Lieuvillers
Lieuvillers est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Lieuvillois et les Lieuvilloises.
Lieuvillers | |||||
L'église Saint-Hilaire et le logis seigneurial. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Plateau Picard | ||||
Maire Mandat |
Michaël Negi 2020-2026 |
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Code postal | 60130 | ||||
Code commune | 60364 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lieuvillois, Lieuvilloises | ||||
Population municipale |
705 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 75 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 28′ 15″ nord, 2° 29′ 47″ est | ||||
Altitude | Min. 92 m Max. 159 m |
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Superficie | 9,41 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | lieuvillers.eu | ||||
Géographie
Topographie et géomorphologie
Le territoire de Lieuvillers offre l'aspect d'un vaste plateau ondulé, partie intégrante du plateau Picard où se situe le point culminant de la commune, au nord à 159 mètres d'altitude. Il est entaillé de quelques vallées sèches tel la vallée des Frénaux, le fond de la Payelle au nord ainsi que la fosse Mayard et le fond des Nœuds à l'est s'orientant vers le bassin versant de l'Aronde. La vallée des Serans au sud-ouest se dirige quant à elle vers la vallée de l'Arré. Le point le plus bas de la commune se situe dans le fond des Nœuds à 92 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le village est construit entre 120 et 130 mètres et la coopérative agricole à 116 mètres[1]. La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[2].
Hydrographie
La commune de Lieuvillers, située à cheval sur les bassins versants de l'Aronde et de l'Arré n'est traversée par aucun cours d'eau permanent. Les vallées sèches sont alimentées par les ruissellements durant les pluies[1]. Les zones les plus basses du territoire sont situées au-dessus de plusieurs nappes phréatiques sous-affleurantes[3].
Relief, paysage, végétation
Hormis les espaces bâtis couvrant 39 hectares pour 4 % de la surface communale, le territoire comprend 92 % d'espaces cultivés sur 876 hectares ainsi que 16 hectares de vergers et de prairies. Les seuls espaces boisé subsistants sont les bois de Lieuvillers, au nord-est et de vallée des Serans au sud-ouest totalisant 25 hectares[4],[1].
Hameaux et lieux-dits
L'essentiel de l'espace bâti se concentre au chef-lieu. Seule la coopérative agricole se situe en retrait au nord du village[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[11] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 28 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[15] à 10,6 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme et aménagement du territoire
Lieuvillers est un village établi au sommet du coteau de la fosse Maillart. Il est principalement articulé autour de la Grande Rue. Une zone pavillonnaire le prolonge au sud[1].
Voies de communications et transports
La commune est traversée par quatre routes départementales : la D 47, la D 101, la D 127 et la D 571. La courte route départementale 571 se détache de la D 916 au niveau de Valescourt, constitue la Grande-Rue d'ouest en d'est, voie principale du chef-lieu. Elle se termine au niveau de la rue du 134e-Bataillon-de-Chars. Cette constitue D 127, axe nord-sud reliant Fitz-James à Montiers. La D 47 se détache de la D 127 au nord du village en se dirigeant vers Rocquencourt. La D 101, de Bulles à Estrées-Saint-Denis croise la D 571 à l'ouest de la commune. La D 916, ancienne route nationale 16 de Paris à Dunkerque par Amiens longe une partie de la limite communale sud-ouest[1].
La gare SNCF la plus proche est située à Saint-Remy-en-l'Eau à 5 km à l'ouest sur la ligne Paris - Amiens. La gare de Saint-Just-en-Chaussée, davantage desservie, se trouve à 6 km au nord-ouest sur la même ligne[18].
La commune est desservie par le réseau ATRIOM du Compiégnois du conseil général de l'Oise par la ligne 47 reliant Saint-Just-en-Chaussée à Compiègne et la ligne C2 reliant Cauvigny à Fournival ainsi par une ligne de transport scolaire vers le collège de Saint-Just-en-Chaussée[19]. La commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des 8 points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[20]. Deux navettes de regroupements pédagogiques intercommunaux relient le village aux communes voisines, la première à Cernoy et Noroy[21], la seconde vers Angivillers, Erquinvillers et Cuignières[22]
L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 28 km à l'ouest[18] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 52 km au sud[18]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.
Localisation
Lieuvillers est une commune située à 69 km au nord de Paris, 30 km à l'est de Beauvais, 25 km à l'ouest de Compiègne et à 49 km au sud d'Amiens[18].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[11] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 28 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[15] à 10,6 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Lieuvillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[25],[26],[27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire regroupe 1 929 communes[28],[29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,3 %), zones urbanisées (5,7 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[31].
Histoire
Antiquité
Le village de Lieuvillers a une origine fort ancienne, à l'époque gallo-romaine une voie traversait la partie ouest du village. Des traces d'occupation ont été révélées en 1654 dans les fondations d'un vieux bâtiment de petites statues de Cérès (déesse de l'agriculture selon la mythologie romaine).
Moyen Age
De nombreuses histoires locales évoquent les exactions et les pillages que la population a dû subir lors de l'invasion des Normands, des guerres des comtes de Flandre contre les rois de France, de la guerre de Cent Ans, des invasions bourguignonnes et espagnoles.
Époque contemporaine
Les souvenirs sont plutôt faibles du passage des Cosaques en 1815 et de l'armée prussienne en 1870.
Première Guerre mondiale
Durant la Première Guerre mondiale, Lieuvillers fut à proximité du front (tranchées et impacts d'obus encore visibles dans le bois avoisinant) mais les dégâts matériels ne furent que très limités.
Seconde Guerre mondiale
Au cours de la bataille de France de 1940, Lieuvillers fut le théâtre d'un combat de chars qui opposa le 34e bataillon de chars français à la 10e division de Panzer allemande, le . Le 34e bataillon fut anéanti. Le 24e régiment de tirailleurs sénégalais et le 12e régiment d'artillerie coloniale de la 4e division d'infanterie coloniale prirent la relève et décrochèrent vers 21 heures. Les prisonniers africains furent massacrés dans une cour de ferme par les Allemands.
À la Libération du village en 1944, la ferme la Folie fut incendiée puis détruite à la suite d'un bref combat entre des blindés allemands et des parachutistes belges.
Fin du XXe siècle
En 1990, la mairie a été ravagée par un incendie qui a causé la perte de nombreux documents, cet événement marqua durablement la population.
Politique et administration
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2019, la commune comptait 705 habitants[Note 10], en augmentation de 10,68 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 329 hommes pour 377 femmes, soit un taux de 53,4 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
- Église Saint-Hilaire : de style néogothique, elle date du XIXe siècle.
- Vestige du manoir seigneurial (XVIe siècle) : il appartenait au seigneur de Vignecourt.
- Arboretum : réalisé en 1994, il contient plus de 120 espèces d'arbres et constitue le principal espace vert du village.
- Stèle érigée en hommage aux parachutistes du , au carrefour des routes départementales D 101 et D 571.
Lieuvillers fait partie des villages fleuris de France depuis 1968, trois fleurs attribuées en 2007 par le Conseil des Villes et villages fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[40].
Lieuvillers possédait de nombreux souterrains dont plusieurs ont été mis au jour lors de travaux d'adduction d'eau. Ils seraient reliés au village voisin de Pronleroy et il est fort probable que les habitants y descendaient lors d'éventuelles menaces.
Personnalités liées à la commune
- Antoine Constantin De Prévost (1788-1857) : général de division en 1848 puis sénateur en 1854.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[23].
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[24].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 16 mai 2017)..
- « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Lieuvillers », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
- « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lieuvillers et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lieuvillers et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Transports en commun à Lieuvillers (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
- « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard », sur Oise Mobilité (consulté le ).
- « Navette de regroupement pédagogique intercommunal 1er car », sur Oise mobilité (consulté le ).
- « Navette de regroupement pédagogique intercommunal 2eme car », sur Oise mobilité (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
- « Lieuvillers », Cartes de France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lieuvillers (60364) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise, .
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