Le Collet-de-Dèze
Le Collet-de-Dèze est une commune française, située dans le sud-est du département de la Lozère en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Collet.
Le Collet-de-Dèze | |
Vue sur le village. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Lozère |
Arrondissement | Florac |
Intercommunalité | Communauté de communes des Cévennes au Mont Lozère (siège) |
Maire Mandat |
Marc Soustelle 2020-2026 |
Code postal | 48160 |
Code commune | 48051 |
Démographie | |
Gentilé | Collétains |
Population municipale |
691 hab. (2019 ) |
Densité | 26 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 14′ 47″ nord, 3° 55′ 27″ est |
Altitude | Min. 260 m Max. 900 m |
Superficie | 26,47 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton du Collet-de-Dèze (bureau centralisateur) |
Législatives | Circonscription de la Lozère |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gardon d'Alès, le Dourdon et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Le Collet-de-Dèze est une commune rurale qui compte 691 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 508 habitants en 1806. Ses habitants sont appelés les Collétains ou Collétaines.
Géographie
Localisation
Le Collet-de-Dèze est située dans le sud du département de la Lozère et est limitrophe du Gard. Elle fait partie des Cévennes.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1990 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1 | 1,3 | 3,6 | 5,5 | 9,2 | 12,4 | 14,4 | 14,6 | 10,9 | 8,4 | 4 | 1,4 | 7,3 |
Température moyenne (°C) | 5,1 | 5,9 | 8,9 | 11 | 15 | 18,8 | 21,5 | 21,5 | 16,8 | 12,9 | 8,2 | 5,3 | 12,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,2 | 10,5 | 14,1 | 16,4 | 20,9 | 25,2 | 28,6 | 28,4 | 22,8 | 17,4 | 12,4 | 9,2 | 18 |
Record de froid (°C) date du record |
−8,5 12.01.03 |
−12 27.02.18 |
−11,5 01.03.05 |
−3,5 14.04.1998 |
0 01.05.04 |
3 05.06.01 |
7,3 03.07.1996 |
5 29.08.1998 |
3,2 29.09.1993 |
−4,2 31.10.1997 |
−7,5 18.11.07 |
−10 27.12.1996 |
−12 2018 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21 07.01.13 |
23 15.02.1998 |
27 31.03.12 |
29 09.04.11 |
33 30.05.01 |
41,5 28.06.19 |
37,5 24.07.19 |
40,5 12.08.03 |
35,5 03.09.16 |
30,5 03.10.11 |
24 16.11.15 |
19,5 04.12.13 |
41,5 2019 |
Précipitations (mm) | 151 | 93,9 | 79,5 | 133,1 | 139,7 | 72 | 39,3 | 66,3 | 179,5 | 244,4 | 215,7 | 174,7 | 1 589,1 |
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes[Note 3]. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[10].
La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[11],[12].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[13] : les « ruisseaux du Lauzas et des Pradasses » (6 ha), couvrant 2 communes dont une dans le Gard et une dans la Lozère[14], et la « vallée du Gardon d'Alès » (244 ha), couvrant 5 communes du département[15] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[13] :
- les « Hautes vallées des Gardons » (73 898 ha), couvrant 48 communes dont 27 dans le Gard et 21 dans la Lozère[16] ;
- la « montagne du Bougès » (13 110 ha), couvrant 13 communes dont une dans le Gard et 12 dans la Lozère[17].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Le Collet-de-Dèze est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[18],[I 1],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (95 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %), zones urbanisées (1,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,4 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Le bourg actuel est la réunion de quatre villages : le Collet, Dourdon, Dèze et la Bastide. Le hameau de Dèze est dominé par l’ancien castrum qui a donné son nom au pays de Dèze dont il était le chef-lieu. L'existence d'un habitat remonte aux temps celtiques.
La Réforme gagna tout ce pays dès 1561 et la quasi-totalité de la population embrassa la religion nouvelle. La révocation de l’Édit de Nantes et la persécution entraînèrent la conversion apparente de la population qui continua à s’assembler ; pendant la période du « Désert » dans des lieux écartés du bourg : vallon de Meyrières, Plau des Baïonnettes, « Ronc de Prego Diou ». Il est à noter que le temple protestant est l’un des 3 seuls temples en France construits avant la révocation de l’Édit de Nantes et qui a survécu aux destructions lors de la persécution des Huguenots.
Événements marquants des XIXe et XXe siècles :
- construction de la RN 106 dans les années 1880 et celle du chemin de fer Départemental (C.F.D) de Sainte-Cécile-d'Andorge à Florac en 1906 (fermeture de la ligne en 1968) ;
- construction du groupe scolaire H.-Gamala avec internat et d’une maison de retraite médicalisée de 40 lits.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune du Collet-de-Dèze est membre de la communauté de communes des Cévennes au Mont Lozère[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Collet-de-Dèze. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[21].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Florac, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 4].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Collet-de-Dèze pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[22].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].
En 2019, la commune comptait 691 habitants[Note 7], en diminution de 4,82 % par rapport à 2013 (Lozère : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 286 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 583 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 010 €[I 5] (20 420 € dans le département[I 6]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 7,2 % | 6,3 % | 11,1 % |
Département[I 8] | 5 % | 6,4 % | 7,1 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 358 personnes, parmi lesquelles on compte 68,5 % d'actifs (57,4 % ayant un emploi et 11,1 % de chômeurs) et 31,5 % d'inactifs[Note 9],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 10]. Elle compte 253 emplois en 2018, contre 198 en 2013 et 195 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 208, soit un indicateur de concentration d'emploi de 121,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 40,5 %[I 11].
Sur ces 208 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 114 travaillent dans la commune, soit 55 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 78,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1 % les transports en commun, 10,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de Dèzes (ruines) (propriété privée ; visite interdite).
- Le prieuré Saint-Jean-du-Chambon-de-Dèzes (ruines).
- Le temple protestant du XVIIe siècle (monument historique depuis le )[27].
- L'église Saint-Jean-l'Évangéliste du Collet-de-Dèze ou église du Puech de la Sabaterie, construite du au par le curé du Collet, l'abbé David Boussuge. À la place du clocher, une tour ronde fut élevée, en 1896, et surélevée par une statue de la Vierge.
- La tour de l'horloge (ancien beffroi du XVe siècle).
- Le pont Roupt.
- Les vieilles maisons du bourg.
- Les châteaux des environs (château de Calberte).
- Le site antique du Coudoulous
- La « grotte des Ladres ».
- Le signal de Lichères.
- La chaîne du Mortissou.
- Vue de la Nationale.
- Côté nord.
- Fronton.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune duCollet-de-Dèze » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 au Collet-de-Dèze » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 au Collet-de-Dèze » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 au Collet-de-Dèze » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 48051002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
- « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
- « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune duCollet-de-Dèze », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « ruisseaux du Lauzas et des Pradasses » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée du Gardon d'Alès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Hautes vallées des Gardons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « montagne du Bougès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « communauté de communes des Cévennes au Mont Lozère - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Lozère (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Temple », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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