Le Liège
Le Liège est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.
Pour les articles homonymes, voir Liège (homonymie).
Le Liège | |||||
Église Saint-Martin. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Indre-et-Loire | ||||
Arrondissement | Loches | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Loches Sud Touraine | ||||
Maire Mandat |
Christophe Adjadj 2020-2026 |
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Code postal | 37460 | ||||
Code commune | 37127 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Liégeois | ||||
Population municipale |
339 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 30 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 13′ 46″ nord, 1° 06′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 93 m Max. 141 m |
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Superficie | 11,15 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Loches (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Loches | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | le-liege.com | ||||
Géographie
Localisation et communes limitrophes
Situé sur le plateau entre Cher et Indre, le territoire du Liège est rattaché à la micro-région naturelle de la Champeigne tourangelle. Les communes limitrophes sont Céré-la-Ronde, Genillé et Luzillé. La commune fait partie de l'aire urbaine, du bassin d'emploi et du bassin de vie de Tours[1], cette dernière commune si situant à 36,5 km au nord-ouest du Liège[2].
Géologie et relief
Les roches sédimentaires crétacées comme la craie de Blois (c4-6B) du Sénonien n'affleurent que dans la vallée du ruisseau d'Hys qui a entamé cette strate par érosion. Ailleurs, elles sont recouvertes par les argiles à silex (c4-6S). À l'extrême ouest, le calcaire lacustre (e7) du Ludien se superpose aux argiles à silex alors qu'en de nombreux endroits un placage de limon éolien des plateaux (LP) est venu les masquer au Quaternaire[3]. Le plateau est légèrement incliné de l'est (altitude de 136 m dans la forêt de Biard) vers l'ouest (100 m à la pointe sud-ouest de la commune)[4].
La superficie du territoire communal, qui affecte à peu près la forme d'un triangle isocèle dont la base est tournée vers le sud[4], est de 1 115 ha quand la moyenne nationale s'établit à 1 488 ha[5].
Hydrographie
Aucun cours d'eau permanent n'arrose la commune. Seul le ruisseau d'Hys, temporaire, coule au sud-ouest du Liège[4].
Climat
La commune du Liège est soumise, comme l'ensemble des communes d'Indre-et-Loire, à un climat tempéré océanique dit dégradé[6], caractérisé par des températures clémentes, même en hiver. Aucun mois n'est véritablement sec, les précipitations mensuelles moyennes étant toujours supérieures à 40 mm. En outre, les légers reliefs boisés (forêt de Biard à l'est de la commune et forêt de Brouard dans le prolongement de cette dernière, plus au sud) semblent suffisants pour créer un obstacle aux masses d'air atlantiques, conférant à cette partie de l'Indre-et-Loire une pluviométrie un peu plus importante que celle enregistrée dans le reste de la Touraine[7].
Paysages naturels et biodiversité
En 1987, 29 % du territoire communal est boisé. En dehors de ce secteur, le paysage bocager de la commune, encore bien présent jusqu'au milieu des années 1980, évolue depuis lors vers un paysage de champs ouverts dédiés aux cultures céréalières[8].
Le « plateau de Champeigne entre Bléré et Loches » constitue une très grande ZNIEFF (9 032 hectares) de deuxième génération et de type 2 qui s'étend sur 11 communes ; elle n'intéresse que la pointe occidentale du territoire du Liège, au niveau du dolmen d'Hys. Au moins 50 espèces de plantes à fleurs, dont l'Adonis d'automne (Adonis annua) et le Scandix peigne de Vénus (Scandix pecten veneris), ainsi que 8 espèces d'oiseaux protégés ou rares y ont été recensées, parmi lesquelles le Circaète Jean-le-Blanc (Circaetus gallicus) et l'Outarde canepetière (Tetrax tetrax)[9]. Ce dernier oiseau est devenu l'emblème de cette ZNIEFF[10].
Sur le territoire communal du Liège, cette ZNIEFF se confond géographiquement avec le site « Champeigne » du réseau Natura 2000 dans le cadre d'une zone de protection spéciale. Celle-ci vise à la préservation de plusieurs espèces d’oiseaux, dont l’Outarde canepetière (Tetrax tetrax) et l’Œdicnème criard (Burhinus oedicnemus)[11], grâce à des mesures agroenvironnementales appropriées imposées aux parcelles de culture concernées[12]. La constitution de cette ZPS s'inscrit dans le cadre de la Directive Oiseaux du 30 novembre 2009 édictée par l'Union européenne.
Urbanisme
Typologie
Le Liège est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Loches, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,5 %), forêts (31,1 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), prairies (2,4 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].
Morphologie urbaine
La très grande majorité des habitations est regroupée au niveau du bourg qui se développe de part et d'autre de la D 764. La construction de deux lotissements au contact du bourg, au nord et à l'est, renforce cette polarisation. Les écarts et hameaux sont peu nombreux[8].
Voies de communication et transports
La D 764 qui relie Montrichard à Loches traverse le territoire communal du nord-est au sud en passant par le centre-bourg d'où rayonnent également la D 52 vers Luzillé au nord-ouest, la D 94 vers Saint-Quentin-sur-Indrois au sud-ouest ainsi qu'une route qui vers l'est permet de rejoindre Orbigny.
La commune n'est pas directement desservie par un réseau de transports en commun. Il faut gagner Genillé pour accéder à la ligne TC du réseau Rémi qui permet d'aller à Loches et au-delà à Descartes, ou Saint-Quentin-sur-Indrois où passe la ligne LMC du même réseau vers Amboise[20].
Risques majeurs
Le territoire de la commune duLiège est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Brouard, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 169 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 169 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[25].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].
Toponymie
Le nom de la commune provient de l'anthroponyme Laevius, attesté dans l'Antiquité. Le Liège est le « domaine de Laevius ». Différentes formes sont attestée : Legio en 1150 dans un cartulaire de l'abbaye de Beaumont-lès-Tours, parochia de Lesgsio dans un cartulaire de l'archevêché de Tours en 1339, « paroisse du Loige » un siècle plus tard, « Le Liège-en-Touraine » en 1561 pour aboutir à la forme moderne sur la Carte de Cassini[26].
Histoire
Des traces d'occupation humaine sont présentes à l'ouest du territoire dès le Néolithique avec un dolmen accompagné de haches polies[27]. Des enceintes probablement protohistoriques mais non datées plus précisément sont révélées par la prospection aérienne au début des années 1990 au nord-est du territoire[28].
L'histoire du Liège ne semble plus documentée, au regard des connaissances actuelles, avant le Moyen Âge central. La première mention du Liège remonte au XIIe siècle. À cette époque, le territoire est un fief relevant du château de Loches[27]. Le territoire du Liège était totalement ou partiellement couvert, à l'époque médiévale, par la forêt de Chenevôse[29], mais l'histoire de son défrichement est mal connu. Il a probablement commencé à l'ouest, dans la zone géologique des calcaires lacustres où les aptitudes agricoles des sols sont meilleures[8]. Le territoire paroissial du Liège semble s'être constitué aux dépens de celui de Genillé mais le découpage est fait de telle sorte que le prieuré de Hys demeure sur le territoire de Genillé, même si les moines de ce prieuré sont probablement à l'origine de la fondation de l'église du Liège et du bourg qui l'accompagne[30].
En 1830, la commune du Liège cède à Genillé 20 ha et un petit hameau ; elle reçoit en échange 35 ha de terrain nu[31]. Lors des plébiscites organisés par Napoléon III en et , le score est sans équivoque : tous les inscrits votent et le oui remporte l'unanimité des suffrages[32].
La Première Guerre mondiale fait 21 victimes parmi les soldats originaires du Liège[33], alors que la commune compte 356 habitants en 1911. Le , des résistants des Forces françaises de l'intérieur tendent une embuscade à l'armée allemande qui se replie. En représailles, plus de 600 Allemands encerclent le bourg dont une partie des habitants fuient leurs maisons. La fusillade éclate et 7 maquisards dont tués[34]. Un monument aux morts, dans le bourg du Liège, rappelle cet épisode[35].
Politique et administration
Population et société
Démographie
Les habitants du Liège se nomment les « Liégeois »[26].
Les premiers registres paroissiaux connus remontent à 1596. En 1789, dernier année où un recensement par foyer est réalisé avant la mise en place d'un recensement individuel, la population du Liège est de 60 feux, ce qui correspond au maximum enregistré depuis 1687[31].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2019, la commune comptait 339 habitants[Note 3], en diminution de 2,59 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,64 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
La commune du Liège est intégrée à un regroupement pédagogique intercommunal comprenant également Genillé et Céré-la-Ronde. Les écoles maternelle et élémentaire se trouvent sur ces deux dernières communes[41].
La carte scolaire départementale prévoit la scolarisation des étudiants du Liège dans le collège de Montrésor et le lycée de Loches[42].
Santé et services d'urgence
Aucun professionnel de santé n'est installé sur le territoire du Liège. Par contre, Genillé accueille généralistes et spécialistes[43]. L'hôpital le plus proche est le centre hospitalier des Rives de l'Indre à Loches[44]. Genillé dispose, sur son territoire communal, d'un centre d'incendie et secours dont le périmètre d'action s'étend au Liège[45].
Économie
Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées au Liège selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[I 1] :
Total | % | 0 salarié | 1 à 9 salariés | 10 à 19 salariés | 20 à 49 salariés | 50 salariés ou plus | |
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Ensemble | 24 | 100,0 | 19 | 4 | 0 | 1 | 0 |
Agriculture, sylviculture et pêche | 5 | 20,8 | 5 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Industrie | 2 | 8,3 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Construction | 2 | 8,3 | 1 | 1 | 0 | 0 | 0 |
Commerce, transports, services divers | 12 | 50,0 | 11 | 1 | 0 | 0 | 0 |
dont commerce et réparation automobile | 5 | 20,8 | 5 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Administration publique, enseignement, santé, action sociale | 3 | 12,5 | 0 | 2 | 0 | 1 | 0 |
Champ : ensemble des activités. |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le dolmen d'Hys se trouve non loin du hameau homonyme, sis pour sa part sur la commune de Genillé. Il se compose d'une table qui comporte deux cuvettes de polissage, reposant sur six pierres ; l'ensemble était probablement recouvert de terre à l'origine. Le dolmen a été dégradé par sa transformation en abri par des bergers[46]. Des fouilles (fin du XIXe siècle et années 1920) ont mis au jour un crâne et des outils néolithiques[27].
L'église Saint-Martin est un édifice dont la construction s'échelonne du XIIe siècle (nef) au XVe siècle (chœur et abside à trois pans[35]), au XVIe siècle (surélévation de la nef) puis au XVIIIe siècle (reprise des voûtes). Le clocher est construit latéralement à la nef[47]. Des stalles (fin du XVe siècle)[48] et un Christ en croix (XVIe siècle)[49] font partie des objets protégés recensés dans la base Palissy. Les stalles du Liège et celles se trouvant dans l'église de Saint-Flovier sont de facture comparable ; elles pourraient provenir d'un même établissement[35].
Dans le bourg, un bâtiment carré, élevé et couvert d'une toiture à quatre pans est l'unique vestige de l'ancien logis seigneurial. Après la Révolution, il est utilisé comme relais de poste jusqu'au XIXe siècle[35].
Le château du Courbat doit son nom au premier propriétaire des lieux qui possédait en 1450 un domaine homonyme au Pêchereau et qui a rebaptisé l'ancien domaine de la Hardouinière. Le château actuel date de la fin du XVIIe siècle et remplace un édifice plus ancien fortifié (enceinte, douves, pont levis)[35]. Il est saisi comme bien d'émigré à la Révolution[50] avant de parvenir entre 1855 et 1885 entre les mains d'un parent de Châteaubriand[51]. En 1840, une chapelle est ajoutée à l'ensemble[35].
- Dolmen « d'Hys ».
- Nef de l'église Saint-Martin.
- Stalles dans l'église Saint-Martin.
Patrimoine gastronomique
La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[52].
Héraldique
Blason | Tiercé en pairle renversé: au 1er de sinople à l'épée basse d'argent posée en bande et coupant un manteau de gueules, au 2e d'or à la grappe de raisin de pourpre, pamprée au naturel, au 3e d'azur au dolmen d'argent; à la bordure réduite componée d'argent et de gueules. |
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Détails | Création Jean-François Binon. Adopté en décembre 2016[53]. |
La bordure componée représente le département d’Indre et Loire, l’épée et le manteau évoquent saint Martin, le raisin et le pampre rappellent le passé viticole de la commune et le dolmen symbolise celui d'Hys[53].
Voir aussi
Bibliographie
- Jacques-Xavier Carré de Busserolle, Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine, t. IV, Société archéologique de Touraine, , 430 p. (lire en ligne), p. 51-52.
- Jean-Mary Couderc (dir.), Dictionnaire des communes de Touraine, Chambray-lès-Tours, CLD, , 967 p. (ISBN 978-2-85443-136-0).
- Jean-Luc Flohic (dir.), Patrimoine des communes de France, t. 2, Paris, Flohic, , 1406 p. (ISBN 2-84234-115-5).
- Élisabeth Lorans, Le Lochois du Haut Moyen Âge au XIIIe siècle : territoires, habitats et paysages, Tours, Publications de l'Université de Tours, , 289 p. (ISBN 2-86906-092-0).
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Site de l'Insee :
- Autres références :
- « Fiche communale - Le Liège », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Orthodromie entre Le Liège et Tours », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Carte géologique de la France au 1/50 000 - Saint-Aignan » [PDF], sur le site Ficheinfoterre du BRGM (consulté le ).
- Couderc 1987, p. 463.
- Christophe Meunier, Géographie : Professeur des écoles : Oral, admission - CRPE 2017, Dunod, , 256 p. (ISBN 978-2-10-075579-0, lire en ligne), p. 73.
- « Les climats du monde », sur le site de l'encyclopédie Larousse (consulté le ).
- Pierre Leveel, Histoire de Touraine et d'Indre-et-Loire, Chambray-lès-Tours, CLD, , 991 p. (ISBN 978-2-85443-157-5), p. 20.
- Couderc 1987, p. 464.
- « ZNIEFF 240030909- Plateau de Champeigne entre Bléré et Loches », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Outarde canepetière », sur le site de la ligue pour la protection des oiseaux (LPO) Touraine (consulté le ).
- « Le site Natura 2000 de la Champeigne tourangelle », sur le site de l'Atelier technique des espaces naturels du ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie (consulté le ).
- « Les mesures agri-environnementales territorialisées », sur le site de l'Atelier technique des espaces naturels du ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Plan du réseau » [PDF], sur le site du Réseau de mobilité interurbaine (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune duLiège », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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- Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 p. (ISBN 978-2-916043-45-6), p. 135.
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- Auguste Chauvigné, « Limites comparatives de la forêt de Chenevôse au Moyen Âge et à l'époque actuelle », Bulletin de géographie historique et descriptive, , p. 173 (lire en ligne).
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- Jean-Michel Gorry, Paroisses et communes de France. Dictionnaire d'histoire administrative et démographique. Indre-et-Loire, Paris, CNRS, , 480 p. (ISBN 978-2-222-03681-4), p. 286.
- Pierre Rouillé-Courbe, « Canton de Montrésor », dans Pierre Rouillé-Courbe, : réception de S.A.I. Le prince Louis-Napoléon dans le département d'Indre-et-Loire., (lire en ligne), page 113.
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- Flohic 2001, p. 984.
- Président de la Délégation spéciale
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Ivan Rouillet, « Ruralité : la quadrature du cercle passe par l’école », La Nouvelle-République du Centre-Ouest, (lire en ligne).
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- Flohic 2001, p. 983.
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- Notice no PM37000242, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no PM37000243, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Michel Bourderioux, « Le Courbat (commune du Liège) », bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. XXXVII, , p. 285-288 (ISSN 1153-2521, lire en ligne).
- Anne-Marie Schrenzel-Cuisinier, « 1855-1885 : le Courbat devient domaine de prospérité sous l'égide de Christian-Geoffroy de Châteaubriand », bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. XLIV, , p. 582 (ISSN 1153-2521, lire en ligne).
- Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
- « Un blason pour la commune », La Nouvelle République du Centre-Ouest, (lire en ligne).
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