Noirmoutier-en-l'Île
Noirmoutier-en-l'Île, communément appelée Noirmoutier, est une commune française, située dans l'île de Noirmoutier dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire.
Ne doit pas être confondu avec Île de Noirmoutier.
Noirmoutier-en-l'Île | |||||
Vue à partir des marais. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Vendée | ||||
Arrondissement | Les Sables-d'Olonne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Île-de-Noirmoutier (siège) |
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Maire Mandat |
Yan Balat 2020-2026 |
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Code postal | 85330 | ||||
Code commune | 85163 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Noirmoutrin | ||||
Population municipale |
4 550 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 228 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 00′ 16″ nord, 2° 15′ 12″ ouest | ||||
Altitude | 4 m Min. 0 m Max. 20 m |
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Superficie | 19,97 km2 | ||||
Type | Commune rurale et littorale | ||||
Unité urbaine | Noirmoutier-en-l'Île (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Jean-de-Monts | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | ville-noirmoutier.fr | ||||
Géographie
La commune s'étend sur la partie nord de l'île de Noirmoutier, formée par un îlot rocheux (autrefois dénommé : « île d'Her »), séparée du reste de l'île actuelle par des marais salants.
Le bourg, véritable « capitale » de l'île de Noirmoutier, est bâti sur le côté sud-est de cet îlot, donnant sur la baie de Bourgneuf. Le port du Boucaud (« port écluse » ou « port canal ») sépare les zones urbanisées des marais salants.
À l'est, le polder du Müllembourg (devenu réserve ornithologique) est limité dans sa partie méridionale par la jetée Jacobsen, longue de 1,5 km. Au nord-est, s'étend le bois de la Chaize.
Une grande partie nord-ouest du territoire de la commune est occupé de champs voués essentiellement à la culture maraichère, et notamment une variété de pomme de terre, la fameuse bonnotte de Noirmoutier.
Le territoire de la commune s'étend également sur quelques îles et récifs environnants, comme l'île du Pilier au nord-ouest.
De plus, deux bourgs sont intégrés à Noirmoutier-en-l'Île :
- L'Herbaudière qui se trouve sur la côte nord-ouest de l'île, face à l'océan Atlantique, et dont l'activité portuaire en fait le deuxième port de pêche du département[1], géré par la Chambre de commerce et d'industrie de la Vendée.
- Le Vieil situé sur la côte nord de l'île, est un hameau typique constitué de maisons vendéennes traditionnelles bordant des ruelles étroites, et qui en été devient un lieu de villégiature prisé par les vacanciers. Un inventeur nantais, Brutus Villeroi, y fit le premier essai de sous-marin français le . Une rue du Vieil porte son nom.
Le territoire municipal de Noirmoutier-en-l’Île s’étend sur 1 997 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 4 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 20 mètres[2],[3].
Urbanisme
Typologie
Noirmoutier-en-l'Île est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Noirmoutier-en-l'Île, une unité urbaine monocommunale[7] de 4 668 habitants en 2017, constituant une ville isolée[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].
La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[12]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[13],[14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (35,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (34,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (31,8 %), zones humides côtières (29,3 %), terres arables (14,8 %), zones agricoles hétérogènes (12,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %), prairies (1,7 %), forêts (1,3 %), eaux maritimes (0,1 %)[15].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].
Toponymie
L'histoire de la commune est fortement liée à celle de l'île de Noirmoutier. En 674, le moine saint Philibert y fonda un monastère. En latin, le terme in + Herio Monasterio c'est-à-dire : « au monastère d’Herus » (Herus désignant aujourd'hui l'« île d'Her ») sera à l'origine de nom de « Noirmoutier »[17].
Durant la Révolution, la commune, alors nommée Noirmoutier, porte le nom d'Île-de-la-Montagne[18].
À partir de 1956, la commune qui se nommait jusqu'ici simplement Noirmoutier (ou Noirmoutiers) prend son nom actuel[18].
Histoire
Dans la seconde partie du XVIIe siècle, l'île est un haut lieu de la contrebande de tabac, au même titre que Paimbœuf. En effet, Louis XIV crée en une ferme du tabac qui achète le tabac aux Antilles à des prix bas pour revendre à des prix élevés, s'exposant à la concurrence du tabac de la Virginie. Les stocks importés sont ensuite écoulés sur le continent au moyen de petites embarcations appelées les chattes[19],[20].
Jusqu'en 1858, le territoire de la commune s'étend sur l'ensemble de l'île, puis commence son morcellement avec la création de la commune de Barbâtre[21], suivie, une soixantaine d'années après, en 1919, de celles de La Guérinière[22] et de L'Épine[23].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Administration municipale
La mairie de Noirmoutier-en-l’Île est sise place de l’Hôtel-de-Ville, dans le centre-ville de Noirmoutier.
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].
En 2019, la commune comptait 4 550 habitants[Note 2], en diminution de 0,81 % par rapport à 2013 (Vendée : +4,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 20,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 48,0 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 143 hommes pour 2 471 femmes, soit un taux de 53,55 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,16 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le dolmen de la Table est un dolmen submergé, situé en mer, sur le plateau de la Vendette, parmi les vasières de la baie de Bourgneuf et connu depuis 1892 Classé MH (1895) [37]
- le dolmen de la Pointe de l'Herbaudière ruiné Classé MH (1895) [38]. Selon la tradition, c'était un lieu de sabbat pour les sorciers des environs[39].
- Menhir de la Pointe des Dames
- Abbaye de la Blanche en Noirmoutier
- le château de Noirmoutier est célèbre pour son architecture. C'est en effet un des rares châteaux forts à être resté identique depuis sa construction fin du XIIe début du XIIIe siècle. Le donjon fut édifié par Pierre de la Garnache, seigneur de l'île, sur l'emplacement d'un castrum dépendant de l'abbaye, dressé sous l'abbatiat de l'abbé Hilbod vers l'an 830. Le château de Noirmoutier est lié à l'histoire de l'île. Constamment occupé par des troupes, il fut entretenu et ainsi conservé. Sous la Révolution, il servit de prison aux Vendéens, puis en 1871 aux insurgés de la Commune. Au début de la Première Guerre mondiale, des étrangers de 26 nations y furent internés, pour la plupart des étudiants de grandes valeurs. Parmi eux, le Hongrois Aladár Kuncz, le célèbre auteur du Monastère noir. En 1940, il donna asile à des prisonniers de droit commun. Centre de ravitaillement allemand pendant l'occupation, il servit en 1945 de prison à ses anciens locataires.
- l’église paroissiale de Noirmoutier : est dédiée à saint Philbert, qui fonda en ce lieu l'abbaye de Noirmoutier vers 674. L'église abbatiale fut d'abord détruite par les Sarrasins en 725 ou 732. Le fils de Charlemagne, Louis devenu roi d'Aquitaine, obtint de son père en 801 la reconstruction de l'abbaye et de la chapelle claustrale. Quarante-cinq ans plus tard, elle est à nouveau détruite par les Normands, en 846. Elle fut ensuite reconstruite à la fin du XIe siècle sur la chapelle primitive qui est la crypte actuelle, elle ne comportait alors que le chœur et la nef principale. De la fin du XIVe au XVIIe siècle furent élevées les nefs droite et gauche, elle fut consacrée en 1849. Le clocher néo-roman fut construit en 1875 pour remplacer l'ancien clocher qui avait été détruit par un incendie en 1848. À l'intérieur, on peut admirer une maquette de frégate, réalisée par un artisan horloger du village en 1802 pour Auguste Jacobsen. Un vitrail y représente l'abbaye Saint-Philibert de Tournus (baie de la nef latérale)[40].
- la crypte : elle est située sous le chœur, elle a accueilli le corps de saint Philbert entre 690 et 836, date à laquelle il fut transféré, à Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, puis à Tournus où les moines s'étaient réfugiés après les invasions normandes en 875. Une châsse sur l'autel contient quelques reliques du saint transférées en 1863 date à laquelle cette crypte fut restaurée. Elle est classée monument historique depuis 1898.
- la chaussée Jacobsen : fut construite en 1812 par Jean-Corneille Jacobsen de la Crosnière (1750-1834)[41], fils de Cornil Guislain Jacobsen(1709-1787)[42], lequel s'installa à Noirmoutier en 1740[43],[41] et était le descendant du corsaire dunkerquois d'origine néerlandaise Michel Jacobsen. Cette digue a permis l'aménagement des marais salants, la création d'un chemin de halage et d'un canal pour accéder au port. Le long du canal se trouve le cimetière des bateaux. Sur le côté nord de la jetée se trouve le Polder du Müllembourg, réserve ornithologique où l'on peut observer de nombreux oiseaux d'eau comme des bernaches cravants, des aigrettes garzettes. Au bout de la jetée aménagée en piste cyclable et piétonne, on accède au fort Larron.
- la chapelle de la Pitié : dès l'entrée de la chaussée, sur la gauche, à la hauteur de la stèle élevée à la mémoire de J.-C. Jacobsen, créateur de cette digue, un calvaire rappelle qu'en ce lieu nommé la Vache, le , lors de la reprise de l'île par les troupes républicaines, ces derniers massacrèrent 1500 prisonniers des armées vendéennes, malgré une promesse de vie sauve qui leur avait été donnée.
- l'hôtel Jacobsen : il reste l'immeuble le plus important de Noirmoutier. Construit entre 1761 et 1766 par Cornil-Guislain Jacobsen, il fut le premier de la lignée noirmoutrine Classé MH (2013) [44].
- l'hôtel Boucheron ou Lebreton-des-Grapillères : en 1767, le négociant François Boucheron obtint du prince de Condé l'autorisation « d'élever la face de la maison par lui édifié » arguant que la surélévation du bâtiment devrait contribuer « à la décoration de la place d'Armes nouvellement créée ». En 1790, l'hôtel devint la propriété du négociant Lebreton des Grapillières, qui lui donna son nom. Il fut le siège de l'administration des Douanes au XIXe siècle, puis hôtel de tourisme sous le nom d'« hôtel du Général d'Elbée » Classé MH (1930) [45].
- l'Aquarium Sealand de Noirmoutier-en-l'Île
- le phare de la Pointe des Dames qui est une maison-phare type
- le Bois de la Chaize, d'une superficie 93 hectares, situé au nord-est de la commune : Il est composé de mimosas, de chênes verts, de pins maritimes et de criques abritées par des falaises de rochers, dont certaines comptent près de trente mètres de hauteur.
- l'église du Sacré-Cœur de l'Herbaudière
Personnalités liées à la commune
- Philibert de Tournus (617-684), moine et abbé fondateur de l'abbaye de Noirmoutier.
- Cornil Guislain, Jean Corneille et Auguste Jacobsen (1709-1870), membres de la famille Jacobsen originaire de Dunkerque qui construisirent de nombreuses digues et polders, ils descendaient du corsaire Michel Jacobsen.
- André Commard de Puylorson (1710-1769), religieux et "premier historien de Noirmoutier" né à Noirmoutier.
- Maurice d'Elbée (1752-1794), général vendéen.
- Sainte Marie-Euphrasie Pelletier (1796-1868), religieuse fondatrice de la Congrégation de Notre-Dame de Charité du Bon-Pasteur.
- Édouard Richer (1792-1834), historien spécialisé dans les études bretonnes.
- Bernard Evein (1929-2006), décorateur de cinéma.
- Jean-Marie Rouart (1943- ), écrivain, passe son enfance avec sa famille à Noirmoutier.
- Alexandre Couillon (1975- ), chef cuisinier, dont les deux établissements, contigus, font face au port de l'Herbaudière : La Marine (un restaurant gastronomique, deux étoiles au Guide Michelin) et La Table d'Élise (un bistrot).
Sainte Marie-Euphrasie Pelletier en 1860. Maison natale de Marie-Euphrasie Pelletier à Noirmoutier-en-l'Île.
Festival
Depuis 1993, le Théâtre régional des Pays de la Loire organise le Festival de Noirmoutier-en-l'Île. Festival estival théâtral et musical qui se déroule chaque année au mois d'août.
Héraldique, devise et logotype
Blason | ||
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Détails | Ce blason est celui de la maison de La Trémoille (et le même que la commune de Mareuil-sur-Lay-Dissais) Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias | Il existe un autre blasonnement (celui de l'île de Noirmoutier ?) |
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Sport et loisir
Le , le Tour de France est parti de Noirmoutier.
Jumelages
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « L'Herbaudière », sur www.ilenoirmoutier.fr (consulté le ).
- « Commune 10922 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
- « Noirmoutier-en-l’Île », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Noirmoutier-en-l'Île », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Auguste Vincent (1937) Toponymie de la France, Bruxelles: Librairie Générale, §64, p. 32.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- The making of New World slavery: from the Baroque to the modern, 1492-1800
- Le tabac : « Quoi que puisse dire Aristote et toute la philosophie, il n’est rien d’égal au tabac. »
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Barbâtre », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La Guérinière », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : L'Épine », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- « Le square de la mairie, baptisé en hommage à Florent Caillaud », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Noirmoutier », Ouest-France, .
- « L’ancien maire Amédée Duvignaud honoré », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Noirmoutier : les halles vont être baptisées Charles-Robert Loué », Ouest-France, (lire en ligne).
- [PDF] Interventions adressées à M. Jacques CHIRAC, Premier ministre par les ministres et secrétaires d'Etat, parlementaires, conseillers régionaux et généraux, maires et conseillers municipaux, 1989, Archives nationales
- Philippe Gilbert, « Revanches dans l’air sur l’île de Noirmoutier », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Noël Faucher, un nouveau maire qui prône la sérénité », Ouest-France, .
- « Noirmoutier-en-l’Ile. Yan Balat élu maire de la commune », Ouest-France, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Noirmoutier-en-l'Île (85163) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
- Notice no PA00110183, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00110184, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Guillemet, Gaston (1851-1914), Au pays vendéen, description, histoire, langage, sites et monuments, Niort, (lire en ligne), p. 235.
- « Tournus et Noirmoutier », article de Lucien Taupenot paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 136 de décembre 2003 (page 19).
- Voir Yvonnick de Chaillé, Les Jacobsen à Noirmoutier, Éditions régionales de l'Ouest, 2010
- Fiche généalogique de Cornil-Guislain Jacobsen de la Crosnière sur geneanet
- Historique des Jacobsen à Noirmoutier (Dépôt Jacobsen - Archives départementales de la Vendée)
- Notice no PA85000053, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00110186, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- (Malte-Brun, la France illustrée, tome V, 1884)
- www.labanquedublason2.com
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