Chantonnay
Chantonnay est une commune française située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire.
Pour l’article ayant un titre homophone, voir Champtonnay.
Chantonnay | |||||
L’hôtel de ville. | |||||
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Vendée | ||||
Arrondissement | La Roche-sur-Yon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays-de-Chantonnay (siège) |
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Maire Mandat |
Isabelle Moinet 2020-2026 |
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Code postal | 85110 | ||||
Code commune | 85051 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chantonnaisien, Chantonnaisienne[1] | ||||
Population municipale |
8 394 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 100 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 41′ 16″ nord, 1° 02′ 58″ ouest | ||||
Altitude | 75 m Min. 18 m Max. 112 m |
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Superficie | 83,87 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Chantonnay (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Chantonnay (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chantonnay (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Ses habitants sont les Chantonnaisiens et les Chantonnaisiennes.
Géographie
Situé au sud du bocage vendéen, le territoire municipal de Chantonnay s'étend sur 83,87 km2. L'altitude moyenne de la commune est de 75 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 18 et 112 mètres[2],[3].
Elle est baignée par le Grand Lay, qui s'écoule du lac de Rochereau, sur la commune voisine de Sigournais, avant de traverser le sud-est de la commune. Le Grand Lay est alimenté sur sa rive droite par la rivière l'Arguignon qui baigne Puybelliard et Saint-Mars-des-Prés, et la Mozée, qui traverse le bourg de Chantonnay. Il laisse sur sa rive gauche Saint-Philbert-du-Pont-Charrault et alimente le lac de Touchegray Moulin-Neuf qui s’étire tout au long de la rivière par une succession de vallons et aboutit à la retenue du barrage de l’Angle Guignard. Le Petit Lay délimite la limite ouest de la commune et rejoint au sud le Grand Lay à l'Assemblée des deux Lay, le point le plus bas de son territoire.
La commune est située dans une cuvette géologique recelant un sous-sol riche et varié qui permit notamment l'exploitation du charbon issu du bassin houiller de Vendée[4].
Chantonnay se trouve au croisement de la route départementale RD 137 (ancienne RN137), qui relie Nantes à Bordeaux, et de la RD 949B entre Bournezeau et La Châtaigneraie. La commune est desservie par la ligne ferroviaire historique dite de Paris aux Sables-d'Olonne, aujourd'hui ligne des Sables-d'Olonne à Tours dédiée aux TER.
Chantonnay a fusionné (fusion simple) en 1964 avec les anciennes communes limitrophes de Puybelliard et Saint-Mars-des-Prés, et s'est associé (fusion-association) en 1972 à la commune de Saint-Philbert-du-Pont-Charrault.
Sainte-Cécile | Saint-Germain-de-Prinçay | Sigournais | ||
Saint-Hilaire-le-Vouhis | N | Bazoges-en-Pareds | ||
O Chantonnay E | ||||
S | ||||
Bournezeau | La Réorthe | La Jaudonnière |
Chantonnay est siège de la communauté de communes du Pays-de-Chantonnay. C'est aussi le bureau centralisateur du canton de Chantonnay, lequel est issu du démantèlement en 2015 des anciens cantons des Essarts, de Pouzauges et de La Roche-sur-Yon-Sud.
Urbanisme
Typologie
Chantonnay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chantonnay, une unité urbaine monocommunale[8] de 8 318 habitants en 2017, constituant une ville isolée[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chantonnay, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricole (80,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,5 %), zone agricole hétérogène (30,7 %), forêt (10,1 %), prairie (8,3 %), zone urbaine (6,2 %), parc industriel ou parc d'activité commerciale et réseaux de télécommunication (1,8 %), mine, décharge et chantier (0,5 %), espace vert artificialisé, non agricole (0,5 %), eau continentale[Note 3] (0,4 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de carte ou photographie aérienne : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Environnement
En 2009, Chantonnay possède trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris[15].
Histoire
Pendant la Préhistoire, des hommes ont laissé leur trace, comme l'atteste la découverte à la Treille-de-La-Charlière de deux ensembles lithiques, l'un composé de 3 pièces datées du Paléolithique moyen, l'autre de 11 pièces néolithiques[17].
Lors de l'Antiquité, le territoire de la commune se situait au croisement de voies romaines, de Fontenay-le-Comte au port de la Chaume d’est en ouest, et de Nantes à Saintes du nord au sud. Chantonnay tirerait son nom d’un camp romain appelé le camp d’Antoine « campus antonini ». Des fouilles archéologiques ont révélé des vestiges de villas gallo-romaines, en particulier à la Treille-de-La-Charlière une cave qui appartient à une villa dont les bâtiments couvrent près d’un hectare.
Pendant le Moyen Âge, des moines bénédictins, remontant le cours du Grand Lay, se seraient installés dès 602 à Saint-Mars-des-Prés. Une charte conservée à l'Abbaye Saint-Cyprien de Poitiers indique que Chantonnay (Chantaonneis) existait déjà en l’an 975[18]. Au milieu du XIIIe siècle, Chantonnay appartenait au vicomte de Thouars.
Dès le XVe siècle, Puybelliard, était un centre commercial et manufacturier majeur du bas-Poitou regroupant droguiers, drapiers, sergetiers et tisserands qui s'y réunissaient à l’occasion de foires. Des marchands de Fuenterrabia (Pays basque) venaient à Puybelliard pour acquérir des pièces de toiles en échange de mules[19].
Au XVIe siècle, les idées de la Réforme se sont propagées jusque sur le territoire de la commune. Lors des guerres de Religion, à la suite de l’assassinat du duc de Guise, un synode réunit en 1563 à Puybelliard des pasteurs protestants de toute la province.
Révolution et guerre de Vendée
Pendant la Révolution, Saint-Mars-des-Prés fut rebaptisée « La Prairiale[20] » et Saint-Philbert-du-Pont-Charrault « La Résolue[21] ».
En 1793, une bande de paysans descendant le cours royal Nantes-Bordeaux, axe stratégique traversant la Vendée du nord au sud, avec à sa tête Charles Sapinaud de La Verrie et Charles de Royrand, prit Chantonnay le 15 mars. Le général républicain Louis Henri François de Marcé reprit la ville le 17 mars et fit battre en retraite les insurgés vers le nord[22]. Il la perdit le 19 mars, lorsque, lancée à la poursuite des paysans vendéens, son armée fut vaincue par ces derniers à la bataille de Gravereau, entre Saint-Vincent-Sterlanges et L'Oie, bataille qui détermina pendant plusieurs mois la suprématie des forces insurgées dans le bocage vendéen[23]. Le Pont-Charron, où la route Nantes Bordeaux franchit le Grand-Lay, devint l'un des verrous sud de la Vendée militaire, aux mains de l'Armée du centre.
Le chevalier Adams est une personnalité locale dont l'histoire illustre la division existant alors dans le pays. Marie-Antoinette-Pétronille Adams, fille de la servante du château du Pally à Chantonnay, chez les De Lespinay, fut mariée au sieur Lainé, un marchand de Puybelliard. Après la bataille de Gravereau du 19 mars 1793, lui, étant républicain, abandonna son magasin et sa femme et se réfugia à La Rochelle. Habillée en homme et munie d’armes, elle rejoignit à cheval les insurgés aux Quatre-Chemins-de-l’Oie.
Ce fut lors d'une attaque des forces républicaines que fut abattu le général vendéen Charles Sapinaud de La Verrie près du Pont-Charrault le 25 juillet 1793[24]. Le Pont-Charrault, qui compte 5 arches basses, est situé sur la route reliant Chantonnay à Saint-Philbert-du-Pont-Charrault. Il est parfois confondu avec le Pont-Charron, constitué d'une seule arche élevée, situé aussi sur le Grand Lay, mais en aval, à l'ouest du Pont-Charrault, sur l'ancien cours royal Nantes-Bordeaux, plus tard RN 137. Tous les deux ont été construits au XVIIIe siècle.
Chantonnay ne fut reprise par les forces républicaines qu'après la défaite des armées vendéennes à Luçon le 14 août 1793. Mais ces dernières purent momentanément reconquérir Chantonnay le 5 septembre 1793.
XIXe siècle
L’Empereur Napoléon, accompagné de Joséphine, passa à Chantonnay en 1808, venant de Bayonne, et en route vers la Roche-sur-Yon. Arrivé le dimanche 7 août, il partit le lendemain, non sans qu'on lui ait montré à la Tabarière le champ de bataille de Pont-Charron en lui disant « Sire, ce pont est aussi célèbre en Vendée que celui d’Arcole ».
Le train arriva à Chantonnay en 1871 avec l'ouverture de la ligne la Roche-sur-Yon - Bressuire. Cette ligne fut complétée par une liaison Chantonnay - Cezais de 1900 à 1939 et Cholet - Chantonnay de 1914 à 1939. La ville sera aussi desservie par une ligne (voie métrique) Montaigu - L'Aiguillon-sur-Mer de 1908 à 1935[25].
La mine de charbon de la Tabarière est exploitée entre 1840 et 1869 puis celle de la Marzelle entre 1878 et 1884 mais la mauvaise qualité du gisement provoque l'abandon de la concession[4],[26].
XXe siècle
Pendant la Deuxième Guerre mondiale, en 1943, quatre résistants furent déportés vers les camps de concentration en Allemagne. Une plaque commémorative se trouve dans le hall d'entrée de la mairie[27].
En novembre 1957, un autorail et un train de marchandises se percutèrent de plein fouet à Chantonnay causant la mort de 29 personnes[28],[29].
En 1964, la commune de Chantonnay absorba celles voisines de Puybelliard et de Saint-Mars-des-Prés, respectivement peuplées, au recensement de 1962, de 381 habitants[21] et de 358 habitants[20].
En 1972, la commune absorba celle voisine de Saint-Philbert-du-Pont-Charrault[30], peuplée, au recensement de 1968, de 1 037 habitants[21].
Héraldique
Blasonnement :
D'azur à la gerbe de blé d'or. |
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2019, la commune comptait 8 394 habitants[Note 4], en augmentation de 1,49 % par rapport à 2013 (Vendée : +4,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,5 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 4 086 hommes pour 4 268 femmes, soit un taux de 51,09 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Il existe deux collèges et deux lycées à Chantonnay[40]:
- le collège René-Couzinet ;
- le collège Saint-Joseph ;
- le lycée Georges-Clemenceau ;
- le lycée Sainte-Marie.
Économie
La ville est industrielle avec des entreprises importantes comme Fleury Michon, Doux, Pubert et Gautier. Ces entreprises sont réparties en trois grandes zones d'activités : Pierre Brune, Les Trois Pigeons et Polaris I/II/III[41].
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre de Chantonnay
- Chapelle du prieuré Notre-Dame de l'Angle aux Chanoines à Chantonnay
- Manoir de Ponsay à Chantonnay
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Puybelliard
- Église Saint-Médard de Saint-Mars-des-Prés
- Lavoirs de la Marzelle et de Saint-Mars-des-Prés
- Vallée du Lay
- Fuie et porches de Ponsay
- Fuie de Dinchin
- Château de L'Auneau
- carrefour de l'Ormeau de la Billette : selon la tradition, lieu du sabbat pour les sorciers de la région[42]
- Chapelle du prieuré Notre-Dame de l'Angle aux Chanoines à Chantonnay.
- Chevet est de la chapelle Notre-Dame de l'Angle aux Chanoines à Chantonnay.
- Manoir de Dinchin à Chantonnay.
- Manoir de Ponsay à Chantonnay.
- Fours à chaux de Chantonnay.
Personnalités liées à la commune
- Alexis Louis Marie de Lespinay, chevalier du Pally et de l'Empire ( - Chantonnay ✝ - Poitiers), homme politique français du XIXe siècle.
- Louis-Armand, comte de Lespinay ( - Chantonnay ✝ - Paris), fils cadet du précédent, militaire et homme politique vendéen du XIXe siècle.
- Zénobe Alexis, marquis de Lespinay ( - Chantonnay ✝ - Paris VIIe), arrière-petit-fils du premier, homme politique français des XIXe et XXe siècles
- Marie-Élie Jarosseau ( - Chantonnay ✝ - Toulouse), religieux catholique français, moine capucin, et évêque.
- Maurice Morand ( - Chantonnay ✝ - Poitiers), homme politique français, sénateur de la Vendée de 1920 à 1933.
- Henri Rochereau ( - Chantonnay ✝ - Chantonnay), homme politique français, député de la Vendée à la 1re Assemblée constituante en 1945-1946.
- Raymond Boisdé ( - Chantonnay ✝ - Cannes), homme politique français des IVe et Ve Républiques.
- Henri Rochereau ( - Chantonnay ✝ - Paris), homme politique français, sénateur de la Vendée (1946-1959) et ministre de l'Agriculture (1959-1961)
- Louis-Marie Barbarit (26 avril 1949 - Chantonnay ✝ 9 septembre 2003 - La Roche-sur-Yon), écrivain et fondateur, en 1975, de la Cinémathèque de Vendée.
- Philippe Katerine (né en 1968 à Thouars) y a grandi.
Jumelages
- Ebermannstadt (Allemagne) depuis 1970[43].
Événements
- En 1997, Chantonnay a accueilli le départ d'une étape du Tour de France cycliste.
- En 2005, Philippe Katerine tourne le clip de sa chanson "Louxor, j'adore" à Beaurepaire [44] inclus dans l'album "Robots après tout".
- En 2006, ont eu lieu les championnats de France cyclistes.
- 2007 : L'histoire du film J'aimerais j'aimerais de Jann Halexander se déroule à Chantonnay.
- En 2010, la ville a une nouvelle fois accueilli les championnats de France de cyclisme.
- En 2011, le vignoble de 30 hectares présent sur Chantonnay et Saint-Philbert-du-Pont-Charrault devient le 5e Fiefs Vendéens, avec l'appellation d'origine contrôlée "fiefs vendéens chantonnay".
- En 2015, pour la troisième fois, la ville accueille les championnats de France de cyclisme.
- La randonnée « Quatre Jours en Chantonnay Vendée »[45] est un évènement inscrit au calendrier de l'International Marching League, qui a lieu chaque année le week-end de l'Ascension. Grâce à cet événement, la ville a reçu le titre de « capitale mondiale de la randonnée pédestre »[réf. souhaitée].
- Tous les ans, en novembre, se tient le festival « Éperluette »[46] proposant des chants et contes à travers divers spectacles.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- (fr) « chantonnais », sur www.habitants.fr (consulté le ).
- « Commune 17813 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
- « Chantonnay », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
- H. Etienne et J.-C. Limasset, Ressources en charbon de la région Pays-de-la-Loire : Loire-Atlantique, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et Vendée, Nantes, BRGM, (lire en ligne [PDF]).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Chantonnay », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chantonnay », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Site officiel des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 86.
- Doyen, Dominique, « Commune de Chantonnay (Vendée), Lotissement Le Pas du Souffret - La Treille de la Charlière : rapport de diagnostic », Cesson-Sévigné : Inrap GO, (lire en ligne, consulté le ).
- « Un peu d'histoire », sur Mairie de Chantonnay (consulté le ).
- « Les lieux d’histoire de Chantonnay », sur Office de Tourisme du Pays de Chantonnay (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Mars-des-Prés », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Puybelliard », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Alain Gérard, La Vendée: 1789-1793, 1993, p. 117.
- Jean-Clément Martin, « La Révolution a coupé la France en deux », dans L'Histoire, no 311.
- Généalogie de la maison de Sapinaud, Impr. de Barassé (Angers) (lire en ligne), p. 12, 13.
- « Dictionnaire historique des communes », sur Archives départementales de la Vendée (consulté le ).
- Luc Brusseau, La mine de charbon de la Marzelle 1878 – 1884, AVG - Association Vendéenne de géologie, (lire en ligne [PDF]).
- « Les Plaques Commémoratives - Sources de Mémoire ».
- « 1957 : le drame ferroviaire de Chantonnay . Info - La Roche sur Yon.maville.com » (consulté le ).
- [PDF] « Procès-verbal de la séance du Conseil Général de la Vendée du 26 novembre 1957 ».
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- (fr) « Les maires de Chantonnay » (consulté le ).
- (fr) Site officiel de la commune : www.ville-chantonnay.fr
- « Chantonnay. Un premier mandat pour Isabelle Moinet », Ouest-France, (lire en ligne)
- « Élections départementales en Vendée. Isabelle Moinet ne sera pas candidate », Ouest-France, (lire en ligne)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chantonnay (85051) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
- « Enseignement », sur chantonnay.fr (consulté le ).
- « Panorama des entreprises et de leur localisation », sur ville de Chantonnay (consulté le ).
- Société d'ethnographie nationale et d'art populaire, La tradition en Poitou et en Charentes : art populaire, ethnographie, folk-lore, hagiographie, histoire / Société d'ethnographie nationale et d'art populaire, congrès de Niort, Paris, (lire en ligne), p. 234 (46° 39′ 23″ N, 0° 58′ 29″ O)
- « Jumelage » (consulté le ).
- Bantegnie écrit à Katerine
- « Site officiel ».
- « Site officiel du festival ».
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de la commune
- Office du tourisme du pays de Chantonnay
- Chantonnay sur le site de l'Institut géographique national
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