Villefort (Lozère)
Villefort est une commune française, située dans l'est du département de la Lozère en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Villefort.
Villefort | |
![]() Le barrage de Villefort. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Lozère |
Arrondissement | Mende |
Intercommunalité | Communauté de communes Mont Lozère |
Maire Mandat |
Alain Lafont 2020-2026 |
Code postal | 48800 |
Code commune | 48198 |
Démographie | |
Gentilé | Villefortais |
Population municipale |
548 hab. (2019 ![]() |
Densité | 75 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 26′ 25″ nord, 3° 55′ 58″ est |
Altitude | Min. 509 m Max. 960 m |
Superficie | 7,35 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Saint-Étienne-du-Valdonnez |
Législatives | Circonscription de la Lozère |
Localisation | |
Liens | |
Site web | mairievillefort.com |
Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par l'Altier, le ruisseau de Paillère et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Villefort est une commune rurale qui compte 548 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 943 habitants en 1866. Ses habitants sont appelés les Villefortais ou Villefortaises.
Géographie
Villefort, à l'entrée des gorges de l'Altier, est un calme centre de villégiature des Cévennes lozériennes. Il se situe sur l'ancien chemin de Regordane, au pied du mont Lozère, fief des Châteauneuf de Randon puis des barons du Tournel. Village très touristique durant la période estivale, Villefort est dans la zone périphérique du parc national des Cévennes.
Villefort est la commune de France métropolitaine à la plus forte pluviométrie, celle-ci dépassant 2 000 mm l'an.
La rivière Altier traverse la commune de Villefort. Le barrage de l'Altier, situé sur la commune, a créé le lac de Villefort dont une branche va vers le nord sur la commune de Pourcharesses, et l'autre branche remonte l'Altier vers l'ouest, également sur la commune de Pourcharesses.
Communes limitrophes
Transports
La commune est desservie par le rail par une gare, sur la ligne de Clermont-Ferrand à Nîmes (où passe notamment le train Cévenol). Elle est ainsi directement reliée à Nîmes, Clermont-Ferrand et Alès.
Depuis Paris et Marseille, une correspondance est nécessaire à Nîmes.
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[2],[3]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes[Note 1]. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[4].
La commune fait également partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[5],[6].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[7] : la « tourbière de la Cham des Balmelles » (124 ha), couvrant 2 communes du département[8] et trois ZNIEFF de type 2[Note 3],[7] :
- les « gorges du Chazesac, de la Borne et de l'Altier » (5 809 ha), couvrant 7 communes dont deux dans le Gard et cinq dans la Lozère[9] ;
- le « massif du Mont Lozère » (40 064 ha), couvrant 22 communes dont trois dans le Gard et 19 dans la Lozère[10] ;
- les « vallées amont de la Cèze et de la Ganière » (10 752 ha), couvrant 11 communes dont neuf dans le Gard et deux dans la Lozère[11].
- Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 à Villefort.
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Villefort est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[I 1],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,4 %), eaux continentales[Note 5] (8,7 %), zones urbanisées (6,9 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Vilafòrt en occitan.
De l'occitan vila et de l'adjectif féminin semblable au masculin, fôrt « fortifié, facile à défendre »[15].
Histoire
Villefort fut un lieu de passage important, durement disputé au cours des guerres de religion. À la Révolution, Villefort rejoint le territoire de l'ancien Gévaudan pour fonder l'actuelle Lozère. Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
En 1964, la construction du barrage de Bayard apporta à la commune une prospérité nouvelle. La construction du barrage de Villefort fut cependant douloureuse : en effet, le village voisin de Bayard fut démoli avant d'être englouti par les flots de l'Altier[16].
Le , le militant anarchiste Pierre Conty braque l'agence bancaire Crédit agricole à Villefort, raflant 40 000 francs français (22 000 € en 2017)[17] avec deux complices. Leur équipée est surnommée « Les tueurs fous de l'Ardèche ». Dans sa fuite en voiture, Pierre Conty tue trois personnes qui se sont trouvées sur son chemin, d'abord le gendarme Dany Luczac (21 ans) croisé dans une estafette puis une famille de Pont-de-Labeaume en tuant Cyprien Malosse (21 ans) et son père Roland (54 ans) pour voler leur voiture[18],[19].
Depuis le la région Languedoc-Roussillon, à laquelle appartient la Lozère, a fusionné avec la région Midi-Pyrénées. L'ensemble est devenu la nouvelle région Occitanie.
Politique et administration
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].
En 2019, la commune comptait 548 habitants[Note 6], en diminution de 9,27 % par rapport à 2013 (Lozère : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 20,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 45,0 % la même année, alors qu'il est de 32,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 265 hommes pour 281 femmes, soit un taux de 51,47 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (50,04 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Cultes
Villefort dispose de l'église Saint-Victorin.
Enseignement
La commune administre une école maternelle et élémentaire publique. Le département gère un collège.
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 275 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 498 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 240 €[I 5] (20 420 € dans le département[I 6]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 5,9 % | 8,3 % | 8,8 % |
Département[I 8] | 5 % | 6,4 % | 7,1 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 296 personnes, parmi lesquelles on compte 74,1 % d'actifs (65,3 % ayant un emploi et 8,8 % de chômeurs) et 25,9 % d'inactifs[Note 8],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 10]. Elle compte 305 emplois en 2018, contre 298 en 2013 et 314 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 195, soit un indicateur de concentration d'emploi de 156,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,8 %[I 11].
Sur ces 195 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 133 travaillent dans la commune, soit 68 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 67,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 18,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments


- Le barrage et retenue de Bayard sur l'Altier : d'une superficie de 127 hectares et d'une capacité de 37 millions de m3, il alimente l'usine hydroélectrique de Pied-de-Borne.
- Le viaduc ferroviaire sur l'Altier conçu par l'ingénieur Charles Dombre.
- Le château de Castanet, à la pointe du lac sur la route de Mende.
- Le belvédère du Chassezac, à la Garde-Guérin, sur la route de Langogne.
- La chapelle Saint-Loup-et-Saint-Roch de Villefort du XVIIe siècle.
- L'église paroissiale Saint-Victorin de Villefort (XIXe siècle). L'église est dédiée à saint Victorin[29]. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[30].
- Le village du Pouget, à 3 km en direction du Mas de la Barque.
- Maison gothique.
Personnalités liées à la commune
- Charles Luc Paulin Clément Borrelli (1771-1849), général français ;
- Odilon Barrot (1791-1873), homme politique français ;
- Brigitte Landry (1936-2009), peintre, s'y installe après la guerre ;
- Pierre Conty (1946), anarchiste de Chanéac (Ardèche), tue trois personnes au cours d'un braquage en 1977 ; il est condamné à mort par contumace.
Héraldique
![]() |
Le blasonnement de Villefort est : d'azur au huchet contourné d'argent, lié et enguiché de gueules, accompagné de trois molettes d'or.
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Voir aussi
Bibliographie
- Isabelle Darnas et Marie-Sylvie Grandjouan, Canton de Villefort (Lozère), Montpellier, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Région Languedoc Roussillon, , 40 p. (ISBN 2-905671-02-5)
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villefort (48198) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Villefort » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Villefort » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Villefort » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
- « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
- « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Villefort », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « tourbière de la Cham des Balmelles » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « gorges du Chazesac, de la Borne et de l'Altier » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif du Mont Lozère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « vallées amont de la Cèze et de la Ganière » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1432, (ISBN 2600028846).
- Luc Crespon-Lhérisson, « Fin du monde : Bayard détruit par le barrage », Midi Libre, (lire en ligne)
- Dominique Richard, « 40 ans après, le tueur fou de l’Ardèche est toujours introuvable », sur sudouest.fr, .
- Philippe Boggio, « Le " hippy " introuvable », sur lemonde.fr, .
- Georges Bourquard, « Le fantôme de Pierre Conty », sur ledauphine.com, .
- D'après FranceGenWeb.org
- « Lozère : Florence Lepetit, maire de Villefort, officialise sa démission », sur Midi Libre, (consulté le ).
- « Le conseil municipal est en place ; Alain Lafont en reprend la tête », sur Midi Libre, (consulté le ).
- « Alain Lafont, conseiller départemental de Saint-Étienne-du-Valdonnez, est décédé. », sur La Lozère Nouvelle, (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Lozère (48) », (consulté le ).
- « Prénom Victorin », sur nominis.cef.fr (consulté le )
- « Église paroissiale Saint-Victorin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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