Borne (Haute-Loire)

Borne est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Borne.

Borne

La Borne en bas du village de Borne.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Le Puy-en-Velay
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Puy-en-Velay
Maire
Mandat
Annie Bouchet
2020-2026
Code postal 43350
Code commune 43036
Démographie
Gentilé Bornais[1]
Population
municipale
409 hab. (2019 )
Densité 75 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 06′ 03″ nord, 3° 47′ 59″ est
Altitude Min. 720 m
Max. 885 m
Superficie 5,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Puy-en-Velay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Paulien
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Borne
Géolocalisation sur la carte : France
Borne
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Borne
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Borne

    Géographie

    Localisation

    La commune de Borne se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

    Elle se situe à 13 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[2], préfecture du département, et à km de Saint-Paulien[3], bureau centralisateur du canton de Saint-Paulien dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Saint-Vidal (2,8 km), Blanzac (3,5 km), Loudes (4,2 km), Saint-Paulien (4,2 km), Lissac (4,4 km), Chaspuzac (5,3 km), Sanssac-l'Église (5,6 km), Polignac (5,8 km).

    Communes limitrophes de Borne
    Saint-Paulien
    Loudes Polignac
    Saint-Vidal

    Urbanisme

    Typologie

    Borne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[5],[I 2],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (62,6 %), prairies (17,2 %), forêts (12,6 %), zones urbanisées (6,2 %), terres arables (1,4 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 213, alors qu'il était de 212 en 2013 et de 205 en 2008[I 5].

    Parmi ces logements, 78,9 % étaient des résidences principales, 8 % des résidences secondaires et 13,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,3 % des appartements[I 6].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Borne en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (78,1 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].

    Le logement à Borne en 2018.
    Typologie Borne[I 5] Haute-Loire[I 8] France entière[I 9]
    Résidences principales (en %) 78,9 71,5 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8 16,1 9,7
    Logements vacants (en %) 13,1 12,4 8,2

    Toponymie

    Du mot pré-latin, Borna trou, source »), sans doute d'origine gauloise.

    Histoire

    Borne est une commune ancienne, à 12 km du Puy-en-Velay, le long de la rivière du même nom. La commune se situe à la jonction de deux grandes voies romaines et médiévales, la via Strada, qui reliait Le Puy à Clermont-Ferrand et la via Bolen, qui reliait Lyon et le Midi.

    Ancienne bourgade de passage, elle dispose encore d’un des trois tumulus explorés en 1823 par Deribier de Cheyssac, et daté d’avant 1032. C’est son plus vieux « monument », le long de la très ancienne voie Strada, dont le but était de guider le voyageur en direction de Puy afin d’éviter les marais de Nolhac tout proches.

    La rivière Borne se traversait dans le village par un pont médiéval encore existant. D’origine fin XIe, début XIIe, il a été élargi et renforcé au XVIIIe siècle. C'est apparent au droit des avant-becs et après-becs, pointus façon médiévale, puis circulaires façon moderne, mais aussi au niveau de l’encorbellement. Cet ouvrage est long de 83 m entre piles d’entrées, soit plus de 100 m au total. Il restera en fonction jusqu’en 1852, date de mise en service du pont actuel. Une travée sera dynamitée par la Résistance en février 1944. Restauré par l'association Borne Patrimoine, il est désormais possible de le franchir à pied grâce à une passerelle métallique qui remplace l'arche détruite.

    Le village dispose aussi de grottes troglodytes, au lieu-dit le Rocher, dont une seule a pu être conservée accessible suite à l’éboulement de 2004.

    On trouvera aussi une très petite chapelle ornée de peintures, au fond de l'ancien cimetière, derrière l’église.

    L’église en elle-même date du Moyen Âge pour sa partie cœur. La nef d'entrée est un peu plus récente et la chapelle sud est XIXe. À noter l’histoire de la réalisation de la voûte de l’église, ou celle de la fabrication de la cloche, relatée par Ignace Corthiasd, frère du curé de l’époque, qui aux environs de 1830 relate les faits dans ses « annales » conservées en mairie de Borne.

    Jusqu’au XVIIe siècle, le clergé était représenté localement par des moines de l'ordre des Prémontés qui avaient la charge de l’église mais qui vivaient miséreux.

    Il existe à cheval sur Borne et Saint-Vidal, les grottes et les ruines de l’ancien village des Muses. Ce village peut être daté d’environ 1300. Il n’existait déjà plus à la réalisation de la carte de Cassini, qui dans ce secteur date d'environ 1760. Cet ensemble, enchevêtré dans les pierres, laisse apparaître des jambages appareillés, des constructions en moellons sans liant, de forme rectangulaire, voire circulaire. Chaque construction dispose en son centre d’un trou d'environ 50 cm de profondeur, et 50 cm de diamètre : peut-être l'âtre central.

    Plus près de nous, le Pont Rouge, ouvrage métallique du type Eiffel, enjambe la Borne à 500 m en aval du village. Propriété privée, il est remarquable par le treillis métallique le formant et par son système de sous-tension.

    À noter aussi la cascade du Bourbouilloux, en amont du pont médiéval, site naturel marquant la chute de l’affluent de la Borne et son bassin de réception ; à découvrir.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Borne est membre de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[I 10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Puy-en-Velay. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[8].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 10].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Paulien pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 10], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[9].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Borne, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[10] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[11]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[12] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 53,52 %[13]. Annie Bouchet, maire sortante, est réélue pour un nouveau mandat le [14].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[15]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[16].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1989 2008 Jean-Paul Colly [UMP]  
    mars 2008 En cours
    (au 26 août 2014)
    Mme Annie Bouchet[17]    

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

    En 2019, la commune comptait 409 habitants[Note 5], en diminution de 3,54 % par rapport à 2013 (Haute-Loire : +0,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    226226235270285300314365325
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    347357358368411403407421375
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    380385392334346332288275257
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    248275284271302352399412424
    2018 2019 - - - - - - -
    407409-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,3 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 202 hommes pour 205 femmes, soit un taux de 50,37 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (50,87 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 11]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    0,5 
    7,4 
    75-89 ans
    6,8 
    17,8 
    60-74 ans
    18,0 
    26,7 
    45-59 ans
    22,0 
    12,4 
    30-44 ans
    19,0 
    16,3 
    15-29 ans
    16,6 
    19,3 
    0-14 ans
    17,1 
    Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2018 en pourcentage[I 12]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    2,4 
    8 
    75-89 ans
    11,6 
    19,7 
    60-74 ans
    19,6 
    21,6 
    45-59 ans
    20,5 
    17,2 
    30-44 ans
    16,4 
    15,3 
    15-29 ans
    13,4 
    17,4 
    0-14 ans
    16,1 

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 170 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 423 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 390 [I 13] (20 800  dans le département[I 14]).

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 15]4,7 %7,8 %7,5 %
    Département[I 16]6,3 %7,7 %7,7 %
    France entière[I 17]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 253 personnes, parmi lesquelles on compte 77,5 % d'actifs (70 % ayant un emploi et 7,5 % de chômeurs) et 22,5 % d'inactifs[Note 7],[I 15]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 18]. Elle compte 34 emplois en 2018, contre 31 en 2013 et 50 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 180, soit un indicateur de concentration d'emploi de 18,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,8 %[I 19].

    Sur ces 180 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 23 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 93,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,6 % les transports en commun, 1,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].

    Culture locale et patrimoine

    Anecdote

    Au mois de mars 2011, Cédric Enjolras, président du club de football de Borne, le FC Borne a tenté de recruter la star internationale du football Lionel Messi en remplissant et en envoyant un formulaire de demande de transfert officiel à la FFF, à l'attention de ses collègues catalans. Cette plaisanterie n'aura pas été du goût de la Fédération française de football car Cédric Enjolras fut suspendu pendant 6 mois.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Borne » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Borne » (consulté le ).
    6. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Borne - Section LOG T2 » (consulté le ).
    7. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Borne - Section LOG T7 » (consulté le ).
    8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
    9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    10. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Borne » (consulté le ).
    11. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Borne (43036) », (consulté le ).
    12. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
    13. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Borne » (consulté le ).
    14. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
    15. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Borne » (consulté le ).
    16. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
    17. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    19. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Borne » (consulté le ).
    20. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    21. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. https://www.habitants.fr/haute-loire-43
    2. Stephan Georg, « Distance entre Borne et Le Puy-en-Velay », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Borne et Saint-Paulien », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Borne », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. « communauté d'agglomération du Puy-en-Velay - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
    9. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    10. Article L. 252 du Code électoral
    11. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le )
    12. « Candidatures au 1er tour pour Borne », sur site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    13. « Résultats du 1er tour pour Borne », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le )
    14. « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur https://www.data.gouv.fr/ (consulté le )
    15. « Conseillers communautaires : les règles de l'élection », sur https://www.vie-publique.fr/ (consulté le )
    16. « Elections municipales et communautaires 2020 dans la Haute-Loire - nombre de conseillers municipaux et communautaires », sur www.haute-loire.gouv.fr (consulté le )
    17. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 26 août 2014).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.

    Liens externes

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