Bez-et-Esparon

Bez-et-Esparon est une commune française située dans l'ouest du département du Gard, en région Occitanie.

Bez-et-Esparon

Château de Bez.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Pays viganais
Maire
Mandat
Romaric Castor
2020-2026
Code postal 30120
Code commune 30038
Démographie
Population
municipale
328 hab. (2019 )
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 58′ 22″ nord, 3° 31′ 53″ est
Altitude Min. 279 m
Max. 861 m
Superficie 8,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Vigan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Vigan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bez-et-Esparon
Géolocalisation sur la carte : France
Bez-et-Esparon
Géolocalisation sur la carte : Gard
Bez-et-Esparon
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Bez-et-Esparon
Liens
Site web http://bez-et-esparon.fr

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Arre et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « gorges de la Vis et cirque de Navacelles ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Bez-et-Esparon est une commune rurale qui compte 328 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 043 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction du Vigan. Ses habitants sont appelés les Bezronais ou Bezronaises.

    Géographie

    Hydrographie et relief

    À Bez, le Merlanson avec ses deux ponts.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 12,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 406 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Vigan », sur la commune du Vigan, mise en service en 1965[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 405,8 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 39 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 10,9 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[15],[16].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « gorges de la Vis et cirque de Navacelles »[18], d'une superficie de 20 277 ha, qui offrent aux oiseaux les milieux nécessaires à la reproduction, à l’hivernage ou au repos en phase migratoire. Il compte, à différentes périodes de l’année, un grand nombre d’espèces remarquables à l’échelle européenne[19].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[20] : le « bois de la Tessonne » (507 ha), couvrant 5 communes du département[21], et le « ruisseau du Merlanson » (5 ha)[22] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[20] :

    • le « causse de Blandas » (9 113 ha), couvrant 12 communes dont 11 dans le Gard et 1 dans l'Hérault[23] ;
    • les « vallées amont de l'Hérault » (21 533 ha), couvrant 23 communes dont 22 dans le Gard et 1 dans l'Hérault[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Bez-et-Esparon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[25],[I 1],[26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Vigan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,9 %), prairies (17,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Politique et administration

    Liste des maires[28]

    Liste des maires de Bez
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 1808 Marc Antoine Saguinède    
    1808 1813 Pierre Mallien    
    1813 1818 Louis Ménard    
    1817 1818 Noël Falguière    
    Les données manquantes sont à compléter.
    Liste des maires de Esparon
    Période Identité Étiquette Qualité
    1797 1801 François Bertrand    
    1802 1814 Étienne Foby    
    1815 1818 André Guy    
    Les données manquantes sont à compléter.
    Liste des maires de Bez-et-Esparon
    Période Identité Étiquette Qualité
    1818 1825 Noël Falguière   Mort en fonction
    1825 1834 Louis Ménard    
    1835 1848 Auguste Bonnet    
    1848 1869 Louis Reboul    
    1869 1870 Charles Auguste Bonnet    
    1870 1871 Charles-Arnal Lassale    
    1871 1881 Pierre Félicien Mallien    
    1881 1892 Alexandre Boudes    
    1892 1894 François Falguière   Mort en fonction
    1894 1900 Charles-Arnal Lassale    
    1900 1908 Pierre Coularou    
    1908 1919 Almir Sarran    
    1919 1926 Henri Barral    
    1926 1929 Almir Sarran    
    1929 1935 Jules Bessière    
    1935 1941 Élie Brun    
    1941 1944 Charles Barral    
    1944 1945 Marceau Maurin    
    1945 1953 Aimé Cougouluègne    
    1953 1958 Joseph Sarran    
    1958 1962 Henri Macmanowicz   Directeur de l'usine
    1962 1971 Georges Nicol    
    1971 1977 Henri Michel    
    1977 1989 Pierre Boulet    
    1989 1995 Pierre Vassas    
    juin 1995 mars 2008 Roger Goissède PCF  
    mars 2008 mai 2020 Claude Martin[29] DVD Retraité
    mai 2020 en cours Romaric Castor   Artisan
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2019, la commune comptait 328 habitants[Note 9], en diminution de 5,75 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7107408368629189381 0061 0431 020
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0001 030928927935964867879907
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    660687689596579570514421424
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    469377344338314301348361348
    2018 2019 - - - - - - -
    330328-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 164 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 321 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 290 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]8 %16,8 %14,9 %
    Département[I 7]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 194 personnes, parmi lesquelles on compte 70,6 % d'actifs (55,7 % ayant un emploi et 14,9 % de chômeurs) et 29,4 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Vigan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 35 emplois en 2018, contre 39 en 2013 et 40 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 109, soit un indicateur de concentration d'emploi de 32,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,8 %[I 10].

    Sur ces 109 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 23 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,6 % les transports en commun, 2,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    24 établissements[Note 12] sont implantés à Bez-et-Esparon au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 41,7 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 24 entreprises implantées à Bez-et-Esparon), contre 15,5 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations7354
    SAU[Note 14] (ha)77195327234

    La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (sept en 1988). La superficie agricole utilisée est de 234 ha[36],[Carte 4],[Carte 5].

    Entreprises de l'agglomération

    • La Boucherie de la Ferme - Producteurs de viandes de bœuf Aubrac, agneau de Lozère et porc de l'Aveyron 100 % bio

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Château de La Valette
    • Château de Bez ;
    • Château Massal ;
    • La maison à la Tour. Ancienne demeure médiévale dans le village ;
    • Fontaine de la place. Installée grâce au don du comte Achille Kuhnholtz-Lordat ;
    • Le Pont de la Grave (XVIIIe siècle) ou viaduc du Merlanson. Il enjambe Le Merlanson ;
    • Viaduc de Lavassac (de « type Eiffel ») enjambant l'Arre ;
    • Fontaine Lointe ;
    • Pic et hameau d'Esparon. Inscrits à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques par arrêté du 15 juin 1976 ;
    • Le Four à Pain d'Esparon.

    Édifices religieux

    Personnalités liées à la commune

    • La famille Coupier de La Valette fait don en 1854 à la paroisse Saint Martin de Bez d’une cloche et autorise la commune l’accès à un chemin de mines privé pour relier Bez et Esparon au début du XXe siècle.
    • La famille Liron d'Airolles
    • La famille Bastier de Bez
    • La famille Kuhnholtz-Lordat
    • Augustin-Antoine Cavalier (1763-1847), homme politique de conviction royaliste, maire de Nîmes de 1819 à 1824
    • La famille Brun d'Arre
    • La famille Panerai
    • Meyer Marcel Bluwal-(1925-2021)- metteur en scène et réalisateur, pionnier de la télévision française.

    Héraldique

    Les armes de Bez-et-Esparon se blasonnent ainsi :

    De gueules aux trois besants d'argent[37].


    Voir aussi

    Bibliographie

    • Bez-et-Esparon. Dépliant patrimoine. Office de Tourisme des Cévennes Méridionales. 2011
    • Le Bouleau et l'Eperon - Entre Causse et Cévennes de Madeleine Ribot-Vinas, Editions Decoopman, avril 2013

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Bez-et-Esparon » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Bez-et-Esparon » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Bez-et-Esparon » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Bez-et-Esparon » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Le Vigan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Bez-et-Esparon et Le Vigan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Le Vigan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Bez-et-Esparon et Millau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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