Cette commune abrite une importante communauté arménienne[14].
C'est le 28 juin 1915, durant la première Guerre mondiale que le Centre d'instruction du tir contre aéronefs est installé à Arnouville-lès-Gonesse[15].
Communauté arménienne
Les Arméniens exterminés à partir de 1915 dans l'Empire ottoman débarquent à Marseille au tout début des années 1920. De nombreuses familles remontent la vallée du Rhône jusqu'à Paris. Les premiers Arméniens arrivent à Arnouville à partir de 1922. Ils venaient d’Anatolie, des villes : Amasya, Afyon ou de grandes villes comme Istanbul, Ankara, Kütahya. Ils s’installèrent dans le quartier de la Fosse aux poissons et s’orientèrent vers des activités commerciales et artisanales[16].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[17], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et son arrondissement de Sarcelles, après un transfert administratif effectif au .
Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1986 de la huitième circonscription du Val-d'Oise.
Elle faisait partie de 1793 à 1967 du canton de Gonesse du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au canton de Garges-lès-Gonesse puis, en 1976, au canton de Villiers-le-Bel[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Arnouville est désormains intégrée au canton de Garges-lès-Gonesse.
Arnouville fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[19],[20].
Intercommunalité
Arnouville était membre de la communauté d'agglomération Val de France, créée en 1997.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, cette intercommunalité est fusionnée le avec la communauté d'agglomération Roissy Porte de France et une partie de la communauté de communes Plaines et Monts de France proche de l'Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle.
C'est ainsi que la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération Roissy Pays de France.
Liste des maires
Jumelages
- Miltenberg depuis 1982.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[28],[Note 3]
En 2019, la commune comptait 14 255 habitants[Note 4], en augmentation de 0,94 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
La ville compte quatre écoles maternelles et quatre écoles primaires. En ce qui concerne l'enseignement secondaire, elle est dotée de deux collèges (un public, Jean-Moulin, et un privé, Saint-Didier) et d'un lycée d’enseignement professionnel (Virginia Henderson).
Au collège Jean-Moulin, l'option proposée est le latin et les langues vivantes l'anglais, l'allemand et l'espagnol. Le taux de réussite au brevet en 2009 est de 58,6 %. Il monte en 2013 à 72,6 % (avec un taux de mention de 31,5 %). En France, 91,2 % des collèges ont des résultats au moins équivalents à ceux-ci[réf. nécessaire].
Sport
La ville a son club de football, le ASAF[30]. Il joue sur le stade Léo-Lagrange, rénové en 2013.
En 2012, L'ASAF signe l'exploit sur le terrain du RC Lens avec une victoire 2-1.
En 2014, L'ASAF se fait racheter par un grand groupe pétrolier.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Arnouville compte trois monuments historiques sur son territoire.
- Église Saint-Denis, rue du Ratelier (inscrite monument historique en 1986[31]) :
C'est une œuvre méconnue de l'architecte néo-classique Jean-Baptiste Chaussard, qui a été achevée en 1782, quelques années seulement avant la Révolution française.
Elle remplace l'église médiévale, de fondation très ancienne, qui se situait dans le parc du château d'Arnouville. La reconstruction s'inscrit dans un projet urbanistique de grande ampleur voulu par le comte Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville, qui porte à la fois sur le château et son domaine, et sur le village. Chaussard mène un discours architectural pauvre, et se passe de tout décor sculpté. À l'extérieur, seule la façade a bénéficié de soins décoratifs.
À l'intérieur, deux colonnades d'ordre dorique apportent une subdivision en trois vaisseaux. Avec l'entablement aux multiples strates de modénature et le fronton en arc de cercle qui domine la niche du retable du maître-autel, ce sont les seuls éléments qui structurent l'espace. Les deux retables latéraux au chevet des collatéraux, qui se basent sur l'ordonnancement du portail, sont toutefois indissociables du développement architectural de l'édifice, et rompent avec la nudité des murs qui règne ailleurs[32]. - Château d'Arnouville (inscrit monument historique en 2000[33]) : Ce long bâtiment de style classique, sans étage mais avec une mansarde, a été construit entre 1750 et 1758 selon les plans de l'architecte Pierre Contant d'Ivry, pour le compte de Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville, ministre du roi Louis XV. Les descendants de Machault d’Arnouville y résidèrent et s’y succédèrent jusqu’en 1868.
Le château abrite aujourd'hui une école d'horticulture (l’Institut thérapeutique, éducatif et pédagogique, ITEP, Pierre-Male, qui forme des adolescents présentant des troubles du comportement), dont les élèves assurent l'entretien du parc à la française. Une orangerie contemporaine du château subsiste comme dernier élément des vastes dépendances. La grille d'entrée du parc est remarquable ; elle a été réalisée en 1754 par Nesle, artisan serrurier local[34],[35]. - Fontaine monumentale, place de la République (inscrite monument historique en 1929[36]) : Élément central du plan en étoile du nouveau village voulu par le seigneur local Jean-Baptiste de Machault, elle orne le rond-point de l'actuelle place de la République depuis 1750. Elle est décorée de sculptures d’après les dessins de Claude Guillot-Aubry[37].
- Grille du château.
- Château d'Arnouville.
- Fontaine monumentale.
- Monument au génocide arménien.
On peut également signaler :
- Grange de la ferme-Cheval, 23 avenue de la République : Aujourd'hui restaurée, cette solide grange du XVIIIe siècle témoigne de l'importance de l'activité agricole à Arnouville avant l'urbanisation intensive du secteur[34].
- Église arménienne catholique Saint-Grégoire-l'Illuminateur, 69 avenue Henri-Barbusse : L'installation d'Arméniens rescapés du génocide arménien sur la commune date de 1922, où ils construisent une petite église en 1927. Elle est bénie par monseigneur Bahaian, évêque d'Ankara, en date du [34].
- Église Notre-Dame-de-la-Paix, 16 rue Paul-Bert : C'est la plus grande église d'Arnouville, construite en 1959 dans un style rompant avec l'architecture sacrale conventionnelle. L'édifice est remarquable pour son immense vitrail qui en constitue la façade[34],[38].
- Église arménienne apostolique Sainte-Croix de Varak, 31-33 rue Saint-Just. Elle est construite en 1931. Dans la cour de l'église, un khatchkar (stèle sculptée ornée d'une croix) a été érigé en mémoire des un million cinq mille victimes arméniennes du génocide arménien de 1915.
- Église Saint-Jean-Apôtre-des-Chaldéens, inaugurée en 2016[39],[40].
- Monument au génocide arménien, rue Jean-Jaurès : La stèle inspirée de l'art traditionnel arménien : un khatchkar a été inauguré en 2004.
- Monument aux morts, conçu par Ferdinand Berthelot et inauguré en 1923[41].
- Cimetière d'Arnouville.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville, (1701-1794), contrôleur général des finances de Louis XV(1745-1754), puis secrétaire d'État de la Marine (1754) et garde des sceaux de France (1750) ;
- Louis de Machault d'Arnouville, (1737-1820), est un prélat français, évêque d'Amiens de 1774 à 1802 ;
- Armand de Machault d'Arnouville (1739 -1827), dit le « comte d'Arnouville » (avant 1773) puis le « comte de Machault » (après 1773), est un militaire français ;
- Charles de Machault d'Arnouville, (1747-1830), dit le « chevalier de Machault » (avant 1773), puis le « comte d'Arnouville » (1773-1830), militaire français. ;
- Napoléon Bessières (1802-1856), 2e duc d'Istrie, homme politique français du XIXe siècle.
- Jacques Martial Deveaux (1825-1916), graveur français, est décédé à Arnouville.
- Patricia Demilly, née Marchand à Arnouville-lès-Gonesse (°1959 - ), athlète de demi-fond, double championne de France du 1500 mètres et trois fois médaillée par équipe aux championnats du monde de cross-country.
Héraldique
Les armes d'Arnouville se blasonnent ainsi :
Il s'agit des armes de la famille de Machault, seigneurs d'Arnouville. | |
Voir aussi
Bibliographie
- Vincent Pruchnicki, Un domaine de ministre au temps de Louis XV : Jean-Baptiste de Machault à Arnouville, Mémoire de Master II, Paris, École du Louvre, 2009 ;
- Vincent Pruchnicki, Arnouville - Le château des Machault au XVIIIe siècle, éditions Lelivredart [archive], Paris, 2013.
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune d’Arnouville (95019) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Communes limitrophes d'Arnouville » sur Géoportail..
- « Communes limitrophes d'Arnouville » sur Géoportail..
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Hippolyte Cocheris, Conservateur de la Bibliothèque Mazarine, Conseiller général du département de Seine-et-Oise, Dictionnaire des anciens noms des communes du département de Seine-et-Oise, 1874
- Décret n° 2010-772 du 8 juillet 2010 portant changement du nom de communes (JORF n°0158 du 10 juillet 2010 page 12777), consulté le 19 mars 2011
- Vincent Pruchnicki, Un domaine de ministre au temps de Louis XV: Jean-Baptiste de Machault à Arnouville, mémoire de Master II, Paris, École du Louvre, 2009 Vincent Pruchnicki, Arnouville - Le château des Machault au XVIIIe siècle, éditions Lelivredart [archive], Paris, 2013
- Article sur le site Le Passé d'Arnouville
- Patrice Rodriguez et Guillaume Benailly : Les traces archéologiques du Camp retranché de Paris dans le Val-d’Oise
- Article sur le site Le Passé d'Arnouville
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
- Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
- « Les maires de Arnouville-lès-Gonesse », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
- « Michel Aumas est fier de son bilan à Arnouville-lès-Gonesse », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
- Anthony Lieures, « Arnouville : le maire (LR) Michel Aumas passe la main », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne) « Après dix-sept années passées à la tête de la mairie, Michel Aumas (LR) va passer la main à son 1er adjoint, Pascal Doll, lors du conseil municipal. (...) Mais c'est surtout son élection en tant que conseiller départemental, en mars dernier qui a précipité cette démission ».
- Julien Ducouret, « Le maire sortant Michel Aumas réélu avec 72 % des voix », La gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne).
- Anthony Lieures, « Le futur maire LR d’Arnouville : « Ce ne sera pas la révolution » », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
- Anne Collin, « Municipales : les élections, une première pour le maire d’Arnouville : Pascal Doll est à la tête de la ville depuis novembre 2015 et la démission de l’ancien maire Michel Aumas, qui avait été réélu en 2014 », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Ce sera une première comme tête de liste. Pascal Doll, maire (LR) d'Arnouville, sera candidat à sa succession en mars prochain. L'élu a finalement annoncé par courrier à ses administrés qu'il conduirait la liste « Réussir Arnouville ».
- « Arnouville 95400 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- http://www.fff.fr/la-vie-des-clubs/8386/infos-pratiques
- « Église Saint-Denis », notice no PA00079980, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Dominique Foussard, « Arnouville-lès-Gonesses - Saint-Denis », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France, , p. 38-39 (ISBN 9782953155402).
- « Château, parc, orangerie et chapelle », notice no PA95000006, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Jean-François Humbert et Dominique Renaux, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Arnouville », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II, , p. 1017-1020 (ISBN 2-84234-056-6).
- « Château à Arnouville-lès-Gonesse », Monumentum - Carte des Monuments Historiques français, (consulté le ).
- « Fontaine du XVIIIe siècle », notice no PA00079981, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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- « L'église Notre Dame de la Paix », sur https://lepassedarnouville.fr (consulté le ).
- Jacques Hasboun, « Un clocher pour une diaspora », visagonews.com, (consulté le ).
- « Bernard Cazeneuve vient inaugurer l’église d’Arnouville », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Destiné à la communauté assyro-chaldéenne de Villiers-le-Bel, Arnouville et Gonesse (soit plus de 530 familles), l'édifice pourra accueillir 500 personnes ».
- Michel Aumas, Alain Choubard, « Monument aux morts d'Arnouville-lès-Gonesse », sur https://monumentsmorts.univ-lille.fr, (consulté le ).
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