Châteauneuf-de-Randon
Châteauneuf-de-Randon est une commune française située dans le nord-est du département de la Lozère en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Châteauneuf.
Châteauneuf-de-Randon | |
Vue générale de Châteauneuf-de-Randon. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Lozère |
Arrondissement | Mende |
Intercommunalité | Communauté de communes Randon - Margeride |
Maire Mandat |
Bruno Durand 2020-2026 |
Code postal | 48170 |
Code commune | 48043 |
Démographie | |
Gentilé | Castelrandonnais |
Population municipale |
527 hab. (2019 ) |
Densité | 22 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 38′ 29″ nord, 3° 40′ 34″ est |
Altitude | Min. 1 116 m Max. 1 339 m |
Superficie | 24,49 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Grandrieu |
Législatives | Circonscription de la Lozère |
Localisation | |
Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Chapeauroux, la Boutaresse, la Clamouse, le Malrieu, les Rousses et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Châteauneuf-de-Randon est une commune rurale qui compte 527 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 502 habitants en 1856. Ses habitants sont appelés les Castelrandonnais ou Castelrandonnaises.
Géographie
Localisation
Chateauneuf-de-Randon est une commune située à l'entrée de la montagne de la Margeride, en Haut-Gévaudan, à 20 km de Langogne, 29 km de Mende et environ 220 km de Montpellier.
Communes limitrophes
Hydrographie
Le village est traversé plus au nord par la rivière du Chapeauroux.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Issanlas », sur la commune d'Issanlas, mise en service en 1952[7] et qui se trouve à 30 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 6,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 077,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à 59 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[14] : la « rivière du Chapeauroux » (357 ha), couvrant 9 communes du département[15] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[14] : la « vallée du Chapeauroux » (10 037 ha), couvrant 12 communes dont une dans la Haute-Loire et 11 dans la Lozère[16].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Châteauneuf-de-Randon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[I 1],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (34,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,6 %), forêts (25,4 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), zones urbanisées (1,3 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la commune est Chastèlnòu (de Randon) en occitan selon la norme classique.
Histoire
Village gallo-romain
Bien avant de devenir un château, le promontoire abritait un village gallo-romain.
Création de Châteauneuf
Place forte médiévale bâtie par les Randon sur la route de Mende vers 1150, elle est la seconde résidence des barons de Randon après avoir déménagé du château de Puech David (près d'Estables). La baronnie dominait toute cette partie de la Margeride, barrée au nord-est par les Peyres, avec qui les querelles ont été fréquentes, et par les Mercœur et au sud par les barons du Tournel. Sous la protection des Randon se trouvait donc toute la plaine de Montbel et la forêt de Mercoire qui sont visibles depuis le promontoire.
Guerre de Cent Ans, prise de Châteauneuf par du Guesclin
Lors de la guerre de Cent Ans, le connétable de France, Bertrand Du Guesclin, fut chargé par le roi Charles V de libérer le Gévaudan de l'occupation anglaise. Châteauneuf-de-Randon était alors l'un des nombreux châteaux de la région détenus par les Anglais et le refuge de nombreux pilleurs qui s'attaquaient aux pays du Velay.
On estime que c'est vers fin juin qu'il arrive vers le château[20]. Commence alors le siège devant la forteresse de Châteauneuf. Vraisemblablement, les troupes de Du Guesclin étaient parvenues à encercler la citadelle, le camp principal se situant vers le lieu-dit de l'Habitarelle.
Sous la chaleur du mois de juillet 1380, une trêve est accordée aux assiégés, en échange de quoi ils promirent de se rendre s'ils n'étaient pas secourus[20]. Mais Du Guesclin tomba malade et mourut. Les Anglais firent leur reddition devant la dépouille de Du Guesclin
L'expansion du village, la disparition du château
La citadelle de Châteauneuf était vraisemblablement en forme de losange, les angles étant situés pour l'un au niveau du calvaire, un autre étant le donjon de la Tour des Anglais, au sud vers l'entrée de la citadelle et à l'est en opposition avec la tour. Elle servit aux XVe et XVIe siècles de refuge pour les habitants alentour en cas de mauvaise période. C'est à ce moment-là que Châteauneuf a alors englobé les lieux-dits à son pied : l'Habitarelle et les Combettes Planes entre autres. Vers 1632, le roi Louis XIII ordonne que l'on démantèle les châteaux de Luc, Grèzes et Châteauneuf. On utilisera les restes du château pour construire l'église du village et une partie des habitations.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Châteauneuf-de-Randon est membre de la communauté de communes Randon - Margeride[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Monts-de-Randon. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[21].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Mende, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 4].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Grandrieu pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[22].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].
En 2019, la commune comptait 527 habitants[Note 7], en diminution de 5,05 % par rapport à 2013 (Lozère : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 164 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 360 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 730 €[I 5] (20 420 € dans le département[I 6]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 7] | 3,4 % | 3,3 % | 4,2 % |
Département[I 8] | 5 % | 6,4 % | 7,1 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 316 personnes, parmi lesquelles on compte 58,8 % d'actifs (54,6 % ayant un emploi et 4,2 % de chômeurs) et 41,2 % d'inactifs[Note 9],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 10]. Elle compte 282 emplois en 2018, contre 350 en 2013 et 309 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 176, soit un indicateur de concentration d'emploi de 160,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41,4 %[I 11].
Sur ces 176 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 103 travaillent dans la commune, soit 59 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 70,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 11,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 16,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La tour dite Tour des Anglais, vestige de la citadelle de Châteauneuf-de-Randon.
- Église Saint-Étienne du XIXe siècle.
- Calvaire situé à l'emplacement du donjon principal et tour de guet de la citadelle (au nord), avec une vue magnifique et panoramique.
Musées
- Le musée Du Guesclin, sur la place du village, retraçant la vie de ce grand guerrier au service Charles V.
- À proximité, « la Toison d'or », ferme découverte et musée vivant sur les animaux à fourrure.
Autres
- Le cénotaphe de Bertrand du Guesclin à l'Habitarelle, classé monument historique.
- Statue en bronze de Du Guesclin sur la place du village, œuvre du sculpteur Hector Lemaire, inaugurée le [28]
- À proximité, source de la Clauze.
- La « pierre branlante », associé à une légende sur le chevalier de Roland et une autre à Gargantua.
- Cénotaphe de Bertrand du Guesclin.
- La statue de Du Guesclin.
- La « roche branlante ».
Personnalités liées à la commune
- Famille de Châteauneuf-Randon (les membres de la Maison de Joyeuse dont les blasons rappellent les origines).
- Les membres de la Maison de Joyeuse.
- Bertrand du Guesclin mourut le 13 ou devant Châteauneuf-de-Randon qu'il assiégeait, selon la légende, d'avoir bu de l'eau trop fraîche de la fontaine du pré de la Glauze.
Héraldique
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Le blasonnement de Châteauneuf-de-Randon est : d'or à trois pals d'azur, au chef de gueules ; à l'écusson d'argent en abîme, chargé d'une aigle bicéphale de sable, becquée et membrée de gueules, et d'une cotice du même brochant. Sans l'écusson, il s'agit du blasonnement de la baronnie de Randon. L'écusson étant le blason de Du Guesclin.
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative aux organisations :
- Châteauneuf-de-Randon en Lozère
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Châteauneuf-de-Randon » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Châteauneuf-de-Randon » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Châteauneuf-de-Randon » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Châteauneuf-de-Randon » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Châteauneuf-de-Randon et Lanas », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Liste des ZNIEFF de la commune de Châteauneuf-de-Randon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « rivière du Chapeauroux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée du Chapeauroux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Félix Buffière, Ce tant rude Gévaudan [détail des éditions], tome I, p. 792-795
- « communauté de communes Randon - Margeride - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Lozère (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- Fiche d'Adrien Durand sur le site de l'Assemblée nationale
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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