Bouin (Deux-Sèvres)

Bouin est une ancienne commune du centre-ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Bouin.

Bouin

Église Notre-Dame.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Niort
Intercommunalité Communauté de communes Mellois en Poitou
Code postal 79110
Code commune 79045
Démographie
Population 132 hab. (2016 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 05′ 11″ nord, 0° 00′ 51″ ouest
Altitude Min. 96 m
Max. 156 m
Superficie 8,33 km2
Élections
Départementales Melle
Historique
Date de fusion  
Commune(s) d'intégration Valdelaume
Localisation
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Bouin
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Bouin
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Bouin
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Bouin

    La carte de Cassini, établie entre 1766 et 1768, indique l'existence d'une paroisse, d'un « Logis » et d'un moulin à vent sur un site orthographié Boüin. Bouin s'est également orthographiée Boig.

    Géographie

    La commune de Bouin est située sur le versant aquitain du Seuil du Poitou, à proximité de la ligne de partage des eaux du bassin de la Loire (fleuve) et du bassin de la Charente (fleuve). Cette ligne de partage des eaux est matérialisée par le horst de Montalembert (Deux-Sèvres) situé au nord de Bouin.

    La rivière Aume (ou Osme, ou encore rivière de Bouin) prend sa source à Bouin. C'est un petit affluent de la rive droite de la Charente à Ambérac.

    Sur l'hydrographie des environs de Bouin, on pourra consulter la fiche de la commune d'Aubigné (Deux-Sèvres).

    Sur la géologie des environs de Bouin, on pourra consulter la fiche de la commune de Ruffec.

    Bouin est principalement accessible par la route départementale D 740, entre Chef-Boutonne et Villefagnan, à 4,5 km du département de la Charente.

    Toponymie

    Peut-être du gaulois « frontière » qui marquerait la limite, durant l’Antiquité entre les Santons et les Pictons.

    Histoire

    L'histoire de Bouin est commune à l'histoire du comté de Poitiers, puis à celle de l'Angoumois, puis enfin à celle du département des Deux-Sèvres : peuplement celte des Gaulois, domination de l'Empire romain en -52, expansion du christianisme à partir du IVe siècle, domination du Royaume Wisigoth en 418 puis des Francs en 507, domination des Capétiens en 987 puis des Plantagenêts en 1152, rattachement à la Couronne de France en 1308 et importance du protestantisme au XVIIe siècle.

    La région de Bouin est dévastée à de très nombreuses reprises par les guerres : guerre civile entre Carolingiens, guerre entre Plantagenêts et Capétiens, guerre de Cent Ans et guerres de religion. Par contre, Bouin et ses environs n'auraient pas souffert du passage des Vandales en 407, ni du passage des Maures en 732, ni des raids normands en Poitou et dans la vallée de la Charente de 845 à 868.

    • À la suite des invasions germaniques au sein de l'Empire romain d'Occident en l'an 406, le Royaume Wisigoth de Toulouse, créé en 418 par un foedus s'étend en Gaule et en Espagne, et comprend Bouin ; la participation des Wisigoths de Théodoric Ier à la bataille des Champs Catalauniques contre les Huns d'Attila en 451 repousse définitivement les Huns qui avaient atteint Orléans ; la chute de l'Empire romain d'Occident, datée de 476 (lorsque Odoacre dépose le dernier empereur d'Occident et renvoie les insignes impériaux à Constantinople) rend indépendant le royaume Wisigoth. Les Wisigoths, peuple de Germains orientaux issus de la région du Danube, avaient vaincu l'Empire romain d'Orient à Andrinople en 376, puis avaient pillé Rome en 410 ; chrétiens ariens, ils créent les duchés (dont celui de Saintes) et les comtés à l'origine des structures médiévales, et perçoivent les impôts des Gallo-romains chrétiens ; ils laissent peu de trace de leur domination, sauf le bréviaire d'Alaric II, mais constituent la première étape de l'apport des peuples Germains aux Gallo-romains de Bouin.
    • Peu après l'an 1000, Bouin passe au comté d'Angoulême à l'occasion de la donation des vicomtés de Mlles d'Aulnay, de Ruffec et de Confolens par Guillaume V, comte de Poitou et duc d'Aquitaine, à Guillaume IV Taillefer, comte d'Angoulême (Liste des comtes d'Angoulême), son vassal. Cette période voit l'indépendance croissante des petits seigneurs et la construction de forteresses. La viguerie de Bouin est transformée en châtellenie. La seigneurie de Bouin appartiendra successivement aux familles La Lande jusqu'en 1494, puis Turpin de Jouhé jusqu'en 1750, puis Chabot de Bouin jusqu'en 1860. Une voie antique est attestée au Moyen Âge, de Rom à Bouin, en passant par Lorigné : le chemin de la Bounièze.
    • En 1137, le mariage d'Aliénor d'Aquitaine, héritière de l'Aquitaine, avec Louis VII, roi de France, rapproche Bouin du domaine royal capétien. Mais le divorce d'Aliénor en 1152 et son remariage avec Henri II Plantagenêt, futur roi d'Angleterre, déclenche une longue période de guerres dans la région (révoltes des seigneurs contre le pouvoir centralisé des Plantagenêts, disputes au sein de la famille Plantagenêt révolte contre leur père en 1173-1174, confiscation des fiefs continentaux par le roi de France, etc.), jusqu'au rattachement de l'Angoumois à la Couronne de France en 1308. La région de Bouin est à nouveau le théâtre de combats entre Anglais et Français, accompagnés de destructions, pendant la guerre de Cent Ans de 1337 à 1453.
    • Vers l'an 1500 (et en 1597 de façon attestée), la paroisse de Bouin est le siège d'un archiprêtré du diocèse de Poitiers dépendant de l'archidiaconé de Brioux comprenant les paroisses suivantes au sein de trois provinces : Couture-d'Argenson, La Bataille, Lussay, Lorigné, Melleran et Villemain en Poitou ; Bouin, Hanc, Pioussay, Longré, Paizay, Theil-Rabier, Empuré, Raix, Saint-Fraigne, La Forêt-de-Tessé, Les Gours, Ambourie, et La Chèvrerie en Angoumois ; Loubillé en Saintonge. Cet archiprêtré durera jusqu'au Concordat de 1801. On constate dans la région de Bouin une forte implantation du protestantisme, des destructions pendant les guerres de religion (1562 - 1598), des abjurations forcées par les dragonnades et une émigration à la révocation de l'édit de Nantes (en 1685) : en 1534, Calvin vient prêcher à Villefagnan où un Temple sera construit ; beaucoup de familles nobles adoptent la Réforme (à Longré, à Saveille, à Verteuil, à La Rochefoucauld, etc.). En 1598, Bouin fait partie du marquisat de Ruffec, le seigneur de Volvire recevant le droit de faire de la terre de Ruffec un marquisat fort de 36 paroisses et 200 maisons nobles. Il est probable que le logis de Bouin d'époque Renaissance est ruiné pendant les guerres de religion (l'église romane est également ruinée à cette période), et qu'il est vendu en l'état par les Turpin de Jouhé à François Chabot de Peuchebrun (Longré) vers 1750, qui constitue ainsi une terre pour son fils cadet Joseph Chabot qui reconstruira en 1766 l'actuel logis de style classique (hypothèse à vérifier).
    • Joseph Chabot de Bouin (né le 31 décembre 1736 à Peuchebrun, commune de Longré - mort en 1816 à Chef-Boutonne), est la tête de tige des Chabot de Bouin ; il est le fils de François Chabot, écuyer, seigneur de Peuchebrun, et de Marie Tesnon de la Ronce, mariés le 14 juillet 1732 et qui ont 8 enfants (Jacques Chabot de Peuchebrun, Joseph Chabot de Lussay, Nicolas Chabot de Potonnier, Joseph Chabot de Bouin et plusieurs filles). Joseph Chabot de Bouin épouse en 1772 Jeanne Rempnoulx, qui lui donne 2 enfants dont Nicolas Chabot de Bouin. Nicolas Chabot de Bouin (né le 18 septembre 1775) épouse le 26 juillet 1800 sa cousine Françoise Chabot de Peuchebrun (née le 13 février 1783) qui lui donne Nicolas Jules Chabot de Bouin. Nicolas Jules Chabot de Bouin (né à Chef Boutonne le 5 septembre 1807) écrit des romans et des pièces de théâtre ; marié à Paris en 1842 à Céline Rommel, il laisse une fille unique Juliette-Louise (mariée en 1855 à Bouin à Agathon Morisson), dernière descendante des Chabot de Bouin.
    • Sous l'Ancien Régime, Bouin est une paroisse de l'Angoumois rattachée au marquisat de Ruffec, Élection d'Angoulême et généralité de Limoges. Bouin est située à proximité immédiate de la frontière des trois provinces d'Angoumois, du Poitou et de Saintonge ; cette situation, éloignée des centres de pouvoir et fluctuante dans l'histoire, ajoutée aux destructions des guerres et à la pauvreté de l'agriculture, expliquera la relative indifférence de la population à la Révolution. À la suite de la convocation des États généraux par Louis XVI, ordonnée le 3 août 1798, communiquée aux baillis et sénéchaux des provinces le 24 janvier 1789, devant se tenir à Versailles le 1er mai 1789, le sénéchal d'Angoulême, chef de la justice dans la province d'Angoumois, convoque le 14 février 1789 les habitants des paroisses (constituant le tiers état) et les invite à exprimer leurs doléances (étant entendu que le clergé et la noblesse s'exprimeront à Angoulême dans leurs ordres respectifs). Tiers État de l'Angoumois : réunis en mars 1789, les paroissiens de Bouin expriment leurs doléances et désignent deux députés : Pierre Pinet et Pierre Sicaud (les paroisses de moins de 200 feux, au sens de feu fiscal, n'ont droit qu'à deux députés). Les députés du tiers état des paroisses de l'Angoumois sont réunis à Angoulême le 11 mars 1789 où il est procédé à la réduction des doléances en quinze cahiers de districts. Le cahier de doléances du district de Ruffec, qui représente Bouin, concerne principalement la liberté individuelle, la propriété et la progression effrayante des impôts depuis 20 ans. Le 21 mars 1789, au couvent des Cordeliers à Angoulême, les quinze districts de l'Angoumois rédigent un cahier de 61 articles concernant principalement les préoccupations professionnelles et corporatistes des robins (noblesse de robe) et des bourgeois. Les quatre députés du Tiers-État de l'Angoumois seront : Étienne-Jean Augier (négociant, adversaire des réformes), Antoine-Joseph Roy (avocat, hostile aux réformes), Jean Marchais (avocat, de santé fragile) et François Pougeard du Limbert (avocat, deviendra bonapartiste). Clergé de l'Angoumois : les trois ordres de la province d'Angoumois se réunissent ensemble en la cathédrale d'Angoulême les 16, 17 et 18 mars 1789, sans pouvoir néanmoins rédiger un cahier commun. Le curé de Bouin a donné pouvoir à un confrère. Le cahier de doléances du clergé de l'Angoumois est un compromis entre les préoccupations de curés favorables aux réformes et les préoccupations d'évêques plus conservateurs. Les deux députés de l'Angoumois seront : Philippe-François d'Albignac de Castelnau, évêque d'Angoulême, et Pierre-Mathieu Joubert, curé de Saint-Martin d'Angoulême (qui rejoindra le tiers état ultérieurement et deviendra préfet du Nord). Noblesse de l'Angoumois : le 19 mars 1789, au couvent des Jacobins à Angoulême, Joseph Chabot de Bouin est présent à la séance qui désigne quinze commissaires rédacteurs. Le cahier de la noblesse concernera principalement le contrôle électif du pouvoir royal. Les deux députés de l'Angoumois seront : Claude-Anne, marquis de Saint-Simon (qui émigrera) et Alexandre-Louis, comte de Culant (qui défendra le maintien en Angoumois de plusieurs communes situées au sud-est de Bouin).
    • En 1790, la paroisse de Bouin (de même que les paroisses voisines d'Hanc et de Pioussay), est transformée en commune et est détachée de l'Angoumois (qui formera le département de la Charente) pour être rattachée au département des Deux-Sèvres à la date de sa création.
    • En application de la loi Guizot du 28 juin 1833, une école primaire est créée en 1860 dans la partie nord du Logis de Bouin, acquise par la commune au moment de sa vente par Juliette Chabot et de son morcellement ; la partie sud du Logis est transformée en exploitation agricole (famille Bournier), et la partie est (grosse tour, four et communs) est acquise par deux familles de Bouin.

    Les dates de l'histoire de Bouin

    • -52 : le territoire gaulois des Pictons est rattaché à l'Empire romain
    • IVe siècle : expansion du christianisme
    • 418 : rattachement au royaume wisigoth de Toulouse
    • 507 : rattachement au royaume franc par Clovis
    • IXe siècle : siège d'une viguerie à l'époque carolingienne
    • XIe siècle : rattachement au comté d'Angoulême à sa création
    • 1152 : rattachement au domaine des Plantagenêts, construction (probable) de l'église romane
    • 1308 : rattachement à la Couronne de France, la seigneurie de Bouin appartient à la famille La Lande, construction (probable) du logis d'époque féodale
    • 1494 : la seigneurie de Bouin appartient à la famille Turpin de Jouhé, construction (probable) du logis d'époque Renaissance
    • de 1500 (environ) à 1801, la paroisse de Bouin est le siège d'un archiprêtré
    • 1562-1598 : le logis d'époque Renaissance et l'église romane sont ruinés pendant les guerres de religion (l'église est restaurée par Jean Turpin avant 1663)
    • 1750 : la seigneurie de Bouin appartient à la famille Chabot de Bouin qui construit en 1766 le logis de style classique
    • 1789 : les paroissiens de Bouin, le curé de Bouin et Joseph Chabot de Bouin expriment séparément leurs doléances
    • 1790 : création de la commune de Bouin et rattachement au département des Deux-Sèvres
    • 1797 : vente de l'église comme bien national (jusqu'à son rachat par l'évêque en 1833)
    • 1860 : vente et morcellement du Logis, création de l'école communale

    Tempêtes de fin décembre 1999 en Europe

    La région de Bouin a été frappée par deux tempêtes hivernales intenses : Lothar le 26 décembre 1999, et surtout Martin dans la nuit du 27 au 28 décembre 1999. Des vents ont été enregistrés à environ 200 km/h sur l'île d'Oléron et à Royan, avant de toucher Bouin. Plusieurs décès accidentels ont été déplorés aux environs de Bouin.

    XXIe siècle

    Le , elle fusionne avec Ardilleux, Hanc et Pioussay pour constituer la commune nouvelle de Valdelaume dont la création est actée par un arrêté préfectoral du [1].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 réélu en 2008[2] Jean-Claude Sillon DVG Conseiller général

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[3]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[4].

    En 2016, la commune comptait 132 habitants[Note 1], en diminution de 12,58 % par rapport à 2010 (Deux-Sèvres : +0,87 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    299332304362376351366364364
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    363381348359336338313308302
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    266290266243221222225233212
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    183185158135126122140148145
    2014 2016 - - - - - - -
    135132-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[6].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Avec 140 habitants, le recensement de 2004 montre la fin du phénomène de dépopulation, conséquence de l'exode rural. Les nouveaux arrivants, principalement citadins, illustrent le phénomène de rurbanisation. On observe également un phénomène d'immigration britannique, issu de la bulle immobilière, comme dans plusieurs départements du Sud-Ouest de la France.

    Lieux et monuments

      • L’église Notre-Dame du Xe siècle, sa façade est inscrite depuis 1926 à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[7] ; le chœur abrite la tombe de Jean Turpin, écuyer, décédé en 1663[8].
    • Logis de Bouin du XVIIIe siècle : Il subsiste de l'époque médiévale des vestiges d'une grosse tour (fortification) circulaire, de tourelles d'angle, de courtines et de douves sèches ayant formé une enceinte rectangulaire.
      Le logis seigneurial construit à l'époque Renaissance dans l'enceinte a été ruiné pendant les guerres de religion, les huguenots tenant le château de Saveille situé à proximité.
      Reconstruit et notablement agrandi en 1766 par les Chabot de Bouin, le logis XVIIIe siècle est une vaste construction classique formée d'un corps de logis cantonné de deux ailes symétriques, au centre de l'ancienne enceinte, accessible par un portail central à l'est (communs, four). Morcelé en 1860, transformé en exploitation agricole et école, il est en cours de restauration partielle depuis 1981.
    • Puits de l'Aume : source de l'Aume, à l'ouest du bourg ; équipée d'un beau lavoir et d'abreuvoirs à bétail. La source n'est pas alimentée en période d'étiage estival.
    • Le méridien de Greenwich traverse Bouin à l'est du territoire communal. L'intersection du méridien de Greenwich et du 46e parallèle nord à Longré a été reconnue par un habitant de Bouin le 29 août 2004[9].

    Personnalités liées à la commune

    • Joseph Chabot de Bouin (1736, Longré - 1816, Chef-Boutonne), tête de tige des Chabot de Bouin, il fit construire en 1766 le Logis de Bouin, de style classique.
    • Jules Chabot de Bouin (1807, Chef-Boutonne - 1858), écrivain, petit-fils du précédent.

    Plusieurs historiens ont publié des articles sur la région et sur Bouin : Henri Beauchet-Filleau (1818-1895), Maurice Poignat (1912-1997), Raymond Proust et André David (enseignant à Longré, en retraite).


    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.

    Références

    1. « Arrêté portant création de la commune nouvelle de Valdelaume », sur Site de la préfecture des Deux-Sèvres,
    2. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
    3. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    4. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
    7. « Eglise Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    8. www.diocese-poitiers.fr diocèse de Poitiers
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