Aumessas

Aumessas est une commune française située dans l'ouest du département du Gard, en région Occitanie au sein des chaînes montagneuses des Cévennes. Aumessas a obtenu le label officiel Village de Caractère en 2020 par le Comité Départemental du Tourisme (CDT).

Aumessas

Vue sur le village d'Aumessas.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Pays viganais
Maire
Mandat
Philippe Barral
2020-2026
Code postal 30770
Code commune 30025
Démographie
Population
municipale
230 hab. (2019 )
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 59′ 31″ nord, 3° 30′ 16″ est
Altitude Min. 332 m
Max. 1 449 m
Superficie 21,45 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Vigan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Vigan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Aumessas
Géolocalisation sur la carte : France
Aumessas
Liens
Site web www.aumessas.fr

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Arre, le Bavezon, le Crouzoulous, le ruisseau d'Albagne, le ruisseau du Lingas et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « massif de l'Aigoual et du Lingas » et « les Cévennes ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Aumessas est une commune rurale qui compte 230 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 440 habitants en 1891. Elle fait partie de l'aire d'attraction du Vigan. Ses habitants sont appelés les Aumessois ou Aumessoises.

    Géographie

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[1],[2].

    Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[3].

    La commune fait également partie des Cévennes, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[4],[5].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[7] :

    • le « massif de l'Aigoual et du Lingas », d'une superficie de 10 546 ha, constituant la ligne de partage des eaux entre Méditerranée et Atlantique. On y trouve des pelouses et landes qu'on peut qualifier de pseudo-alpines, recélant des éléments floristiques des Alpes et des Pyrénées en disjonction d'aire. La diversité spécifique de l'ensemble du site est remarquable, avec en particulier la présence de la très rare Buxbaumia viridis[8]

    et un au titre de la directive oiseaux[7] :

    • « les Cévennes », d'une superficie de 92 044 ha, correspondant précisément à la zone centrale du parc national des Cévennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversité des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiée : au total, 135 espèces d'oiseaux, dont 22 inscrites à l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensées dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espèces de rapaces diurnes et sept nocturnes[9].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[10] : le « lac des Pises et montagne du Lingas » (1 173 ha), couvrant 3 communes du département[11], et la « rivière du Bavezon et ruisseau d'Albagne » (18 ha)[12]

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[10] :

    • le « massif de l'Aigoual et du Lingas » (28 495 ha), couvrant 17 communes dont 12 dans le Gard et 5 dans la Lozère[13] ;
    • les « vallées amont de l'Hérault » (21 533 ha), couvrant 23 communes dont 22 dans le Gard et 1 dans l'Hérault[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Aumessas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[I 1],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Vigan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,9 %), prairies (4,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,7 %), zones urbanisées (1,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Moyen Âge

    Le village d'Aumessas dépendait des possessions de la famille de Roquefeuil[Note 6]. Leurs vassaux, les Azémar, demeuraient au château de la Rode (dit aussi du Cornier).

    Le château du Cornier date vraisemblablement du XIIe siècle.Édifié par les de Roquefeuil, seigneurs dominants, il est remanié en grande partie au XVIe siècle, par la famille du Pont. Les premiers propriétaires sont les seigneurs d'Azémar, originaires du Rouergue. En 1430, le château devient propriété des du Pont.

    Époque moderne

    C'est en 1568 qu'est envoyé un pasteur, Jehan Soleil, à Aumessas. Ce n'est qu'en 1639 que le premier temple est érigé sur un terrain donné par Jacques du Pont de la Rode, devant maître Guillaume Flory, notaire à Aumessas. Ce temple est détruit le 17 février 1688 après la révocation de l’Édit de Nantes (17 octobre 1685). Du tas de ruines, ne seront conservées que la serrure et sa grosse clé. On peut voir, aussi, de belles pierres de taille récupérées des ruines de l'ancien temple ; elles forment l'angle du mur de soutènement du jardin où se dressait l'ancien lieu de culte. Symboles de la continuité de la communauté protestante du village, elles sont placées sur la porte du nouveau temple. Pendant la période qui suit, les services religieux sont célébrés soit au château du Cornier, soit à la maison Nègre de la Viale soit sous les châtaigniers de la Rode, soit « au désert ». Après la destruction du temple, en 1688, le culte réformé a lieu au château. Son propriétaire, Lévy du Pont de la Rode, met la grande salle du château à la disposition des catholiques d'Aumessas, leur église étant inutilisable. En 1703, deux martyrs pour la foi protestante sont tués : Rostang du Pont de la Rode et son cousin Louis du Pont de Bonnels.

    Époque contemporaine

    Le 30 septembre 1816, les protestants d'Aumessas sont autorisés à construire un nouveau temple. Une souscription est lancée et s'étale jusqu'en 1824. La construction est achevée en 1825. En 1862, Aimé Fonzes, bienfaiteur du village, offre, au consistoire presbytéral, une cloche à placer dans le clocher dont il avait financé la construction.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2017 Marie-Renée Laurent    
    2017 En cours Philippe Barral    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[19].

    En 2019, la commune comptait 230 habitants[Note 7], en diminution de 1,29 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8458409111 0069539999909911 074
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0701 0451 0079268609447821 440704
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    683638588504502461383352244
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    247204211213200225228228232
    2017 2019 - - - - - - -
    228230-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 108 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 196 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 190 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]11 %9,4 %10,7 %
    Département[I 7]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 112 personnes, parmi lesquelles on compte 67 % d'actifs (56,3 % ayant un emploi et 10,7 % de chômeurs) et 33 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Vigan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 44 emplois en 2018, contre 29 en 2013 et 31 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 65, soit un indicateur de concentration d'emploi de 67,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 38,3 %[I 10].

    Sur ces 65 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 46 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,1 % les transports en commun, 9,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités

    23 établissements[Note 10] sont implantés à Aumessas au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,4 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 23 entreprises implantées à Aumessas), contre 13,5 % au niveau départemental[I 14]. Aucune exploitation agricole ayant son siège dans la commune n'est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 12]</ref> (six en 1988)[23],[Carte 3].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Dolmen d'Arrigas et plusieurs menhirs, tous couchés.
    • Site druidique au-dessus de Peyraube au lieu-dit Saint-Peyle (ou Saint Peyre).
    • Château de la Rode. Bâtisse fortifiée édifiée à l'écart du hameau principal du village, en bordure de cours d'eau. À l'origine, elle était tenue par la famille d'Azémar, vassale des barons de Roquefeuil.
    • Maison Marquès du Luc. Demeure située sur la place principale et dont la façade regarde le portail de l'église. La porte est décorée d'un intéressant chapiteau à trois têtes provenant d'un bâtiment médiéval aujourd'hui disparu.
    • Manoir des Charmilles.
    • Ancienne filature Chabal.

    Édifices religieux

    Patrimoine culturel

    Le village a obtenu le label Village de Caractère en 2020.

    Patrimoine naturel

    • Rocher de Saint-Guiral.

    Personnalités liées à la commune

    • Aimé Fonzes, industriel, bienfaiteur de la commune.
    • Francis Campestre, écrivain (Les mémoires d'un sourd).

    Héraldique

    Les armes d'Aumessas se blasonnent ainsi :

    D'argent à l'aigle de sable[25].


    Voir aussi

    Bibliographie

    • Aumessas, Dépliant patrimoine, Office de tourisme des Cévennes méridionales, 2009.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[6].
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Un parchemin de 1285, concernant le mas de La Fobie, paroisse d'Aumessas évoque la famille de Roquefeuil et les moines bénédictins. Archives de l'Académie des Hauts Cantons, Le Vigan, Gard.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[22].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Aumessas » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Aumessas » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Aumessas » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Aumessas » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    2. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    3. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
    4. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
    5. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    7. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aumessas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « site Natura 2000 FR9101371 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « site Natura 2000 FR9110033 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aumessas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « ZNIEFF le « lac des Pises et montagne du Lingas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF la « rivière du Bavezon et ruisseau d'Albagne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF le « massif de l'Aigoual et du Lingas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF les « vallées amont de l'Hérault » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    22. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne<ref group=''>Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    23. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Aumessas - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    24. Notice no PM13 juillet 2021, base Palissy, ministère français de la Culture.
    25. Le blason de la commune sur « Gaso », sur www.labanquedublason2.com (consulté le ).
    • Portail des communes de France
    • Portail du Gard
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.