Le Monastère

Le Monastère est une commune française, située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Pour le roman de Walter Scott, voir Le Monastère (roman).

Le Monastère

Vue partielle du Monastère
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Rodez
Intercommunalité Rodez Agglomération
Maire
Mandat
Jacques Montoya
2020-2026
Code postal 12000
Code commune 12146
Démographie
Gentilé Monastériens
Population
municipale
2 284 hab. (2019 )
Densité 339 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 20′ 37″ nord, 2° 34′ 45″ est
Altitude Min. 519 m
Max. 648 m
Superficie 6,73 km2
Unité urbaine Rodez
(banlieue)
Aire d'attraction Rodez
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rodez-2
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Le Monastère
Géolocalisation sur la carte : France
Le Monastère
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Le Monastère
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Le Monastère
Liens
Site web lemonastere.fr

    Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'abbaye, inscrite en 2014, et l'église Saint-Etienne et Saint-Blaise, inscrite en 2014.

    Géographie

    Localisation

    Rodez
    Olemps N Sainte-Radegonde
    O    Le Monastère    E
    S
    Flavin

    Site

    Commune de l'aire d'attraction de Rodez située dans son Unité urbaine juste au sud de Rodez.

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier du Le Monastère.

    La commune est drainée par l'Aveyron, la Briane, la Brianelle, la Garrigue, le ruisseau des Planquettes et par divers petits cours d'eau[1].

    L'Aveyron, d'une longueur totale de 290,6 km, prend sa source dans la commune de Sévérac d'Aveyron et se jette dans le Tarn à Barry-d'Islemade, après avoir arrosé 60 communes[2].

    La Briane, d'une longueur totale de 11,7 km, prend sa source dans la commune de Flavin et se jette dans l'Aveyron à Le Monastère, après avoir arrosé 3 communes[3].

    Gestion des cours d'eau

    La gestion des cours d’eau situés dans le bassin de l’Aveyron est assurée par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) Aveyron amont, créé le , en remplacement du syndicat mixte du bassin versant Aveyron amont[4],[5],[6].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 038 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[7]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[9]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à km à vol d'oiseau de la commune[10], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal du Monastère comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[14], la « Rivière Aveyron » (3 500 ha), couvrant 63 communes dont 38 dans l'Aveyron, 5 dans le Tarn et 20 dans le Tarn-et-Garonne[15] , et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[14], la « Vallée de l'Aveyron » (14 644 ha), qui s'étend sur 68 communes dont 41 dans l'Aveyron, 5 dans le Tarn et 22 dans le Tarn-et-Garonne[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Monastère est une commune urbaine[Note 5],[17]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rodez, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[I 2] et 47 868 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5],[I 6].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune du Le Monastère.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,9 %), prairies (30,4 %), zones urbanisées (13,5 %), forêts (13,4 %), terres arables (2,9 %)[19].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment la communauté d'agglomération du Grand Rodez, dont la commune est membre[20].

    La commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme approuvé[21]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[22].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune du Monastère est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[23],[24].

    Risque d'inondation

    Zones inondables de la commune du Monastère.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de l'Aveyron. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans le bassin du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[25]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) Aveyron Amont-Auterne[26], approuvé le 14 décembre 2006[27].

    Plusieurs inondations, retracées par la presse locale, restent dans les mémoires : , [28], [29], [30], [29].

    Risque de feux de forêts

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[31].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune du Monastère est classée à risque moyen à élevé[32]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[33] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[34].

    Toponymie

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Bourg-la-Briane[35].

    Histoire

    L'évêque de Rodez, Gilbert de Cantobre, accorda des indulgences en 1339 aux ouvriers qui contribuaient à la construction du pont du Monastère.

    En 1837, la commune absorbe celles voisines de Banocres, Boutonnet, Combelles, Foulloubous et Rendeynes[35] peuplées respectivement de 10[36], 20[37], 12[38], 9[39] et 13[40] habitants au recensement de 1793. La commune du Monastère est créée par ordonnance du roi Louis-Philippe Ier le 3 juillet 1837.[réf. nécessaire],

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune du Monastère est membre de la Rodez Agglomération[I 7], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Rodez. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[41].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Rodez, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 7]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Rodez-2 pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 7], et de la première circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[42].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal du Monastère, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[43], pour un mandat de six ans renouvelable[44]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 19[45]. Les dix-neuf conseillers municipaux sont élus au premier tour avec un taux de participation de 33,62 %, issus de la seule liste candidate, conduite par Jacques Montoya[46]. Jacques Montoya est élu nouveau maire de la commune le [47].

    Les deux sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté d'agglomération du Grand Rodez sont alloués à la liste de Jacques Montoya[46].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1925 1929 Louis Lignon    
    1929 1953 Gabriel Besombes    
    1953 1965 Emile Arnal    
    1965 1977 André Arnal    
    1977 1995 Jacques Montrozier    
    1995 2001 Patrick Bastide    
    2001 2020 Michel Gantou DVD Retraité
    2020 En cours Jacques Montoya    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[49].

    En 2019, la commune comptait 2 284 habitants[Note 7], en augmentation de 7,43 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    475547574659618724670735809
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    719663575565600635712667677
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    659630615529561579598672715
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    9099371 2011 2561 5791 8092 0602 0952 104
    2017 2019 - - - - - - -
    2 2832 284-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 981 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 2 309 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 010 [I 8] (20 640  dans le département[I 9]). 57 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 9] ( % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 10]2,5 %4 %3,7 %
    Département[I 11]5,4 %7,1 %7,1 %
    France entière[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 511 personnes, parmi lesquelles on compte 82,1 % d'actifs (78,3 % ayant un emploi et 3,7 % de chômeurs) et 17,9 % d'inactifs[Note 10],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rodez, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 13]. Elle compte 409 emplois en 2018, contre 376 en 2013 et 312 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 189, soit un indicateur de concentration d'emploi de 34,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 67,2 %[I 14].

    Sur ces 1 189 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 231 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 91,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3 % les transports en commun, 4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

    Activités hors agriculture

    119 établissements[Note 11] sont implantés au Monastère au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 17].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre%%
    Ensemble119
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    86,7 %(17,7 %)
    Construction2420,2 %(13 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    2521 %(27,5 %)
    Activités financières et d'assurance32,5 %(3,4 %)
    Activités immobilières54,2 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1714,3 %(12,4 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    2218,5 %(12,7 %)
    Autres activités de services1512,6 %(7,8 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21 % du nombre total d'établissements de la commune (25 sur les 119 entreprises implantées au Le Monastère), contre 27,5 % au niveau départemental[I 18].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations1711118
    SAU[Note 13] (ha)444478490382

    La commune est dans le Segala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[51]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 2]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (17 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 382 ha[53],[Carte 3],[Carte 4].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Amans Biron, né le au Monastère, dragon d'empire, sauva Napoléon le au pont d'Arcole, en le dégageant des Autrichiens qui s'apprêtaient à le saisir[56]. Une plaque commémorative est posée à l'angle de la rue Saint-Blaise et de la rue de la Briane : Jean-Amans Biron / Dragon d'Empire / 1770-1841 / Né au Monastère, a vécu dans cette maison / Sapeur au 1er régiment de Dragons / Fit les campagnes de la République et de l'Empire / En 1802, on lui décerna la Légion d'honneur / pour ses actes de bravoure et d'héroïsme / à la bataille de Marengo / Notre valeureux compatriote Aveyronnais / fut le premier décoré de cette distinction / dans ce département / Bicentenaire de sa Légion d'honneur / 1802-2002[57].

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel, Rodés-est : Lo Monestire, Senta-Radegonda / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Rodés-est, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 340 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-60-2, ISSN 1151-8375, BNF 39300576)

    Articles connexes

    Liens externes

    http://club.quomodo.com/badaumonas/accueil.html

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[52].
    • Cartes
    1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 de Rodez » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    7. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune duMonastère » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 au Monastère » (consulté le ).
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 au Monastère » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 au Monastère » (consulté le ).
    15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 au Monastère » (consulté le ).
    18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Fiche communale du Monastère », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    2. Sandre, « l'Aveyron »
    3. Sandre, « la Briane »
    4. « EPAGE Aveyron amont », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    5. « Aveyron amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    6. site officiel du SMB2
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Le Monastère et Rodez », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune du Monastère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF la « Rivière Aveyron » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « ZNIEFF la « Vallée de l'Aveyron » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    20. « Le SCOT du Centre Ouest Aveyron - documents », sur http://scot-centre-ouest-aveyron.proscot-eau.fr/ (consulté le )
    21. « Etat par commune des POS, PLU et cartes communales », sur https://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/ (consulté le )
    22. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le )
    23. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Liste des risques par commune », sur http://www.aveyron.gouv.fr/ (consulté le )
    24. « Rapport présentant les risques affectant la commune », sur l'observatoire national des risques naturels, (consulté le )
    25. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l’Aveyron – risque d’inondation », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le )
    26. « Dossier PPRI », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le )
    27. [PDF]« Arrêté préfectoral d’approbation du PPRI », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le )
    28. « https://www.retronews.fr/journal/le-petit-parisien/11-septembre-1909/2/81182/1/574383784a58b3d1013d3861c8df3304 », sur Retronews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
    29. « Journal de l'Aveyron - 09/03/1930 - Archives départementales de l'Aveyron », sur archives.aveyron.fr (consulté le )
    30. « Journal de l'Aveyron - 12/12/1937 - Archives départementales de l'Aveyron », sur archives.aveyron.fr (consulté le )
    31. « Dossier départemental des risques majeurs de l’Aveyron - Le risque feu de forêt », sur le site de la préfecture départementale (consulté le )
    32. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le )
    33. « Article R1333-29 du code de la Santé publique », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le )
    34. « Arrêté du 27 juin 2018 portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le )
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Banocres », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Boutonnet », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Combelles », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Foulloubous », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Rendeynes », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    41. « Rodez Agglomération - fiche descriptive au 10 octobre 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    42. « Découpage électoral de l'Aveyron (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    43. Loi no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51 et son décret d'application no 2013-938 du 18 octobre 2013.
    44. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL (consulté le )
    45. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
    46. « Résultats du 1er tour pour Le Monastère », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le )
    47. « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur https://www.data.gouv.fr/ (consulté le )
    48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    51. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    52. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    53. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune du Le Monastère - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    54. « Abbaye bénédictine Saint-Sernin au Monastère - PA12000052 - Monumentum », sur monumentum.fr (consulté le )
    55. « Eglise paroissiale Saint-Etienne et Saint-Blaise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    56. B. Haro, « Jean-Amans Biron le grognard qui sauva Bonaparte », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
    57. « Aveyron », sur Guide National des Maisons Natales (consulté le )
    • Portail des communes de France
    • Portail du Massif central
    • Portail de l’Aveyron et du Rouergue
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.