Genas
Genas [ʒənas] est une commune française, située dans la couronne péri-urbaine de Lyon dans le département du Rhône en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ses habitants sont appelés les Genassiens. [1]
Genas | |
L'église Saint-Barthélemy. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Rhône |
Arrondissement | Lyon |
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Est Lyonnais |
Maire Mandat |
Daniel Valéro (Horizons) 2020-2026 |
Code postal | 69740 |
Code commune | 69277 |
Démographie | |
Gentilé | Genassien, Genassienne |
Population municipale |
13 181 hab. (2019 ) |
Densité | 553 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 43′ 56″ nord, 5° 00′ 10″ est |
Altitude | Min. 208 m Max. 263 m |
Superficie | 23,84 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Lyon (banlieue) |
Aire d'attraction | Lyon (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Genas |
Localisation | |
Liens | |
Site web | genas.fr |
Géographie
Située à 15 km à l'est de Lyon, la commune appartient au département de l'Isère avant d'être rattachée à celui du Rhône en 1968[2]. Elle fait partie des communes dites de l'Est lyonnais.
Communes limitrophes
Climat
Genas possède un climat de type semi-continental (Cfb sur la classification de Köppen : « climat tempéré chaud, sans saison sèche, à été tempéré ») à influences méditerranéennes.
Les données suivantes ont été relevées à la station Météo France de l'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 0,6 | 1,3 | 3,9 | 6,5 | 10,5 | 14 | 16 | 15,6 | 12,4 | 9,3 | 4,3 | 1,7 | 8 |
Température moyenne (°C) | 3,3 | 4,7 | 8,4 | 11,4 | 15,5 | 19,3 | 21,7 | 21,2 | 17,4 | 13,2 | 7,4 | 4,3 | 12,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,1 | 8,1 | 12,8 | 16,1 | 20,4 | 24,4 | 27,2 | 26,7 | 22,4 | 17,2 | 10,5 | 7 | 16,6 |
Record de froid (°C) date du record |
−20,3 07-01-1985 |
−12,9 11-02-1986 |
−9,6 01-03-2005 |
−3 08-04-2003 |
−0,2 01-05-1976 |
4 04-06-1984 |
6,6 22-07-1980 |
5,1 30-08-1986 |
1,7 22-09-1977 |
−3,7 31-10-1997 |
−8,1 22-11-1989 |
−12,7 10-12-1980 |
−20,3 07-01-1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
20,4 10-01-2015 |
22,4 24-02-1990 |
26,1 22-03-1990 |
28,8 30-04-2005 |
33,9 24-05-2009 |
38,1 22-06-2003 |
39,4 24-07-2019 |
39,9 13-08-2003 |
33,2 14-09-1987 |
28,5 06-10-1977 |
22,4 08-11-2015 |
20,1 18-12-1989 |
39,9 13-08-2003 |
Précipitations (mm) | 59,3 | 54,3 | 65 | 71,5 | 98,9 | 86,5 | 68,7 | 77,6 | 89 | 111,5 | 91,2 | 72,9 | 946,5 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
6,1 0,6 59,3 | 8,1 1,3 54,3 | 12,8 3,9 65 | 16,1 6,5 71,5 | 20,4 10,5 98,9 | 24,4 14 86,5 | 27,2 16 68,7 | 26,7 15,6 77,6 | 22,4 12,4 89 | 17,2 9,3 111,5 | 10,5 4,3 91,2 | 7 1,7 72,9 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Urbanisme
Typologie
Genas est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[6] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,2 %), zones urbanisées (21 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Histoire
Des tombes de soldats gaulois ont livré épées et lances en fer ([14]).
Antiquité
Située en plein centre du pays du Velin, la ville de Genas s'est implantée sur une moraine glaciaire datant de l'époque du Riss récent. Les premiers habitants connus seraient donc des Velauni, membres de la tribu des Allobroges[réf. nécessaire] (des sarcophages découverts lors de fouilles archéologiques au chemin de sous les vignes en attestent), lesquels après une série de batailles sanglantes furent écrasés par les Romains : ainsi le futur Dauphiné s'inclut dans la province romaine de la Narbonnaise à partir de -22 et la Pax Romana régna longtemps sur le territoire de la commune. Un simple coup d'œil sur la plaine dominée par la côte Bernard permet facilement de retrouver le cadastre gallo-romain. Les grandes invasions sont, pour l'ensemble de la Gaule, une période particulièrement trouble, et la découverte de sarcophages au chemin de dessus les vignes atteste de l'occupation humaine.
Moyen Âge
Au Moyen Âge, Genas et Azieu forment deux communautés distinctes, la seconde dominant l'autre. Genas change souvent de maître, dont le premier connu s'appelle Jean de Genas, puis suivent de nombreux autres seigneurs jusqu'aux sires de Chandieu. Les troubles dus à la guerre de Cent Ans semblent avoir affecté les deux villages. En 1430, le prince d'Orange aurait démolie la bâtie d'Azieu, dont on peut voir des vestiges à Mathan.
De la Renaissance à la Révolution française
À la Renaissance et jusqu'à la Révolution française, rien ne vient troubler la vie des Genassiens. C'est pendant cette période que seront construits la plupart des châteaux situés sur la commune. En 1789, on dénombre une population d'environ 540 habitants.
La vie genassienne va s'écouler tranquillement : quelques siècles de paix permettent aux habitants de cultiver la vigne dont il reste des traces, les mûriers et le blé. C'est de cette époque que datent les premiers châteaux situés sur le territoire de la commune, comme le château Gandil. Lentement, le centre de gravité de la vie locale se déplace d'Azieu vers le bourg de Genas, à la veille de 1789, la commune compte 537 habitants.
La première municipalité en 1790 sera dirigée par Antoine Ollagnon. Lors de la révolte des Lyonnais et le siège de la ville par les armées de la Convention des Genassiens seront réquisitionnés ainsi que de la nourriture et des animaux[réf. nécessaire]. Cette situation agace les Genassiens, qui accueillent favorablement l'avènement de l'Empire. La crise frumentaire et les évènements parisiens atteignent bien sûr Genas, avec toutefois un léger décalage dans le temps.
Le XIXe siècle
Le XIXe siècle est l'époque du premier grand essor genassien : la Révolution industrielle bouleverse les mentalités, les modes de vie et Genas, en 1861, compte plus de 2 000 habitants. Si l'agriculture constitue encore la principale richesse économique, il faut aussi tenir compte de l'industrie du velours qui fait vivre environ 400 personnes. Quant aux fabriques de tuiles, importantes à l'époque, comme en témoigne une « rue des Tuileries », elles subsistent jusqu'en 1930. Néanmoins, si la commune se développe, l'harmonie ne règne pas toujours entre les habitants. Ainsi la vieille rivalité opposant habitants du bourg à ceux d'Azieu dégénère parfois en querelles et conflits[réf. nécessaire] : ceci explique la construction de deux églises et de deux groupes scolaires. Le fort de Genas est édifié entre 1886 et 1890.
Le XXe siècle et l'époque contemporaine
La construction d'un tramway fait de Genas un des lieux favoris des Lyonnais à la recherche de calme et d'air pur, notamment à l'étang de Mathan. Au cours de la Première Guerre mondiale, 92 habitants de Genas et Azieu périssent, cependant que cinq morts sont à déplorer du fait de la Seconde Guerre mondiale.
Le , au lieu-dit Bouvaret, les Allemands exécutèrent vingt-deux détenus de la Prison Montluc[15].
En 1945, on dénombre 1 630 habitants. Les Trente Glorieuses qui suivent le second conflit mondial vont, en un très court laps de temps, modifier le paysage communal : la ville subit une forte poussée démographique, l'agriculture régresse inexorablement, une zone d'activité est créée et de nombreux employés et cadres viennent se fixer à Genas. Aujourd'hui, Genas regroupe Azieu, Ratabizet[réf. souhaitée], Vurey et le bourg de Genas.
Politique et administration
Administration municipale
À la suite d'une condamnation pénale en [18], Michel Bonnefois est contraint de démissionner de son poste de maire et le conseil municipal le remplace par Michel Loeï, son premier adjoint. Le , la Cour d'appel de Lyon permet à Michel Bonnefois de redevenir éligible et celui-ci tente de reconquérir son mandat. Michel Bonnefois demande donc et obtient la démission d'un tiers du conseil municipal pour provoquer de nouvelles élections.
Le nouveau scrutin se déroule les 18 et . La liste Genas conduite par Michel Bonnefois est opposée à celle de son ancien colistier et premier adjoint, ainsi qu'à deux autres listes de droite et une liste de gauche Genas pour tous menée par Jean-Baptiste Ducatez. Michel Loeï conserve alors son fauteuil de maire[19].
Les élections de changent de nouveau la donne. Michel Loeï ne réussit pas à conserver son siège et Daniel Valéro, gendre de Michel Bonnefois, permet à son clan de regagner la commune.
Depuis 2008, le conseil municipal de 33 élus est constitué de trois groupes, le groupe majoritaire de Daniel Valéro (UMP), le groupe de Patrick Mathon (ex-groupe de Michel Loeï - UMP) et le groupe de Jean-Baptiste Ducatez (Divers gauche).
Le , les agents municipaux se mettent en grève pour exprimer leur ras-le-bol et dénoncer la gouvernance à la tête de la municipalité et ses conséquences sur les employés. La municipalité n’avait auparavant jamais connu de grève[20].
Le , le groupe « Genas pour Tous » et trois anciens adjoints de Daniel Valéro, Myriam Martin, Christophe Ulrich et Gilles Blanchard créent un nouveau groupe au sein du conseil municipal sous le nom de « Unis pour Genas »[21].
Élections municipales de
En , le groupe d’élus au conseil municipal « Unis pour Genas », mené par Christophe Ulrich (ancien adjoint aux sports de Daniel Valéro) et Jean-Baptiste Ducatez, annonce le lancement d’une liste de rassemblement sans étiquette pour les municipales de 2014[22]. Le , elle est opposée à la liste « Genas, c'est ma nature » de Daniel Valéro qui l'emporte largement en obtenant 65,94 % des voix et 28 élus[23].
Intercommunalité
La commune fait partie de la communauté de communes de l'Est Lyonnais (CCEL). Née le 29 décembre 1993, elle rassemblait à son origine 6 communes, dont la Ville de Genas : Colombier-Saugnieu, Genas, Jons, Pusignan, Saint-Bonnet de Mure et Saint-Laurent de Mure. En 2013, 2 nouvelles communes ont intégré la CCEL : Saint-Pierre-de-Chandieu et Toussieu, portant le bassin de vie à près de 40 000 habitants répartis sur un territoire de 14000 hectares.[24]
Jumelage
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[25],[Note 3]
En 2019, la commune comptait 13 181 habitants[Note 4], en augmentation de 6,81 % par rapport à 2013 (Rhône : +5,39 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
Genas compte quatre écoles publiques (Jean-d'Azieu, Nelson-Mandela, Joanny-Collomb, Anne-Frank) et une école privée (Jeanne-d'Arc). Il y a un collège public Louis-Leprince-Ringuet) et un privé (Jeanne-d'Arc).
Sports
La ville de Genas comporte de nombreux clubs sportifs;
- Football : L'Eveil Sportif Genas Azieu Foot (ESGA Foot)[28],[29]
- Rugby : Le Club Rugby de l'Est Lyonnais (REEL XV) [30]
- Basketball : L'Eveil Sportif Genas Azieu Basket (ESGA Basket)[31]
- Handball : L'Eveil Sportif Genas Azieu Handball (ESGA Handball)[32]
- Badminton : L'Eveil Sportif Genas Azieu Badminton (ESGA Badminton)[33]
- Tennis : Tennis Club de Genas
Culture locale et patrimoine
Personnalités liées à la commune
- Henri Debiez (1920-1944), résistant, Compagnon de la Libération, fusillé à Genas.
- Roger Muraro (né en 1959), pianiste, il grandit à Genas où il commence le saxophone puis le piano. Il a également fait partie de l'harmonie de la commune.
Héraldique
|
Les armes de la commune de Genas se blasonnent ainsi :
|
---|
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Genas », sur habitants.fr (consulté le ).
- « De l’isère au Rhône... », sur ccel.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- André Devaux, Les noms de lieux dans la région lyonnaise aux époques celtique et gallo-romaine, Lyon, , 48 p. (lire en ligne), p. 38.
- Aimé Bocquet, l'Isère pré et protohistorique, Gallia Préhistoire, 1969-2,
- Site Internet Les Fusillés 1940-1944
- « Michel Bonnefois, le maire RPR qui dirige la commune de Genas, se livre à une tout autre analyse. »
- https://horizonsleparti.fr/comites-municipaux/
- « Michel Loeï, maire de Genas », sur Mlyon (consulté le )
- « Le maire de Genas a démissionné », sur Mlyon (consulté le )
- Article dans Le Progrès du 18 novembre 2011
- Article dans Le Progrès du 29 novembre 2012
- Article dans Le Progrès du 21 juin 2013
- Résultats des élections municipales et communautaires 2014 à Genas sur le site du ministère de l'intérieur
- « CC. de l'Est Lyonnais », sur CCEL (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Eveil Sportif Genas Azieu Foot Masculin » (consulté le ).
- « Eveil Sportif Genas Azieu Foot Féminin » (consulté le ).
- « Club Rugby de l'Est Lyonnais » (consulté le ).
- « Eveil Sportif Genas Azieu Basket » (consulté le ).
- « Eveil Sportif Genas Azieu Handball » (consulté le ).
- « Eveil Sportif Genas Azieu Badminton » (consulté le ).
- « Blason de Genas », sur (consulté le ).
- Portail des communes de France
- Portail du département du Rhône