Bréal-sous-Montfort

Bréal-sous-Montfort est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.

Bréal-sous-Montfort

Vue sur Bréal-sous-Montfort depuis la Menuhais vers Nord-Nord-Est

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Communauté de communes de Brocéliande
Maire
Mandat
Bernard Éthoré
2020-2026
Code postal 35310
Code commune 35037
Démographie
Gentilé Bréalais
Population
municipale
6 404 hab. (2019 en augmentation de 16,23 % par rapport à 2013)
Densité 189 hab./km2
Population
agglomération
15 104 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 02′ 55″ nord, 1° 51′ 55″ ouest
Altitude 50 m
Min. 19 m
Max. 82 m
Superficie 33,82 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bréal-sous-Montfort
(ville isolée)
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Rheu
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Bréal-sous-Montfort
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Bréal-sous-Montfort
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Bréal-sous-Montfort
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Bréal-sous-Montfort
Liens
Site web www.brealsousmontfort.fr

    Géographie

    Localisation

    Le centre-ville de la commune de Bréal-sous-Monfort est située à un peu plus de 20 km de celui de Rennes par la voie express RN 24 Rennes-Lorient. Elle est bordée au Nord et à l'Est par le Meu, affluant de la Vilaine. Les communes voisines sont : Saint-Thurial, Baulon, Goven, Le Verger, Talensac et Mordelles[Note 1].

    Communes limitrophes de Bréal-sous-Montfort
    Le Verger Talensac Mordelles
    Saint-Thurial
    Baulon Goven

    Bréal-sous-Monfort n’est limitrophe de Baulon que sur une cinquantaine de mètres. Par contre, la commune n’est pas limitrophe de Chavagne dont la frontière est distante de deux cents de mètres environ.

    Traditionnellement, la commune fait partie du Pays pourpre.

    Le contexte géologique de Bréal-sous-Montfort

    La commune de Bréal sous Montfort se situe géologiquement dans le domaine varisque de Bretagne centrale (centre Bretagne et Sud de Rennes). Celui-ci est limité vers le Nord et le Sud par les cisaillements nord-armoricain (CNA et sud-armoricain (CSA). Les domaines voisins sont au Nord le domaine cadomien normano-breton (Saint-Malo – Fougères), et au Sud le domaine varisque ligéro-sénan (Quimper-Angers)[1].

    Sur le plan paléogéographique, le massif armoricain qui s’est formé par des évènements successifs entre 700 à 600 millions d’années (Ma) à 350 Ma [Histoire] était plus ou moins associé à des paléocontinents (Rodinia, Gondwana...). Se situant près du pôle Sud au début, il est remonté depuis vers sa latitude actuelle[2],[3].

    Le domaine où se trouve Bréal est constitué d’un socle cadomien[2] au-dessus duquel s’est posé une couverture épaisse de roches sédimentaires briovérien à partir de 570 Ma, provenant pour l’essentiel de l’érosion de la chaîne cadomienne du nord-armoricain. Ses sédiments se présentent pour l’essentiel sous forme roches sédimentaires déformées en schistes[1]. Cette sédimentation se poursuit jusqu’au Dévonien il y a 395 Ma[4].

    Quatre grands domaines géologiques à Bréal

    En simplifiant la carte géologique[5],[6], on peut distinguer 4 grands domaines géologiques pour le territoire bréalais.

    Bassins des cours d'eau

    Sur les abords des rivières et ruisseaux (du Meu, de la Chaise/Chèze, de la Roche, de la Rousselais, de Rohuel), on observe principalement des dépôts fluviatiles (limons, alluvions et colluvions) de périodes plus récentes (Pléistocène, Holocène).

    Les parties Nord et Sud

    La partie Nord de la commune entre la Chèze/Chaise et le Meu en descendant au Sud jusqu’à une ligne reliant les lieux dits du Tansement à l’Ouest, le Fougeray, puis le Tertre à l’Est, la roche dominante est formée par des siltites de couleur gris-bleu, gris-vert, brune ou ocre, parfois des grès s’y intercalent. Ses dépôts datant du « Briovérien » forment des lamines (couches fines) ou des bancs (couches).

    Dans la partie au Sud de cette ligne on trouve notamment des siltites pourpres du Boël, déformées en schiste, une des trois faciès de la formation de Pont-Réan (Arénig, 470 Ma environ), les deux autres étant le grès de Courouët, souvent de couleur pourpre, et la Poudingue de Montfort.

    Une cuesta de Poudingues

    Entre ces deux parties Nord et Sud, une cuesta large de 200 à 250 m environ, s’étend d’Ouest en Est. Elle relie le lieu-dit de la Ménuhais au Tertre, et continue sur le territoire de Goven (Haut-Noyal), dominant la plaine au Nord à une altitude entre 80 et 70 m. Elle est constituée de Poudingues de Montfort, une autre faciès de la formation de Pont-Réan. A l’Ouest, entre les Perrières, et le Petit Tertre on observe un faciès à graviers de quartz blanc, anguleux, répartis dans une matrice ("ciment" natuel) gréseuse rouge sombre. A l’Est, entre la Haute Hautière et le Haut-Noyal (Goven), on observe un faciès à nombreux galets de grès gris à rouge dans une matrice gréseuse à graviers de quartz blanc.

    Sites

    Bréal présente quelques affleurements de roches remarquables : Voir dans la partie "Culture locale et patrimoine" - "Sites géologiques remarquables".

    Le relief et les paysages

    Selon l’Atlas des Paysages d’Ille-et-Vilaine, qui présente des unités de paysages[7], Bréal se situe dans l’extrémité sud-ouest des Plaines du Meu et de la Flume, avoisinées à l’Ouest vers Saint-Thurial par le massif Paimpont-Brocéliande, au Sud vers Goven par les collines de Guichen, à l’Est vers Chavagne par Rennes et ses environs[8].

    Le bourg de Bréal se place au milieu des vastes paysages agricoles de son territoire, à l’exception du secteur entre le bourg et la voie express, fortement urbanisé.

    Depuis les 25 m, voire 22 m d’altitude aux bords du Meu, le terrain culmine à 82 m (près de la Hyais) ou à 75 m au Sud (Les Perrières, Les Milles Fossés) et à l’Est (Le Tansement, La Vigne). L’altitude du bourg atteint 60 m à la place de la Madeleine. L’espace rural est vallonné avec des altitudes entre 30 et 60 m. Certaines hauteurs et collines (au Sud de Trébermel, à mi-chemin vers la RD62, sur la route au Nord de la Ténéhais, à la Vigne) offrent des vues lointaines, notamment en direction de Rennes, sur la plaine au Nord, ainsi que sur des vallons boisés de Bréal même[Note 2].

    Les bâtiments de ferme en terre, souvent des longères, parfois transformées en habitations sont encore très présentes sur le territoire bréalais. Au bâti ancien s’associent fréquemment des stabulations et hangars agricoles plus modernes.

    Malgré une typologie variée, Bréal-sous-Montfort partage une identité commune du centre avec des villes comme Montfort-sur-Meu ou Plélan-le-Grand. Des maisons de villes aux façades de schiste ou poudingue et de brique, alignées sur la rue principale. Ainsi Bréal fait partie du pays pourpre couvrant l’ancien arrondissement de Montfort. Selon les auteurs de l’Atlas, l’entrée du bourg est « illisible » en venant du Nord sur la RN62. Un premier lotissement récent se trouve même avant la quatre voies Rennes-Lorient et se trouve ainsi séparé du bourg. S’ensuivent des zones d’activités distendues et des habitations alignées sur 1,5 km le long la rue de Montfort[8].

    Hydrographie

    Le territoire de Bréal est en grande partie défini par des cours d'eau. À cause de la nature du relief du territoire bréalais, les ruisseaux qui le traversent ou délimitent coulent tous vers le Meu au Nord et constituent la partie sud-est de son bassin-versant[9].

    La limite communale occidentale, avec Saint-Thurial est marquée dans sa partie sud par le ruisseau de la Crublais puis par le ruisseau de la Chèze (« Chaise » sur les cartes IGN) qui le reçoit à l'ouest des Petites Barres. À partir de Launay-la-Porte, la Chèze traverse le territoire en direction nord-est.

    La limite nord de la commune est constituée d'ouest en est d'abord par le ruisseau de Rohuel du côté des communes du Verger et de Talensac. C'est un affluent de la Chèze, dont un bout du cours inférieur longe la limite communale jusqu'à sa confluence avec le Meu à l'intersection avec la limite communale de Mordelles. Le Meu forme ensuite la limite avec cette commune jusqu'au lieu-dit les Vaux du Meu, en changeant de direction vers le sud au niveau des étangs de Cramoux.

    Une partie de la limite sud est formée dans sa partie orientale par l'étang de la Roche, alimenté par le ruisseau de la Hairie, venant de l'ouest ainsi que du ruisseau de Grosmalon descendant du sud. Cet étang se déverse dans le ruisseau de la Roche qui traverse la partie est du territoire communal jusqu'à sa jonction avec le Meu près du château du Molant au nord-est. Ce ruisseau reçoit au niveau du Cayer le ruisseau de la Rousselais, éponyme du lieu-dit où se situe sa source et qui passe au sud du bourg, puis vers le nord-est jusqu'à sa bouche[10],[11].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 12,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 732 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[16] complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[18] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[19],[Note 6], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[20], à 12,1 °C pour 1981-2010[21], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Bréal-sous-Montfort est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[23],[24],[25]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bréal-sous-Montfort, une unité urbaine monocommunale[26] de 6 131 habitants en 2017, constituant une ville isolée[27],[28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[29],[30].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,7 %), terres arables (34,3 %), prairies (8 %), forêts (7,4 %), zones urbanisées (4,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6 %), eaux continentales[Note 9] (1,7 %)[31].

    Toponymie

    Sources du Moyen Âge

    Les premières occurrences de Bréal apparaissent dans des actes de la fin du XIIe et du début du XIIIe siècle. Elles sont présentées par l’abbé Guillotin de Corson[32] dans Le Pouillé historique de l’archevêché de Rennes. Ainsi, ecclesiam de Breal, apparaît dans une liste d’églises données par l’archevêque de Saint-Malo Jean de la Grille/de Châtillon dans une bulle du pape Eugène III de 1152[33] et dans la charte de fondation du chapitre[34]. En 1154, le pape Alexandre III confirme aux religieuses de Saint-Georges de Rennes un droit de dîmes decimam in parrochia de Breal[32]. En 1202, elle devaient cependant renoncer aux bénéfices in ecclesia Sancti Maclovii de Breial.[35] En 1319, il est encore question de l’ecclesiam de Breal[32].

    Le nom de Bréal paraît déjà stabilisé à cette époque des derniers siècles du Moyen Âge. Les noms de certaines paroisses voisines avaient à cette époque encore des formes fluctuantes et différentes du temps présent, selon l'index à la fin de l'ouvrage de Paul de La Bigne Villeneuve[Note 10], alors qu'il ne cite qu'une variante mineure pour Bréal (Breial, 1202). Quelques exemples : Gouen pour Goven ; Sancti Turiavi/Saint Turiaff pour Saint-Thurial ; Talencac pour Talensac ; Mauricella/Morzellae/Morzella pour Mordelles ; Cavana/Cavina/Chavaiges pour Chavagne ; Breuz/Breud/Brud pour Bruz ; etc.[35].

    Au XIXe siècle, Bréal devient Bréal-sous-Montfort

    Sans doute pour distinguer les deux communes au nom de Bréal dans le département, la détermination « sous-Montfort » a été ajouté à un moment après la création des communes en novembre 1789, dotée chacune d’une municipalité, remplaçant ainsi les paroisses de l’Ancien régime. Cependant, ce complément ne s’imposait dans les actes officiels que sous le Second Empire. On se contente encore longtemps de définir Bréal dans des actes officiels par son appartenance au canton de Plélan-le-Grand (crée en 1833, supprimé en 2014) et l’arrondissement de Montfort (crée en 1800, supprimé en 1926).

    Dans les registres des décès de la commune consultables aux Archives départementales, établis chaque fois en janvier pour l'année précédente, un sceau contenant le nom de Bréal-sous-Montfort est utilisé pour la première fois en 1856, à partir de 1861, le maire atteste ce registre dans sa fonction d'officier d'état-civil en tant que "maire de Bréal-sous-Montfort", mais c'est seulement en 1889, sous la IIIe République, que le nom complet devient usuel dans les actes de décès mêmes.[36]

    D'après un petit ouvrage de 1878 consacré à la géographie de ce département, le nom de la commune apparaît encore sans son déterminant complémentaire (même sur la carte), ou bien comme Bréal-sous-Mordelles (qui est le chef-lieu du canton éponyme appartenant à l'arrondissement de Rennes), alors que Bréal-sous-Vitré apparaît déjà avec son nom actuel.[37] Peut-être s'agit-il d'une confusion avec le fait que Bréal relevait du bureau postal de Mordelles.

    Étymologie

    D'après Albert Dauzat, et à sa suite Hervé Abalain, le toponyme Bréal représente la fixation d'un nom commun qui est une forme régionale équivalente au vieux français breuil, mot issu du gaulois brogilo (latinisé en brogilum) et qui signifie « petit bois entouré d'une haie ou d'un mur »[38],[39]. Le premier émet cependant des réserves par rapport à cette explication[38].

    Histoire

    Préhistoire

    Pour la période du néolithique, une concentration d'indices d'occupation a été constatée dans le secteur entre Campel et Maxent peut-être jusqu'à Bréal-sous-Montfort. C'est ce que semble être indiqué par une étude géologique citant un inventaire de découvertes anciennes. Cependant, les menhirs les plus proches de Bréal ont été trouvés à Campel et à Maxent[40], ou encore au confluent de la Seiche et de la Vilaine en Bruz, à Laillé, à Bourg-des-Comptes[41].

    Plusieurs dépôts de l’Age de Bronze ont été découverts dans la région dont un à Bréal-sous-Montfort[42].

    Antiquité gauloise et gallo-romaine

    La présence de vestiges gaulois dès les IIe et Ier siècles av. J.-C. , ainsi que gallo-romains du IIIe siècle sur le territoire de Bréal-sous-Montfort est connue depuis le milieu du XIXe siècle[43] et par des prospections au sol à partir des années 1970 à 1980. A cela s’ajoutent des prospections aériennes des années 1990 qui ont "révélé de nombreux enclos [des époques gauloise et gallo-romaine] à fossés comblés […]" dans le secteur de Bréal-sous-Montfort. "Ces fermes, à l’origine ceinturées par des réseaux de clôtures comprenant des fossés, des talus et des palissades, renfermaient des bâtiments de petites dimensions, construits avec des matériaux périssables (bois, pisé, torchis)."[44] Ce type d'habitat semble avoir été caractéristique pour l'ensemble de l'Armorique et même de la Gaule à la fin de l'âge du fer donc jusqu'à la conquête romaine[45].

    Sur le territoire de la commune, plusieurs sites gallo-romains ont été identifiés, dont le plus important est celui de la Bouëxière, où une importante villa ainsi qu’un sanctuaire ont été identifiés[44]. Ce site est classé Monument historique par le Ministère de la Culture[46]. De nombreux vestiges témoignant de cette présence ont été trouvés sur les différents sites : tegulae, briques, enduits peints, céramiques, blocs de mortier de chaux mêlés à des coquilles d’huîtres, un four de tuilier[47], du raté de cuisson ainsi qu’une monnaie à l’effigie de l’empereur romain Probus (232-282).

    Une nouvelle prospection inventaire a été réalisée en 1998 dans le bassin de Rennes. La découverte la plus importante en était le site des Janiaux, car il s'agit d'un "site gallo-romain très étendu. La présence de nombreux fragments de tubuli et de moellons laissent soupçonner la présence d’une villa"[48].

    Finalement, l’un des deux tracés possibles de la voie romaine reliant Condate Riedonum (Rennes) à Darioritum (Vannes) est passé à proximité du site de la Bouëxière sous le nom de Chemin ferré.[49],[50],[51].Quelques tronçons de cette voie sont reconnus cependant seulement sur les communes de Goven et de Bovel[52].

    Après la victoire romaine suite à la bataille du Morbihan en 56 av. J.-C., suivi de la victoire lors du siège d'Alésia en 52 av. J.-C., l'empereur Auguste entreprenait la réorganisation administrative du territoire de la Gaule chevelue lors du conventus de Narbonne en 27 av. J.-C[45], où elle est divisée en trois provinces, dont la Gaule lyonnaise comprenant l'Ouest armoricain, en gros l'actuelle Bretagne. Cinq cités (civitas) administratives y ont été établies en respectant à peu près les anciens territoires des différents peuples gaulois, dont la cité des Coriosolites. La frontière orientale de cette cité, juxtant la cité des Riedones à l’Ouest, s’établissait probablement en partant du Nord de la baie du Mont-saint-Michel (Saint-Benoît-des-Ondes) au Sud jusqu’à Redon en suivant les cours d’eau du Biez-Jean, du Linon, de la Rance, du Garun, du Meu puis de la Vilaine. Le territoire de Bréal-sous-Montfort se trouvant au sud-ouest du Meu faisait probablement partie de de cette cité des Coriosolites[53].

    Moyen Âge

    L’apparition de Bréal dans les documents historiques est liée à l’histoire religieuse et féodale de la Bretagne. Le christianisme se diffusa à partir du IIIe siècle dans la péninsule armoricaine et les structures ecclésiastiques s’y affirmaient au cours du Haut Moyen Âge avec l’apparition progressive des diocèses, dont celui d’Alet/Saint-Malo.[54] L’organisation féodale s’est mise en place progressivement lors de la dislocation de l’empire franc et de l’affaiblissement de la royauté en Francie occidentale[55].

    La paroisse et l’église

    D’après l’historien du XIXe siècle, Arthur Le Moyne de La Borderie, une église placée sous le patronage de saint Martin a existé à Bréal avant le XIIe siècle. L’église est placée « sous l’invocation de saint Martin ».[56] Cependant, d’après une carte plus récente, représentant « Les églises paroissiales » des diocèses de Saint-Malo, de Rennes et de Dol autour vers le IXe siècle, celle de Bréal apparait sous le vocable d’un saint celtique, dont le nom n’est pas précisé, alors que les églises de Goven, Lassy et Guichen, également citées par La Borderie, étaient dédiées à Saint Martin[57],[58],[59],[60].

    L’église de Bréal est pour la première fois mentionnée dans des document au XIIe siècle.[32] En 1152, elle a fait objet d’une donation au nouveau chapitre de la cathédrale de Saint-Malo par l’évêque Jean de la Grille/de Châtillon. Ce don de la ecclesiam de Breal[61] a été confirmé par le pape Adrien IV en 1157. En 1202, les religieuses de l’abbaye Saint-Georges de Rennes renonçaient à leurs prétendus droits sur l’ecclesia sancti Maclovi de Breial. qui leur avaient été confirmés dans un premier temps en 1154 pour la parrochia de breal.[32]La paroisse et l'église de Bréal faisaient éventuellement partie des biens que cet évêque avait confisquées auparavant à l’abbaye de Marmoutier fondée par saint Martin et qui avait un nombre significatif de possessions dans le diocèse d’Alet. Lors du transfert du siège de l’évêché à Saint-Malo, Jean de la Grille a préféré de poster des chanoines à la place des moines de Marmoutier suite à une demande du pape Eugène III.[62],[63]

    Peut-être est-ce à ce moment-là, que la titulature de la paroisse de Bréal a changé. Il est possible que la (nouvelle] dédicace de l'église de Bréal au saint Malo (Maclou) - premier évêque d'Alet légendaire - est liée à une possible entreprise de "borner" le territoire de l'évêché, qui se voit en concurrence avec les évêchés voisins. Un certain nombre d'églises, souvent aux confins du diocèse, furent ainsi dédiées au saint évêque légendaire.[Note 11] En effet, Jean de la Grille/de Châtillon, qui organisait au XIIe siècle le transfert du siège épiscopal d'Alet vers l'île de Saint-Malo, après en avoir chassé les moines de Marmoutier en 1146, est également le rédacteur probable d'une hagiographie du saint Malo.

    En 1319, au moment de la sécularisation du chapitre de Saint-Malo et l'installation de vicariats perpétuels, quand il s’agissait d’évaluer des revenus provenant de Bréal, la paroisse se révélait plutôt pauvre, car sa cure ne rapportait que 66 livres tournois, alors que la moyenne dans le diocèse était 100 livres, et les plus riches généraient 200 livres tournois. Au cours du XVIe siècle, les chanoines de Saint-Malo perdirent leurs derniers droits à Bréal, car l’évêque y nommait un recteur avec qui il partageait les dîmes (2/3 pour l’évêque). En 1330, l'évêché de Saint-Malo fut divisé en huit doyennés, dont celui de Lohéac. Il paraît que le siège de la châtellenie de la seigneurie de Lohéac s'est imposée comme chef-lieu du nouveau doyenné, comme c'était le cas pour les 7 autres, elle est délimitée au sud par le ruisseau du Combs, au Nord par celui de la Chèze[64].

    Bréal dans la seigneurie de Lohéac

    Avant Xe siècle le territoire du futur Bréal faisait partie d'un vaste pagus trans silvam (pays au-delà de la forêt) le Poutrocoët (Poutrécoët) qui s'étendait entre Montfort-sur-Meu, Guichen et Rostrenen. Dans l'ensemble relativement "désert", la partie orientale de ce pays était encore peu peuplée. On y signale pour le VIe siècle la présence de monastères à Saint-Méen et à Penpont (Paimpont), pour le IXe siècle l'existence de résidences des rois Erispoë et Salomon à Talensac, Plélan etc. Au Xe siècle, avec la montée en puissance des ducs de Rennes[65], le Poutrocoët entre dans la dépendance du duc, trois grandes seigneuries sont alors crées dans la partie orientale, dont celle de Lohéac.[66] Une seigneurie de Lohéac a peut-être existé depuis au moins 1008, comprenant « dans l’origine » outre celle de Lohéac, les futures seigneuries de Maure et de Bréal. La seigneurie primitive, qui avait le statut d’une châtellenie, se situait entre les possessions directes du duc de Bretagne dans le comté de Rennes[67] et à Ploërmel. Le seigneur de Lohéac, Judicaël, la divisa vers 1121, en en séparant la partie méridionale comprenant Redon, qui devenait la seigneurie de Guéguen.[68],[69] En 1230, le seigneur de Lohéac établit une chapelle à Trécouët en Plélan-le-Grand, auprès de sa résidence[70].

    Une seigneurie bréalaise
    Cette carte a été établie d'après Arthur Le Moyne de la Borderie, Essai sur la géographie féodale de la Bretagne, avec la carte des fiefs et seigneuries de cette province. A. de la Borderie s’appuie sur le Livre des Ostz (1294)

    Au lieu-dit d’Etignac, une motte castrale a été identifiée.[71] Elle se situe à un endroit élevé à environ 1 km au sud du Meu. De manière générale, ces mottes, artificielles ou naturelles, ont été employées depuis la fin du Xe siècle en Bretagne, jusqu’au début du XIIIe siècle ; au cours du XIIe siècle elles ont été remplacées dans certains cas par un château en pierre. En Bretagne, on en connaît pour cette époque ceux de Châteauneuf-d’Ille-et-Vilaine et de Vitré.[72] Dans le Nord-Ouest de la France, dont la Bretagne, les manoirs à mottes constituaient généralement l’habitat d’un chevalier.[67] Selon la "tradition", il y avait un château à Bréal où logea le duc Jean III en 1315. Cependant il n'en existe aucune trace écrite désignant son éventuel emplacement, ni aucun vestige.[73]

    Sur une carte figurant dans le 2e volume de l’« Histoire de Bretagne » de la Borderie, censée représenter la situation dans le Poutrocoët aux IXe siècle et Xe siècle, Bréal n’apparaît pas.[74]

    Un château et une seigneurie assez importants pour porter le titre d’une châtellenie[Note 12] ont peut-être existé à Bréal au Moyen Âge. On ignore cependant qui en était le seigneur. Cette seigneurie était peut-être le résultat d’un démembrement de celle de Lohéac, dont on ne connaît cependant pas les circonstances ni la date[73].

    Le « Livre des Ostz » (Voir : Ost ), mentionne une seigneurie de Bréal au XIIIe siècle.[75] En effet, à ce moment-là, dans les prémices de la guerre de Cent ans, le duc Jean de Bretagne, alors allié du roi d’Angleterre, avant qu’il ne change de parti trois ans plus tard, doit compter ses troupes lors d'une "montre" qui avait lieu à Ploërmel au mois d'août 1294[66]. Le seigneur de Lohéac doit fournir 3 chevaliers, dont le seigneur de Bréal. Bréal est alors doté d’un château et possède cinq[66] ou six paroisses (avec le château de Bréal).[76] Selon la « Carte féodale de la Province de Bretagne » du 3e volume de l’« Histoire » de La Borderie, la seigneurie de Bréal englobe aux XIIIe et XIVe siècles, les villages de Treffendel, Monterfil, Goven, Guichen et Saint-Thurial.[77] La seigneurie de Bréal n'appartenait pas au domaine ducal, n'était donc pas une possession du duc, mais elle dépendait du duc par des liens de vassalité[66].

    La famille de Lohéac se fond à un moment donné en celle de Montfort, devenue celle de Laval en 1406. Les premiers seigneurs de Bréal connus des sources, apparaissent à la fin du Moyen Âge, avec Guy III de Laval qui donna la seigneurie à son fils André, maréchal de Lohéac. André qui bénéficiait de la jouissance des terres de Bréal jusqu’à sa mort en 1486 épousa Marie de Laval, dame de Retz. La lignée des Laval se poursuivait ensuite jusqu’à la vente de la seigneurie en 1627[73],[Note 13].

    La justice au Bas Moyen-Age à Bréal

    Après son retour de son exile anglais vers la fin de la Guerre de Succession, puis la signature du Second Traité de Guérande en 1381, Jean IV revendiquait un duché de Bretagne indépendant du royaume de France, ce qui entrainait la centralisation politique incluant le renforcement des institutions de l’État, notamment du conseil ducal.[65] Dans ce contexte, le seigneur bréalais Guillaume Lévesque (selon les sources : Lévêque, L’Evêque, L'Evesque), fut nommé juge universel de Bretagne[78]. A ce titre, il était un des grands officiers du conseil, aux côtés du président des comptes, du chancelier, des sénéchaux, etc., qui était l'organe supérieur de gouvernement, à l'instar du conseil du roi de France.[55] Sa femme était Jeanne de Montfort-la-Canne (actuellement Montfort-sur-Meu), leur fils, nommé Mahé l’Evêque, fut chambellan du duc Jean V, en 1429.[79],[80] La puissance de cette famille se manifeste à l'église paroissiale de Bréal, où leurs armes en alliance sont visibles à l’entrée de la chapelle seigneuriale. Doté d'une richesse assez importante, ils avaient fait des dons réguliers pour la restauration du prieuré (voir infra).

    La famille occupait de 1380 à 1427, le manoir Ossac (ou Hossac), et de 1388 à 1427 cette famille était également propriétaire du manoir du Molant[79]. D'après Jean Ogée[56], repris par Paul Banéat, ces deux terres de la famille Levesque étaient dotées de la haute justice aux XIVe et XVe siècles[79]. Celle -ci était compétente pour les cas les plus importants (crimes, justice des vassaux…) et pouvait prononcer la peine de mort. En effet, une justice dépendant de la couronne ducale a été mise en place depuis le XIIe siècle. La seigneurie Bréal était située dans la baillie de Rennes[Note 14], mais ses terres n'appartenaient pas au domaine ducal. Ses juridictions de base étaient donc constituées par des barres[Note 15] seigneuriales, laïques et non ecclésiastiques dans le cas de Bréal, dont les titulaires étaient les seigneuries banales, compétentes, selon le cas de la haute, moyenne ou basse justice. Il paraît qu'il en comptaient plusieurs milliers en Bretagne.[65]

    L'exercice de la basse justice est attestée pour le Val en 1380 Val par le seigneur du même nom, époux de Catherine de Dinan. Cette famille possédait également le manoir des Hautes-Barres, près de l’actuelle route de Saint-Thurial, où ils percevaient les droits seigneuriaux d’entrée au village. Les terres de la Folie, appartenant à la famille de Cancouët en 1427 et suite à un mariage aux de Saint-Brieuc, la possédaient également. Il est possible, malgré l'absence d'une attestation dans les sources, que les petites terres nobles dans leur ensemble fussent des juridictions de la basse justice, car les audiences se tenaient en plain air, sous un chêne ou un orme, et elle n'était donc pas très onéreuse. Ces petites terres étant souvent issues de partages successives ont gardé avec leur pouvoir banal le droit de justice.[81] Une "moyenne" justice n'est pas encore connue de la "Très ancienne Coutume" appliquée avant le XVIe siècle.[82]

    Une trentaine de manoirs nobles

    La famille Lévesque, était propriétaire de plusieurs manoirs. Ceux d'Ossac, puis du Molant, mais également du manoir du Pont (des Auniers, aujourd’hui Pont-Breton) et celui de Treffieuc (aujourd’hui Treffieux). "Molant" signifiait « terre humide » selon Paul Banéat. Le manoir avait été construit sur un point relativement élevé, entouré des terres basses des rives du Meu et de son affluent le ruisseau de la Roche. L’emplacement de ce manoir avait peut-être un intérêt stratégique, se trouvant près d’une voie de transport fluvial, le Meu, qui fournissait aussi de l’eau (avec son affluent Ruisseau de la Roche), de la nourriture ou encore de l’énergie pour un moulin. Un vivier y avait été creusé au XIVe siècle à une vingtaine de mètres du manoir.[83] A deux ou trois km de ce lieu, une route royale passait au moins au milieu du XVIIe siècle[84],[Note 16], ces routes retraçant souvent les voies antiques, il est possible qu’une route importante y existait déjà à cet endroit à ce moment-là. A une centaine de mètres du manoir de Guillaume Levesque, un nouveau logis d'une cinquante mètres de long a été édifié au XVe ou XVIe siècle. Il a disparu à l'occasion de la construction du château du XVIIIe siècle de la famille de Boberil.[83] D'après Potier de Courcy[78], Guillaume Lévesque était également seigneur de la Silandais (Sellaudais) en Chavagne (Chavaigne). Cette terre est occupée à la fin du XVe siècle par un Vincent l'Evêque, prêtre, et recteur du Sel.[56]

    Pour le XVe siècle et le début du XVIe siècle, 28 manoirs et un hôtel ont été identifiés en 1927 par Paul Banéat (la plupart étaient déjà tombées en ruines au troisième quart du XVIIIe siècle selon le dictionnaire de Jean Ogée[56], il en reste 13 environ actuellement[85]). Cela montre un fort encadrement de la campagne bréalaise par des familles nobles mais est aussi un indice d’une richesse relative au XVe siècle. A la même époque, la densité de population était de 6 à 8 chefs de famille/km². Pour ces deux indications, Bréal participe à la dynamique exercée par Rennes où se concentrent la population et les familles nobles.[86]

    Le prieuré de la Sainte-Magdelaine

    Sur la place de la Madeleine, signalée par le calvaire érigé en 1859[87], aujourd’hui un parking entouré d’immeubles et de maisons abritant habitations et commerces, se dressait jusqu’à la fin du XIXe siècle le bâtiment du prieuré de Saint-Madeleine. Probablement il s’agissait une ancienne caquinerie[88] ou léproserie[89], ce qui pouvait représenter au XIIe siècle un petit hameau doté d’un puits, d’une chapelle et d’un cimetière ou les habitants malades vivaient séparés du reste de la population. En tant que « pauvres du Christ » à l’image de Lazare (d’où ladrerie, maladrerie), ils étaient assimilés à des religieux et regroupés à partir du XIe siècle dans des communautés doublement mixtes hommes/femmes, malades/valides. Avec la réapparition de la peste et de la guerre aux XIVe et XVe siècles, ils furent cependant mis à l’écart, ce qui semble avoir été le cas à Bréal[90].

    Ces hameaux des lépreux étaient souvent placés sous le patronage de la sainte Marie-Madeleine, une des disciples de Jésus selon le Nouveau Testament. A partir du Xe ou XIe siècle, les fidèles étaient inhumés près de l’église, ce qui était le cas à Bréal dont le cimetiaire se situait au sud de l'église, mais on en excluait les lépreux.

    Selon une affirmation non-attestée, le prieuré de Sainte-Madeleine pourrait avoir été fondé en 1238, mais c’est seulement en 1382 qu’une charte de Jocelin, évêque de Saint-Malo, prouve son existence. Le prieuré ayant été détruit lors de la guerre de Succession, dépendait alors de l’abbaye de Paimpont qui n’avait pas les moyens pour la reconstruire. Cette charge fut acceptée par le seigneur Guillaume Levesque de Molant et son épouse Jeanne de Montfort, qui donnèrent 20 sous par an. A cette époque il ne s’agissait peut-être plus d’une léproserie, car au prieuré disposant alors d’une chapelle, le cimetière fut transformé en jardin. La léproserie, si elle existait encore, a peut-être été déplacée hors du bourg vers l’actuelle rue de la Maladrie (au Nord de l’école publique), autre terme désignant une léproserie[Note 17]

    Après avoir changé plusieurs fois de propriétaire religieux, l’état de la chapelle s’est manifestement dégradé, car en 1766, l’évêque de Saint-Malo en ordonna la restauration. Suite à la Révolution française, le prieuré, comme les autres biens de l’Église, devint un bien national. Sécularisé, le bâtiment sert à la fin du XIXe siècle de lieu de décharge. En 1891, on peut encore voir un bâtiment dégradé dont le mur septentrional est ajouré de meurtrières romanes. Le chevet droit, avec sa fenêtre à meneaux trilobés date peut-être de la fin du XIVe siècle. Le prieuré était encore visible au début du XXe siècle avant sa destruction.

    Époque moderne

    Le 13 août 1532, François dauphin de France, fils de Claude de France et François Ier passèrent la nuit à Bréal. Le lendemain, il fut couronné duc de Bretagne à Rennes. Les armes de la commune de Bréal reprennent celles de François.

    Probablement après l'union de la Bretagne au royaume de France en 1532 sous François Ier, la seigneurie de Bréal était qualifiée de "châtellenie d'ancienneté". Le roi de France reconnaissait en fait aux Bretons de préserver leur justice et leurs juridictions et le droit de n'être justiciables que des tribunaux bretons et selon la "coutume de Bretagne", en fait l'Ancienne Coutume de Bretagne de 1539.[91],[65]

    Bréal avait la haute justice qui s'étendait sur six paroisses, Bréal, Baulon, Goven, Guichen, Saint-Thurial et Treffendel. Des maisons pour l'auditoire (tribunal) et la prison existaient donc dans le bourg même, ainsi qu'un gibet construit "à quatre piliers", donc des fourches patibulaires. On pouvait condamner à Bréal au "cep (ou sep) et collier".[73] Ces éléments, en particulier les "cep (sep) et collier" sont attestés dans de nombreux endroits en Bretagne pour les XVIe au XVIIIe siècles.[Note 18],[Note 19] L'expression "cep et collier" utilisée en Bretagne semble désigner la condamnation au "carcan" (collier de fer par lequel on attachait un condamné au poteau d'exposition), dans le reste de la France.[Note 20] Ce poteau se dressait souvent à proximité de l'église ou du cimetière avec un autre pilier armorié aux armes de la juridiction.

    Les affaires de la moyenne justice étaient traitées à la Humière-Chambellé appartenant à un M. de la Ville-Gontier, la source ne précise cependant pas la période.[56] Ce justier pouvait, par exemple, condamner à la punition du "sep [cep] et collier" en vertu de sa compétence au criminel et d'une juridiction de police.[82]

    En 1724, la châtellenie de Bréal passe à la famille de la Bourdonnaye, seigneurs de Blossac.[73] Le comte de Blossac exercerait la haute justice à Bréal, où il possédait à la fin du XVIIIe siècle le manoir de la Haye de Bréal[50] pour la paroisse de Lassy.[56]

    Héraldique

    Blasonnement :
    Écartelé, au premier et au quatrième d’or à un dauphin d’azur, allumé et oreillé d’argent, au deuxième et au troisième d’hermine plain.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1848 1850 Théodore du Boberil    
    1850 1852 Hippolyte de Farcy de la Ville du Bois    
    1852 1855 Hippolyte Alliou    
    1855 1863 Jérôme Mallet    
    1863 1871 Joseph Perret    
    1871 1888 Olivier du Boberil    
    1888 1902 Roger du Boberil    
    avant 1913   M. du Boberil    
    Les données manquantes sont à compléter.
     ? 1964
    (décès)
    Olivier du Boberil    
    1964 [92],[93]
    (décès)
    Félix Berthelot   Ancien maréchal-ferrant
    [94] [95]
    (démission)
    Jean Bossard CNIP Réélu en 1977
    [96]
    (décès)
    François du Boberil DVD Réélu en 1983
    [97] Joseph Durand DVD Agriculteur retraité
    Président de la CC de Brocéliande (2001 → 2008)
    En cours Bernard Ethoré DVD puis LR Réélu en 2020
    Cadre retraité de l'industrie automobile
    Président de la CC de Brocéliande (2016 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Équipements et services publics

    Transports

    Infrastructures et activités

    • Deux salles de sport
    • Courts de tennis couverts
    • Deux terrains de football Herbe et synthétique
    • Soccer extérieur (football, basket)
    • Terrain de Baseball
    • System Jeunes
    • McDonald's
    • Créperie L'Atelier (Crêpes réalisées avec des produits locaux)
    • Carrefour Market
    • Cinéma La Bobine, cinéma associatif, équipé de deux salles 3D
    • Le jardin de Brocéliande est un parc floral avec jeux et activités.

    Publics

    • École maternelle Pierre Leroux[98]
    • École élémentaire Pierre Leroux[99]
    • Collège Françoise Élie[100]

    Privé sous contrat

    • École Sainte-Jeanne d'Arc (maternelle et élémentaire)[101]

    Privé hors contrat

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[103]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[104].

    En 2019, la commune comptait 6 404 habitants[Note 21], en augmentation de 16,23 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +5,84 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 1352 1172 1522 2562 1962 1982 1332 1582 271
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2392 2582 1862 1702 1852 2522 2282 2722 186
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1282 1262 1171 7571 8211 8121 7931 7441 731
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 6161 7712 5183 1173 3993 8254 4844 5775 216
    2017 2019 - - - - - - -
    6 1316 404-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[105] puis Insee à partir de 2006[106].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Logements

    Selon l'INSEE[107], l'évolution démographique va de pair avec l'augmentation du nombre de logements. Il est passé de 619 logements en 1968 à 1460 en 1999, à 2740 en 2019. En cette année, le type de logement dominant sont des maisons pour 79,2%, seulement 20,% environ sont des appartements. L'extrême majorité sont des résidences principales avec presque 93%. Il s'agit majoritairement de logements spacieux dans la mesure où 74,2% des logements comptent 4, 5 ou plus de pièces, alors qu'à peine 11% n'ont qu'un ou 2 pièces. Ce sont aussi les ménages occupant les maisons les plus spacieux, dont l'ancienneté de l’emménagement est la plus ancienne (5 à 9 ans ou 10 ans et plus). Presque 80% des résidences principales existantes en 2016 ont été construites à partir de 1971, au moment du décollage de l'évolution démographique (voir ci-dessus).

    En 2019, plus de 80% des actifs se rendent au travail en voiture, entre 2008 et 2019 en moyenne 54% des ménages possèdent donc deux voitures ou plus (à Rennes 16,3% en 2019)[108].

    Emploi

    Parmi les Bréalais de 15 à 64 ans, 82% (4090 personnes) sont dans la catégorie des actifs, dont 5% sont au chômage en 2019[107]. Le chômage frappe principalement les jeunes entre 15 et 24 ans avec plus de 15%, surtout les non-diplômés. Les inactifs sont principalement des élèves et étudiants ainsi que des retraités. Le nombre d'agriculteurs, fort minoritaires parmi les 3196 actifs ayant un emploi, a sensiblement décru depuis 2013, pour passer de 72 à 47 en 2019 dans la commune. Le nombre des employés, des professions intermédiaires et des cadres et professions intellectuelles supérieures est en augmentation constante depuis 2008 et atteint 2277 actifs en 2019. Le nombre d'ouvriers, 730 en moyenne, est resté relativement constant pour cette période.

    Il existe presque 1800 emplois sur le territoire de Bréal, ce qui représente un indicateur (ou indice) de concentration d'emploi de presque 59 (= 59 emplois pour 100 actifs). A Rennes, ayant une attractivité en tant que pôle d'emploi[109], cet indicateur s'élève à 164. Cela peut expliquer en partie que 4 actifs sur 5 exercent leur emploi dans une autre commune que Bréal, alors que le nombre de créations d'entreprise et d'établissement est en augmentation constante depuis 2012.

    Le taux de pauvreté est de 6% à Bréal, pour comparaison, il s'élève à 19% à Rennes[108].

    Sports

    • En baseball, l'équipe des Black Panthers joue à un bon niveau avec plusieurs joueurs jouant en équipe de Bretagne ou bien sélectionnés en équipe de France
    • En football, le GJ (Groupement Jeunes) entre Bréal-sous-Montfort, Chavagne, Saint-Thurial permet de faire jouer plusieurs équipes dans chaque catégories.
    • Un championnat du Monde de moto trial a lieu au terrain bréalais de Cossinade tous les cinq ans (normalement) mais aussi des championnat de France et de Bretagne. Toutes ces épreuves sont dirigées par l'association loi 1901 de l'ACL de Bréal.

    Culture locale et patrimoine

    Développement urbain

    Bréal-sous-Montfort s'est développé à partir du xiie siècle autour de l'actuelle rue du Calvaire reliant l'église paroissiale Saint-Malo et la chapelle priorale (chapelle d'un prieuré) Sainte-Madeleine d'origine romane, disparue aujourd'hui ; un calvaire a été érigé en 1859 a cet endroit, sur la place de la Madeleine. Le réseau rayonnant de rues et les ruelles étroites autour de l'église ainsi que quelques maison en pan de bois témoignent de la période médiévale quand Bréal a obtenu le statut d'une ville et possédait un droit de haute justice.

    Une meilleure situation économique, permet à la ville de construire en 1859 sur la place Saint-Malo des halles, aujourd'hui détruites, une mairie-école (école de garçons) à l'emplacement de l'actuel hôtel de ville. En 1864, le cimetière est déplacé de la place Saint-Malo à l'endroit actuel. En 1898, une gare ferroviaire est construite au nord de la ville (actuelle rue de la Gare), reliant Bréal-sous-Montfort a Rennes, Guer et Redon, mais fermée un demi-siècle plus tard.

    Le dynamisme commercial du début du XXe se traduit par l'existence de "22 cafés, 10 épiceries, 4 boucheries, 5 cordonniers, 1 sabotier, 3 tailleurs, 4 forgerons, 1 cordier, 1 tisserand et bien d´autres métiers disparus."[110].

    Lieux et monuments

    Monuments historiques

    Bréal-sous-Montfort compte quatre monuments historiques :

    Bâtiments inventoriés

    La plateforme ouverte du Patrimoine (POP) du ministère de la culture inventorie 670 bâtiments[119] dans la commune. Sur le site de la région de Bretagne, on peut consulter "L'inventaire du patrimoine culturel en Bretagne", qui a recensé 87 œuvres[110] dans la commune. Parmi ces éléments du patrimoine, on peut signaler :

    • le moulin de la Roche, XIXe siècle, sur la route de Goven près de l'étang de la Roche entre les lieux-dits de Lohon et de la Roche[120] ;
    • une vingtaine de manoirs et châteaux subsistent aujourd'hui sur le territoire de la commune, une dizaine de ces édifices ont été détruits depuis le relevé fait par Paul Banéat à la fin des années 1920[121],[122],[123] ;
      • le manoir de Molant : Siège de haute justice seigneuriale, le manoir est construit à la fin du XIVe siècle pour la famille Levêque, seigneurs de Molant. La charpente a été datée par dendrochronologie des années 1380-1390[124],[125]. Des charpentes de la fin du XIVe siècle ne subsistent que celles de la salle. Celle au-dessus du cellier est datée par dendrochronologie de 1771 ce qui correspond à l’agrandissement du manoir vers l’ouest. La charpente au-dessus de la chambre seigneuriale est encore plus récente : les traces d’outils, les bois utilisés et la technique constructive s’apparentent à n’en pas douter à une réalisation du XIXe siècle[126],
      • le logis-porte du manoir de Bernial : première moitié du XVe siècle dont seule est conservée la façade nord, côté cour. Il a été remanié au XVIe siècle (ouvertures hautes),
      • le manoir de la Haye Fossard (XVe siècle),
      • le manoir de la Provostais (XVe siècle),
      • le manoir de Cayer, construit au XVe siècle, manoir mentionné aux Laroche en 1427 puis aux de la Tournerais en 1513,
      • le manoir à l'entrée du bourg, route de Saint-Thurial (XVe siècle),
      • le manoir, 4 rue de Goven. Logis en majeure partie du XVIe siècle ; il possédait une tour arrière qui a été greffée à l'aile en retour d'équerre datable d'une deuxième campagne de construction de la fin du XVIIe siècle,
      • la chapelle du manoir d'Ossac (1540),
      • le logis du manoir des Nouettes. Il est bâti en poudingue de Montfort, de teinte mauve, et en calcaire blond pour l'encadrement de la porte. Au centre du fronton est gravée la date de 1576. Il est mentionné en 1427,
      • l'entrée et le logis du manoir de la Blanchardais. Le bâtiment existait déjà en 1513, mais les bâtiments subsistants ont été réalisés principalement du XVIIe siècle au XIXe siècle,
      • le logis du manoir de la Folie. Un ancien manoir existait au XVe siècle. Le logis actuel date du XVIIIe siècle ou du XIXe siècle,
      • le château de la Haute Forêt (1857),
      • Resoul, vestiges d'un manoir ;
    • l’église Saint-Malo. Une première église est mentionnée en 1152[127]. L'édifice actuel remonte pour sa partie la plus ancienne au XIVe siècle , mais a connu plusieurs campagnes de construction au XVIIe siècle et au XIXe siècle, ce qui explique son style hétéroclite, ce qui est vrai également pour son mobilier. Les baies de la façade ouest et celle du transept nord ont été réalisées en 1936.Les éléments les plus anciens sont conservés dans la chapelle nord, qui était l'ancienne chapelle prohibitive (réservée) des seigneurs de Molant[128]. L'église abrite une statue en bois de chêne représentant le "Christ aux liens"[129].

    Sites géologiques remarquables

    La feuille de Guer de la Carte géologique de la France présente trois sites géologiques remarquables sur le territoire de la commune. Il s'agit premièrement d'un chaos de poudingues dans le lit du ruisseau de la Roche près du lieu-dit de la Hautière, deuxièmement d'une paroi rocheuse qui pourrait présenter un slump près de La Planchette. Le troisième site, la carrière de la Vigne, n'est pas accessible au public, car il s'agit d'une entreprise privée. Les auteurs y ont observé les 3 éléments superposés de la formation de Pont-Réan : Poudingues de Montfort, Grès de Courouët et Siltites pourpres du Boël. Ils décrivent pour ce site le contact entre deux périodes géologiques, des siltites grises du Briovérien avec cette Formation de Pont-Réan datant du Paléozoïque[130].

    Un slump ?

    Sur le chemin reliant les lieux-dits de la Planchette et de la Ténéhais, à une centaine de mètres au Nord de la Planchette, le promeneur peut observer cette formation géologique remarquable. Il s’agit probablement d’un slump[131]. Les couches correspondent à une succession de bancs silto-gréseux (roches formées de siltites et de grès). Les bancs (couches) inférieurs sur une hauteur d’un mètre environ ont été déformés, soit sous l’effet de la gravité, soit par un glissement sous-marin alors que les sédiments étaient encore gorgés d’eau. Ces roches se sont formées à partir du Briovérien (fin de l'Ediacarien, début du Cambrien inférieur), c’est-à-dire à partir il y a 540 Ma environ. Une partie de la Bretagne était immergée à plusieurs reprises[132].

    Le ruisseau de la Roche porte bien son nom

    Sur le chemin de randonnée qui longe l'étang de la Roche, près du lieu-dit de la Haute-Hautière, on peut observer ces formations rocheuses.

    Jardins

    Les jardins de Brocéliande labellisé en 2005 de "Jardin remarquable" par le Ministère de la culture[133] ;

    Contes populaires

    À la fin du XIXe siècle, « La Revue des Traditions populaires » a publié des « Contes, Devinettes, Formulettes, Chansons etc. Recueillis à Bréal-sous-Montfort »[134]. L'accès à ce document est libre (consultation et téléchargement) sur le site Gallica de la Bibliothèque Nationale de France (BNF).

    L’éditeur, Rodolphe Le Chef[Note 22], présente ces textes ainsi :

    La plupart de ces contes m'ont été narrés en 1892 et 1893, par Marie Allain, femme Boisramé, sexagénaire, née à Bréal-sous-Montfort. Je me suis appliqué à les reproduire tels qu'ils m'ont été répétés, en conservant non seulement les tournures de phrases mais encore les mots patois. Les lecteurs de la Revue auront ainsi une idée exacte du langage des paysans de ce pays. Ce recueil contient des passages quelque peu rabelaisiens, que mes lecteurs voudront bien me pardonner. ([134]p. 569)

    Le recueil présente d’abord quinze « Contes », d’une longueur de quelques dizaines de lignes, pour les premiers, à peine dix en ce qui concerne les derniers. Parmi ceux-là, on trouve :

    XV - Le prêtre qui revient dire la messe L'église d'un certain endret (endroit) était éclairée toutes les netées (nuits). Un homme résolut d'aller y voair (voir) : c'était un prêtre qui était condamné à revenir parce qu'il avait omis de dire une messe promise. Tout était préparé pour la célébration de la messe : ‘Qui veut répondre ma messe ? dit-il.’ L'homme s'offrit tout en tremblant. Dès que sa messe fut terminée, le prêtre lui dit qu'il aurait une place de gardée conte lu (auprès de lui) dans le ciel. ([134] p. 577)

    Suivent une trentaine de « Proverbes et Dires », dont cet exemple :

    « Quand la charte (charrette) est vessée, on voait le biau cheminée (est versée, on voit le beau chemin). » ([134] p. 577)

    Quatre « Formulettes » (Couplets en forme de comptine), sont présentés après, voici un exemple :

    Aujourd'hui saint Crespin

    Mon cousin

    Que les cordonniers s'y frisent

    Pour aller voair Catin

    Duiguedin

    Qu'a chié dans sa chemise. ([134] p. 580)

    Le recueil termine avec une vingtaine de « Croyances et superstitions diverses » : Voici deux exemples :

    Pour se rendre invisible, il faut mettre un chat noir à bouillir, en prendre les os, aller les brûler au pied d'une croaix et en porter la cendre sur l'autel pendant la messe sans être vu du prêtre qui la dit. - (Cela se fait à une certaine époque que je ne puis indiquer). Pour faire marché (pour conclure un marché) avec le diable, il faut un champ à trois cornières (angles), entouré de chemins. On s'y rend à ménuit avec une poule naire (à minuit avec une poule noire) et on fait le tour du champ en disant : « qui veut acheter ma poule ? » Bigette (Satan) se présente et paie le prix convenu ; il donne toute l'argent que l'on veut, à condition qu'il se parera (qu'il s'emparera) de vous à une époque fixée. ([134] p. 581)

    Festival

    Depuis 2008, chaque fin août se tient le festival du Roi Arthur (excepté en 2010, puis en 2020 et 2021 en raison à la crise sanitaire). Dans ce festival plusieurs groupes se sont succédé dont les Fatals Picards, Raggasonic, Elmer Food Beat, Shaka Ponk, N&SK, Les Ramoneurs de menhirs, Naive New Beaters , Pierre Perret , Koba la D et Angèle.

    Personnalités liées à la commune

    • Giuseppe Tribus, peintre-décorateur tyrolien (1901-1960) ayant habité et décoré le bourg en 1958. Il a peint l'étang de la Roche en 1959. Il allait souvent au café de Mordelles où il a peint de nombreux tableaux. Il allait en vendre d'autres à la Place des Lices à Rennes.
    • Édouard Nignon, était un grand chef cuisinier du XXe siècle. Retiré au château de la Haute-Forêt à Bréal en 1921, il y décède en 1934. Le 18 juin 2011, une allée piétonne a été baptisée à son nom. Un panneau commémoratif en son honneur a été fixé sur le mur de la médiathèque[136].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Yves Lefevre, Bréal-sous-Montfort. Étude démographique 1740-1789, Rennes, 1984, 79 p., (Archives d'I&V - Mémoire 2 J 389).
    • Paul Banéat, Le département d'Ille et Vilaine : histoire, archéologie, monuments. Tome I. [A-E], Paris : Librairie Guénégaud, 1973. 1re éd. : Rennes : Larcher, 1927-1929. (Bibliothèque de L'Université Rennes 2, RP 247/1)

    Articles connexes

    Liens externes

    Étudier le territoire

    L'IGN met à disposition en ligne les outils Géoportail ainsi que IGN - Remonter le temps.

    • Géoportail permet de localiser des lieux précis et d'utiliser différentes cartes thématiques (cadastre, limites administratives, géologie, photographies aériennes, carte de Cassini, carte d'état-major etc.) afin de situer ce lieu dans son contexte[137].
    • IGN - Remonter le temps[138] : la page Comparer permet de comparer une carte directement avec une photographie aérienne actuelle ou du passé, une carte ancienne etc. Sur la page Télécharger, il est possible d'étudier des photographies aériennes depuis 1947 (Pour sélectionner un secteur, cliquer sur un point jaune dans la zone jaune transparent)[139].

    Le cadastre napoléonien (mis en œuvre entre 1807 et 1848) peut être consulté sur le site des Archives départementales d'Ille-et-Vilaine. Il permet de se faire une idée de l'occupation du sol et de l'habitat à Bréal-sous-Montfort vers 1824[140].

    Notes et références

    Notes

    1. Consulter la carte "Limites administratives" sur Géoportail, onglet "Cartes" en haut à gauche, 'Voir tous les fonds de carte" (https://www.geoportail.gouv.fr/)
    2. Utilisation des indications et courbes de niveau de la carte topographique de Géoportail (https://www.geoportail.gouv.fr/#!) et des indicateurs d'élévation Google Earth (https://earth.google.com/web)
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[15].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Paul de La Bigne Villeneuve (1813-1899), juriste, érudit, membre fondateur de Société archéologique et historique d’Ille-et-Vilaine, membre de la Société française d’archéologie et membre correspondant du Comité des travaux historiques et scientifiques. Voir : "Bigne de Villeneuve, Paul de la", sur : https://broceliande.brecilien.org/Bigne-de-Villeneuve-Paul-de-la
    11. Églises dédiées à Saint-Malo : Breteil, Brusvily, Dinan, Saint-Malo, Mernel, Paramé, Saint-Malo-de-Beignon, Saint-Malo-de-Phily, Saint-Malon-sur-Mel, Yvignac-la-Tour (Voir : Anne Lunven op. cit., Annexes I, Diocèse d’Alet/Saint-Malo https://books.openedition.org/pur/49324)
    12. Châtellenie : Territoire dans lequel le seigneur disposant d'un ou plusieurs châteaux exerce son droit de ban. A la fin du Moyen Âge, circonscription administrative qui fait partie d'un baillage. (Claude Gauvard, La France au Moyen Âge du ve au XVe siècle, Paris, Presses Universitaires de France, 1997, p. 535.
    13. Les seigneurs successifs de Bréal : Louis de Laval, sire de Châtillon  1489, Guy XV   1500, Cathérine d’Alençon, veuve de Guy XV   1505, Guy XVI de Laval  , Guy XVII   1547, Guyonne XVIII de Laval, nièce de Guy XVII  1567, Guy XIX   1586, François de Coligny dit Guy XX de Laval  1605, Henri de Trémoille, arrière grand-fils d’Anne de Laval (= Anne d’Alègre, épouse de Guy XIX ?)  1644.
    14. Selon A. de la Borderie, on entend en Bretagne par baillie depuis le XIIIe siècle une circonscription dans laquelle toutes les seigneuries et tous les fiefs dépendant directement du duc, dépendent aussi des barres ducales et de la cour de justice ducale de cette circonscription. A l'intérieur des limites de cette circonscription pouvaient se trouver également des seigneuries qui n'appartiennent pas directement au duc. Ici on trouve alors des barres seigneuriales. La plupart des baillies correspondent à un comté, sauf en ce qui concerne celui de Rennes, divisé en deux baillies, Rennes et Ploërmel (Voir : Arthur de la Borderie, Essai sur la géographie féodale de la Bretagne, p. 76/77)
    15. Barre : Barrière qui autrefois séparait les juges du public dans la salle d'audience. Par métonymie : Actuellement lieu de la salle d'audience où comparaissent les témoins et où plaident les avocats. (D'après : https://www.cnrtl.fr/definition/barre)
    16. Les routes royales reprenaient souvent le tracé des routes antiques (Michel Lagrée et Anne Antoine, Le pays de Rennes. Histoire & identité, Rennes, Presses Universitaires Rennes, 2001 p. 34). Paul Banéat rappelle qu’on a trouvé à la Bouëxière, au nord-ouest de Bréal et à 800m au sud de la route « Mordelles – Plélan-le-Grand », l’actuelle RN24, des vestiges romains et que l’on supposait que la voie Rennes – Vannes, appelée « Chemin Ferré » est peut-être passé par là. Voir aussi dans la section « Antiquité gauloise et gallo-romaine » ce cet article.
    17. Maladrerie ou maladerie, selon le dictionnaire "Le Nouveau Petit Robert", Paris 1993
    18. Voir par exemple, mais plutôt pour les XVIe XVIIe, voire XVIIIe siècles  :
      Guichen (Ille-et-Vilaine) : https://www.guichenpontrean.fr/medias/sites/7/2019/01/historique.pdf L’abbaye Notre-Dame de Paimpont (Ille-et-Vilaine) : https://broceliande.brecilien.org/L-abbaye-Notre-Dame-de-Paimpont Le Prieure royal de Saint-Magloire de Lehon (Côtes d'Armor) : https://archive.org/details/leprieureroyalde00foue/page/328/mode/2up?q=%22sep+et+collier%22&view=theater Pléneuf (Côtes d'Armor) : http://poudouvre.over-blog.com/2016/08/le-chateau-du-vauclair-en-pleneuf.html Glenac (Morbihan) : http://glenac.com/ASSEMBLAGE/histoire.htm Laz (Finistère) : R. Delaporte, « Notice sur les seigneuries de La Roche-Helgomarc'h, Laz et Botiguigneau », Bulletin de la Société archéologique du Finistère, 1913, consultable sur https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k207710t/f245.image Fégréac (Loire Atlantique) : https://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1895_num_60_1_11036_t1_0270_0000_3 (p. 272) Penhars (Finistère) Landevan (Morbihan) : https://www.sahpl.asso.fr/SITE_SAHPL/Robino_Pierre_landevant_et_Landaul_n%C2%B037.htm Saint-Herblain (Nantes, Loire Atlantique ) : https://camus.paysdelaloire.e-lyco.fr/renseignements-pratiques/historique-du-lycee/
    19. Dans un aveu de 1665, on reconnaît à la justice ecclésiastique exercée par l'abbaye Saint-Georges de Rennes, d'appliquer le "sep et collier" dans le baillage de la Chapelle (Chapelle Janson). Voir : Paul de la Bigne Villeneuve, Cartulaire de l'abbaye de Saint-Georges de Rennes, Rennes 1876, p. 368, https://archive.org/details/cartulairedelabb00renn/page/368/mode/2up?q=%22sep+et+collier%22&view=theater
    20. De nombreux exemples ici : Charles Adrien Demaze, Les pénalités anciennes. Supplices, prisons et grace en France, d'après des textes inédits, POaris (Henri Plon), 1866, https://archive.org/details/lespnalitisanci01desmgoog/page/n111/mode/2up?view=theater&q=carcan
    21. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    22. Cet auteur a publié en 1895 plusieurs articles au sujet de la culture populaire en Ille-et-Vilaine dans la "Revue des traditions populaires". Voir le catalogue de la BU de l'Université Rennes 2 : https://rechercher.bu.univ-rennes2.fr/primo-explore/search?query=any,contains,%22Rodolphe%20Le%20Chef%22&search_scope=default_scope&vid=33UDR2_VU1&lang=fr_FR&offset=0

    Références

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    33. Bulle du pape Eugène III, Eugenius papa reformationem et bona Macloviensis ecclesiai sancit. In : Gallia christiana. Tomus XIV. Paris 1856, Instrumenta Ecclesiae Macloviensis p. 234/235, https://books.google.fr/books?id=YNg-AAAAcAAJ&hl=fr&pg=PP9#v=onepage&q&f=true
    34. Arch. Dép. d’Ille-et-Vilaine, 1 G 262/1, d’après : Anne Lunven, Du diocèse à la paroisse. Évêchés de Rennes, Dol et Alet/Saint-Malo (Ve-XIIIe siècle), Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2014, https://books.openedition.org/pur/49302, Chapitre V, §54 et Note 173
    35. Paul de La Bigne Villeneuve (publication), Cartulaire de l’abbaye de Saint-Georges de Rennes, Rennes, Extrait du "Bulletin et Mémoires de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine", 1876, 540 p. (https://archive.org/details/cartulairedelabb00renn/mode/2up?view=theater), p. 200 et 475 (Index géographique)
    36. Archives départementales d'Ille-et-Vilaine (https://archives.ille-et-vilaine.fr/fr, Archives en ligne : "Rechercher" - "Archives en ligne" - Accéder au site des archives en ligne"), cotes 10 NUM 35037 204, 10 NUM 35037 209, 10 NUM 35037 237
    37. Adolphe Joanne, Géographie du département d'Ile-et-Vilaine. Avec une carte coloriée et 14 gravures., Librairie Hachette, 1878 (réimpression 1993), 58 p. (ISBN 2010213017, lire en ligne), p. 30, 42 et carte en fin de volume
    38. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 111b - 112b
    39. Hervé ABALAIN, Les noms de lieux bretons, Éditions Jean-Paul Gisserot, , 126 p. (ISBN 9782877474825), p. 59
    40. [L'expression précise de auteur désigne la "la partie orientale de l’espace couvert par la feuille de Guer", ce qui renvoie au carré compris entre Guer, Plélan-le-Grand, Bréal-sous-Montfort et Guignen. Voir : http://infoterre.brgm.fr/viewerlite/MainTileForward.do] Le Berre, P. et al., « Guer », Carte géologique de la France, , p. 95 (lire en ligne [PDF])
    41. F. Trautmann, J.F. Becq-Giraudon et A. Carn, « Janzé », Carte géologique de la France à 1/50000, , p. 63 (lire en ligne [PDF])
    42. BRIARD J. (1965) – Les dépôts bretons et l’Âge du Bronze atlantique, Rennes, 352 p., cité d’après « Le Berre, P et al., Carte géologique de la France – Guer, BRGM Service géologique national, 2009, p. 96. Lire en ligne : http://infoterre.brgm.fr/, document PDF : http://ficheinfoterre.brgm.fr/Notices/0352N.pdf
    43. Adolphe Toulmouche, Histoire archéologique de l'époque gallo-romaine de la Ville de Rennes, Rennes, Deniel, , 325 p., p. 267/268
    44. GAUTIER M. (1990) – Prospection-inventaire entre Vilaine et Oust, Bulletin d’informations archéologiques, 2, p. 82-83. Cité d’après « Le Berre, P et al., Carte géologique de la France – Guer, BRGM Service géologique national, 2009, p. 96. Lire en ligne : http://infoterre.brgm.fr/,+document+PDF : http://ficheinfoterre.brgm.fr/Notices/0352N.pdf.
    45. Joël Cornette, Histoire de la Bretagne et des Bretons. Tome 1 : Des âges obscurs au règne de Louis XIV., Editions du Seuil, , 733 p. (ISBN 9782757809952), p. 62, 85
    46. Ministère de la Culture – Plateforme ouverte du patrimoine (POP), Site gallo-romain de la Bouëxière https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA35000009
    47. Françoise Le Ny, Les fours de tuiliers gallo-romains, Paris, Éditions de la Maison des sciences de l’homme, , 142 p. (ISBN 9782735120581, lire en ligne), p. 19 à 37
    48. Priol, André, Bassin de Rennes ; Prospection inventaire, 1998. In : ADLFI. Archéologie de la France - Informations. Une revue Gallia, Bretagne, 1998. Consulté sur : http://journals.openedition.org/adlfi/23803
    49. Alain Provost, Gilles Leroux, Carte archéologique de la Gaule. - L'Ille-et-Vilaine, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, , 304 p., p. 169/170
    50. Paul Banéat, Le département d'Ille-&-Vilaine. Histoire, archéologie, monuments - Tome 1, A-E, Rennes, J. Larcher, , 573-[26], p. 206
    51. Michel Lagrée et Annie Antoine, Le Pays de Rennes. Histoire & identité., Rennes, Presses Universitaires Rennes, , 91 p. (ISBN 2868476406), p. 16 (carte)
    52. GAUTIER M. (1990) – Prospection-inventaire entre Vilaine et Oust, Bulletin d’informations archéologiques, 2, p. 82-83. Cité d’après « Le Berre, P et al., Carte géologique de la France – Guer, BRGM Service géologique national, 2009, p. 97. Disponible sur http://infoterre.brgm.fr/, document PDF : http://ficheinfoterre.brgm.fr/Notices/0352N.pdf.
    53. Louis Pape, La Bretagne romaine, Rennes, Éditions Ouest France, , 309 p. (ISBN 2737305314), p. 23 à 25
    54. Anne Lunven, Du diocèse à la paroisse. Évêchés de Rennes. Dol et Alet/Saint-Malo (Ve-XIIIe siècle), Rennes, Presses Universitaires Rennes, , 432-XII p. (ISBN 9782753559554, lire en ligne), Chapitre I
    55. Joël Cornette, Histoire de la Bretagne et des Bretons. Des âges obscurs au règne de Louis XIV., Paris, Éditions du Seuil, , 233 p. (ISBN 9782757809952), p. 228 et suivantes, 346/347
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    57. Arthur Le Moyne de La Borderie, Histoire de Bretagne. Tome Premier : topographie générale de la Bretagne de 57 av. J.C. à 753 de J.C, Rennes, (lire en ligne), p. 200
    58. Albert Lecoy de La Marche, Saint Martin, Tours, (lire en ligne), p. 634 (Appendice)
    59. Anne Lunven, Du diocèse à la paroisse. Évêchés de Rennes. Dol et Alet/Saint-Malo (Ve-XIIIe siècle), Rennes, Presses Universitaires de Rennes, , 432-XII p. (ISBN 9782753559554, lire en ligne), Chapitre II, §37, Figure 22
    60. Michel Lagrée et Anne Antoine, Le pays de Rennes. Histoire & identité., Rennes, Presses Universitaires Rennes, , 91 p. (ISBN 2868476406), p. 23 (carte)
    61. Gallia christiana. Tomus XIV. - Province de Tours (évêchés de Le Mans, Angers, Rennes, Nantes, Vannes, Cornouailles, Léon, Tréguier, Saint-Brieuc, Saint-Malo, Dol), Paris, 1856 (lire en ligne), Instrumenta Ecclesiae Macloviensis 234/235
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    88. Nous désignerons sous le nom de caquineries de véritables hameaux réservés aux lépreux, hameaux qui semblent avoir été particulièrement nombreux en Bretagne. La forme complète de la caquinerie comportait, d’après Trévédy, plusieurs maisonnettes autour d’un placitre commun, une source ou un puits, une chapelle et un cimetière. Ainsi était réalisé non plus l’enfermement des lépreux, du moins leur isolement. SOUNIA, Jean-Charles et TRÉVIEN, M., « Essai d’inventaire des léproseries en Bretagne », Annales de Bretagne, Vol. 75 / 2, 1968, p. 317-343, p. 321, cité d'après "Encyclopédie de Brocéliande" (https://broceliande.brecilien.org/Le-prieure-Sainte-Magdeleine-de-Breal#nb2-1)
    89. Cette partie est fortement inspirée par le travail des auteurs de "La léproserie Sainte-Magdeleine" sur le site "Encyclopédie de Brocéliande" (https://broceliande.brecilien.org/Le-prieure-Sainte-Magdeleine-de-Breal#nb2-1), mis à jour le 17 mai 2020 Documents utilisés par ces auteurs : - Recueil d'extraits de divers chartriers de Bretagne, Rennes, 1601, (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9062973k/f1.image.zoom) - Xavier de Bellevüe, Paimpont, la forêt druidique, la forêt enchantée et les romans de la table ronde, Rennes, Simon, 1903. - Amédée Guillotin de Corson, Pouillé Historique de l’archevêché de Rennes, Vol. 2, Rennes, Fougeray éditeur, 1891, (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k556078] - Jean -Charles Sounia, et M. Trévien, Essai d’inventaire des léproseries en Bretagne », Annales de Bretagne, Vol. 75 / 2, 1968, p. 317-343, (https://www.persee.fr/doc/abpo_0003-391x_1968_num_75_2_2464)
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      « Samedi, le Conseil municipal de Bréal-sous-Montlort a procédé à l’installation de nouveaux conseillers municipaux [...] Puis, l'assemblée a élu le successeur de M. Félix Berthelot, ancien maire, décédé. Il s'agit de M. Jean Bossard [...] ».
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