Vendargues
Vendargues est une commune française située dans l'est du département de l'Hérault en région Occitanie. La ville est située à l'est de Montpellier en direction de Lunel.
Vendargues | |
La mairie. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Hérault |
Arrondissement | Montpellier |
Intercommunalité | Montpellier Méditerranée Métropole |
Maire Mandat |
Guy Lauret 2020-2026 |
Code postal | 34740 |
Code commune | 34327 |
Démographie | |
Gentilé | Vendarguois |
Population municipale |
6 423 hab. (2019 ) |
Densité | 715 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 39′ 30″ nord, 3° 58′ 12″ est |
Altitude | Min. 25 m Max. 86 m |
Superficie | 8,98 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Montpellier (banlieue) |
Aire d'attraction | Montpellier (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Crès |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Salaison, la Cadoule, le ruisseau de la Balaurie. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Vendargues est une commune urbaine qui compte 6 423 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Montpellier et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Vendarguois ou Vendarguoises.
Géographie
Située à 12 km à l'est de Montpellier au croisement des routes nationales 110 (vers Sommières) et 113 (vers Lunel et Nîmes), cette commune a appartenu au district, puis à la communauté d'agglomération de la préfecture héraultaise.
Le territoire communal comprend une zone de garrigues au nord des routes principales. La ville elle-même et l'importante zone industrielle sont situées dans les secteurs Est et Ouest d'un « X » formé par les deux nationales et une importante route départementale (en direction du nord de l'agglomération de Montpellier). Le village s'est étendu aux limites d'un triangle formé de la N 113, la N 110 et la Liaison intercantonale d'évitement nord (Lien) pour en occuper tout l'espace.
Hydrographie
Le Salaison coule à l'ouest de la ville, il sert de limite communale avec la ville du Crès. Ses affluents, le Routous, le Teyron et le Bourbouisse traversent également le territoire de la commune, ainsi que la Cadoule qui va, comme le Salaison, se jeter dans l'étang de l'Or à Mauguio. D'ordinaire très calmes ces ruisseaux peuvent sortir de leurs lits lors des orages cévenols, provoquant ainsi des inondations essentiellement dans la partie occidentale de la commune. L'autre partie de la commune est protégée des inondations car elle est construite sur une butte[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946[7]et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[9], à 15,1 °C pour 1981-2010[10], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[11].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[12] : la « rivière de la Cadoule à Castries et Vendargues » (6 ha), couvrant 2 communes du département[13].
Urbanisme
Typologie
Vendargues est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[I 1],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montpellier, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[I 2] et 440 997 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5],[I 6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (43 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (33,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (22,1 %), cultures permanentes (22 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (20,9 %), zones agricoles hétérogènes (18,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,2 %), forêts (7,9 %)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
La légende veut que le premier habitant de Vendargues fut un vétéran de la légion romaine d'Auguste qui aurait reçu des terres sur lesquelles se trouve le village actuel. Ce vétéran se serait appelé Venerianicus, ce qui aurait donné par évolution phonétique le nom actuel du village.
C'est en 924, que pour la première fois, il est fait mention du village dans un écrit sous la forme Venerianicus[17], puis dans le cartulaire de Gellone en 961[18], le village est mentionné sous la forme villa que vocant Venranichos. Au début du IIe millénaire, en 1005, il est fait mention du nom de Venraneges[19]. Plus tard, en 1051, sous la forme villa que dicitur Venranicus[20], puis au milieu du XIVe siècle Vendranicis. À partir de 1536, on parle de Vendrargues[21] qui évolue en Vendargues dès 1626[22].
Il s'agit d'un composé en -anicum, suffixe latin qui explique les terminaisons en -argues du sud est de la France, précédé d'un nom de personne latine Venerius[23],[24] qui peut avoir été porté aussi bien par un indigène. On retrouve cet anthroponyme à de nombreuses reprises en Gaule, généralement suivi du suffixe d'origine gauloise -acum cf. Venarey, Vénérieu[23].
Histoire
Époque gallo-romaine
Avant la création des premières habitations à Vendargues, le territoire de l'actuelle commune était traversé par la voie Domitienne. Cette route rectiligne servait de référence aux géomètres romains pour découper les terres en parcelles appelées « centuries ». C'est sur l'une de ces centuries que Vénérianicus aurait fait construire une villa. D'autre part, des découvertes archéologiques dans l'actuel Jardin Serre tendent à prouver que les premières habitations se trouvaient à proximité de cet endroit. Au sud du village, on trouvait des cultures de blé, de seigle et d'avoine mais aussi de vigne ou d'olivier. La garrigue était dévolue aux chèvres. Enfin, des moulins se trouvaient sur les différents cours d'eau autour du village.
Actuellement, une partie de la voie Domitienne à Vendargues s'appelle le chemin de la Monnaie.
Époque carolingienne
À la fin du Xe siècle, l'ensemble du territoire était divisé en pagi, eux-mêmes appartenant à un comté. Vendargues et les bourgs environnants appartenaient au pagus de Septantio (qui deviendra Castelnau-le-Lez) plus tard. Ce pagus était une partie du comté de Melgueil (l'ancien Mauguio).
Le christianisme se répand dans la région à l'aube du IIe millénaire alors que le comté est sous domination gothe et ce malgré les invasions des Sarrasins.
À cette époque, Vendargues n'est qu'un domaine agricole composé d'une villa gallo-romaine et de quelques maisons autour. Le hameau comporte également une chapelle.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].
En 2019, la commune comptait 6 423 habitants[Note 7], en augmentation de 3,92 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Vie locale
Enseignement
- Halte-garderie ;
- École maternelle La Ribambelle ;
- École primaire Saint-Joseph (privée) ;
- Écoles primaires publiques (Les Garrigues, Les Asphodèles et Cosso).
Sports
Le complexe sportif (stade) Guillaume-Dides, un ancien maire qui fit don du terrain à la commune, qui accueillit l'équipe de France de football en 2004 au stade du Point-d'Interrogation vendarguois, le club de football local.
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 2 639 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 6 466 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 640 €[I 7] (20 330 € dans le département[I 8]). 57 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 9] (45,8 % dans le département).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 6,8 % | 9,2 % | 8,3 % |
Département[I 10] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 4 009 personnes, parmi lesquelles on compte 77,6 % d'actifs (69,3 % ayant un emploi et 8,3 % de chômeurs) et 22,4 % d'inactifs[Note 10],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 12]. Elle compte 4 425 emplois en 2018, contre 4 031 en 2013 et 3 817 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 809, soit un indicateur de concentration d'emploi de 157,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,8 %[I 13].
Sur ces 2 809 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 567 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 86,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,6 % les transports en commun, 6,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Secteurs d'activités
1 051 établissements[Note 11] sont implantés à Vendargues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 1 051 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 105 | 10 % | (6,7 %) |
Construction | 176 | 16,7 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 280 | 26,6 % | (28 %) |
Information et communication | 33 | 3,1 % | (3,3 %) |
Activités financières et d'assurance | 33 | 3,1 % | (3,2 %) |
Activités immobilières | 59 | 5,6 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 190 | 18,1 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 113 | 10,8 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 62 | 5,9 % | (8,1 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,6 % du nombre total d'établissements de la commune (280 sur les 1051 entreprises implantées à Vendargues), contre 28 % au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[31] :
- Privatesportshop, vente à distance sur catalogue spécialisé (117 671 k€)
- Kawneer France SA, commerce de gros (commerce interentreprises) de minerais et métaux (57 580 k€)
- Info.u, location et location-bail de machines de bureau et de matériel informatique (48 966 k€)
- Mialanes SA, fabrication d'éléments en béton pour la construction (28 807 k€)
- Aer Trading, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (17 585 k€)
La zone industrielle est active, mais handicapée par l'éloignement relatif de l'échangeur autoroutier de Baillargues-Vendargues : les camions doivent longer la ville par la nationale 113 pour parvenir à la zone. Elle comprend néanmoins une des centrales d'achat des supermarchés U.
Agriculture
La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[32]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la viticulture[Carte 3].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 75 | 34 | 26 | 16 |
SAU[Note 14] (ha) | 489 | 449 | 273 | 150 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 75 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 34 en 2000 puis à 26 en 2010[34] et enfin à 16 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 79 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[35],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 489 ha en 1988 à 150 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 7 à 9 ha[34].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Théodorit de Vendargues, construite sur l'emplacement d'une ancienne église, date de 1886[36]. Saint Théodorit, Prêtre et martyr à Antioche (✝ 362)[37].
- Chapelle de Vendargues.
- Chapelle des Chevaliers de Malte de Meyrargues.
- Le hameau de Meyrargues surplombe le village. Ce lieu historique est signalé en 981, 1111 et 1248, sur des actes relatifs à la chapelle Saint-Sébastien. Cet édifice, toujours visible, fait partie d'un domaine appelé le château de Meyragues qui fut autrefois une vaste ferme plus ou moins fortifiée. Son premier propriétaire connu fut Jean de Saint-Ravy, ancien maître d'hôtel ordinaire du roi Henri IV, qui se faisait appeler seigneur de Meyrargues ;
- La maison du général Pierre Berthezène est située sur la place du village ;
- Le bois de Saint-Antoine.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Berthezène (1775-1847), général, baron d'Empire, pair de France (1775-1847).
- Marcelin Albert (1851-1921), séjourne au mazet de Montmaris, leader de la révolte viticole, est le parrain de Marcellin Guille, né en 1907, et oncle d'Archiguille[réf. nécessaire].
- le baron Pierre Le Roy de Boiseaumarié (1890-1967), fondateur des appellations d'origine contrôlées, vigneron à Châteauneuf-du-Pape.
- André Chassefière (1908-1942), membre du parti communiste français.
- Alexandre Grothendieck (1928-2014), mathématicien français ayant reçu la Médaille Fields et considéré comme l'un des fondateurs de l'écologie politique en France avec le groupe « Survivre et vivre ». A vécu de 1945 à 1948 au hameau de Meyrargues (à ne pas confondre avec la commune homonyme des Bouches-du-Rhône) avec sa mère Hanka Grothendieck.
- Jérôme Bonnissel (1973-), joueur de football professionnel.
- Laurent Ballesta (1974-), biologiste marin, plongeur, photographe, collaborateur de Nicolas Hulot.
- Sabri Allouani (1978-), raseteur (septuple vainqueur du championnat de France de la Course camarguaise aux As 2000-2007).
Galerie
- Vue aérienne de Vendargues.
- Vue du complexe sportif.
- Vue de l'église Saint-Théodorit et de la Mairie.
- Vue de l'Hôtel de Ville.
- Vue de l'église Saint-Théodorit.
Héraldique
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Les armoiries de Vendargues se blasonnent ainsi : d'azur à un saint Théodorit d'argent, au chef d'or chargé d'une croisette de gueules.
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Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Montpellier » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
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- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vendargues » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vendargues » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Vendargues » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).
Autres sources
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- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- (la) Paul Alaus, Abbé Cassan et E. Meynial, Cartulaires des abbayes d'Aniane et de Gellone : Cartulaire de Gellone, Montpellier, Jean Martel, , p. 12 Cartulaires des abbayes d'Aniane et de Gellone sur Gallica.
- Cartulaire de Gellone p.7 Cartulaires des abbayes d'Aniane et de Gellone sur Gallica.
- Cartulaire de Gellone p.277 Cartulaires des abbayes d'Aniane et de Gellone sur Gallica.
- Gallia christiana t VI c. 391
- Jean De Beins, Carte du Bas-Languedoc, 1626 Carte du Bas-Languedoc sur Gallica.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Op. cit.
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- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (Résultat MN2014) (consulté le ).
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Entreprises à Vendargues », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Vendargues - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
- [PDF] La paroisse Saint Théodorit de Vendargues, 55 pages, publié le par Richard Pouget, sur le site de la mairie de Vendargues (consulté le 3 juillet 2019)
- https://nominis.cef.fr/contenus/saint/8715/Saint-Theodorit.html
Voir aussi
Bibliographie
- Manlius Boucassert, Sainte Restitute (patronne de Vendargues), Montpellier, éd. impr. Hamelin, , 48 p.
- Richard Pouget, « L'histoire locale autour de Montpellier (Hérault), Vendargues et Castries, seigneur, manans et habitants », Cercle généalogique de Languedoc, no 129, , p. 19-45
- Richard Pouget, « la Baronnie de Castries de 1530 à 1560 sous Henry de la Croix dit d'Ussel, Seigneur Baron de Castries (d'après les actes relevés dans les minutes de Maître Bertrand de Vergnes, notaire Royal de Castries) », Cercle généalogique de Languedoc, no 118, , p. 30-31
- Richard Pouget, Histoire du domaine de Salaison, Vendargues, Richard Pouget, , 145 p.
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales déposées de Vendargues (1624-1792) [0,15 ml]. Cote : 327 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
Liens externes
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