Guillaume III de Melun
Guillaume III de Melun ( † - Saint-Quentin) était prince d'Épinoy, marquis de Richebourg et de Roubaix, vicomte de Gand et de Beaussart (à Carvin), baron d'Antoing, seigneur de Biez, Roucourt, Franleu, etc., connétable héréditaire de Flandre, sénéchal et grand bailli du Hainaut, chevalier de la Toison d'or.
Ne pas confondre avec Guillaume III de Melun (vers 1244-1278), vicomte de Melun
Pour les articles homonymes, voir Guillaume de Melun et Melun (homonymie).
Guillaume III de Melun | ||
Titre | Prince d'Épinoy (1594-1635) |
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Autres titres | Marquis de Roubaix Marquis de Richebourg Vicomte de Gand |
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Distinctions | Chevalier de la Toison d'or | |
Autres fonctions | Connétable héréditaire de Flandre Sénéchal de Hainaut Grand bailli du Hainaut |
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Biographie | ||
Dynastie | Maison de Melun | |
Naissance | ||
Décès | Saint-Quentin |
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Père | Pierre de Melun | |
Mère | Hyppolite de Montmorency | |
Conjoint | 1°. Marie de Witthem 2°. Ernestine de Ligne-Arenberg |
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Enfants | Marie Claire-Marie Ambroise Anne Alexandre Guillaume Henri Charles-Alexandre-Albert François Philippe Isabelle Claire Marie-Madeleine Françoise-Alberte Claire-Catherine |
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Biographie
Un héritage disputé
Henri IV avait fait insérer dans le traité de paix signé à Vervins, le , un article particulier en faveur des enfants mineurs de Pierre de Melun, dont son ministre Sully était l'oncle et le tuteur. Cet article abolissait l'effet des confiscations encourues pendant la guerre et portait en outre qu'il serait fait bonne et briève justice à la veuve et aux enfants du prince d'Épinoy pour les biens qui leur appartenaient dans le pays du roi catholique.
Mais Anne-Marie de Melun ( † vers 1634), princesse de Ligne, épouse de Lamoral Ier et fille de Hugues II de Melun, ayant objecté que la confiscation faite par suite de la révolte des Provinces-Unies ne regardait pas la France, Henri IV, qui prenait l'intérêt le plus vif à cette affaire, fit remettre à l'archiduc Albert un mémoire que Sully avait rédigé lui-même en faveur des princes d'Épinoy. Grâce à l'intervention du roi de France, l'archiduc proposa, en 1602, une transaction entre les deux familles, qui rendit à Guillaume III de Melun, resté seul héritier de son père, une partie des biens paternels et laissa ainsi la seigneurie de Roubaix à la princesse de Ligne. Les tuteurs du jeune prince durent se contenter de cette concession apparente, puisqu'un refus eût entraîné la perte totale des héritages contestés, placés tous sous la domination espagnole ; mais au traité signé à Anvers, le , entre l'Espagne et les États généraux des Provinces-Unies, l'article 13 annulant toutes les confiscations faites à l'occasion des troubles de 1567, et cela nonobstant tout engagement ou transaction particulière, les enfants du prince d'Épinoy, compris dans cet article, devaient rentrer dans tous leurs biens, malgré la transaction faite avec la princesse de Ligne par leurs tuteurs.
Le prince de Ligne (Lamoral Ier), tout-puissant à la cour d'Espagne, chercha à obtenir un ajournement, et comme le roi de France intervint encore avec instance près de l'archiduc pour l'exécution du traité, il proposa un nouvel arrangement par lequel il cédait tous les biens de la maison de Melun, sauf la baronnie d'Antoing, dont il devait rembourser la valeur, mais il se réservait toujours l'héritage de Werchin, gardant dès lors la seigneurie de Roubaix.
Guillaume de Melun, alors mineur, âgé de 20 ans, protesta contre cet arrangement, accepté cependant par ses tuteurs, approuvé par lettres patentes de Louis XIII, des États généraux des Provinces-Unies et du roi d'Angleterre, et qui, au dire de Sully, lui rendait 120 mille livres de rente.
Les réclamations de ses enfants furent produites pendant les conférences pour la paix de Munster, et confirmées par ce traité célèbre qui, en reconnaissant l'indépendance des Provinces-Unies, annula de nouveau les confiscations, suites des troubles qui l'avaient préparée.
Mais la guerre continuée entre la France et l'Espagne (guerre franco-espagnole) rendit encore nulles ces stipulations, et le traité des Pyrénées, en 1659, confirmant celui de Vervins et proclamant tous leurs droits, ne purent faire rentrer les descendants de Pierre de Melun dans des biens relevant d'un pays où leur adversaire était en faveur, et où on n'avait pas oublié l'origine de la contestation. Il fallut une nouvelle guerre et un nouveau traité de paix pour les remettre en possession d'une seigneurie que des actes qui avaient disposé de provinces entières et créé même des nations, n'avaient pu leur rendre.
Au service des rois d'Espagne puis de France
Guillaume de Melun rentra dans les biens de son père, dont toutes les puissances de l'Europe avaient stipulé la restitution par l'article XIII du traité conclu à Anvers, le . La transaction passée en conséquence avec Lamoral Ier de Ligne : Albert, archiduc d'Autriche, et Isabelle-Claire-Eugénie d'Autriche, infante d'Espagne, souverains des Pays-Bas, la ratifièrent les 4 avril et ; le roi Louis XIII le 10 septembre de la même année ; les États généraux des Provinces-Unies, le 2 octobre suivant, et Jacques Ier, roi d'Angleterre et d'Irlande, roi des Écossais, le .
Une patente du , le nomma chef et capitaine de trois compagnies de cuirassiers et de deux compagnies d'arquebusiers à cheval réunies en régiment. Il siégea plus tard au conseil d'État et reçut le collier de la Toison d'or.
La charge de grand bailli et gouverneur du Hainaut lui fut provisoirement confiée, en 1625, pendant la minorité du jeune comte de Bucquoy (de) (Charles-Albert de Longueval) : il espérait la conserver, ou recevoir la grandesse, en compensation. Déçu dans ses espérances et poussé par la haine de l'étranger, il devint l'un des chefs de la ligue formée en 1632, avec notamment son beau-frère Alexandre Ier de Bournonville, dans le but de soustraire le pays à la domination espagnole. L'entreprise échoua, il parvint à s'échapper et passa en France.
Un arrêt du grand conseil de Malines, rendu par défaut, le , le priva de ses honneurs et dignités, confisqua tous ses biens et le condamna à avoir la tête tranchée. Il mourut, d'une fièvre « pourprée », le 8 septembre de la même année, à Saint-Quentin, et fut enterré dans la chapelle de Notre-Dame de l'église des Capucins de Saint-Quentin[1].
Ascendance et postérité
Guillaume de Melun sortait de la branche des Melun, fixée en Belgique, par l'union contractée, en 1327, entre Jean Ier (vers 1290 † 1359), vicomte de Melun, seigneur de Montreuil-Bellay, seigneur de Tancarville (avec sa première épouse Jeanne de Tancarville), Grand chambellan de France (1318), chambellan de Normandie, et Isabelle (vers 1300 † ), dame et héritière d'Antoing, d'Épinoy, de Sottegem, châtelaine de Gand. Guillaume était fils de Pierre de Melun, prince d'Épinoy, et de sa seconde femme Hippolyte de Montmorency-Bours.
16. Jean III de Melun, seigneur d'Épinoy et d'Antoing | ||||||||||||||||
8. François de Melun, 1er comte d'Épinoy | ||||||||||||||||
17. Isabelle de Luxembourg, dame de Richebourg | ||||||||||||||||
4. Hugues II de Melun, 1er prince d'Épinoy | ||||||||||||||||
18. Gaston II de Foix, comte de Candale | ||||||||||||||||
9. Louise de Foix | ||||||||||||||||
19. Isabelle d'Albret | ||||||||||||||||
2. Pierre de Melun, prince d'Épinoy | ||||||||||||||||
20. Nicolas de Barbançon, baron de Werchin | ||||||||||||||||
10. Pierre « de Barbançon », seigneur de Werchin | ||||||||||||||||
21. Yolande de Luxembourg, dame de Roubaix | ||||||||||||||||
5. Yolande « de Barbançon », dame de Werchin et de Roubaix | ||||||||||||||||
22. Guillaume, seigneur de Vergy | ||||||||||||||||
11. Hélène de Vergy | ||||||||||||||||
23. Anne de Rochechouart de Mortemart | ||||||||||||||||
1. Guillaume III de Melun, prince d'Épinoy | ||||||||||||||||
24. Nicolas de Montmorency, seigneur de Bours | ||||||||||||||||
12. Gabriel de Montmorency, seigneur de Bours | ||||||||||||||||
25. Anne Rouault (son bisaïeul est Joachim Rouault) | ||||||||||||||||
6. Jean de Montmorency, seigneur de Bours | ||||||||||||||||
26. Antoine de Bayencourt, seigneur de Bouchavant | ||||||||||||||||
13. Michelle de Bayencourt, dame de Lignières | ||||||||||||||||
27. Jeanne de Calonne | ||||||||||||||||
3. Hippolyte de Montmorency | ||||||||||||||||
28. Michel II Gaillard, baron de Longjumeau | ||||||||||||||||
14. Michel III Gaillard, baron de Longjumeau | ||||||||||||||||
29. Souveraine, fillé légitimée de Charles, comte d'Angoulême | ||||||||||||||||
7. Bernarde Gaillard de Longjumeau | ||||||||||||||||
30. Jean de Sains, seigneur de Margny-sur-Matz | ||||||||||||||||
15. Louise de Sains | ||||||||||||||||
31. Bernarde de Salazar, dame de Laas | ||||||||||||||||
- Guillaume III de Melun se maria deux fois :
- ∞ 1°. le Marie Mencia de Wittem ( † ), marquise de Bergen-op-Zoom, comtesse de Walhain, fille aînée et héritière de Jean (ou Henri) de Witthem, seigneur de Beersel, et de Marguerite de Mérode. Marie était veuve de Herman van den Bergh (stadhouder) (nl), comte van den Bergh (nl)-s'Heerenberg (Land van den Bergh), chevalier de la Toison d'or. Guillaume et Marie eurent une fille :
- une fille, Marie (née vers 1613, morte jeune),
- ∞ 2°. le avec Ernestine Claire Eugénie de Ligne-Arenberg ( † ), fille de Charles d'Arenberg ( - Vollenhove † - Enghien), comte et prince d'Arenberg, et d'Anne-Isabelle de Croÿ, duchesse d'Aerschot, qui le rendit père de onze enfants :
- Claire-Marie ( - château du Biez † - couvent des Dominicaines d'Abbeville), religieuse au couvent des religieuses de Saint Dominique à Abbeville, où elle s'était retirée avec sa mère ;
- Ambroise ( † - des suites d'une blessure reçue au siège d'Aire-sur-la-Lys[2] - inhumé aux Capucins de Saint-Quentin, auprès de son père), prince d'Épinoy et du Saint Empire[3] ;
- Anne, dite Mlle de Melun ( † - Baugé), religieuse, chanoinesse de Mons
En 1649, Anne quitta les chanoinesses de Mons et, après être restée un an auprès de sa mère à Abbeville, se retira en Anjou où elle fonda un hospice à Baugé, où elle mourut en odeur de sainteté. - Alexandre Guillaume (1619 † - Château d'Antoing), prince d'Épinoy, marié, dont :
- Henri ( † ), marquis de Richebourg colonel du régiment d'infanterie wallonne, mort au Portugal au service du roi d'Espagne, sans union ni postérité ;
- Charles-Alexandre-Albert ( † 1675), marié le avec Renée de Rupierre[4], dame de Survié, fille et héritière de Philippe de Rupierre, seigneur de Survie, de la Cressonnière, etc., et de Françoise de Mailloc. Auteurs du rameau des comtes de Melun[5], ils eurent cinq fils et trois filles, dont :
- Alexandre, dit « le comte de Melun », vicomte de Gand, seigneur de Survié, de la Cressonnière, marié en 1690 avec Elizabeth de Rohan, « Mademoiselle de Montbazon » (1663 † 1707), fille de Charles II (1633 † 1699), prince de Guéméné, 4e duc de Montbazon, et pair de France, comte de Rochefort et de Jeanne-Armande de Schomberg, dont :
- Louise Armande ( † - Paris), mariée avec son oncle Gabriel de Melun, vicomte de Gand et de Melun, dont postérité ;
- Ambroise, dit « le marquis de Melun », chef de la maison à la mort de Louis II, prince d'Épinoy, marié en 1709 avec Françoise Charlotte, fille de François de Monchy († 1733), baron de Vismes, seigneur de Sailly-le-Secq et de Flibeaucourt, sénéchal de Ponthieu et d'Isabelle de Saint-Blimont ( † 1737 - Abbaye d'Avesnes), dont :
- Jean Alexandre Théodose ( † - Paris), « prince d'Épinoy, comte de Melun », seigneur prévôt héréditaire de Douai, connétable héréditaire de Flandres, mestre de camp commandant le régiment Royal Cavalerie, marié avec sa cousine Louise Elisabeth ( † ), fille de son oncle Gabriel, dit « vicomte de Melun », et de Louise Armande de Melun, dont :
- une fille ;
- Marie-Gabrielle-Charlotte-Louise ( † - Versailles).
- Louise Elisabeth ( (née posthume) † 1791), « dame pour accompagner » « Mesdames les Cadettes » (Victoire, Louise et Sophie) (1768-1775), « dame pour accompagner » Madame Victoire (1775-1789), mariée le avec Philippe Alexandre Emmanuel François Joseph ( † 1808), 1er prince de Ghistelles (), 4e marquis de Saint-Floris, seigneur de La Vieille-Chapelle et de Croix, dont postérité ;
- Jean Alexandre Théodose ( † - Paris), « prince d'Épinoy, comte de Melun », seigneur prévôt héréditaire de Douai, connétable héréditaire de Flandres, mestre de camp commandant le régiment Royal Cavalerie, marié avec sa cousine Louise Elisabeth ( † ), fille de son oncle Gabriel, dit « vicomte de Melun », et de Louise Armande de Melun, dont :
- Gabriel, dit « le vicomte de Melun » ( † - Abbeville, où il est inhumé), vicomte de Gand, commandant (gouverneur) d'Abbeville, lieutenant-général des armées du roi, servit en Italie en qualité de lieutenant-général des armées (1734), chevalier de l'ordre de Saint-Louis, marié, à Abbeville le , avec sa nièce Louise Armande (1694 † - Paris), fille d'Alexandre, « le comte de Melun ». De leur mariage est née :
- Louise-Elisabeth ( † ), tenue sur les fonts de baptême, pour les cérémonies, par Adrien-Maurice, duc de Noailles, et par Élisabeth de Lorraine, princesse douairière d'Épinoy, mariée avec son cousin Jean Alexandre Théodose ( † - Paris), dont postérité, puis le à Fribourg (Suisse), avec Louis de Melun ( † 1763), marquis de Melun-Maupertuis (mariage dissous d'un commun accord le ), puis le , (contrat de mariage du ), avec Antoine Claude Gilbert Alyre (1690 † 1780), marquis de Langeac, dont postérité.
- Alexandre, dit « le comte de Melun », vicomte de Gand, seigneur de Survié, de la Cressonnière, marié en 1690 avec Elizabeth de Rohan, « Mademoiselle de Montbazon » (1663 † 1707), fille de Charles II (1633 † 1699), prince de Guéméné, 4e duc de Montbazon, et pair de France, comte de Rochefort et de Jeanne-Armande de Schomberg, dont :
- François Philippe ( † ), marquis de Richebourg, comte de Beaussart (à Carvin), gouverneur de Valenciennes, de Gueldre, de Mons et du comté de Hainaut, chevalier de la Toison d'or, marié en avec Marie Thérèse ( † 1714), fille de Balthazar-Philippe de Gand, dit Vilain, prince de Masmines (1652), comte d'Isenghien et de Middelbourg (...), seigneur des Villes de Lannoy, de Watten et de Charleroi (1617-1680)[6],[7] (et tante du maréchal Louis), dont :
- Isabelle Claire, chanoinesse de Maubeuge
- Marie-Madeleine, chanoinesse à Mons, où elle est enterrée ;
- Françoise-Alberte, aussi chanoinesse et enterrée à Mons ;
- Claire-Catherine, chanoinesse à Mons, morte et enterrée dans l'église de Sainte-Waudrude ;
- ∞ 1°. le Marie Mencia de Wittem ( † ), marquise de Bergen-op-Zoom, comtesse de Walhain, fille aînée et héritière de Jean (ou Henri) de Witthem, seigneur de Beersel, et de Marguerite de Mérode. Marie était veuve de Herman van den Bergh (stadhouder) (nl), comte van den Bergh (nl)-s'Heerenberg (Land van den Bergh), chevalier de la Toison d'or. Guillaume et Marie eurent une fille :
Décorations
Il fut fait chevalier de la Toison d'or (1621, brevet no 351).
Annexes
Bibliographie
- Louis Moréri, Le Grand dictionnaire historique : ou le Mélange curieux de l'histoire sacrée et profane, Chez les libraires associés, (lire en ligne) ;
- Théodore Leuridan, Histoire des seigneurs et de la seigneurie de Roubaix, Quarré, (lire en ligne) ;
- Louis de Haynin, seigneur du Cornet et Aimé Louis Philémon Robaulx de Soumoy, Histoire générale des guerres de Savoie, de Bohême, du Palatinat et des Pays-Bas : 1616-1627, vol. 29, Société de l'histoire de Belgique, (lire en ligne) ;
- Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France : des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, vol. 5, L'auteur, (lire en ligne) ;
- R. de Vegiano, seigneur d'Hovel et Jacques Salomon François Joseph Léon de Herckenrode, Nobiliaire des Pays-Bas et du Comté de Bourgogne, vol. 3 (lire en ligne) ;
Notes et références
- Louis Moréri, Le Grand dictionnaire historique : ou le Mélange curieux de l'histoire sacrée et profane, Chez les libraires associés, (lire en ligne)
- « gw1.geneanet.org », Ambroise de Melun (consulté le )
- « roglo.eu », Ambroise de Melun (consulté le )
- Renée de Rupierre était la sœur puînée de Françoise de Rupierre, morte sans enfants de Jean-Baptiste Gaston Goth, marquis de Rouillac, dit « le duc d'Epernon »
- Degré de consanguinité du rameau des comtes et marquis de Melun
- Degré de consanguinité du rameau des comtes et marquis de Melun
Charles-Alexandre-Albert de Melun ( † 1675) Alexandre, dit « le comte de Melun » Ambroise, dit « le marquis de Melun » Gabriel ( † 1739) Louise Armande ( † 1734) Louise-Elisabeth (1712†1755) Jean Alexandre Théodose (1710†1738) Louise Elisabeth (1738†1791) - L.J.P.C.D.S, Quartiers généalogiques des familles nobles des Pays-Bas, vol. Tome I, Cologne, Chez les Héritiers de Pierre Marteau, , p. 201
- de la Chenaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse, vol. Tome VII, Paris, Antoine Boudet, , p. 77
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « roglo.eu », Guillaume de Melun (consulté le ) ;
- « gw1.geneanet.org », Guillaume de Melun (consulté le ) ;
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