Bourbriac
Bourbriac [buʁbʁijak] est une commune, bureau centralisateur de canton du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.
Bourbriac | |||||
Centre bourg de Bourbriac. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Guingamp | ||||
Intercommunalité | Guingamp-Paimpol Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Claudine Guillou 2020-2026 |
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Code postal | 22390 | ||||
Code commune | 22013 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Briacin, Briacine | ||||
Population municipale |
2 122 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 30 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 28′ 26″ nord, 3° 11′ 14″ ouest | ||||
Altitude | 200 m Min. 111 m Max. 308 m |
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Superficie | 71,86 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Guingamp (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Callac | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | Site de la commune de Bourbriac | ||||
Géographie
Situation
Bourbriac se situe dans le Trégor, en France, à 10 km au sud de Guingamp, en pays d'Argoat.
Communes limitrophes
Gurunhuel | Coadout, Moustéru |
Saint-Adrien, Tour de Koat-Liou |
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Pont-Melvez | N | |||
O Bourbriac E | ||||
S | ||||
Maël-Pestivien | Kerien, Magoar |
Plésidy |
Héraldique
Blasonnement :
D'argent à deux haches d'armes adossées de gueules.
Commentaires : Ce blason (« d'argent à deux haches d'armes de gueules adossées en pal ») n'est pas à proprement parler celui de Bourbriac. C'est celui des Le Voyer, famille issue des plus anciens Seigneurs de Mini-Briac.
Ces armes représentaient en 1885 le canton de Bourbriac dans la salle du conseil général[1]. |
Climat
Mois | Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sept. | Oct. | Nov. | Déc. | Année |
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Températures maximales moyennes (°C) | 7,9 | 8,5 | 13 | 14,8 | 16,5 | 22,4 | 22,5 | 24,8 | 21 | 21 | 21 | 21 | 17,9 |
Températures minimales moyennes (°C) | 2,6 | 2,6 | 5,3 | 5,9 | 8,3 | 12,5 | 13,6 | 15 | 11,1 | 7,5 | 7,2 | 4,2 | 8 |
Températures moyennes (°C) | 5,3 | 5,5 | 9,2 | 10,3 | 12,4 | 17,4 | 18,1 | 19,9 | 16 | 10,7 | 10 | 6,8 | 11,8 |
Ensoleillement (h) | 104 | 95 | 164 | 209 | 170 | 199 | 189 | 230 | 209 | 96 | 86 | 76 | 1827 |
Moyennes mensuelles de précipitations (mm) | 77,4 | 46,2 | 27,8 | 11,6 | 60,6 | 16 | 37 | 12,8 | 35,2 | 90,2 | 129 | 70,6 | 614,4 |
Source : Climatologie mensuelle à Saint-Brieuc[2]. |
Urbanisme
Typologie
Bourbriac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guingamp, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe quinze communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6],[7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,9 %), terres arables (33,2 %), forêts (18,8 %), prairies (2,7 %), zones urbanisées (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,4 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Toponymie
Le nom de la localité est attestée sous la forme Parrochia de Burgobriaci en 1371[10].
Bourbriac est issu du breton bourc'h « bourg », associé à l'anthroponyme Briac[11]. Il se réfère à saint Briac qui serait un moine venu d’Irlande (de la province d’Ultonie ou Ulster).
Histoire
Légende
Deroch, roi légendaire de Domnonée, aurait accordé à Briac le droit de construire un monastère près de son château (Coz-Castel). Briac quitte ensuite son monastère pour vivre dans un ermitage (Pénity-Briac). Parti à Rome, il revient mourir dans son monastère le . Ce récit rapporté par l'hagiographe Albert Le Grand en 1636, sur la base de manuscrits disparus, semble toutefois fictif. Le culte du saint n'apparaît qu'au XIe siècle[12].
Préhistoire
La présence humaine sur le territoire de la commune est attestée dès le Néolithique comme en témoignent la présence de plusieurs mégalithes signalés au XIXe siècle et désormais détruits (dolmens de Kervoaic et de Guerzanguérit) ou toujours visibles (dolmen de Kerivole, Menhir de Creac'h-an-Archant, Tumulus de Tanouédou)[13]. Par ailleurs un trésor datant de l'Âge du Bronze fut découvert en août 1932 par un cultivateur au village de Kerivoa. Le trésor était constitué de plusieurs objets en or : trois lunules, un collier à palettes brisé et des fragments d'un diadème. Il se trouve aujourd'hui en vitrine au musée d'Archéologie nationale.
Moyen-Âge
Bourbriac est une ancienne paroisse (zone forestière défrichée tardivement) qui est, semble-t-il, un démembrement de la paroisse de l'Armorique primitive de Plésidy, et englobait jadis, outre le territoire actuel de Bourbriac, ceux de Coadout, Saint-Adrien, Gurunhuel et Pont-Melvez.
Constitué en paroisse, ce minihy est, du milieu du XIIe siècle à la fin du XIIIe siècle, une possession de l’abbaye Saint-Melaine de Rennes. Le « voyer de Minibriac » (vicarius puis vigerius) est mentionné dès 1205 dans le Cartulaire de Quimperlé. La châtellenie, puis seigneurie de Minibriac apparaît dès 1284. Elle est jusqu’à la fin de l’Ancien Régime, une annexe de la châtellenie de Guingamp. Minihybriac (1158), puis Minibriac (1185) est le nom d’une église qui est qualifiée paroisse dès 1330. Bourbriac avait comme trèves : Saint-Adrien, Plésidy, Coadout et Magoar.
Par lettres du , le duc Jean V donne à Charles de Rohan, seigneur de Guéméné, la seigneurie de Minibriac, confisquée par la maison de Penthièvre. Le , Louis de Rohan, fils de Charles vend à Pierre de Bretagne, seigneur de Guingamp, les seigneuries de Minibriac et Plésidy (Mor., Pr. 11, 1041 et 1364).
Époque moderne
À l'époque de Louis XIV, cinq convenants (Le Coskaer, Penquellen, Kéranrué, Kauffrédou et Saint-Houarneau), d'une dizaine d'ha chacun, habités par plusieurs familles élargies formant de véritables clans, vivant à l'étroit sur quelques parcelles, sont redevables envers l'abbaye Sainte-Croix de Guingamp d'une rente de dix sols, payable tous les sept ans, d'une ou deux poules, de la dîme, du droit de guet et de quelques jours de corvée[14].
310 tombes étaient entassées dans l'église de Bourbriac en 1684, ce qui posait des problèmes sanitaires[15].
Révolution française
Début 1794, la rumeur annonce que Bourbriac sera détruit par le feu du ciel, à moins que des processions nocturnes n'obtiennent la grâce de Dieu ; organisées dans tous les environs, et jusqu'à Callac, elles réunissent parfois sept cents à huit cents personnes, nu-pieds ou même à genoux. Les autorités procèdent à de nombreuses arrestations, suivie de libérations[16].
Les Chouans font de nombreuses incursions et pillages au bourg de Bourbriac : le , le et le .
Le XIXe siècle
En avril 1851, un loup enragé blessa des vaches, des chevaux et 63 personnes entre Kerpert et Bourbriac, tuant deux enfants ; treize autres personnes moururent de la rage entre mai et juillet, contaminées par les morsures[17].
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Bourbriac porte les noms de 247 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale : seize d'entre eux au moins sont morts sur le front belge, six dans les Balkans (dont quatre (Joseph Budet, Yves Hamon, Yves Le Couster, Joseph Touboulic) en Serbie, Joseph Connan en Macédoine, Joseph Deschamps en Turquie lors de la bataille de Sedd-Ul-Bahr dans le cadre de l'expédition des Dardanelles ; un (François Le Bescond) est décédé en Lituanie et un à Vicence en Italie ; un marin (Jean Chermat) est disparu en mer ; trois (Julien Guillou, François Le Gall, René Le Moal) sont décédés alors qu'ils étaient prisonniers en Allemagne ; la plupart des autres sont morts sur le sol français : parmi eux Théophile Le Cozler, Jean Le Mogne et Arthur Rannou ont été décorés de la Croix de guerre avec étoile de bronze et Théophile Steunou de la Médaille militaire et de la Croix de guerre avec palme[18].
La Seconde Guerre mondiale
Briac Blanchard, cordonnier né le à Bourbriac, intégra en mai 1944 un groupe de résistants qui s'était formé dans la commune de Senven-Léhart et installé dans le château de Goas-Hamon[19] où ils furent attaqués par les Allemands le : sept résistants furent tués sur place, douze furent arrêtés dont Briac Blanchard ; ils furent condamnés à mort le par un tribunal militaire allemand et exécutés le même jour au camp d'aviation de Servel près de Lannion[20].
Le , trois cents soldats allemands investissent Bourbriac sous la direction de la Gestapo assistée des miliciens de la Selbstschutzpolizei (une police auxiliaire allemande composée de Français) et de miliciens membres du Bezen Perrot ; les personnes arrêtées lors de la rafle de Saint-Nicolas-du-Pélem, qui visait notamment les résistants du maquis Tito, regroupées dans un premier temps dans l'église du Sacré-Cœur à Saint-Nicolas-du-Pélem, sont réparties en deux convois, l'un formé de six résistants part en direction d'Uzel où ils furent torturés, puis tués, l'autre vers Bourbriac où une douzaine de résistants environ (leur nombre exact n'est pas connu avec certitude) sont torturés par les S.S. et les miliciens membres du Bezen Perrot, à moins qu'il ne s'agisse de soldats de la Selbstschutzpolizei (une police auxiliaire allemande composée de Français d'origine alsacienne, une controverse existe à ce sujet entre les historiens[21]) dans la cave de la maison du notaire, Sourimant, qui avait été réquisitionnée ; puis sept des prisonniers (Jean-Louis Corbel, vingt ans, dit « Coco », de Locarn ; François Louis Le Berre, vingt-cinq ans, de Plougrescant ; François Marie Le Berre, trente-trois ans, de Plouguernével ; Pierre Maillard, vingt-quatre ans, de Plounévez-Quintin ; Marcel Sanguy, trente-cinq ans, de Rostrenen ; Pierre Secardin, vingt-sept ans, de Callac ; Albert Torqueau, vingt-quatre ans, un instituteur de Rostrenen)[22], atrocement torturés, furent exécutés d'un coup de revolver dans la nuque à Garzonval en Plougonver le [23].
Le général Éon[24], son adjoint le colonel Passy et une trentaine d'officiers français, anglais et américains furent parachutés à Kerien (entre Bourbriac et Saint-Nicolas-du-Pélem) dans la nuit du 4 au dans le cadre de la « mission Aloès »[25] pour fédérer les actions des mouvements de résistance de Bretagne intérieure. Le lendemain soir, un combat très dur se déroula à Kérien entre les FTP chargés de la protection de la mission et une colonne de parachutistes allemands qui tente une ultime percée vers l’ouest[26].
L'après Seconde Guerre mondiale
Marcel Bonbony est mort pour la France le lors de la guerre d'Algérie[27].
Personnalités liées à la commune
- Joseph Laurent Hillion (1821-1891), député des Côtes-d'Armor et arrière-grand-père de l'écrivain Roger Nimier (1925-1962), y est né. Il en est le maire de 1852 à 1859.
- Yves Guillou (1880-1963), homme politique français, y est né. Il devient notamment maire de Caen le , dont il sera un des maîtres d'œuvre de la reconstruction.
- Michel Le Guern, éminent linguiste et philosophe français, y est né en 1937.
- Noël Le Graët, dirigeant sportif français, Président de la FFF depuis 2011, y est né.
- Claude Le Roy, dirigeant sportif français, ancien joueur de football et sélectionneur de plusieurs nations (il a remporté la CAN 88 avec le Cameroun), y a grandi.
Politique et administration
Démographie
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,9 % la même année, alors qu'il est de 32,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 052 hommes pour 1 144 femmes, soit un taux de 52,09 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,7 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Évolution Démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].
En 2019, la commune comptait 2 122 habitants[Note 3], en diminution de 9,28 % par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor : +0,59 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Langue bretonne
Création d'une filière bilingue à l'école Saint-Briac en 2005. Elle sera fermée en 2018.
Création d'une école Diwan en 2013. À la rentrée 2019, cinquante élèves y sont inscrits, soit 21,1 % des enfants scolarisés dans la commune[42].
En ce qui concerne la culture bretonne, il est à signaler qu'un bagad ainsi qu'un cercle celtique existent dans la commune.
Lieux et monuments
- L'église Saint-Briac, Classé MH (1907).
- La chapelle Notre-Dame de Darnouët (XIVe-XVIe siècle). L’arcade de la chapelle nord et le fenestrage du chevet datent du XIVe siècle. Le clocheton à trois chambres date des années 1920 Inscrit MH (1964).
- La chapelle de Saint-Houarneau ou Saint-Hervé (XVe-XVIe siècle). Elle semble datée de 1520. Elle est reconstruite en 1828. Le clocher mur a une chambre. Inscrit MH (1964).
- La chapelle de Pénity de Saint-Briac (XIVe-XVe siècle), restaurée en 1828. La fenêtre est et la porte ouest datent du XVe siècle. Le clocher mur a une chambre de cloche.
- La chapelle Notre-Dame de la Mercy de Penpinot (XVe-XVIIe siècle). Le clocher mur a une chambre de cloche.
- La chapelle Saint-Briac de Bodfo (1948), édifiée en souvenir de la fin de la Seconde Guerre mondiale.
- La Croix de calvaire de Saint-Houarneau Inscrit MH (1964)[43].
- La fontaine de Penpinot.
- La fontaine Saint-Briac (XVIIe-XVIIIe siècle).
- L’ancien presbytère (XVIIIe siècle).
- Le manoir du Lézard (XVIe-XVIIe siècle), propriété de la famille Bizien de Lézard dont une autre branche possédait le manoir du Helloc, aussi en Bourbriac. À noter que la chapelle privée du Lézard se trouve à Saint-Adrien (ancienne trève de Bourbriac) Inscrit MH (1926).
- Le Manoir et la chapelle du Helloch (XVIe-XVIIe siècle). La tour date du XVIe siècle et le logis central date de 1625.
- Les Manoirs du Disquay et de Kerias (XVIe-XVIIe siècle), de Langoat (XVIIe siècle), du Lojou (XVIIe-XVIIIe siècle).
- Patrimoine mégalithique :
- le Tumulus de Tanouédou Classé MH (1889) ;
- le dolmen de Kerivole Classé MH (1914) ;
- le menhir de Creac'h-an-Archant
- La Tour de Koat-Liou.
Équipements et services
Établissements scolaires
Bourbriac est située dans l'académie de Rennes. Elle dispose d'une école maternelle et d'une école élémentaire publique, d'un collège (collège Jules-Ferry) et d'une école Diwan Boulvriag.
Équipements sportifs
- Une salle omnisports.
- Une salle de tennis.
- Le plateau : piste cimentée avec au centre un terrain en ciment comprenant deux buts de handball et quatre paniers de basket-ball.
- Le stade Bernard-Le-Quellenec.
- Un boulodrome.
- Une salle de judo.
Les clubs
- Union sportive Briacine Football
- Union sportive Bourbriac Handball
- Union Bouliste Briacine
- Judo club briacin
- Tennis club briacin
- Gymnastique féminine briacine
Santé
On retrouve un certain nombre de spécialistes sur la commune ainsi qu'un médecin généraliste indépendant et un cabinet médical.
Photos
- Église Saint-Briac.
- Chapelle de Bodfo.
- Chapelle Saint-Hervé.
- Fontaine Saint-Briac.
- Menez Krec'h an Arc'hant.
- Chapelle Notre-Dame du Danouët.
- Chapelle de Pénity.
- Tour de Koat-Liou.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Revue de l'Association d'Histoire et d'Archéologie de la région de Bourbriac - n°1 (1er semestre 1984). Elles représentaient notamment la victoire de guerre face à l'ennemi communal Guingamp. On surnomme aussi ce blason comme le Californien indomptable.
- Données climatologiques de 2003 à Saint-Brieuc Consulté le 15 mai 2009.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Société d'émulation des Côtes-du-Nord, « -Mémoires - Volumes 109 à 112, page 22 » (consulté le ).
- « Bourbriac », Geobreizh (consulté le ).
- André-Yves Bourgès, « Les origines irlandaises de saint Briac honoré en Bretagne : Légende ou réalité », Studies in Irish Hagiography. Saints and Scholars, , p. 159-171
- Loïc Langouët, Les mégalithes de l'arrondissement de Guingamp, Institut Culturel de Bretagne, , 92 p. (ISBN 9782868221018), p. 15.
- Jean-Yves Barzic, L'Hermine et le Soleil. Les Bretons au temps de Louis XIV, Coop Breizh, Spézet, 1995, [ (ISBN 2-909924-44-0)].
- Jean Rohou, Fils de ploucs, tome 1, 2005, éditions Ouest-France, (ISBN 2-7373-3452-7).
- Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN 978-2-918135-37-1).
- François de Beaulieu, Quand on parle du loup en Bretagne, éditions Le Télégramme, 2004, (ISBN 2-84833-096-1).
- http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?insee=22013&dpt=22&idsource=25638&table=bp04
- http://cerp22.free.fr/Lieuxdememoire22/Bourbriac/Senven-Lehart%20Goas-Hamon/Senven-Lehart%20Goas-Hamon.htm
- « Blanchard Briac, Augustin, Marie », sur Mémoire et Espoirs de la Résistance (consulté le ).
- Françoise Morvan dans son livre Miliciens contre maquisards, éditions Ouest-France, 2010, [ (ISBN 978-2-7373-5063-4)] affirme qu'il s'agissait de miliciens du Bezen Perrot (voir aussi http://francoisemorvan.com/histoire/miliciens-contre-maquisards-ou-la-resistance-trahie/) , Kristian Hamon pense dans son livre "Agents du Reich en Bretagne" qu'il s'agissait de membres du Kommando de Landerneau, voir http://francoisemorvan.com/wp-content/uploads/2015/04/Hamon-Bourbriac.pdf
- Memorialgenweb.org - Plougonver : stèle commémorative de Garzonval et http://cerp22.free.fr/Lieuxdememoire22/Belle-Isle-en-Terre/Plougonver%20Garzonval/1.html
- « La stèle de Garzonval, Plougonver »
- http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=67421
- Yann Lagadec, « Actions spéciales et transmissions, les opérations de l’été 1944 en... », Revue historique des armées, Service historique de la Défense, no 251, , p. 112–135 (ISSN 0035-3299, lire en ligne, consulté le ).
- http://www.almrd22.fr/IMG/pdf/i20_Une_liberation_rapide_et_installation_des_nouvelles_autorites.pdf
- http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?insee=22013&dpt=22&idsource=77411&table=bp09
- Notice LE COUSTER Yves par Christian Bougeard, François Prigent, version mise en ligne le 13 novembre 2010, dernière modification le 16 juillet 2011
- « Nécrologie. Dr Jean-Michel Martin, maire honoraire », Le Télégramme, (lire en ligne).
- « Nécrologie. Louis Bourgès, ancien maire et conseiller général », Le Télégramme, (lire en ligne).
- « Roger Le Berre. L’ancien maire de Bourbriac est décédé », Le Télégramme, (lire en ligne).
- « Les maires élu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534, , p. 10-12 (ISSN 1285-7688).
- « Sans surprise, Guy Cadoret élu maire », Ouest-France, 1er avril 2014.
- « Municipales à Bourbriac. Claudine Guillou élue maire », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bourbriac (22013) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Côtes-d'Armor (22) », (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm
- Notice no PA00089031, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Voir aussi
Bibliographie
- Jacques Briard et Pierre-Roland Giot, Fouille d'un tumulus de l'âge du bronze à Saint-Jude en Bourbriac, in Annales de Bretagne, no 70, 1, 1963, p. 5-24
Liens connexes
Liens externes
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