Marly-la-Ville

Marly-la-Ville est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France. Elle appartient à l'unité urbaine de Fosses, dont elle est l'autre ville-centre, et à l'aire urbaine de Paris.

Pour les articles homonymes, voir Marly.

Marly-la-Ville

La mairie, ancien hôpital-hospice.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité CA Roissy Pays de France
Maire
Mandat
André Specq
2020-2026
Code postal 95670
Code commune 95371
Démographie
Gentilé Marlysiennes, Marlysiens
Population
municipale
5 663 hab. (2019 )
Densité 657 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 51″ nord, 2° 29′ 58″ est
Altitude 137 m
Min. 71 m
Max. 145 m
Superficie 8,62 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Fosses
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Goussainville
Législatives 9e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Marly-la-Ville
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Marly-la-Ville
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Marly-la-Ville
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Marly-la-Ville
Liens
Site web https://marly-la-ville.fr

    Ses habitants sont appelés les Marlysien(ne)s.

    Géographie

    Description

    Paysage de la commune : la Grande-rue.

    Marly est une commune périurbaine du Val-d'Oise située en plaine de France sur un vaste plateau au-dessus de la vallée de l’Ysieux qui y prend sa source au lieu-dit Rocourt, et limitée au nord par l'ancienne route nationale 322 (actuelle RD 922) qui relie Mareuil-sur-Ourcq, Nanteuil-le-Haudoin à Saint-Ouen-l'Aumône Beaumont-sur-Oise et à l'est par l'ancienne route nationale 17 (France) (actuelle RD 917) reliant Paris, Le Blanc-Mesnil à Senlis jusqu'à la frontière franco-belge.

    Elle se trouve à environ 30 km au nord de Paris, 20 km au sud de Creil, 30 km de Pontoise et à la même distance au nord-ouest de Meaux.

    Le territoire communal est traversé par la ligne de Paris-Nord à Lille, dont la station la plus proche est la gare de Survilliers - Fosses, desservie par les trains de la ligne D du RER.

    Communes limitrophes

    La commune est limitrophe de Fosses, Saint-Witz, Villeron, Louvres, Puiseux-en-France et Bellefontaine.


    Urbanisme

    Typologie

    Marly-la-Ville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fosses, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[4] et 19 527 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7],[8].

    Toponymie

    Marlacum en 675, Maillico XIIe siècle, Malliacum au XIIIe siècle, Mailliacum villa juxta Luperas en 1266, prædium Marlianum en 1540.

    Le nom de Marly-la-Ville provient de marcilliacum, domaine de Marcel, qui a donné marlacum, malliaco villa ou peut-être de merula, merle.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[9], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Luzarches de Seine-et-Oise puis du Val-d'Oise[10]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Goussainville

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription du Val-d'Oise.

    Intercommunalité

    Marly-la-Ville était membre de la communauté d'agglomération Roissy Porte de France, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante notamment en seconde couronne parisienne, afin de pouvoir dialoguer avec la métropole du Grand Paris créée par cette même loi, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération Roissy Pays de France dont est désormais membre la commune.

    Tendances politiques et résultats

    Lors des élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste PCF du maire sortant André Specq est la seule candidate (contrairement à ce qui s'était passé en 2008 où, faute d'union, une liste PS s'était également présentée[11]) et obtient donc la totalité des 2 092 suffrages exprimés. La totalité des 29 candidats est donc élue conseillers municipaux (dont 4 communautaires).
    Lors de ce scrutin, 44,97 % des électeurs se sont abstenus, , et 9,16 % d'entre eux ont voté blanc ou nul[12].

    Lors des élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, la liste PCF du maire sortant André Specq est à nouveau la seule candidate et obtient donc la totalité des1 260 suffrages exprilmés, aboutissant à l'élection de la totalité des 29 candidats (dont 1 conseiller communautaire). Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 67,34 des électeurs se sont abstenus, et 1,78 % d'entre-eux ont voté blanc ou nul[13].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[14]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1925   M. Marcou-Filou    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1950[15] 1976 Jacques Achard[Note 3] PCF Décédé en fonction
    1976 août 2005[16] Lucien Jean PCF Ancien cheminot
    Décédé en fonction
    octobre 2005[17] En cours
    (au 15 avril 2021)
    André Specq PCF puis
    app. PCF[15]
    Directeur général des services de la mairie, retraité.
    Vice-président de la CA Roissy Porte de France (2014[18] → 2020)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[19],[20]

    Équipements et services publics

    Marly-la-Ville dispose d'un EHPAD[21] et, depuis 2018, de Institut médico-éducatif (IME) Madeleine-Brès, qui dessert le secteur de Garges-lès-Gonesse, Sarcelles, Goussainville[22].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

    En 2019, la commune comptait 5 663 habitants[Note 4], en augmentation de 1,83 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    695621640571563564509534672
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    662710791774825854906845801
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7349057177058161 1711 2141 0051 280
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 4661 9872 4195 0785 1285 6965 5675 5305 561
    2018 2019 - - - - - - -
    5 6575 663-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Étienne depuis l'ouest.

    Marly-la-Ville compte un monument historique sur son territoire :

    • Église Saint-Étienne, rue Gabriel-Péri (classée monument historique en 1933[26]) :
      elle se compose d'une nef de six travées accompagnée de deux bas-côtés, d'une abside polygonale, d'un clocher en bâtière se dressant au-dessus de la cinquième travée du bas-côté nord, et d'une chapelle baptismale ajoutée tardivement devant le mur occidental de ce même bas-côté.
      La construction de l'église, appartenant à l'abbaye d'Hérivaux sous l'Ancien Régime[27] commence à la fin du XIIe siècle dans le style gothique primitif, mais la plus grande partie de l'édifice date du XIIIe siècle et constitue une belle illustration du style gothique rayonnant.
      L'élévation sur trois niveaux avec triforium et baies hautes que l'on rencontre dans la nef, ainsi que les deux niveaux de fenêtres superposées dans l'abside témoignent d'une ambition et recherche architecturale peu communes pour une paroisse rurale. L'architecte a su souligner l'impression de verticalité par différents procédés, et l'intérieur est élégant et assez lumineux. La fin du XVe siècle apporte le revoûtement de la nef par des voûtes flamboyantes aux nervures compliquées[28],[29],[30]. Dans son ensemble, l'église de Marly-la-Ville se distingue nettement des autres églises de village du pays de France, avec Fontenay-en-Parisis, pour son architecture soignée à l'instar des églises des villes.

    On peut également signaler :

    • La mairie, implantée en 1977 dans les locaux restaurés de l'ancien hôpital-hospice créé par le Roi Louis XIV en 1697-1698. Celui-ci disposait en dotation des biens et revenus de la maladrerie de Saint-Lazare-les-Survilliers, dans la paroisse de Saint-Witz-sous-Montmélian. Le bâtiment a été racheté par la commune en 1972[31].
    • L'ancienne mairie-école, aujourd'hui école du Centre, rue Gabriel-Péri : bâtiment caractéristique de l'entre-deux-guerres, servant toujours d'école depuis l'installation de l'hôtel de ville dans l'ancien hospice. L'angle nord-ouest est ébrasé et orné par un pignon à redents qui porte l'horloge, avec l'inscription « mairie » en dessous[32].
    • La poste, rue Gabriel-Péri : caractéristique des bâtiments publics des années 1930, la poste jouxte l'ancienne mairie. Sa façade avec pignon sur la rue est orné de briques, aujourd'hui peu visibles car peintes dans le même gris que la façade. Le pignon arbore toujours l'ancien emblème des PTT, fait de céramique émaillée[32].
    • Les châteaux d'eau dits les Jumeaux, rue Gabriel-Péri, à l'entrée sud du village : deux châteaux d'eau identiques, consistant en de grosses tours en pierre de taille avec des ouvertures en plein cintre au rez-de-chaussée et à l'étage, et supportant des citernes métalliques rivetées entourées de chemins de ronde sécurisés par garde-corps en fer forgé. Les châteaux d'eau datent de 1882 et ont été construits dans le cadre de l'adduction de l'eau potable. Ils sont désaffectés en 1970, et le terrain autour est utilisé comme dépôt par les services techniques municipaux[32].
      Ces châteaux-d'eau étaient alimentés par machine élévatrice d’eau depuis un forage de 70 m de profondeur au moyen d'une machine locomobile à charbon de 3 à 4 chevaux animant une pompe débitant 5000 litres/heure[33]
    • La ferme de l'Église : ferme traditionnelle de taille moyenne avec un beau logis, dont la façade sur cour comporte une tourelle polygonale.
    • La maison de Thomas-François Dalibard, 15 rue du Colonel-Fabien : grande maison de style classique avec toit à la Mansart, construite au XVIIIe siècle. Dalibard était un grand naturaliste français de la fin de l'ancien Régime, disciple de Buffon. En traduisant et publiant les œuvres de Carl von Linné, il instaura sa méthode de nomenclature en France. Se consacrant également à la physique, Dalibard répéta des expériences de Benjamin Franklin dans sa maison de Marly-la-Ville, et y étudia la nature de la foudre. Ainsi, le paratonnerre est aussi né à Marly-la-Ville, bien que la parenté principale incombe à Benjamin Franklin[32].

    Anciens seigneurs

    • Ascelin de Marly, seigneur en partie du terroir, prononce des vœux monastiques en 1130, et fonde, dans un vallon, l’abbaye d’Hérivaux[27].
    • En 1353, la seigneurie de Marly devient la propriété de la maison de Trie[27].
    • En 1378, elle appartient en partie à la maison de Châtillon[27].
    • De 1480 à 1540, c'est une propriété des Budé, dont l'humaniste Guillaume Budé[27].
    • Avant 1600, Jacques Danes, conseiller au Parlement de Paris et prévôt des marchands, la transmet à son fils, qui, veuf, rentre dans les ordres. Il fait établir quatre lits aux Incurables, dont un pour les habitants de Marly-la-Ville[27].

    Autres personnalités

    • Denis Antheaume (1609-1684), qui prend le nom de Frère Fiacre de Sainte-Marguerite, moine français de l'ordre des augustins déchaussés, est né à Marly-la-Ville[27] ;
    • Thomas-François Dalibard (1709-1799), naturaliste français qui expérimenta le premier le paratonnerre à Marly-la-Ville (« expérience de Marly »), un mois avant l'expérience de Benjamin Franklin[34],[27] ;
    • Léger Papin (1742-1821), homme d'église et politique français, prieur curé de Marly-la-Ville en 1770 ;
    • Émile Bin (1825-1897), artiste peintre français, mort à Marly-la-Ville, a réalisé en 1853 un tableau (« La Vierge et l'enfant Jésus ») pour l'église paroissiale ;
    • Kevin Gameiro (1987-), joueur de football, a grandi et été formé à Marly-la-Ville.

    Héraldique

    Blason
    D'or au chevron de gueules, accompagné en chef de deux têtes de loup arrachées de sable et en pointe d'une grappe de raisin tigée et feuillée d'azur.
    Devise
    Paix, travail, amitié.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Marly-la-Ville », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. La résidence pour personnes âgées dépendantes de Marly-la-Ville porte le nom de ce maire.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Fosses », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    10. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    11. Djeinaba Kanté, Ju.M., C.L., A.B. et A.C., « Mon vote ne sert à rien »… Aux municipales, 23 villes du Val-d’Oise n’ont qu’un candidat : Dans de nombreuses villes de plus de 1 000 habitants, il n’y aura pas d’opposition. Une seule liste a été déposée pour les élections. Parmi elles, Domont et Osny, qui comptent chacune plus de 15 000 habitants », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    12. Résultats officiels pour la commune Marly-la-Ville
    13. « Val-d'Oise (95) - Marly-la-Ville », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
    14. « Les maires de Marly-la-Ville », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    15. « André Specq, maire de Marly-la-Ville n’est plus communiste » [PDF], sur https://roissymail.com/ « Directeur général des services) de la mairie depuis... 1967  ! C’est en tant que jeune rédacteur stagiaire, venant de son Nord natal, qu’il devient le secrétaire de mairie de M. Achard, qui fut le maire de Marly pendant 26 ans, avant M. Jean ».
    16. D. P., « Le maire Lucien Jean est mort », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Maire de Marly-la-Ville depuis vingt-neuf ans, cet ancien cheminot avait été élu à la suite du décès de son prédécesseur communiste, Jacques Achard, en 1976 ».
    17. « André Specq l'emporte à Marly-la-Ville », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    18. « Patrick Renaud (UMP) garde la présidence de Porte de France », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    19. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, Préfecture du Val-d'Oise, (consulté le ).
    20. « Compte-rendu du conseil municipal du 23 mai 2020 » [PDF], Les compte-rendus du conseil municipal, sur https://marly-la-ville.fr (consulté le ).
    21. Anne Collin, « Marly-la-Ville : les comptes de l’ancien Ehpad public épluchés : La Chambre régionale des comptes a publié son rapport définitif sur la gestion de l’établissement pour personnes âgées depuis 2011, année où les dettes ont commencé à s’accumuler. Le document pointe des « décisions hasardeuses » prises par l’ancien directeur. Depuis son activité a été repris par la MGEN », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    22. Fr. N., « Marly-la-Ville : l’institut médico-éducatif veut créer du lien social avec ses voisins : Patrice Pétrault, le maire-adjoint de Marly-la-Ville, évoque l’intérêt de la journée portes ouvertes organisée ce samedi au sein de l’établissement ouvert il y a peu », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    26. Notice no PA00080120, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    27. Daniel Baduel, « Marly, la ville du paratonnerre : Commune située sur un vaste plateau au-dessus de la vallée de l’Yzieux qui y prend sa source au lieu-dit Rocourt, où il y avait un étang, et serpente dans la Plaine de France », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    28. Charles Huet, « Marly-la-Ville - Saint-Étienne », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France, , p. 182-184 (ISBN 9782953155402).
    29. Catherine Crnokrak, Isabelle Lhomel, Christian Olivereau, Agnès Somers et Jean-Yves Lacôte (photographies), En pays de France : Cantons de Luzarches, Gonesse et Goussainville. Images du patrimoine, Cergy-Pontoise, Association pour le patrimoine d'Ile-de-France et Conseil général du Val d'Oise, , 104 p. (ISBN 2-905913-23-1), p. 24 et 43.
    30. Yann Audino et Christian Garcia, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Marly-la-Ville », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I, , p. 482-484 (ISBN 2-84234-056-6).
    31. « L’Hôtel de Ville ou l’ancien hôpital hospice », Histoire de Marly, sur https://marly-la-ville.fr, (consulté le ).
    32. Cf. En pays de France, op. cit., p. 483-484.
    33. « La machine élévatrice des eaux », Histoire de Marly, sur https://marly-la-ville.fr/, (consulté le ).
    34. « DALIBARD Thomas-François », Histoire de Marly, sur https://marly-la-ville.fr, (consulté le ).
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