La Boisse

La Boisse est une commune française située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes. En outre, elle fait partie de l'unité urbaine de Lyon.

Pour les articles homonymes, voir Boisse.

La Boisse

L'église de La Boisse.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Bourg-en-Bresse
Intercommunalité Communauté de communes de la Côtière à Montluel
Maire
Mandat
Gérard Raphanel
2020-2026
Code postal 01120
Code commune 01049
Démographie
Gentilé Buissards
Population
municipale
3 283 hab. (2019 )
Densité 349 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 50′ 34″ nord, 5° 02′ 11″ est
Altitude Min. 179 m
Max. 319 m
Superficie 9,4 km2
Unité urbaine Lyon
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Miribel
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
La Boisse
Géolocalisation sur la carte : France
La Boisse
Géolocalisation sur la carte : Ain
La Boisse
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
La Boisse
Liens
Site web ville-laboisse.fr

    Cette commune de la Côtière, placée à l'entrée de Montluel, a connu un développement démographique similaire à celui de la région naturelle : la population de la commune a triplé en une cinquantaine d'années, phénomène principalement dû à l'installation de nouveaux habitants installés en maisons individuelles : en 2009, l'habitat collectif représente 13 % des logements à La Boisse, 80 % de la population est propriétaire de sa résidence principale.

    Ses habitants sont appelés les Buissards[1].

    Géographie

    Localisation

    Territoire communal de La Boisse.

    La Boisse appartient à la région naturelle de la Côtière.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de La Boisse
    Tramoyes Montluel Montluel
    Beynost Dagneux
    Thil Niévroz Niévroz

    Climat

    Le climat y est de type semi-continental avec des influences méditerranéennes : les étés sont chauds et ensoleillés et les hivers rigoureux.

    Le tableau suivant donne les moyennes mensuelles de température et de précipitations pour la station de Lyon-Bron recueillies sur la période 1961 - 1990. La station météo de Lyon Bron est située à environ 16 km à « vol d'oiseau » de La Boisse. Elle se trouve à une altitude de 200 m.

    Relevés météorologiques de la station de Lyon-Bron 1961-1990
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −0,4 1 2,8 5,5 9,3 12,6 15 14,4 11,7 8,2 3,4 0,4 7
    Température moyenne (°C) 2,6 4,5 7,2 10,3 14,3 17,9 20,8 20 17,1 12,5 6,7 3,2 11,4
    Température maximale moyenne (°C) 5,7 8,1 11,6 15,2 19,4 23,2 26,6 25,6 22,4 16,8 10,1 5,9 15,9
    Précipitations (mm) 54,1 54,5 62,9 67,8 86 76,6 60,6 76,7 75,2 79,5 71,4 59,2 824,8
    Humidité relative (%) 84 80 74 71 72 70 65 70 76 82 84 86 76
    Source : Infoclimat[2]
    Relevés météorologiques de la station de la station de Lyon-Bron 1961-1990
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Nombre de jours avec gel 15,1 11,5 8,2 1,8 0 0 0 0 0 0,5 6,6 14,5 58,3
    Source : Infoclimat[2]

    Relief et géologie

    La superficie de la commune est de 940 hectares ; son altitude varie entre 179 et 319 mètres[3].

    À l'instar de certaines communes situées à proximité de La Boisse — en particulier Neyron, Miribel, Saint-Maurice-de-Beynost et Beynost — la commune est en termes de relief, séparée en deux parties distinctes[4] : au sud la zone la moins élevée culminant à environ 170 m. Plus au nord, la route départementale « RD 1084 » (anciennement la route nationale 84 et connue sous l'appellation « route de Genève ») marque les prémices du coteau qui culmine à 319 m. Ce coteau débouche sur ce qui devient ensuite le plateau de la Dombes ; il est également l'explication de la toponymie de la Côtière.

    Hydrographie

    La commune de La Boisse est traversée par la Sereine[5], cours d'eau de 24,8 km qui rejoint le canal de Miribel à Saint-Maurice-de-Beynost, ainsi que par l'Ancienne Rivière[6], cours d'eau d'un km de long, lui-même affluent de la Sereine. Enfin, le ruisseau des Ormes[7], long de km coule dans les cantons de Miribel et de Montluel et en particulier à La Boisse. C'est un affluent du ruisseau des Échets.

    Enfin, la commune est particulièrement exposée au risque naturel d'inondations en raison des crues de la Sereine et dans une moindre mesure à cause des ruissellements sur le « coteau ». Ce risque induit une politique dédiée de prévention des risques naturels à La Boisse.

    Voies routières

    Le dernier tronçon de l'A432 entre Les Échets et La Boisse, est ouvert depuis . Il a fait l'objet de travaux, notamment de la construction du viaduc de la Côtière, à La Boisse et à Beynost, entre 2008 et 2011[8].

    La commune est donc desservie par deux autoroutes dont l'échangeur est à la Boisse ; entre : l'A42 (sortie de La Boisse) et l'A432.

    Transport ferroviaire

    Le viaduc de l'A432 en construction en décembre 2009.

    Un TER Rhône-Alpes de la ligne 35, reliant Lyon-Perrache à la Gare de Chambéry - Challes-les-Eaux dessert un certain nombre de gares de la Côtière, dont la plus proche de La Boisse est la gare de Montluel.

    Voilà quelques années [Quand ?], la ligne 35 desservait la halte SNCF de La Boisse ; aujourd'hui la gare n'est plus en service.

    Le viaduc construit entre 2008 et 2011, le viaduc de la Côtière, qui fait la jonction de l'A432 entre Les Échets et La Boisse est parallèle à un premier viaduc nommé à l'identique, le viaduc ferroviaire de la Côtière qui lui est utilisé par une ligne TGV[9].

    À noter que La Boisse est directement concernée par le projet de contournement ferroviaire de l'agglomération lyonnaise (CFAL) dont le tracé devrait concerner treize autres communes de la Côtière[10]. En effet, le tracé envisagé passe par le territoire de la commune.

    Transports routiers

    Les cars départementaux du conseil général de l'Ain, ont plusieurs arrêts sur le territoire de la commune, en particulier sur la route départementale RD 1084, anciennement la route nationale 84, appelée également route de Genève : la ligne 132 (entre Bourg-en-Bresse et Lyon) et la ligne 171 (entre Montluel et Lyon).

    Urbanisme

    Typologie

    La Boisse est une commune urbaine[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[14] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,2 %), zones urbanisées (17,3 %), forêts (14 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 1 157, alors qu'il était de 1 004 en 1999[Insee 1].

    Parmi ces logements, 92,4 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 85,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 13,2 % des appartements[Insee 2].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 80,0 %, en légère hausse par rapport à 1999 (78,5 %)[Insee 3].

    Toponymie

    La Boisse aurait un sens originel signifiant pays boisé[20]. La succession des différents toponymes usités est : Buxia, Buysse puis Boysse[20].

    Histoire

    Antiquité

    Avant la conquête romaine, le territoire du département de l'Ain est occupé par le peuple gaulois des Ambarres, dont le nom signifie « vivant des deux (amb) côtés de la Saône (Arar, la Saône) ». Cette terminologie se retrouve également dans le nom d'Ambérieux-en-Dombes en amont du Rhône, au nord-est de La Boisse.

    Un certain nombre de découvertes archéologiques relatives à l'antiquité ont été réalisées à La Boisse[c 1] :

    • en 1980, lors de prospections préalables à la construction de l'A42, une villa gallo-romaine datant probablement du Ier siècle a été découverte au lieu-dit « les Vernes ». De nombreux objets ont été trouvés sur le chantier ; en particulier une monnaie en bronze de Néron ;
    • à proximité, au lieu-dit « les Cabrunes »[c 2], a été découvert un bâtiment du IVe siècle ;
    • aux « Gravelles », une nécropole, elle aussi du IVe siècle a été découverte, avec en particulier un sarcophage d'enfant en plomb. Un peu plus loin, un autre sarcophage  d'adulte celui-ci  a été déposé au musée de Brou.

    Moyen Âge

    Le territoire de la Savoie du XVIe au XVIIIe siècle.

    Paroisse (Ecclesia de Buxa, de Buxia, de Buyssia, ad Buisi, de Bussia, de la Buissy, de la Boesse, La Boysse) sous le vocable de l'Assomption. Vers 1080, saint Géboin, archevêques de Lyon, donne l'église de la Boisse, avec toute sa paroisse, c'est-à-dire, explique Pacte, avec ses deux chapellenies de Montluel et de Girieu, à l'ordre de Saint Ruf, qui y établit un prieuré. Cette donation esr confirmée par archevêque de Lyon, Hugues Ier, successeur de saint Géboin, le , par les papes Urbain II, Calixte II, Anastase IV, Urbain III, Innocent III, etc.

    Au Moyen Âge, La Boisse dépend du mandement de Montluel et donc de la seigneurie de Montluel. C'est le chevalier Humbert Ier de Montluel qui initie la construction du monastère[réf. nécessaire]. Outre le prieuré, la paroisse inclura par la suite, la chapelle Saint-Barthélémy de Montluel, l'église Saint-Étienne de Montluel ou encore la chapelle de Girieu, aujourd'hui simple lieu-dit de La Boisse.

    L'église métropolitaine et les chapitres de Saint-Paul et d'Ainay possédaient, dans cette paroisse, des rentes et des fonds qu'ils avaient acquis aux XIIe et XIIIe siècles.

    La bâtie de la Boisse est un enjeu au cours du conflit delphino-savoyard. Appartenant au comte de Savoie Amédée V, elle est prise par les armées dauphinoises de Jean II du Viennois et détruite[21]. Le traité du , signé dans l'église de Villard-Benoît, oblige le dauphin à rendre la place au comte de Savoie[21].

    En 1326, la seigneurie passe sous domination Dauphinoise. En 1343, elle est vendue aux Capétiens-Valois. Enfin, le traité de Paris de 1355 donne Montluel à Amédée VI de Savoie et fait ainsi de la seigneurie une place forte frontalière des États de Savoie.

    Renaissance

    La Renaissance voit le rattachement progressif de la Dombes à laquelle appartient alors La Boisse, à la France. En 1523, François Ier institua alors un Parlement afin d'administrer la Dombes en son nom : le parlement de Dombes qui siégea d'abord à Lyon, par « territoire emprunté ».

    Du temps de Guichenon (1604-1667), on voyait derrière l'église, sur un tombeau, l'épitaphe suivante: Anno Domini MCCCIII fuit factum hoc sepulchrum per Martinum de Civrieu et Petronillam ejus uxorem Hicjacet Petrus Job, pater dictoe Petronilloe et Patrouilla ejus mater. La pierre portant cette inscription fut utilisée comme passerelle sur un ruisseau.

    Politique et administration

    Élections présidentielles

    Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

    Élections cantonales

    Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :

    Élections municipales

    La commune ayant moins de 3 500 habitants l'élection des conseillers municipaux est au scrutin majoritaire[26] plurinominal à deux tours, avec panachage :

    • au premier tour, des candidats sont élus s'ils ont obtenu la majorité absolue et le vote d'au moins le quart des électeurs inscrits[27] ;
    • au second tour, la majorité relative suffit. Les listes ne sont pas obligatoires. Les suffrages sont comptabilisés individuellement, et le panachage est autorisé.

    De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 23 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[28]).

    Lors du scrutin de 2008 il y eut un seul tour (23 élus dès le premier tour), François Drogue a donc été élu conseiller municipal au premier tour avec le 23e total de 701 voix (65,68 % des exprimés), il a ensuite été élu maire par le conseil municipal.

    Répartition

    La Boisse comptant moins de 3 500 habitants, lors des élections municipales, les listes ne sont pas obligatoires. Les suffrages sont comptabilisés individuellement, et le panachage est autorisé[29].

    De plus, dans les communes de moins de 3 500 habitants, les électeurs ont le droit de ne pas respecter les listes de candidats, en votant pour des citoyens n'ayant pas déclaré leur candidature ou en votant pour des candidats issus de listes différentes[30].

    En l'occurrence, ce sont les modalités de l'élection municipale de La Boisse en 2008, au cours de laquelle 23 conseillers municipaux furent élus[31].

    Liste des maires

    Plaque de la place Marcel-Viénot à La Boisse.

    De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.

    De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII () revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.

    Du à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.

    De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.

    Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal à la suite de son élection au suffrage universel.

    Liste de l'ensemble des maires qui se sont succédé à la mairie de la commune :

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1908 1938 Joseph Guinet    
    1938 1945 Louis-Marie Ecuer   Dessinateur industriel
    1945 1977 Marcel Vienot FGDS Conseiller juridique
    1977 2001 Marc Plantier    
    2001 mai 2020 François Drogue DVD Retraité
    mai 2020 En cours Gérard Raphanel[32]    

    Politique environnementale

    Le risque d'inondations dues aux crues de la Sereine est particulièrement élevé à La Boisse ; en effet, la commune a connu entre cinq et dix inondations ayant fait l'objet d'un arrêté de catastrophe naturelle entre 1982 et 2006[33]. La commune de la Boisse est donc partie prenante du plan de prévention du risque inondation mis en place.

    En l'occurrence un projet de plan de prévention des risques « crues de la Sereine, crues torrentielles[Note 3] et mouvements de terrain » a été soumis à enquête publique et donc à la population du au [34]. Entre autres aspects, le dossier évoque les grandes crues de la Sereine de 1889, 1911, 1993 et février 2009[35].

    Le , le conseil municipal de La Boisse, décide ne pas « contester la globalité des conclusions actuelles (zonage et règlement) » même si et entre autres[36] :

    • le débit de la Sereine de 60 m3/s retenu par la modélisation n'a pas l'objet de mesure officielle ;
    • celui-ci demande la révision de « la classification de certains terrains libres de construction dans deux secteurs ».

    Le boisement humide de La Boisse est une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1.

    Jumelages

    Situation d'Ostfildern et de Montluel.
    Localisation d'Ostfildern en Allemagne.

    La Boisse est jumelée avec Ostfildern (Allemagne)[37] dans le cadre de l'association de jumelage entre cette ville allemande d'une part, Montluel et sa communauté de communes d'autre part. Ce jumelage existe depuis 1978.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].

    En 2019, la commune comptait 3 283 habitants[Note 4], en augmentation de 12,16 % par rapport à 2013 (Ain : +5,32 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    787635853900886882887913915
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    898907893829841752744764752
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    759750748623712816836809984
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 2021 4571 7511 9592 4192 7092 7462 7532 928
    2015 2019 - - - - - - -
    2 9373 283-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,7 % la même année, alors qu'il est de 23,4 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 623 hommes pour 1 607 femmes, soit un taux de 50,25 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (49,33 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ou +
    0,0 
    6,4 
    75-89 ans
    6,9 
    13,5 
    60-74 ans
    15,3 
    21,2 
    45-59 ans
    20,9 
    19,8 
    30-44 ans
    21,1 
    15,9 
    15-29 ans
    14,2 
    22,7 
    0-14 ans
    20,6 
    Pyramide des âges du département de l'Ain en 2018 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,6 
    5,9 
    75-89 ans
    7,9 
    15,1 
    60-74 ans
    15,7 
    21,1 
    45-59 ans
    20,5 
    19,9 
    30-44 ans
    19,8 
    16,6 
    15-29 ans
    15,3 
    20,8 
    0-14 ans
    19,1 

    Enseignement

    La commune est dotée d'une crèche, d'une école maternelle, d'une école primaire et depuis les années 2000, d'un lycée, le lycée de la Côtière.

    Les deux collèges les plus proches sont le collège Émile-Cizain à Montluel et le collège Louis-Armstrong situé à Beynost, à proximité immédiate de la « frontière » entre Beynost et La Boisse.

    Manifestations culturelles et festivités

    Outre les traditionnels vœux du maire en janvier, mois qui voit également se dérouler le loto du comité paroissial et la soirée du club de football du FC Luenaz, un certain nombre de festivités ponctuent l'année[44] : entre autres, le loto du sou des écoles en février, le carnaval des écoles en mars, le vide-greniers en avril et le repas Faubourg en fête en septembre. En décembre, la Fête des Lumières est particulièrement suivie, nombre d'habitations de la ville étant alors illuminées de bougies.

    En mai, La Boisse est partie prenante du festival de contes Contes en Côtière organisé par la communauté de communes du canton de Montluel, même si aucune session ne se déroule sur le territoire de la commune[45].

    En , la commune accueille le congrès annuel de la Fédération Nationale des Gardes Champêtres (FNGC)[46].

    Santé

    Un certain nombre de praticiens indépendants sont installés à La Boisse en particulier en médecine générale, en soins dentaires et en soins infirmiers.

    Le service d'urgence le plus proche est celui de la clinique Lyon Nord à Rillieux-la-Pape.

    À noter également, l'implantation d'un Point Accueil Solidarité à Montluel.

    FC Luenaz


    Logo et maillot du club

    La commune de la Boisse est dotée d'un club de football, le Football Club Luenaz, fondé le [47] et dont le siège est localisé au foyer des Gravelles (route de Balan) à La Boisse.

    En 2011, le président est Yves Gautheron[47].

    L'équipe première entraînée, lors de la saison 2010-2011, par Philippe Nallamoutou[47] et Michel Parrassin, évolue en excellence départementale. Elle joue ces matchs à domicile sur les stades des communes de La Boisse, de Niévroz ou de Thil, sous ses couleurs à domicile : améthyste et blanc.

    Le FC Luenaz résulte d'une fusion[47] opérée en 1992 entre le club historique de la commune, l’Union Sportive Buissarde et le club de Niévroz, la Société sportive de Niévroz. Après cette fusion, le club comptait 200 licenciés.

    En 1996, le FC Luenaz intègre un autre club de la région : l’Association Sportive de Thil. À la suite de cette intégration, les effectifs du club parviennent à environ 250 licenciés[47].

    Les effectifs dépassent les 300 licenciés[47] et se répartissent d'une l'école de foot jusqu'aux vétérans, en passant par l'équipe première.

    Depuis 2006, le club dispose d'une équipe féminine.

    En 2011, un nouveau projet de fusion entre le FC Luenaz et le club de l'Inter Dombes-Côtière de Montluel — à l'initiative de ce dernier — semble rencontrer un ferme désaccord des dirigeants du FC Luenaz[48].

    Médias

    Le journal Le Progrès propose une édition quotidienne dédiée à la Dombes et à la Côtière. Citons également La Voix de l’Ain, un hebdomadaire qui propose des informations locales pour les différentes régions du département de l'Ain. Autre hebdomadaire traitant de la vie locale, Le Journal de La Côtière.

    La chaîne France 3 Rhône Alpes Auvergne est disponible dans la région.

    Une station radio locale émet depuis Montluel, la Fréquence Côtière[49]. Depuis les années 2000, son nom a évolué pour devenir la station FC radio, l'essentiel.

    Cultes

    Porte d'entrée de l'église de La Boisse.

    les Buissards disposent d'un lieu de culte catholique : l'église Notre-Dame-de-l'Assomption.

    À proximité immédiate de La Boisse, à Montluel, sont implantées deux salles de prières du culte musulman[50].

    Un mémorial juif incluant également un cimetière juif est localisé sur le territoire de la commune.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2009, la proportion de foyers imposables était de 68,9 %[Insee 4].

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 39 184 , ce qui plaçait Miribel au 2 930e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[51].

    Emploi

    En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 1 825 personnes, parmi lesquelles on comptait 76,5 % d'actifs dont 71,0 % ayant un emploi et 5,4 % de chômeurs[Insee 5].

    On comptait 905 emplois dans la zone d'emploi, contre 803 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 1 305, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 5] est de 69,5 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre seulement deux emplois pour trois habitants actifs[Insee 6].

    Population de 15 ans ou plus selon la catégorie socioprofessionnelle

      Agriculteurs Artisans, commerçants, chefs d'entreprise Cadres, professions intellectuelles Professions intermédiaires Employés Ouvriers Retraités Autres personnes sans activité professionnelle
    La Boisse
    (2009)
    0,0 % 4,2 % 10,9 % 21,9 % 13,9 % 14,1 % 21,7 % 13,2 %
    La Boisse
    (1999)
    0,8 % 5,5 % 6,7 % 17,0 % 13,8 % 14,0 % 20,4 % 21,7 %
    Sources des données : INSEE[Insee 7]

    Une agence Pôle emploi pour la recherche d'emploi est localisée à proximité de La Boisse, sur le territoire de Miribel. De cette agence dépendent le canton de Miribel, Niévroz, Montluel et donc, La Boisse.

    Entreprises et commerces

    Au , La Boisse comptait 210 établissements : 6 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 24 dans l'industrie, 30 dans la construction, 120 dans le commerce-transports-services divers et 30 étaient relatifs au secteur administratif[Insee 8].

    En 2011, 26 entreprises ont été créées à La Boisse[Insee 9], dont 15 par des auto-entrepreneurs[Insee 10].

    Plusieurs entreprises sont implantées sur le territoire de la commune, en particulier sur la ZAC du Petit Rosait, sur la zone industrielle (rue des Prés Seigneurs) et sur la zone artisanale (chemin du Pré Molliet). Depuis 2018, a été mise en place la ZAC des Viaducs, sur 70 000 m2 à la limite de Beynost[52]. À proximité immédiate se trouve l'entreprise RTE, gestionnaire du réseau public de transport d'électricité français (rue du Pré Mayeux) et plus précisément le siège du Groupe Maintenance Réseau Lyonnais dans lequel on trouve les équipes chargées de la maintenance de tous les postes électriques du Grand Lyon. On peut également citer le constructeur de climatisation Carrier.

    Il existe un certain nombre de petits commerçants, notamment le long de la route de Genève (l'ancienne route nationale 84) ; de plus, un Bricomarché est localisé le long de cette route.

    On peut également citer la présence d'un Intermarché implanté sur le territoire de la commune.

    Culture et patrimoine

    Monuments civils

    Le monument aux morts de la ville de La Boisse.
    • À proximité de la statue communale de Marie immaculée, se trouve le Monument aux morts de La Boisse.
    • Château du Petit-Casset, impasse du Petit-Casset, dont l'entrée fait face à l'hôtel qui porte le même nom.

    Monuments religieux

    Vue du Mémorial juif.

    L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de La Boisse et son presbytère datent du Xe siècle ; l'église a la particularité de présenter un clocher à tour carrée. À proximité, se trouve la statue de Marie immaculée, érigée en 1868 par la commune de La Boisse.

    le Mémorial juif a été créé en 1970 en hommage aux victimes déportées et exterminées à Auschwitz Birkenau ; un cimetière jouxte le Mémorial. À quelques centaines de mètres du Mémorial, à Dagneux, est localisé un cimetière militaire allemand.

    Monuments détruits

    Vue du château du Grand-Casset.
    • La commune comptait également le château du Grand-Casset dans son patrimoine. Anciennement propriété de Louis Andrieux, homme politique français et père naturel de Louis Aragon, le château du Grand-Casset, appelé également « Maison maison Georges-Lapierre », accueillait des enfants et des jeunes en grande difficulté sociale[53]. Il est détruit en 2017 à cause du risque d'écroulement[54].

    La Boisse et le cinéma

    Personnalités liées à la commune

    • Louis Andrieux (1840 - 1931), homme politique français et propriétaire du château du Grand-Casset, considéré[20] comme un bienfaiteur de La Boisse. Il est également le père naturel de Louis Aragon.
    • Marcel Vienot (né le en Lorraine et mort le )[57] fut maire de La Boisse pendant 32 ans, de 1945 à 1977. En 2013, la place de la mairie est baptisée "Place Marcel-Vienot"[57].

    Héraldique

    La commune de La Boisse porte:

    D'azur à la bande d'or, au lion de sable brochant sur le tout.


    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. provenant du coteau de la Côtière.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    5. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    • André Buisson, Carte archéologique de la Gaule : 01. Ain, Paris, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, , 192 p. (ISBN 978-2-87754-010-0, lire en ligne)
    1. p. 112.
    2. p. 113.
    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
    4. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
    5. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    6. EMP T5 - Emploi et activité.
    7. POP T5 - Population de 15 ans ou plus selon la catégorie socioprofessionnelle.
    8. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
    9. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
    10. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.
    • Autres références :
    1. David Malescourt, « Nom des habitants des communes françaises, La Boisse », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
    2. « Lyon-Bron, 200 m - [1961-1990] », sur www.infoclimat.fr (consulté le ).
    3. Répertoire géographique des communes, Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    4. « Carte géologique de La Boisse » sur Géoportail.. Consulté le 7 juin 2011.
    5. Fiche de la Sereine sur le site du Sandre.
    6. fiche de l'Ancienne Rivière sur le site du Sandre.
    7. « Fiche du ruisseau des Ormes », sur SANDRE.
    8. « Une nouvelle passerelle pour la Dombes et la Côtière », sur aprr.com (consulté le ).
    9. « LGV Rhône-Alpes », sur routes.wikia.com (consulté le ).
    10. Olivier Leroy, « Cfal : l’enquête publique est lancée, l’opposition au projet ne faiblit pas », sur www.leprogres.fr, (consulté le ).
    11. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    14. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    15. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le )
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Histoire de La Boisse au fil des âges », sur le site de la commune de La Boisse (consulté le ).
    21. Alain Kersuzan, Défendre la Bresse et le Bugey : Les châteaux savoyards dans la guerre contre le Dauphiné (1282 - 1355), Lyon, Presses universitaires de Lyon, coll. « Histoire et Archéologie médiévales », , 433 p. (ISBN 2-7297-0762-X, lire en ligne), chap. 14, p. 54-56.
    22. Résultats de l’élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 06/06/2011.
    23. Résultats de l’élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 06/06/2011.
    24. Résultats de l’élection cantonale 2011 sur le site du journal Le Monde. Consulté le 06/06/2011.
    25. Résultats de l’élection cantonale 2004 sur le site du journal Le Monde. Consulté le 06/06/2011.
    26. Source : art L. 252 du code électoral.
    27. Source : art L. 253 du code électoral.
    28. « nombre des membres du conseil municipal des communes », Legifrance.
    29. Source : art L. 256 du code électoral.
    30. Source : art L. 257 du code électoral.
    31. « La Boisse - Ain (01120), résultats des élections », sur le site linternaute.com de la société Benchmark Group (consulté le ).
    32. La Boisse Gérard Raphanel élu maire, 27 mai 2020
    33. « Évènements d'inondation vécus par le département de l'Ain depuis fin 1982 jusque début 2006 », sur le site de l'observatoire départemental de l'eau de l'Ain (consulté le ).
    34. « Commune de La Boisse - Enquête publique sur le plan de prévention des risques », sur Direction départementale des territoires de l'Ain (consulté le ).
    35. [PDF] « Carte des évènements historiques », sur le site de la direction départementale des territoires de l'Ain (consulté le ).
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    37. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur cncd.fr, le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Boisse », (consulté le ).
    43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Ain (01) », (consulté le ).
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    48. « La Boisse. Football-FC Luénaz : « seul Inter Dombes Côtière a besoin de la fusion » », sur le site du quotidien Le Progrès (consulté le ).
    49. La station de radio FC radio, sur 100ansderadio.free.fr
    50. « Mosquée et salles de prières en France », sur www.portail-religion.com (consulté le ).
    51. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    52. « ZAC des Viaducs : les travaux avancent. - Communauté de communes de la Côtière », sur www.ville-montluel.fr (consulté le )
    53. Laurence Raverot, « La Boisse - Visite au cœur de la maison d'enfants Georges Lapierre », Voix de l'Ain, (lire en ligne).
    54. La Boisse - Le Grand Casset sera détruit.
    55. « Le gang des Lyonnais au cinéma : Marchal frappe trois coups », sur leprogres.fr, (consulté le ).
    56. « Lieux de mémoire aéronautique dans l'ain », sur le site Aeronews, « le journal rhônalpin de l'information aéronautique » (consulté le ).
    57. « Marcel Vienot, maire, visionnaire et précurseur », Journal de la Côtière, no 901, , p. 14.

    Bibliographie

    • Ouvrage collectif, Richesses touristiques et archéologiques du canton de Montluel : Montluel, Balan, Béligneux, Bressolles, Dagneux, La Boisse, Niévroz, Pizay, Sainte-Croix, , 296 p. (ISBN 2-907656-30-9 et 2-907656-30-9)
    • Guy Brunet, Paul Percevaux et Louis Trenard, Histoire des communes de l'Ain : La Dombes, Horvath, , p. 298-302

    Voir aussi

    Articles connexes

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