Aujac (Gard)

Aujac est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Aujac.

Aujac

Le château du Cheylard d'Aujac.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Alès Agglomération
Maire
Mandat
Firmin Peyric
2020-2026
Code postal 30450
Code commune 30022
Démographie
Gentilé Aujaquois
Population
municipale
179 hab. (2019 )
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 21′ 00″ nord, 4° 00′ 54″ est
Altitude Min. 256 m
Max. 940 m
Superficie 16,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de La Grand-Combe
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Aujac
Géolocalisation sur la carte : France
Aujac
Géolocalisation sur la carte : Gard
Aujac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Aujac
Liens
Site web aujac.fr

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Cèze, le ruisseau d'Abeau et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « hautes vallées de la Cèze et du Luech »), un espace protégé (le « géoparc des monts d'Ardèche ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Aujac est une commune rurale qui compte 179 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 964 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Aujaquois ou Aujaquoises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Saint-Martin, inscrite en 1949, et le château du Cheylard, inscrit en 1949.

    Géographie

    La commune est arrosée par l'Abeau.

    Localisation

    La commune est située en Hautes Cévennes. Elle est limitrophe de l'Ardèche à l'est, par Malbosc. La Lozère est à 5 km à l'ouest à vol d'oiseau[1].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[2],[3]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes[Note 1]. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[4]. La commune est dans le périmètre du « géoparc des monts d'Ardèche », classé Géoparc en septembre 2014 et appartenant dès lors au réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[5],[6].

    La commune fait également partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[7],[8].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « hautes vallées de la Cèze et du Luech »[10], d'une superficie de 12 680 ha, correspondant à la partie amont du bassin versant de la Cèze. Elles présentent un patrimoine naturel remarquable, avec quatre espèces piscicoles : l'écrevisse à pattes blanches, le castor, la loutre et le barbeau méridional et cinq habitats d'intérêt communautaire d'origine[11].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[12] : les « pelouses d'Aujaguet » (266 ha)[13], et la « vallée de la Cèze dans la forêt domaniale de l'Homol » (318 ha), couvrant 2 communes du département[14] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[12] : les « vallées amont de la Cèze et de la Ganière » (10 752 ha), couvrant 11 communes dont 9 dans le Gard et 2 dans la Lozère[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Aujac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[I 1],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (78,5 %), zones agricoles hétérogènes (15,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,9 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Hydrographie et relief

    La Cèze coule dans le sens du nord-ouest/sud-est et sert tout du long de limite de communes avec Sénéchas du nord-ouest au sud-est[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[20].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[19].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 7] : 16,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 719 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 8,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Genolhac », sur la commune de Génolhac, mise en service en 1974[24] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[25],[Note 8], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 633 mm pour la période 1981-2010[26]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à 37 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour la période 1971-2000[28], à 13,5 °C pour 1981-2010[29], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[30].

    Histoire

    Préhistoire

    Abris sous roches du Solutréen

    Époque contemporaine

    Depuis le 1er janvier 2016 la région Languedoc-Roussillon, à laquelle appartient le Gard, a fusionné avec la région Midi-Pyrénées. L'ensemble est devenu la nouvelle région Occitanie.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1890 1896 Clodomir Domergue    
    1896 1900 Casimir Vidal    
    1900 1908 Joseph Dussaud    
    1908 1909 Ernest Pertus    
    1909 1919 Martin Alfred    
    1919 1924 Edouard Dussaud    
    1924 1929 Émile Cordin    
    1929 1935 Antoine Mizoule    
    1935 1941 Joseph Dussaud    
    1944 1944 Comité local de libération    
    1945 1945 Délégation spéciale    
    1945 1971 Joseph Dussaud    
    1971 1974 Albin Polge    
    1974 2001 Gérard Dumas    
    2001 2014 André Agniel    
    2014 2020 Bernard Rosset-Boulon DVG Artisan
    2020 En cours Firmin Peyric DVG  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

    En 2019, la commune comptait 179 habitants[Note 9], en diminution de 2,72 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    492678769686834525943921964
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    942908831753711644650661650
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    620618625524465430369295234
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    188158135148154166177179184
    2017 2019 - - - - - - -
    178179-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 76 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 149 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 240 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]17,4 %11 %19,8 %
    Département[I 7]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 102 personnes, parmi lesquelles on compte 61,4 % d'actifs (41,6 % ayant un emploi et 19,8 % de chômeurs) et 38,6 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 9]. Elle compte 26 emplois en 2018, contre 26 en 2013 et 41 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 43, soit un indicateur de concentration d'emploi de 60,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41,3 %[I 10].

    Sur ces 43 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 22 travaillent dans la commune, soit 51 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 74,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3 % les transports en commun, 9,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    13 établissements[Note 12] sont implantés à Aujac au [I 13]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,1 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 13 entreprises implantées à Aujac), contre 14,9 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations2320108
    SAU[Note 13] (ha)440290112223

    La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[35]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (23 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 223 ha[37],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Le château du Cheylard est un château fort des XIIe et XIVe siècles[38], sentinelle de trois Cévennes, Gard, Lozère, Ardèche, très bien restauré et entretenu[39].

    Édifices religieux

    Patrimoine culturel

    Une vue sur le chantier médiéval de la Sogne.
    • Site de La Sogne : La Sogne ou le village de la Sogne est un site d'essai d’archéologie expérimentale et plus précisément une reconstitution d'un chantier médiéval de construction débuté en 2009, avec des techniques historiques ou locales permettant de mieux comprendre le processus de construction d'alors.

    Héraldique

    Les armes d'Aujac se blasonnent ainsi :

    D'hermine au chef losangé d'argent et de sinople[42].


    Voir aussi

    Bibliographie

    • Marie-Lucy Dumas, Aujac, entre route et Cèze : histoire, économie et société, Ponteils-et-Brésis, M.-L. Dumas, coll. « Gens et terroirs en Hautes Cévennes », , 390 p. dont 16 p. de pl., ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 24 cm (ISBN 978-2-9525992-2-1, BNF 42108219)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[9].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
    7. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    8. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[36].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Aujac » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Aujac » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Aujac » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Aujac » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Aujac, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
    2. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    3. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    4. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
    5. « le géoparc des monts d'Ardèche », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    6. « géoparc des monts d'Ardèche », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
    8. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    10. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aujac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « site Natura 2000 FR9101364 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    12. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aujac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    14. « ZNIEFF la « vallée de la Cèze dans la forêt domaniale de l'Homol » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF les « vallées amont de la Cèze et de la Ganière » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    19. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    20. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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