Domme
Domme est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Ancienne bastide médiévale, la commune était le chef-lieu du canton de Domme de 1790 à 2015.
Domme | |||||
La bastide de Domme dans la brume matinale. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Sarlat-la-Canéda | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Cassagnole 2020-2026 |
||||
Code postal | 24250 | ||||
Code commune | 24152 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Dommois(es) | ||||
Population municipale |
909 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 36 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 48′ 08″ nord, 1° 12′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 60 m Max. 303 m |
||||
Superficie | 24,91 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Sarlat-la-Canéda (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée Dordogne | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | domme.fr | ||||
Elle fait partie de l'association Les Plus Beaux Villages de France.
Géographie
Généralités
Au sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune de Domme est, bordée au nord par la Dordogne qui y forme un important méandre, le « cingle de Montfort ».
Elle fait partie de l'association Les Plus Beaux Villages de France[1].
La bastide de Domme, perchée sur une falaise à 210 mètres d'altitude, domine la Dordogne de plus de cent mètres. Elle n'offre pas le plan rectangulaire caractéristique des bastides, mais affecte la forme d'un trapèze. Les fortifications qui l'enserrent ont été adaptées dans leur tracé aux nécessités du terrain. Elle est traversée par la route départementale (RD) 49 et se situe, en distances orthodromiques, dix kilomètres au sud de Sarlat et quinze kilomètres au nord-ouest de Gourdon.
Le territoire communal est également desservi par les RD 46E, 46E3 et 50. Il est longé sur une centaine de mètres au nord-ouest par la RD 46.
Le sentier de grande randonnée GR 64 traverse le territoire communal d'ouest en est, sur environ sept kilomètres. Une variante, le GR 64A, dessert le nord de la commune, en direction de Vitrac sur environ quatre kilomètres.
Communes limitrophes
Domme est limitrophe de six autres communes. Au sud, le territoire de Saint-Martial-de-Nabirat est distant d'environ 750 mètres.
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Domme est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2a, date du Turonien inférieur, composée de calcaire crayeux blanchâtre en plaquettes ou noduleux. La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 808 - Sarlat-la-Canéda » et « no 832 - Gourdon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et leurs notices associées[5],[6].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | ||||||||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
| ||||||||||||||||||||||||
Pléistocène |
| ||||||||||||||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
| |||||||||||||||||||||||||
Éocène | non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Paléocène | non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
| ||||||||||||||||||||||||
inférieur | non présent. | ||||||||||||||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.3) |
non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 60 m[7] à l'ouest, là où la Dordogne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Cénac-et-Saint-Julien et La Roque-Gageac, et 302 ou 303 m[7],[8] à l'ouest de l'aérodrome de Sarlat - Domme[9].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [10]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[11]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[12].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 24,91 km2[7],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 24,79 km2[4].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par la Dordogne, la Courrégude et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[17],[Carte 1].
La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne en limite d'Ambès et Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[18],[19]. Elle borde la commune au nord sur douze kilomètres et demi, face à Carsac-Aillac, Vitrac et La Roque-Gageac.
- La Dordogne vue depuis l'esplanade de Domme.
- Plage au bord de la Dordogne, face à Vitrac.
- Réseaux hydrographique et routier de Domme.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[22]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[23].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[26] complétée par des études régionales[27] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[28] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[29],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[30]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 15 km[31], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[32], à 12,7 °C pour 1981-2010[33], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[34].
Milieux naturels et biodiversité
Natura 2000
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Domme[35],[36]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[37].
La zone Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, qui s'étend au total sur 3 686 hectares et est partagée avec vingt-quatre autres communes, fait également partie du réseau Natura 2000[38],[39]. Deux espèces de chauves-souris inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[38] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros).
Sur la commune, elle s'étend sur une quarantaine d'hectares et correspond aux coteaux situés en bordure de la Dordogne, depuis le Dauphinat jusqu'à la route départementale 49, en limite de Cénac-et-Saint-Julien.
ZNIEFF
Berbiguières fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[40],[41], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[42].
Urbanisme
Typologie
Domme est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[43],[44],[45].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[46],[47].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,6 %), prairies (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (12 %), terres arables (9,6 %), zones urbanisées (4,9 %), eaux continentales[Note 9] (3,8 %), cultures permanentes (2 %)[48].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
Un plan de prévention des risques (PPR) de mouvements de terrain a été approuvé en 2010 concernant une partie du territoire communal, notamment au nord-est de la bastide[49],[50].
À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2011 pour la Dordogne amont et ses rives, qui concerne donc les zones basses du territoire de Domme[51],[52].
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Doma[53].
Ses habitants sont appelés les Dommois(es)[54].
Histoire
La bastide fut fondée en 1281[55] par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.
On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient, disait-on, des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et ils auraient laissé comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En réalité, l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basées sur de faux relevés, imaginés par un faussaire aujourd'hui bien identifié, et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique[56],[57].
Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans[58], la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347[59]. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.
De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.
Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.
Domme a connu la prospérité au XVIIe siècle puis périclita, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Domme est le chef-lieu du canton de Domme qui dépend du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[7].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[60]. La commune est alors rattachée au canton de la Vallée Dordogne.
Intercommunalité
Fin 2001, Domme intègre la communauté de communes du Canton de Domme. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par la communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[61],[62].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Domme relève[65] :
- du tribunal de proximité et du tribunal paritaire des baux ruraux de Sarlat-la-Canéda ;
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Politique environnementale
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[66].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[67]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[68].
En 2019, la commune comptait 909 habitants[Note 10], en diminution de 5,41 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Manifestations culturelles et festivités
- Début août, meeting aérien (28e édition en 2019)[70].
Économie
Emploi
En 2015[71], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 372 personnes, soit 40,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (79) a augmenté par rapport à 2010 (63) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 21,3 %.
Établissements
Au , la commune compte 152 établissements[72], dont 104 dans le secteur des commerces, transports ou services, seize dans la construction, quinze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, dix dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et sept dans l'industrie[73].
Site militaire d'écoutes électroniques
Domme abrite, sur son territoire, une des plus importantes bases de Frenchelon, destiné au renseignement électronique stratégique, non reconnu officiellement par les pouvoirs français mais géré par l'armée et les services secrets[74].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de Caudon de la première moitié du XIXe siècle, inscrit depuis 1998 au titre des monuments historiques (MH)[75] et dont le parc est classé parmi les jardins remarquables[76].
- Les restes du château du Roy, ancien château fort.
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption[77].
- La chapelle monolithe de Caudon, inscrite en 1948 au titre des monuments historiques[78].
- Le couvent des Augustins de Domme.
- Les remparts de Domme, datant du XIIIe siècle, classés au titre des monuments historiques en 1943[79]. Ils bénéficient en 2021 de l'aide du Loto du patrimoine qui va attribuer 145 000 euros de subvention pour leur restauration, notamment pour la partie situ&e entre la porte des Tours et la porte de la Combe[80].
- La porte Del Bos.
- La place de la Halle.
- La grotte de Domme située sous la Halle, qui servit de refuge aux habitants de Domme pendant la guerre de Cent Ans et les guerres de religion.
- Le belvédère de la "Barre" (falaise) de Domme d'où l'on surplombe la vallée de la Dordogne.
- Le musée d'art et traditions populaires Paul Reclus, installé dans une bâtisse de la place de la Halle, et qui expose une collection d'objets anciens caractéristiques, témoins de la vie des habitants aux XIXe et XXe siècles[81].
- Le site COMINT d'écoute électronique de la DGSE se trouve à Domme.
- Le moulin du Roy.
- Le lavoir.
- Une des entrées de Domme : la porte des Tours.
- L'ancien hôtel de ville de Domme.
- Le moulin du Roy.
- Le lavoir de Domme.
Personnalités liées à la commune
- Jacques de Maleville (1741-1824), né et mort à Domme, jurisconsulte et homme politique ;
- Jean Guillaume Taillefer (1764-1835), homme politique, né et mort à Domme.
- Pierre Manières (1770-1806), homme politique, est né à Domme ;
- Timoléon Taillefer (1802-1868) est un homme politique né à Domme.
- Auguste Lepère (1849-1918), graveur, illustrateur et peintre, est mort à Domme ;
- Christiaan Cornelissen (1864-1942), journaliste, économiste, syndicaliste et anarchiste néerlandais, mort à Domme ;
- Jean Tilho (1875-1956), né à Domme et mort à Paris, général, explorateur du Tchad, du Tibesti et de l'Ennedi ;
- Lucien de Maleville (1881-1964), peintre impressionniste, inhumé à Domme ;
- François Augiéras (1925-1971), homme de lettres français, décédé à Périgueux en 1971, est inhumé à Domme ;
- Philippe Petit (1954-), est un musicien-guitariste de jazz ayant habité à Domme dans son enfance[réf. nécessaire].
- Ronald Blaes (1954-), peintre et poète belge habitant Domme depuis plusieurs années[82].
Héraldique
|
Les armes de Domme se blasonnent ainsi : « D'azur au château ouvert et ajouré du champ, donjonné de trois tours, la tour du milieu plus haute que les autres,le tout d'argent maçonné de sable, accosté de six fleurs de lys d'or mises en pal, soutenu par trois tonneaux de même posés de front et accolés 1 et 2. »
|
---|
Cinéma
Domme a été le cadre de la plupart des scènes en extérieur du téléfilm Ange de feu réalisé par Philippe Setbon et diffusé la première fois en 2006.
Le village, notamment l'église et les remparts, a également servi de lieu de tournage pour Le Tatoué de Denys de La Patellière avec Jean Gabin et Louis de Funès en 1968.
Littérature
Paul Christopher, écrivain américain, fait voyager son héros Peter Holliday à Domme, au tome II "La Croix" de la tétralogie "Légende des Templiers"[83].
Galerie
- Domme, vue du ciel.
- Vue panoramique depuis le belvédère de la Barre.
- La Dordogne à Domme, en Périgord noir.
Voir aussi
Bibliographie
- « Documents historiques sur la ville de Dome », dans Le chroniqueur du Périgord et du Limousin, 1854, p. 240-250 (lire en ligne)
- H. Barrière, « Contre-sceau du consulat de la ville royale de Domme XIVe siècle», dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1884, t. 29, p. 482-485 (lire en ligne)
- René de Gérard, « Inscriptions de la porte du château de Domme », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1884, t. 29, p. 485-486 (lire en ligne)
- Gustave Charrier, « Domme. Origine de la ville - Privilèges accordés aux habitants - Domme prise cinq fois par les Anglais - Domme prise par les Huguenots », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1902, t. 29, p. 299-332, p. 471-497
- Abbé Chanteloube, « Le pays Dommois au XVIIIe siècle », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1912, t. 39, p. 289-307, p. 393-431, p. 485-514
- Édouard Galy, « Brevet de capitaine-gouverneur de la cité et du château de Domme, accordé en 1593 par Henri IV comme roi de Navarre à Martin Descluzel », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1877, tome 4, p. 248-250 (lire en ligne)
- J.-P. Laurent, « Nouvelle note sur la prise de Domme (1347) », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1947, t. 74, p. 98-100 (lire en ligne)
- Géraud Lavergne, « La monnaie royale de Domme », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1912, t. 39, p. 482-485 (lire en ligne)
- Géraud Lavergne, « Domme », dans Congrès archéologique de France 90e session. Périgueux. 1927, p. 250-260, Société française d'archéologie, Paris, 1928 (lire en ligne)
- J. Maubourguet, « Documents sur Domme », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1929, t. 56, p. 53-56 (lire en ligne)
- J. Maubourguet, « Glanes sur Domme », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1931, t. 58, p. 50-52 (lire en ligne)
- J. Maubourguet, « Domme au début du XVIe siècle », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1932, t. 59, p. 182-183 (lire en ligne)
- Georges Rocal, La Révolution de 1830 en Dordogne, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1937, t. 64, p. 135-147 (lire en ligne)
- Intendant général Chayrou, « Dissentiments entre Domme et Cénac dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1941, t. 68, p. 57-61 (lire en ligne)
- Jean Lachastre, « Découverte d'un petit trésor monétaire à Domme », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1966, t. 93, p. 194-198 (lire en ligne)
- Anne Bécheau, Cénac et Domme. Histoire et chroniques d'un terroir, Domme, Association Le Capiol, 2009
- André Goineau-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord, Périgueux, éd. Pilote 24, 2002
- Germaine Rougier et Louis Delluc, La Longue Espérance, Dome, Cité des quatre portes, Courtabœuf, éd. Didro, 2003, (ISBN 978-2-910726-57-7)
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Office de tourisme de Domme
- Périgord Noir
- Société archéologique du Midi, Pierre Garrigou Grandchamp, Inventaire des édifices domestiques romans et gothiques des XIIe, XIIIe et XIVe siècles dans le Périgord, août 2000
- Archives du Périgord : Précis historique et chronologique sur la ville de DOMME au diocèse de Sarlat, offert en pur don, à la Bibliothèque du Roi, par M. le comte de Clermont-Toucheboeuf
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[24].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[25].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Domme » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- Domme sur le site des Plus Beaux Villages de France, consulté le 24 octobre 2014.
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Domme » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Domme », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 808 - Sarlat-la-Canéda de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 832 - Gourdon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Deux données contradictoires selon le Géoportail : 302 mètres sur la carte et 303 pour la boîte « Communes ».
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Domme », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Domme », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- « Confluence Dordogne-Garonne au bec d'Ambès » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022)..
- Sandre, « la Dordogne »
- « SAGE Dordogne amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sarlat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Domme et Sarlat-la-Canéda », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sarlat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Domme et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- Espèces, INPN, consulté le .
- [PDF] FR7200664 - Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte du site FR7200664, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- Espèces, INPN, consulté le .
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- PPR mouvement de terrain - 24DDT20100006 - Domme, DREAL Aquitaine, consulté le 8 mai 2019.
- [PDF] Agglomération de Domme - Plan de prévention du risque mouvements de terrain - Carte des phénomènes et aléas, DREAL Aquitaine, consulté le 8 mai 2019.
- PPR inondation - 24DDT20090002 - Dordogne Amont, DREAL Aquitaine, consulté le 14 février 2019.
- [PDF] Domme - Plan de prévention du risque inondation p. 15, DREAL Aquitaine, consulté le 14 février 2019.
- Le nom occitan des communes du Périgord - Doma sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- Domme (24250) sur le site habitants.fr, consulté le 24 octobre 2014.
- Pierre Garrigou Grandchamp, L'architecture domestique des bastides périgourdines aux XIIIe et XIVe siècles, p. 47-71, dans Congrès archéologique de France. 156e session. Monuments en Périgord. 1999 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1999
- Actes du XIXe colloque de Cadouin, 2012, Hervé Poidevin, La légende templière dommoise, une superstition pseudo-scientifique, p. 43-53
- Une curieuse mise au secret sur le site Les Pierres du songe d'Hervé Poidevin
- Gustave Charrier, « Domme. Origine de la ville. Privilèges accordés aux habitants. Domme prise cinq fois par les Anglais. Domme prise par les Huguenots », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1902, tome 29, p. 299-332, 471-497 (lire en ligne)
- Géraud Lavergne, « Note sur la prise de Domme (1347) », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1914, tome 41, p. 287 (lire en ligne)
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 2 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 7.
- À Domme, la maire devient adjointe, Sud Ouest édition Dordogne du 8 avril 2014, p. 12.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 16 décembre 2020.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Gilles Ray, « Les Ailes du plaisir », Sud Ouest édition Périgueux, 31 juillet 2019, p. 24.
- Dossier complet - Commune de Domme (24152) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 26 septembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Domme (24152) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 26 septembre 2018.
- « Frenchelon: la carte des stations espion du renseignement français », sur BUG BROTHER (consulté le ).
- « Château de Caudon », notice no PA24000021, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 11 octobre 2012.
- Jardins remarquables en Dordogne sur Drac Aquitaine, consultée le 11 octobre 2012.
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 107.
- « Chapelle monolithe de Caudon », notice no PA00082512, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 11 octobre 2012.
- « Remparts », notice no PA00082522, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 8 septembre 2021.
- Marianne Dabbadie, « « Une bonne nouvelle » pour les remparts », Sud Ouest édition Dordogne, 8 septembre 2021, p. 23.
- Musée Paul reclus - Musée d'art et traditions populaires sur le site Culture.fr, consulté le 27 septembre 2012.
- « Ronald Blaes expose », sur SudOuest.fr (consulté le ).
- "La Croix", chapitre 4, Éditions le cherche midi, 2014, (ISBN 978-2-7491-3086-6).
- Portail des communes de France
- Portail de la Dordogne