Mézères

Mézères est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Mézères
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Le Puy-en-Velay
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Puy-en-Velay
Maire
Mandat
Gilles Tempére
2020-2026
Code postal 43800
Code commune 43134
Démographie
Gentilé Mézèrois(es)
Population
municipale
150 hab. (2019 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 09′ 39″ nord, 4° 01′ 12″ est
Altitude Min. 805 m
Max. 1 089 m
Superficie 8,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Emblavez-et-Meygal
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Mézères
Géolocalisation sur la carte : France
Mézères
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Mézères
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Mézères

    Le petit village de Mézères est construit en rond sur un morne de 953 m d’altitude se dressant à une cinquantaine de mètres au-dessus des terres environnantes, au sommet duquel on accède par une rue en spirale, et où se trouve la vieille église romane et les vestiges d’un château médiéval. La commune comprend un bar-restaurant, six fermes d'agriculteurs, un gîte, une salle polyvalente avec possibilités de location, une bibliothèque...

    Avant les années 2000, Mézères avait une école publique qui a été fermée pour cause de manque d'élèves.

    Trois messes par an uniquement : Pâques, la Toussaint et l'Assomption[1].

    Les habitants de Mézères sont les Mézèrois.

    Géographie

    Le climat est tempéré, chaud. Les précipitations y sont abondantes toute l'année.

    Le village de Mézères est construit sur une éminence basaltique.Il est entouré de montagnes trachytiques. Les volcans se composent de la montagne de Vaux (1 087 m), du mont de Planèze (1 101 m), du mont Orsier (975 m), le volcan de Jalore (dont la plus grande partie est située sur la commune de Rosières) est à 1 076 m et domine la vallée de l'Emblavès, la montagne de Gerbison est à 1 076 m.

    Mézères est traversé par la route D 7 qui relie Yssingeaux à Lavoûte-sur-Loire. La D 28 permet d'accéder au village à partir de la D 7.

    Rosières est à km, Retournac à 10 km (gare SNCF sur la ligne reliant Le Puy-en-Velay à Saint-Étienne-Châteaucreux), Yssingeaux à 12 km et Le Puy-en-Velay à 23 km.

    Jusqu'en mars 2015, Mézères était située dans le canton de Vorey, dans l'arrondissement du Puy-en-Velay. Parmi les hameaux de la commune, figurent Montméac, les Breux, Vioches, Faux, Planeze.

    Urbanisme

    Typologie

    Mézères est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[I 1],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,7 %), prairies (31,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,6 %)[4].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 115, alors qu'il était de 116 en 2013 et de 101 en 2008[I 4].

    Parmi ces logements, 62,3 % étaient des résidences principales, 31,6 % des résidences secondaires et 6,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,7 % des appartements[I 5].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Mézères en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (31,6 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,7 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 6].

    Le logement à Mézères en 2018.
    Typologie Mézères[I 4] Haute-Loire[I 7] France entière[I 8]
    Résidences principales (en %) 62,3 71,5 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 31,6 16,1 9,7
    Logements vacants (en %) 6,1 12,4 8,2

    Histoire

    Toponymie : Mézeres a été désigné sous plusieurs noms[5] ; Miseri, Miserie, Mezeras, Mezeirachum.

    Si les sources disponibles ne permettent pas de connaître le premier seigneur auquel échoit la terre de Mezères[5] sur laquelle il construit son château, ni de donner une généalogie complète des familles seigneuriales ; le cartulaire et le répertoire des hommages de l'évêché du Puy permettent de repérer certains événements et dépendances de Mézères.

    Le diocèse du Puy comprend, depuis la fin du IXe siècle, trois archiprêtrés[6] Monistrol-sur-Loire, Saint-Paulien, et Solignac-sur-Loire. Mézères appartient à celui de Monistrol.

    Gaston de Jourda de Vaux[7], indique que Bertrand Comarc (dit aussi Comarc[8] d'Espaly) donna ses biens sis à Mézères à l'église de Chamalières-en-Velay le .

    En 1267 la bulle de Clément VI place le château de Mézères sous la souveraineté de l'évêque du Puy.

    Le bailliage du Velay, institué vers l'année 1278 et qui ressortissait au sénéchal de Beaucaire, avait, à ses débuts, une étendue égale à celle du diocèse du Puy, Mézères est donc inclus dans ce bailliage.

    Les seigneurs des Breux (aujourd'hui hameau de Mézères), Tannequin de Terrasse de Chabanolle, écuyer, seigneur des Breux (1667), fut bailli du mandatement de Mézères. Jean de Terrasse, écuyer, seigneur des Breux possédait des rentes directes à Viauches, Chalendar, Mézères, Blanhac, les Breux, Roiron, la Boriade. qu'il avait acquises du seigneur de Ferrahne, au prix de 3 000 livres.

    En , Louis XIV supprima les deux bailliages de la province et incorpora à la sénéchaussée du Puy un siège présidial, afin de simplifier les formalités judiciaires et, ajoute l'édit royal, pour retirer de la vente des nouveaux édifices « un secours considérable et nécessaire dans l'estat présent de nos affaires ». À la veille de la Révolution, ces tribunaux jugeaient sans appel jusqu'à concurrence de 2 000 livres et ressortissaient au Conseil supérieur de la ville de Nîmes, auquel une ordonnance d' avait attribué la compétence judiciaire du parlement de Toulouse.

    Période révolutionnaire : l'Assemblée nationale, dans ses séances des 26 décembre et , créa le département du Velay, auquel une autre délibération législative, du 6 février suivant, donna le nom de «département de la Haute-Loire», Il comprenait trois districts et trente-deux cantons dont le canton de Rosières composé de six municipalités : Beaulieu, Chaspinhac, Mézères, Rosières, Saint-Vincent et La Voûte. Un décret des consuls, du , créa deux cantons au Puy et un à Pinols et supprima ceux de Lempdes, de Roche-en-Régnier, de Rosières et de Saint-Palde. Dès lors Mézères appartient au canton de Vorey, comprenant alors sept communes et 10 406 habitants : Beaulieu, Chamalières, Mézères, Roche-en-Régnier, Rosières, Saint-Pierre-Duchamp et Vorey.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Mézères est membre de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Puy-en-Velay. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[9].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 9].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Emblavez-et-Meygal pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[10].

    Tendances politiques et résultats

    Mairie de Mézères.
    Lors de l'élection présidentielle de 2012[11] Marine Le Pen arrive en tête au premier tour avec 39 voix (31,97 %), suivie de François Hollande (22,13 %) et de Nicolas Sarkozy (20,49 %) ; François Bayrou recueille 14 votes (11,48 %), Jean-Luc Mélenchon 13 votes (10,66 %) et Eva Joly 2 ; au second tour Nicolas Sarkozy obtient 53,33 % des suffrages et François Hollande 46,67 %. Au second tour, sur 151 inscrits, il y a 129 votants (85 %).
    Lors des élections législatives de 2012 Laurent Wauquiez (UMP) obtient au second tour 68,32 % des voix et Guy Vocanson (PS) 31,68 %.
    Lors des élections municipales de 2014, tous les onze sièges de conseillers municipaux ont été pourvus au premier tour. Le nombre d’inscrits était de 164, le nombre de votants de 132 (80,49 %).
    Le scrutin des élections européennes de 2014 a placé la liste « Bleu marine » (Marine Le Pen) en tête avec 25,37 % ; La liste « Pour la France, agir en Europe » (Brice Hortefeux) 23,95 % ; « Choisir notre Europe » (Jean-Paul Denamot, PS) 11,96 %.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981  ? Joseph Montagne    
    mars 2001 mars 2014 Jean-Claude Dodet UMP  
    mars 2014 2020 Albert Héritier[12]   retraité
    2020 En cours Gilles Tempére[13]    

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[15].

    En 2019, la commune comptait 150 habitants[Note 2], en diminution de 6,83 % par rapport à 2013 (Haute-Loire : +0,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    300282347388364384400408402
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    406439461503474499499516464
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 067396415348358314289254221
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    173164124105101102151158159
    2017 2019 - - - - - - -
    158150-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,4 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 91 hommes pour 64 femmes, soit un taux de 58,71 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 10]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    1,5 
    6,5 
    75-89 ans
    1,5 
    24,7 
    60-74 ans
    26,2 
    24,7 
    45-59 ans
    20,0 
    21,5 
    30-44 ans
    21,5 
    4,3 
    15-29 ans
    12,3 
    18,3 
    0-14 ans
    16,9 
    Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2018 en pourcentage[I 11]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    2,4 
    8 
    75-89 ans
    11,6 
    19,7 
    60-74 ans
    19,6 
    21,6 
    45-59 ans
    20,5 
    17,2 
    30-44 ans
    16,4 
    15,3 
    15-29 ans
    13,4 
    17,4 
    0-14 ans
    16,1 

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 75 ménages fiscaux[Note 3], regroupant 173 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 290 [I 12] (20 800  dans le département[I 13]).

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 14]7,2 %4,9 %10,3 %
    Département[I 15]6,3 %7,7 %7,7 %
    France entière[I 16]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 95 personnes, parmi lesquelles on compte 78,4 % d'actifs (68 % ayant un emploi et 10,3 % de chômeurs) et 21,6 % d'inactifs[Note 4],[I 14]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 17]. Elle compte 12 emplois en 2018, contre 17 en 2013 et 18 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 65, soit un indicateur de concentration d'emploi de 18,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,5 %[I 18].

    Sur ces 65 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 9 travaillent dans la commune, soit 14 % des habitants[I 19]. Pour se rendre au travail, 86,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 20].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Maison typique sur le flanc du morne de Mézères.
    • La chapelle romane du Xe siècle, convertie en église, située sur le point culminant du village.
    • Vestiges du château féodal, le castrum de Mezeras, mentionné au XIe siècle.
    • Bourgade pittoresque (maisons typiques aux toits de lauzes, four à pain, etc.).
    • Château (XVe et XVIe siècles) dans le hameau des Breux, à 1 km environ à l'est du village.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    3. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    4. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Mézères » (consulté le ).
    5. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Mézères - Section LOG T2 » (consulté le ).
    6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Mézères - Section LOG T7 » (consulté le ).
    7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
    8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Mézères » (consulté le ).
    10. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mézères (43134) », (consulté le ).
    11. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
    12. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Mézères » (consulté le ).
    13. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
    14. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Mézères » (consulté le ).
    15. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
    16. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    18. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Mézères » (consulté le ).
    19. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    20. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Article sur Mézères
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    5. Theillière Abbé  « Mézères « Tablettes historiques du Velay 1874 Le Puy impr. J.M. Freydier 588 p.p. 570-582 (consultable sur Gallica)
    6. Gaston de Jourda de Vaux Le Nobiliaire du Velay et de l'ancien diocèse du Puy, t.2, 1924 Le Puy (consultable sur Gallica http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k61320531.r=mezeres?rk=21459;2
    7. Jourda de Vaux, Gaston de " Le Nobiliaire du Velay et de l'ancien diocèse du Puy : noms féodaux' Tome 2, impr. Peyriller (Le Puy)  1924-1933  p.158
    8. Gaston de Jourda précise que "dans son étude sur l'origine de la cité d'Anis, M.-A. Boudon-Lashernes dit que les membres de la famille d'Espaly des « seigneurs de Ferraighe » se transmettaient jalousement, de génération en génération le tritre de "comarc " c'est à dire, suivant du Gange, prince, le comarc étant, aux temps gallo-roamains et gallo-francs, le chefs des Comtes dans la province.
    9. « communauté d'agglomération du Puy-en-Velay - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
    10. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    11. « Elections présidentielles 2012 Mézères », sur franceinfo.fr.
    12. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
    13. « Liste des maires » [PDF], Préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
    14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.

    Liens externes

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