Cuignières

Cuignières est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Cuignières

L'église Saint-Martin.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau Picard
Maire
Mandat
Philippe Farce
2020-2026
Code postal 60130
Code commune 60186
Démographie
Population
municipale
252 hab. (2019 )
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 27′ 05″ nord, 2° 28′ 28″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 163 m
Superficie 6,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Cuignières
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Cuignières
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Cuignières
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Cuignières

    Géographie

    Description

    Communes limitrophes.

    Cuignières est située dans le plateau picard, sensiblement au centre géographique du département du l'Oise, à 66 km au nord de Paris, 28 km à l'est de Beauvais, 26 km à l'ouest de Compiègne et à 51 km au sud d'Amiens[1].

    La commune a une superficie de 624 hectares[2]. « Elle est traversée par un large vallon selon un axe allant de Erquinvillers à Valescourt. À l'ouest, le plateau fait la transition avec la vallée de l'Arré. A l'est, les coteaux, plus abrupts marquent le point culminant de la commune (163 m), entre les bois du Quesnoy et de Serperon. Le point le plus bas (95m) se situe en aval du fond de Talmotte, à la limite sud du territoire. A flanc de coteau, le village se trouve à une altitude variant entre 115 et 145 mètres[2] ».

    Communes limitrophes

    Topographie et géologie

    La commune s'étend entre 95 et 163 mètres d'altitude. Située sur le plateau picard, elle est traversée par le large vallon du fond de Talmotte, dont l'origine se trouve à Erquinvillers sous le nom de vallée Madame. À l'ouest, le plateau fait la transition avec la vallée de l'Arré, tandis qu'à l'est, les coteaux sont plus abrupts laissant apparaître le point culminant de la commune. Ce dernier, entre les bois du Quesnoy et de Serperon au sud-est, est matérialisé par une borne géodésique de l'IGN. Le point le plus bas de commune de se situe en aval du fond de Talmotte, à la limite du sud du territoire avec Lamécourt. Le village, sur un coteau du fond de Talmotte, s'étale de 115 à 145 mètres au-dessus du niveau de la mer, près d'un petit vallon[3]. La commune se trouve en zone de sismicité 1, très faiblement exposée aux séismes[4].

    Hydrographie

    Il n'existe aucun cours d'eau traversant la commune.

    La présence du vallon de Talmotte montre toutefois l'ancienne présence de ruisseaux sur le territoire[3]. Les zones les moins élevées du territoire, dans le fond de Talmotte, sont situées au-dessus de plusieurs nappes phréatiques sous-affleurantes[5].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 702 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[12] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 26 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[16] à 10,6 °C pour 1981-2010[17], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels

    Hormis le bâti, qui s'étend sur 18,7 hectares, la surface communale est composée à plus de 85 % de cultures sur 536 hectares.

    Les espaces boisés sont majoritairement présents au sud-est avec les bois du Quesnoy, de Serperon et sur le coteau méridional du fond de Talmotte. On retrouve également quelques parcelles à l'est du village et au lieu-dit le Joug à l'ouest. Ils rassemblent 48 hectares, pour 7,6 % de la superficie.

    Enfin, la commune comprend 26 hectares de vergers et prairies[19],[3].

    Urbanisme

    Le village est marqué par la juxtaposition d'un bâti de briques et de pierres ancien, assez compact, souvent abrité par des murs de clôture relativement hauts, de constructions récentes, souvent pavillonnaires, plus lâches, moins compactes, qui se sont progressivement développées le long des voies, ainsi que dans des espaces interstitiels[2] ».

    Typologie

    Cuignières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[20],[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,7 %), forêts (6,9 %), zones urbanisées (5,3 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Hameaux et lieux-dits

    L'habitat communal se concentre uniquement dans le chef-lieu. Le seul écart est constitué par la coopérative agricole, entre le village et Erquinvillers[3].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 100, alors qu'il était de 93 en 2013 et de 86 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 90 % étaient des résidences principales, 3 % des résidences secondaires et 7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Cuignières en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 94,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (92,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Cuignières en 2018.
    Typologie Cuignières[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 90 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 7 7,1 8,2

    Voies de communications et transports

    La commune est traversée par 3 routes départementales : la RD 101, la RD 127 et laRD 570. La route départementale 127, de Fitz-James à Montiers est le principal axe communal. Il relie le chef-lieu aux villages voisins de Lamécourt au sud, qui donne accès par prolongement l'agglomération de Clermont et d'Erquinvillers et de Lieuvillers au nord. Cette route traverse le village par les rues d'En-Bas et de la Mare-aux-Saules. La route départementale 570 se détache de la D 127 au nord de la commune pour atteindre Avrechy et la route départementale 916, ex-route nationale 16 de Paris à Dunkerque par Amiens. La route départementale 101, de Bulles à Estrées-Saint-Denis, ne traverse qu'une courte portion du territoire communal entre Erquinvillers et Noroy. Une route communale relie la rue de l'Église à la D 570. Les rues de Clermont, de Rémécourt et de Noroy sont des routes communales se terminant en impasse au sortir du territoire[3].

    Les gares SNCF les plus proches sont celles d'Avrechy et de Saint-Remy-en-l'Eau à moins de 4 kilomètres à l'ouest. La gare de Saint-Just-en-Chaussée, mieux desservie, se trouve à 6,7 km au nord-ouest[1]. Ces gares sont toutes situées sur la ligne de Paris-Nord à Lille. où circulent les trains TER de la ligne 27 des TER Hauts-de-France, de Paris-Nord à Amiens (ligne 27).

    En 2015, la commune est desservie par le réseau ATRIOM du Compiégnois du conseil général de l'Oise par cinq lignes de transports scolaires, les deux premières vers le collège Louise-Michel de Saint-Just-en-Chaussée, les trois autres vers les établissements scolaires de l'agglomération de Clermont[27].

    En 2015, une navette de regroupement pédagogique intercommunal relie le village au groupe scolaire de Lieuvillers, avec les communes d'Erquinvillers et d'Angivillers[28].

    La commune fait partie d'un dispositif de transport solidaire autonome "Le rezo pouce" autostop volontaire" sécurisant et d'un rézo senior pour les ainés, organisé par la communauté de communes du Plateau Picard.[réf. nécessaire]

    Toponymie

    La localité a été dénommée Cuignères , Cuignier, Cungnieres, Coognieres , Cagnères (Cugneriæœ, Cuigneriæ, Coengneræ, Coonneriæ, Cuneriæ)[29].

    Ce nom est à rapprocher de Cotoniarias qui a donné Coignières dans les Yvelines : verger de cognassiers (latin cydonius).

    Histoire

    Erquinvillers est, au au Moyen Âge, une dépendance de Cuignières[30]. .

    La commune de Cuignières, instituée par la Révolution française absorbe de 1826 à 1835 celle d'Erquinvillers[29],[31].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2006[32] Daniel Mathey DVD[33] Ancien militaire
    Démissionnaire
    mars 2006 mars 2014 Marc Lavernhe    
    mars 2014 En cours
    (au 2 décembre 2021)
    Philippe Farce[34]   Réélu pour le mandat 2020-2026[35]


    Équipements et services publics

    En 2013, les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Lieuvillers, Angivillers, Cernoy, Erquinvillers et Noroy dans le cadre d'un regroupement pédagogique concentré dont l'école, construite en 2010, se trouve à Lieuvillers[36].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

    En 2019, la commune comptait 252 habitants[Note 8], en augmentation de 5 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    351316305281370285281271284
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    254233218196188198186181181
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    177181160158172158168158122
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    9996102119169177203211240
    2018 2019 - - - - - - -
    246252-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 13,4 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 120 hommes pour 126 femmes, soit un taux de 51,22 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    0,8 
    3,3 
    75-89 ans
    5,6 
    8,3 
    60-74 ans
    7,9 
    29,2 
    45-59 ans
    23,0 
    20,8 
    30-44 ans
    18,3 
    13,3 
    15-29 ans
    21,4 
    24,2 
    0-14 ans
    23,0 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Économie

    L'activité économique principale de la commune est agricole, puisque les 537 hectares de sa surface agricole utile sont à 90% occupés par les terres labourables, dédiées à la grande culture, notamment de céréales, de betteraves et de légumes.

    Outre trois exploitations et une coopérative agricole qui ont leur siège à Cuignières, le village compte également quelques artisans[2].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin (XVIe siècle), datant de 1598 (intérieur et son vitrail St Médard)
    • Ancien presbythère
    • Ancien puits
    • Calvaire, rue de la Mare-des-Saules
    • Calvaire, dans le village au coin de la rue de Clermont et la rue de l'Eglise
    • Calvaire, dans le cimetière
    • Calvaire vers la coopérative

    Personnalités liées à la commune

    • Famille de Cuignières, dont le premier connu est Yves de Cuignières qui signe l'acte de fondation des chanoines de Saint-Nicolas de Beauvais en 1078. Anséau de Cuignières voulant partir à la Quatrième croisade donne en aumône à l'abbaye de Saint-Just les dîmes de la paroisse de Cuignières dont il est le seigneur. Un fils d'Anseau s'établit au Plessis-Placy où il donne le nom de Cuignières à un fief[42]

    .

    • Le village est le lieu de naissance de Pierre de Cuignières, mort en 1355, grand conseiller des rois Philippe le Bel, Louis X, Philippe le Long et Charles le Bel. En 1329, il est chargé par le roi de soutenir le principe de la séparation des pouvoirs laïques et ecclésiastiques. Il possède le petit domaine de Saintines, près Crépy-en-Valois. En 1330, le roi lui confirme les privilèges seigneuriaux de cette terre et lui donne en outre le droit d'usage de la forêt de Cuise[29].

    Héraldique

    Blason
    D'hermine à un écusson en abîme de gueules, chargé d'un lion d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Cuignières », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. Philippe Ralny, « Rapport du commissaire-enquêteur sur le projet d'élaboration du PLU » [PDF], CC Plateau picard, (consulté le ).
    3. « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 28 mars 2015)..
    4. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Cuignières », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    12. « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Cuignières et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Cuignières et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Cuignières », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. « Transports en commun à Cuignières (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
    28. « Navette de regroupement pédagogique intercommunal », sur Oise mobilité (consulté le ).
    29. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Saint-Just-en-Chaussée, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 54-56.
    30. « Les communes de France à travers le temps », sur CommunesGenWeb (consulté le ).
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. « Les élections partielles au tribunal administratif », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Tout remonte à mars 2001. Daniel Mathey, qui vient de terminer son premier mandat de conseiller municipal, s'installe dans le fauteuil de premier magistrat, car le maire se retire ».
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    34. « Plateau picard : voici le visage de vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3283, , p. 21.
    35. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    36. Julien Barbare, « Jeux de classes, à qui perd gagne : L'école Bogaert de Saint-Just-en-Chaussée perdra une classe à la rentrée malgré la mobilisation précoce des parents. Alors que Lieuvillers gagnera une maternelle », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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    42. François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France : l'explication de leurs armes, & l'état des grandes terres du royaume, vol. 5, Paris, Vve Duchesne, , 761 p. (lire en ligne), p. 415, sur Google Books.
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