Christian Clavier

Christian Clavier est un acteur, scénariste et producteur français, né le à Paris.

Ne doit pas être confondu avec Christian Favier.

Pour les articles homonymes, voir Clavier.

Christian Clavier
Christian Clavier au festival de Cannes 2013.
Nom de naissance Christian Jean-Marie Clavier
Naissance
Paris (France)
Nationalité Française
Profession Acteur
Scénariste
Producteur
Films notables Les Bronzés (et suites)
Le père Noël est une ordure
Papy fait de la résistance
Les Visiteurs (et suites)
Astérix et Obélix contre César (et suite)
Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ? (et suites)
(voir filmographie)
Séries notables Les Misérables
Napoléon
Kaamelott - Livre V

Révélé au café-théâtre au sein de la troupe du Splendid  avec Gérard Jugnot, Thierry Lhermitte, Michel Blanc, Marie-Anne Chazel et Josiane Balasko  dans les années 1970, il acquiert à leurs côtés une notoriété nationale dans des films restés célèbres, tels que Les Bronzés (1978), Les Bronzés font du ski (1979), Le père Noël est une ordure (1982) ou Papy fait de la résistance (1983).

S'ensuit une collaboration avec Jean-Marie Poiré, sur des films qu'il co-écrit, avec Twist again à Moscou (1986), Mes meilleurs copains (1989), L'Opération Corned-Beef (1991), puis de grands succès qui l'établissent comme une valeur sûre du box-office : Les Visiteurs (1993), Les Anges gardiens (1995) et Les Couloirs du temps (1998). Il confirme sa popularité avec les deux superproductions où il incarne Astérix  Astérix et Obélix contre César (1999) et Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre (2002)  et les retrouvailles du Splendid dans Les Bronzés 3 (2006).

Il s'illustre dans de rares prestations dramatiques, à la télévision en interprétant Thénardier dans Les Misérables (2000), puis Napoléon Ier dans Napoléon (2002), et au cinéma dans La Sainte Victoire (2009) et Un sac de billes (2017). Après plusieurs échecs, dont celui de son unique réalisation, On ne choisit pas sa famille (2011), il renoue avec le succès avec Les Profs (2013) et surtout Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ? (2014) et ses suites.

Acteur très populaire, il est le seul, toutes générations et nationalités confondues, à être en tête d'affiche de quatre films ayant atteint plus de dix millions de spectateurs au box-office français, à savoir Les Visiteurs (1993), Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre (2002), Les Bronzés 3 (2006) et Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ? (2014).

Biographie

Jeunesse

Christian Jean-Marie Clavier naît le à Paris. Son père, Jean-Claude Clavier, était chirurgien ORL[1] et sa mère, Phanette Rousset-Rouard, femme au foyer. Son frère Stéphane Clavier, est réalisateur[2], et sa sœur, professeur. Son oncle maternel est le producteur Yves Rousset-Rouard.

Il se lie d'amitié avec Gérard Jugnot en 5e puis tous deux suivent la même scolarité pour arriver dans des études secondaires au lycée Pasteur de Neuilly où ils rencontreront d'autres futurs membres du Splendid (Thierry Lhermitte et Michel Blanc)[3].

Christian Clavier obtient son baccalauréat avec la mention « très bien » en 1971, puis entame des études de sciences politiques à l'Institut d'études politiques de Paris (IEP) aux côtés du futur président de la république François Hollande, qui était également son camarade de classe en terminale[4]. Cependant, contrairement à ce dernier, Christian Clavier finit par quitter l'IEP au bout de six mois pour se lancer dans une carrière de comédien[5].

Le Splendid (années 1970-1980)

Christian Clavier entame sa carrière dans la troupe de théâtre comique du Splendid[6], dont son oncle, le producteur Yves Rousset-Rouard deviendra actionnaire[7].

Il devient ainsi auteur, metteur en scène et interprète de Je vais craquer, Ma tête est malade et, en 1978, Amours, coquillages et crustacés, qui est ensuite adapté au cinéma par Patrice Leconte sous le titre Les Bronzés[8].

Il se voit offrir, de 1973 à 1979, de petits rôles dans des films comme L'An 01 en 1973, Que la fête commence... en 1975, F… comme Fairbanks en 1976 ou encore Le Diable dans la boîte en 1977[9].

Il participe à de nombreux films burlesques avec cette troupe, dont Les Bronzés (1978) ou Le père Noël est une ordure (1982), adaptée au cinéma par Jean-Marie Poiré. Le succès ne le quitte plus.

Devenus inséparables, Christian Clavier et le cinéaste poursuivent leur collaboration avec Papy fait de la résistance (1983), Twist again à Moscou (1986) et Mes meilleurs copains (1989), l'histoire de retrouvailles d'amis de lycée sur un mode nostalgique et chaleureux[10].

Succès au cinéma (années 1990)

Dans les années 90, le duo enchaîne d'autres succès publics : Opération corned-beef (1991), où Christian Clavier donne pour la première fois la réplique à Jean Reno, Les Visiteurs (1993) et sa suite Les Couloirs du temps, les visiteurs 2 (1998) ainsi que Les Anges gardiens (1995). Avec le triomphe historique au box-office des Visiteurs, Christian Clavier assoit son statut d'acteur comique numéro un et reprend le flambeau de Louis De Funès, dont il se réclame fréquemment.

Tournage d'une scène de L'Opération Corned-Beef avec Jean Reno et Christian Clavier.

Son nom est alors associé à un art cinématographique et télévisuel visant un public populaire, dans la continuité de la comédie française : Les Anges gardiens, Les Couloirs du temps : Les Visiteurs 2, Les Visiteurs en Amérique (respectivement suite et reprise des Visiteurs), ou encore Astérix et Obélix contre César et sa suite Mission Cléopâtre.

Christian Clavier a été membre de plusieurs duos, il a tourné ainsi avec :

Il est aussi producteur, via sa société Ouille Productions, nommée en référence à son rôle de Jacquouille la Fripouille qu'il jouait dans la trilogie des Visiteurs.

Progression en demi-teinte (années 2000)

L'acteur au Festival de Cannes 2004, l'année de sortie de L'Enquête corse.

Il débute cette décennie avec deux projets internationaux : en 2001 sort le remake Les Visiteurs en Amérique, toujours sous la direction de Jean-Marie Poiré. Mais le film est un échec critique et commercial. Il est même récompensé à l'occasion de la 2e cérémonie des Bidets d'or[11]. L'année suivante, il redevient Astérix pour Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, co-écrit et réalisé par Alain Chabat. Le film est un énorme succès critique et commercial.

Il s'aventure également dans un registre dramatique avec deux mini-séries télévisées à prestige : en 2000, il incarne le père Thénardier pour Les Misérables, adaptation du roman de Victor Hugo signée Josée Dayan, puis en incarnant Napoléon Bonaparte dans le biopic Napoléon, réalisé par Yves Simoneau.

Il enchaîne plusieurs flops au cinéma 2003, la comédie Lovely Rita, sainte patronne des cas désespérés, réalisée par son frère Stéphane Clavier, où il partage l'affiche avec Julie Gayet. Il s'associe ensuite à des acteurs confirmés du cinéma français : en 2004, il partage l'affiche de la comédie Albert est méchant avec Michel Serrault, puis il retrouve Jean Reno pour une nouvelle adaptation de bande dessinée, L'Enquête corse, réalisée par Alain Berberian. En 2005, dans L'Antidote, il donne la réplique à Jacques Villeret.

Il tente de rebondir avec un projet plus sûr : en 2006, à la suite de l'annulation du projet Astérix et Obélix en Hispanie initialement dirigé par Gérard Jugnot en 2004, lui et ses anciens collègues du Splendid redonnent vie aux personnages des Bronzés et des Bronzés font du ski qui les ont révélés, dans Les Bronzés 3 : Amis pour la vie qui totalise 10 355 930 entrées (dont 4 millions en première semaine, soit le meilleur démarrage français jusqu'à la sortie de Bienvenue chez les Ch'tis en 2008). Les critiques de la presse spécialisée sont négatives mais c'est un succès auprès du public.

Par la suite, une troisième adaptation cinématographique de la bande dessinée Astérix sort en 2008, commandée au producteur Thomas Langmann, qui va aussi le co-réaliser. Astérix et Obélix aux Jeux olympiques va surtout convoquer un parterre de célébrités, autour de Gérard Depardieu qui revient dans le rôle d'Obélix, et de Clovis Cornillac en Astérix. En effet, en représailles du rejet par le dessinateur Albert Uderzo du projet de son ami Gérard Jugnot, Clavier a refusé de reprendre le rôle du petit Gaulois[12].

Il achève la décennie avec d'autres échecs : la comédie dramatique Le Prix à payer, dont il partage l'affiche avec Nathalie Baye, Gérard Lanvin et Géraldine Pailhas. La même année, il retrouve Gérard Jugnot et Josiane Balasko dans L'Auberge rouge, remake réalisé par Gérard Krawczyk du film homonyme de Claude Autant-Lara (1951), dont Fernandel était l'une des vedettes. Par ailleurs, Alexandre Astier lui confie un rôle dans sa série à succès Kaamelott, celui du jurisconsulte dans le Livre V.

En 2009, il s'essaie à un registre dramatique en partageant l'affiche de La Sainte Victoire avec Clovis Cornillac. Le film passe inaperçu.

Seconds rôles et réalisation (années 2010-2020)

Le réalisateur en 2011, à l'avant-première de la comédie On ne choisit pas sa famille.
L'acteur au Festival de Cannes 2013, pour la promotion de Les Profs.

Il a joué dans près de 90 films, écrit ou co-écrit + d’une quinzaine, en a produit 5 et réalisé 1 seul, en 2011 : On ne choisit pas sa famille.

En 2012, il part habiter à Londres à la suite de vives attaques personnelles sur son amitié avec Nicolas Sarkozy et artistiques après le fiasco de son film sorti l'année précédente, On ne choisit pas sa famille, qu'il a réalisé, scénarisé, produit et où il interprète l'un des personnages principaux[13].

Clavier profite de son temps libre pour écrire, avec Jean-Marie Poiré, le scénario du nouveau Les Visiteurs, Les Visiteurs 3 : La Révolution[14],[15]. Grâce à ça, il retrouve « le goût à écrire des bêtises »[15].

En 2013, il intègre le casting choral de la comédie à succès Les Profs, une adaptation de la bande dessinée du même nom signée par un ancien humoriste de Canal +, Pierre-François Martin-Laval. Le film est un succès surprise au box-office, lançant la carrière cinématographique de sa jeune vedette, Kev Adams.

Un an plus tard, il renoue avec les records au box-office avec Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?, une comédie de Philippe de Chauveron, dont il partage l'affiche avec Chantal Lauby. Le film repose aussi sur une large distribution d'acteurs comiques, comme Ary Abittan, Frédéric Chau ou encore Noom Diawara. La même année, il tient un second rôle de luxe dans une production fantastique pour enfants, Le Grimoire d'Arkandias[16].

Grâce à ces deux projets, il est l'acteur français le plus rentable de l'année 2014 avec près de 13 millions de spectateurs cumulés dans les salles hexagonales[17]. Toujours en 2014, il joue dans le film Une heure de tranquillité qui dépasse le million d'entrées début 2015. Cette comédie chorale marquant ses retrouvailles avec Patrice Leconte, est une adaptation d'une pièce de théâtre mise en scène par Ladislas Chollat et jouée au Théâtre Antoine. Clavier succède à Fabrice Luchini tandis que Carole Bouquet reprend le rôle tenu par Christiane Millet sur scène.

Avec un total de plus de 36,5 millions d'entrées, il est arrivé cinquième au classement des acteurs ayant totalisé le plus d'entrées de 2001 à 2014 en France[18].

En 2015, il tient un second rôle dans la comédie Babysitting 2, co-réalisée et portée par Philippe Lacheau. Il succède à Gérard Jugnot dans ce rôle de patriarche. Le film franchit les 3 millions d’entrées en salles[19].

En 2016, Les Visiteurs : La Révolution est un échec commercial, malgré 2,2 millions d'entrées.

En 2017, À bras ouverts franchit, malgré des critiques négatives, le million d'entrées. Autre rôle cette année-là, plus secondaire, avec la comédie Si j'étais un homme, seconde réalisation de l'actrice Audrey Dana.

En 2018, il partage l'affiche de la comédie Momo avec Catherine Frot. Le film est un flop critique et public[20].

La même année, il participe à deux adaptations de bandes dessinées : Les Aventures de Spirou et Fantasio, réalisé par Alexandre Coffre. Il y incarne le comte Pacôme de Champignac. Le film est un énorme flop, réunissant seulement 145 400 spectateurs, malgré une projection sur 442 écrans. Il disparaît de l'affiche au bout d'une seule semaine d'exploitation[21]. En revanche, il connaît un beau succès en succédant à Roger Carel pour le doublage d'Astérix dans le film d'animation Astérix : Le Secret de la potion magique d'Alexandre Astier et Louis Clichy.

Fin , il est à l'affiche du film Qu'est-ce qu'on a encore fait au Bon Dieu ?, réalisé par Philippe de Chauvron, qui fait suite à Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ? Par ailleurs, il reforme un duo avec Gérard Depardieu pour la comédie expérimentale Convoi exceptionnel, de Bertrand Blier. Autres retrouvailles avec Arnaud Lemort, co-scénariste de L'Antidote et L'Entente cordiale : la comédie Ibiza, dont il partage l'affiche avec Mathilde Seigner.

En 2021, le film Mystère à Saint-Tropez qu'il a également produit et coécrit est un énorme flop malgré son casting. Mais il se rattrape au même moment grâce à Kaamelott : Premier Volet qui est la suite cinématographique de la série homonyme d'Alexandre Astier et est l'un des meilleurs scores du box office français.

Il est à l'affiche du troisième volet de la saga de Philippe de Chauveron, Qu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ?[22], qui sort l'année suivante.

Vie privée

Il a été pendant plus de trente ans le compagnon de la comédienne Marie-Anne Chazel avec qui il a eu une fille, Margot, née en 1983[23]. Depuis 2004, il partage sa vie avec une maquilleuse de cinéma, Isabelle de Araujo (ex-épouse de Richard Gotainer), rencontrée sur le tournage de L'Enquête corse[24] ; il est beau-père des deux fils de celle-ci, Léo né en 1991 et Tom né en 1996[1].

Engagement politique

Lors de l'élection présidentielle de 2007[25] puis celle de 2012, il compte parmi les personnalités qui soutiennent le candidat UMP Nicolas Sarkozy, dont il est un ami personnel. Il fait d'ailleurs partie, comme Marie-Anne Chazel et Jean Reno, des invités de la soirée organisée par celui-ci au Fouquet's après sa victoire en 2007[26].

Phénomène du box-office

Entre 1993 et 2014, six films dans lesquels il a joué ont dépassé, en France, les 8 millions d'entrées. De même, il est le seul acteur à voir quatre de ses films atteindre plus de 10 millions de spectateurs au box-office français[27].

Filmographie

 Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.

Années 1970
Années 1980
Années 1990
Années 2000
Années 2010
Années 2020

Télévision

Doublage

Comme scénariste

Comme producteur

Comme réalisateur

Théâtre

Distinctions

Décoration

Récompense

Nomination

Notes et références

  1. « Christian Clavier : Ce drame qui l'a rapproché de Nicolas Sarkozy... », purepeople.com, (lire en ligne)
  2. AlloCine, « Christian Clavier », sur AlloCiné (consulté le )
  3. « Professeurs et élèves de renom », sur lyc-pasteur-neuilly.ac-versailles.fr, (consulté le )
  4. Marie Guichoux, « Le complexe de Jacquouille », Libération, (consulté le )
  5. « Christian Clavier : “Moins j'en dis, plus je suis content” », Teleobs, (lire en ligne, consulté le )
  6. Mathilde Fontaine, « Christian Clavier sévèrement taclé sur son poids par Patrice Leconte, réalisateur des Bronzés », voici.fr, (lire en ligne, consulté le )
  7. la rédaction du DL, « Yves Rousset-Rouard, du grand écran aux truffières », ledauphine.com, (lire en ligne, consulté le )
  8. « CHRISTIAN CLAVIER », sur https://www.allocine.fr/
  9. « Biographie Christian Clavier », sur https://www.rireetchansons.fr/
  10. « CHRISTIAN CLAVIER », sur https://www.allocine.fr/
  11. AlloCine, « 3 Bidets d'or pour "Vercingétorix" », sur AlloCiné (consulté le )
  12. Plurimedia - Pauline Garcia., « Astérix aux jeux Olympiques (TF1) : pourquoi Christian Clavier a-t-il refusé d'incarner à nouveau le petit Gau », sur tv.net, Télé-Loisirs, (consulté le ).
  13. « Mais que va donc faire Clavier à Londres », sur Europe 1 (consulté le )
  14. « Christian Clavier s'exile à Londres à cause de son amitié avec Nicolas Sarkozy », lexpress.fr, (lire en ligne, consulté le )
  15. François Menia, « Christian Clavier justifie son «exil» à Londres », lefigaro.fr, (lire en ligne, consulté le )
  16. « Classement Les acteurs français les plus rentables de 2014 », sur VanityFair (consulté le )
  17. « Les acteurs français les plus rentables - Le tableau récapitulatif », sur L'internaute (consulté le )
  18. « Classement des 20 acteurs français qui totalisent le plus d’entrées », sur universfreebox.com (consulté le )
  19. « Box Office du film Babysitting 2 » [vidéo], sur Allociné (consulté le ).
  20. « Flop 42 des pires films de 2017 », sur Vodkaster (consulté le ).
  21. Charles Decant, « Box-office : "Black Panther" loin devant "La Forme de l'eau", "Spirou et Fantasio" ne brille pas », sur Ozap.com, Puremédias, .
  22. « "QU'EST-CE QU'ON A TOUS FAIT AU BON DIEU ?", UNE SEMAINE APRÈS LE DRAME, LE TOURNAGE REPREND », sur https://www.bfmtv.com/,
  23. Prisma Média, « Margot Clavier - La biographie de Margot Clavier avec Gala.fr », sur Gala.fr (consulté le )
  24. Prisma Média, « Qui est Isabelle de Araujo, la compagne de Christian Clavier ? - Voici », Voici.fr, (lire en ligne, consulté le )
  25. Le 3 septembre 2008 à 07h00, « L'acteur est un intime du président », sur leparisien.fr, (consulté le )
  26. Le Point magazine, « Enquête sur les amis du Fouquet's », sur Le Point, (consulté le )
  27. « Christian Clavier est le seul acteur à avoir passé 4 fois les 10 millions d'entrées au box-office », sur Première (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

  • Alexandre Grenier, Génération Père Noël, éditions Belfond, 1994 (ISBN 2-7144-3216-6)
  • Bernard Boyé, Le Splendid, Éditions Autres Temps, 2011, coll. "Les légendes du cinéma français, 160 p., (ISBN 978-2845214170).
  • Jean-Jacques Jelot-Blanc, Le Splendid, Alphée, 2010, 475 p., préface de Patrice Leconte, (ISBN 978-2753805804).
  • Gilles Botineau (préf. Patrice Leconte), Christian Clavier, Splendid Carrière !, éditions Christian Navarro, , 240 p. (ISBN 9-782-914909-94-5).

Liens externes

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