Jegun
Jegun [ʒeɡœ̃] (nommée également Jégun non officiellement; Jigun en gascon) est une commune française située dans le centre du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Auch, un territoire céréalier et viticole qui s'est également constitué en pays au sens aménagement du territoire en 2003.
Jegun | |
Chapelle Saint-Michel de Tremblade | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gers |
Arrondissement | Auch |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Grand Auch Cœur de Gascogne |
Maire Mandat |
Guy Lapeyre 2020-2026 |
Code postal | 32360 |
Code commune | 32162 |
Démographie | |
Population municipale |
1 147 hab. (2019 ) |
Densité | 29 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 45′ 29″ nord, 0° 27′ 37″ est |
Altitude | Min. 105 m Max. 242 m |
Superficie | 39,25 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Auch (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de la Gascogne-Auscitaine |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Baïse, l'Auloue, la Loustère, le ruisseau de Lahontan, la Coulègne, le ruisseau Larranchélan et par divers autres petits cours d'eau.
Jegun est une commune rurale qui compte 1 147 habitants en 2019. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelés les Jegunois ou Jegunoises. La devise historique « on craint déguin à Jeguin ».
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le pigeonnier-porche de Puntis, inscrit en 1973, et la chapelle Saint-Michel de Tremblade, inscrite en 1979.
Géographie
Localisation
Jegun est une bastide située entre la départementale D930 et l'Auloue, entre Auch et Castéra-Verduzan.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Jegun se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].
Voies de communication et transports
La ligne 951 du réseau liO relie la commune à la gare d'Auch et à Condom.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Baïse, l'Auloue, la Loustère, le ruisseau de Lahontan, la Coulègne, le ruisseau Larranchélan, un bras de la Loustère, un bras de l'Auloue, le Pontic, le ruisseau de la Couderle, le ruisseau de Larriouau, le ruisseau de Magret, le ruisseau de Masca, le ruisseau d'en Bordes et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 38 km de longueur totale[4],[Carte 1].
La Baïse, d'une longueur totale de 187,6 km, prend sa source dans la commune de Capvern et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Léger, après avoir traversé 52 communes[5].
L'Auloue, d'une longueur totale de 45,4 km, prend sa source dans la commune de Saint-Jean-le-Comtal et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Baïse à Valence-sur-Baïse, après avoir traversé 16 communes[6].
La Loustère, d'une longueur totale de 14 km, prend sa source dans la commune de Castin et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Auloue à Castéra-Verduzan, après avoir traversé 5 communes[7].
Le ruisseau de Lahontan, d'une longueur totale de 11,6 km, prend sa source dans la commune de Castillon-Massas et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Loustère sur le territoire communal, après avoir traversé 5 communes[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaucaire », sur la commune de Beaucaire, mise en service en 1973[14] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 777,8 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 16 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[18] à 13,5 °C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[20],[21],[22].
Urbanisme
Typologie
Jegun est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[23],[I 1],[24].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,3 %), zones agricoles hétérogènes (36,9 %), prairies (11,7 %), zones urbanisées (1,1 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Histoire
Les origines de la bastide sont mal documentées, mais la ville offre une parfaite régularité: quatre rues parallèles dans le sens de la longueur la découpent en cinq îlots. Il n'y a pas de place proprement dite, mais dans l'îlot central se trouve la halle. Autre particularité: il n'y a aucune église, car la ville neuve est venue s'insérer dans le bourg ecclésial qui comportait une église romane dédiée à sainte Candide[26].
Politique et administration
Administration municipale
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30]. En 2019, la commune comptait 1 147 habitants[Note 6], en diminution de 0,35 % par rapport à 2013 (Gers : +0,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %). |
selon la population municipale des années : | 1968[33] | 1975[33] | 1982[33] | 1990[33] | 1999[33] | 2006[34] | 2009[35] | 2013[36] |
Rang de la commune dans le département | 25 | 29 | 29 | 29 | 30 | 28 | 28 | 26 |
Nombre de communes du département | 466 | 462 | 462 | 462 | 463 | 463 | 463 | 463 |
Enseignement
La ville de Jegun a une école primaire qui accueille des enfants de la toute petite section au CM2.
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 510 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 1 125 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 230 €[I 4] (20 820 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 5,2 % | 6,9 % | 8,7 % |
Département[I 7] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 669 personnes, parmi lesquelles on compte 77,9 % d'actifs (69,1 % ayant un emploi et 8,7 % de chômeurs) et 22,1 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 245 emplois en 2018, contre 278 en 2013 et 337 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 466, soit un indicateur de concentration d'emploi de 52,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56 %[I 10].
Sur ces 466 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 120 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
107 établissements[Note 9] sont implantés à Jegun au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 107 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 14 | 13,1 % | (12,3 %) |
Construction | 30 | 28 % | (14,6 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 25 | 23,4 % | (27,7 %) |
Information et communication | 1 | 0,9 % | (1,8 %) |
Activités financières et d'assurance | 4 | 3,7 % | (3,5 %) |
Activités immobilières | 4 | 3,7 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 10 | 9,3 % | (14,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 12 | 11,2 % | (12,3 %) |
Autres activités de services | 7 | 6,5 % | (8,3 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28 % du nombre total d'établissements de la commune (30 sur les 107 entreprises implantées à Jegun), contre 14,6 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[37] :
- Charpente Menuiserie Gersoise, travaux de charpente (313 k€)
- Barrieu Freres, travaux de charpente (255 k€)
Agriculture
La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 68 | 48 | 39 | 33 |
SAU[Note 12] (ha) | 2 595 | 2 817 | 2 592 | 2 764 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 68 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 48 en 2000 puis à 39 en 2010[40] et enfin à 33 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 51 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[41],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué de 2 595 ha en 1988 à 2 764 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 38 à 84 ha[40].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Autrefois connue sous le nom de "collégiale Sainte-Candide de Jegun". Le premier document la mentionnant est une bulle du pape Célestin III datant de 1193.
L'évêque de Couserans accorde des lettres d'indulgences en 1249 aux fidèles qui contribueraient à la poursuite de la construction de l'église. Il précise que le corps de sainte Candide se trouve dans l'église.
L'archevêque d'Auch, Guillaume de Flavacourt, demande au chapitre de chanoines réguliers, le , de mener une vie conventuelle. Cet acte indique que les chanoines sont au nombre de 7.
Jean Ier, comte d'Armagnac fait, en 1373, un don à Sainte-Candide de Jegun.
Des destructions nécessitent des reconstructions à partir de 1430. En 1440, la porte principale est réalisée au midi.
Une consécration de l'église a lieu le , en présence de Pierre Henri, évêque in partibus de Béryte et vicaire général de l'archevêque d'Auch, François de Savoie.
- Église Saint-Jean-Baptiste de Lézian.
- Chapelle Saint-Michel de Tremblade. La chapelle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1979[43].
- Chapelle de Lapeyrette.
Héraldique
Blasonnement :
D'or au cep de vigne de sable fruité du même et feuillé de sinople[44]. |
Voir aussi
Bibliographie
- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39151085)
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[39].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Jegun » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Jegun » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Jegun » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Jegun » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Jegun » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Plan séisme
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Jegun », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « la Baïse »
- Sandre, « l'Auloue »
- Sandre, « la Loustère »
- Sandre, « le ruisseau de Lahontan »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Beaucaire - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Jegun et Beaucaire », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Beaucaire - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Jegun et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Jegun », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Jegun », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Jegun », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- B. Cursente, G. Loubès: "Villages Gersois" (Publication de la Chambre d'Agriculture du Gers, 1991)
- Site de la préfecture - Fiche de Jegun
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Entreprises à Jegun », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Jegun - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
- Pierre Dubourg-Noves, Sainte-Candide de Jegun, p. 228-234, dans Congrès archéologique de France. 128e session. Gascogne. 1970, Société française d'archéologie, Paris, 1970
- « Chapelle Saint-Michel de Tremblade », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Banque du blason.
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