Malons-et-Elze

Malons-et-Elze est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.

Malons-et-Elze

Église de Malons.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Communauté de communes Mont Lozère
Maire
Mandat
Jean Oliva
2020-2026
Code postal 30450
Code commune 30153
Démographie
Gentilé Malonnais
Population
municipale
125 hab. (2019 )
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 25′ 07″ nord, 4° 01′ 25″ est
Altitude Min. 219 m
Max. 997 m
Superficie 31,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de La Grand-Combe
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Malons-et-Elze
Géolocalisation sur la carte : France
Malons-et-Elze
Géolocalisation sur la carte : Gard
Malons-et-Elze
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Malons-et-Elze

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Chassezac, la Ganière, la rivière de Bournaves et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « hautes vallées de la Cèze et du Luech »), un espace protégé (le « géoparc des monts d'Ardèche ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Malons-et-Elze est une commune rurale qui compte 125 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 220 habitants en 1866. Ses habitants sont appelés les Malonnais ou Malonnaises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Pierre de Malons, inscrite en 1949.

    Géographie

    Localisation

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    Malons-et-Elze est la commune la plus septentrionale du département du Gard. Elle est limitrophe de l'Ardèche et de la Lozère.

    C'est à Malons que se situent l'église et la mairie ainsi que le passage d'une draille à moutons. Cette dernière vient de Saint-Ambroix en passant par la Cham de Bonnevaux, Besses puis Cessenades, et file vers le Taravel, le contourne et passe par le pont romain dans la forêt du Mas de l'Ayre pour arriver au Collet de Villefort.

    Communes limitrophes

    Hameaux et lieux-dits

    La commune de Malons-et-Elze est composée de plusieurs hameaux : Elze, Vézoles, la Boissière, le Faget, la Rouvière, la Rousse, Pialouzet, le Fergon, Liquemiaille, le Salzet, le Pradal, Bournaves, Cessenades, Valouze, Pialouzet-de-Gagnière, la Playsse et le Frontal.

    Géologie et relief

    • Le Col du Mas de l'Ayre (846 m d’altitude)

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 9,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 7,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 774 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Vans Sa », sur la commune des Vans, mise en service en 1997[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 229,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à 32 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    Le Chemin de Paul, 25 octobre 2008.

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes[Note 4]. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[16]. La commune est dans le périmètre du « géoparc des monts d'Ardèche », classé Géoparc en septembre 2014 et appartenant dès lors au réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[17],[18].

    La commune fait également partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[19],[20].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « hautes vallées de la Cèze et du Luech »[22], d'une superficie de 12 680 ha, correspondant à la partie amont du bassin versant de la Cèze. Elles présentent un patrimoine naturel remarquable, avec quatre espèces piscicoles : l'écrevisse à pattes blanches, le castor, la loutre et le barbeau méridional et cinq habitats d'intérêt communautaire d'origine[23].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Deux ZNIEFF de type 2[Note 6] sont recensées sur la commune[24] :

    • les « gorges du Chazesac, de la Borne et de l'Altier » (5 809 ha), couvrant 7 communes dont 2 dans le Gard et 5 dans la Lozère[25] ;
    • les « vallées amont de la Cèze et de la Ganière » (10 752 ha), couvrant 11 communes dont 9 dans le Gard et 2 dans la Lozère[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Malons-et-Elze est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[I 1],[28]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (92,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,4 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Malons : occitan malon (prononcé "maloun"), du roman malon, bas latin malonum[30], sans doute d'un nom de personne gallo-romain, Mallo.
    Ses habitants sont appelés les Malonnais.

    Elze : occitan elze (provençal èuse), cf. italien elce, du latin ilex-icis : yeuse, chêne vert[30].

    Histoire

    Préhistoire

    Sur le parcours de la draille à moutons, de nombreuses roches gravées de cupules et de personnages attestent de l'ancienneté de cette voie, depuis le néolithique récent (env. -800 av. notre ère).

    Moyen Âge

    Les hameaux de Cessenades, Le Salzet, ainsi que Le Frontal existent depuis le XIe siècle, les autres à partir des XIIe et XIIIe siècles.

    Époque contemporaine

    La commune de Malons est réunie à celle d'Elze en 1816 pour former la nouvelle commune de Malons-et-Elze[31].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1952 François Laganier    
    1952 1953 Léon Costier    
    1953 1964 André Costier    
    1964 1965 Raymond Régis    
    1965 1971 Aimé Nicolas    
    1971 1977 Jean Vénissac    
    1977 1989 Marcel Brès PCF  
    1989 1995 Guy Nouet    
    1995 2001 Guy Allard    
    2001 2008 Jean-Pierre Souchon DVG  
    2008 2010 Michelle Guezellou PCF  
    2010 2020 Philippe Gaillard DVG Chef d'entreprise
    2020 En cours Jean Oliva DVG  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2019, la commune comptait 125 habitants[Note 8], en augmentation de 5,93 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8585989671 0201 1611 1081 1651 1681 209
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2131 2041 2201 1361 085883892908795
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    756728665535459400361269205
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    16099959888839394114
    2017 2019 - - - - - - -
    125125-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 21,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (32,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 37,6 % la même année, alors qu'il est de 29,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 61 hommes pour 63 femmes, soit un taux de 50,81 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,82 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 4]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,6 
    90 ou +
    0,0 
    6,6 
    75-89 ans
    9,4 
    27,9 
    60-74 ans
    29,7 
    27,9 
    45-59 ans
    14,1 
    18,0 
    30-44 ans
    21,9 
    1,6 
    15-29 ans
    7,8 
    16,4 
    0-14 ans
    17,2 
    Pyramide des âges du département du Gard en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    1,9 
    7,9 
    75-89 ans
    10,3 
    18,9 
    60-74 ans
    19,4 
    20,6 
    45-59 ans
    20,6 
    17,1 
    30-44 ans
    17,1 
    16,5 
    15-29 ans
    14,6 
    18,1 
    0-14 ans
    16,2 

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 5]18,6 %15,6 %19,7 %
    Département[I 6]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 7]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 75 personnes, parmi lesquelles on compte 53,9 % d'actifs (34,2 % ayant un emploi et 19,7 % de chômeurs) et 46,1 % d'inactifs[Note 9],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 8]. Elle compte 18 emplois en 2018, contre 24 en 2013 et 16 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 27, soit un indicateur de concentration d'emploi de 66,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 40,4 %[I 9].

    Sur ces 27 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 15 travaillent dans la commune, soit 56 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 74,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 25,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

    Activités hors agriculture

    14 établissements[Note 10] sont implantés à Malons-et-Elze au [I 12]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,6 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 14 entreprises implantées à Malons-et-Elze), contre 7,9 % au niveau départemental[I 13].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations141084
    SAU[Note 11] (ha)59625744301

    La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[37]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (14 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 301 ha[39],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices religieux

    Héraldique

    Blason
    De sable à un chef losangé d'or et de gueules[41] ; de gueules à une fasce losangée d'or et de sable[31].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Marie-Lucy Dumas, Marie-Thérèse Costier-Chaumienne (collaboratrice) et Marie-Claude Durand (collaboratrice), Malons-et-Elze : Gens et terroirs en Hautes Cévennes : histoire, économie et société, Ponteils-et-Brésis, Marie-Lucy Dumas, , 366 p., 24 cm (ISBN 978-2-9525992-0-7, BNF 44252779)
      Une histoire composée avec le recours aux archives municipales, départementales et familiales.
    • Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Malons-et-Elze (30153) », (consulté le ).
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Malons-et-Elze » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Malons-et-Elze » (consulté le ).
    10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Malons-et-Elze » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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