Ramburelles
Ramburelles est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Ramburelles | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Abbeville | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle | ||||
Maire Mandat |
Jack Bacouël 2020-2026 |
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Code postal | 80140 | ||||
Code commune | 80662 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
284 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 62 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 58′ 05″ nord, 1° 42′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 104 m Max. 133 m |
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Superficie | 4,59 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Gamaches | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Ramburelles est un village situé sur la route d'Amiens à Eu, à 4 kilomètres de Oisemont et 11 kilomètres de Gamaches.
Les communes environnantes sont, sur une carte observée selon le sens des aiguilles d'une montre : Oisemont, Rambures, Framicourt, Le Translay, Biencourt et Cerisy-Buleux.
Communes limitrophes
Martainneville | Saint-Maxent | |||
Biencourt | N | Cerisy-Buleux | ||
O Ramburelles E | ||||
S | ||||
Framicourt | Rambures | Villeroy |
Quartiers, hameaux, lieux-dits et écarts
Ramburelles possède un hameau nommé le Bocquet. Un château d'eau y a été élevé.
Urbanisme
Typologie
Ramburelles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,5 %), zones agricoles hétérogènes (14,9 %), zones urbanisées (5,5 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
Histoire
Ramburelles (Ramburelloe), dont le nom semble signifier Petit Rambures, fut une terre qui eut comme seigneurs les Gaillard-Lonjumeau. Le seigneur avait toute justice haute, moyenne et basse, sous la souveraineté du seigneur de Bailleul. Les origines du nom Ramburelles se trouvent dans une charte de l'évêque Garin de 1138. L'évêque confirme au prieuré de Dampierre au diocèse d'Amiens l'autel de Ramburellis. À cette époque, dans les actes, Ramburelles s'appelait Ramburelloe.
Ramburelles fut liée pour son histoire, en partie à celles de Oisemont et Gamaches, proches et autrefois grands bourgs de la province de Picardie.
- En 879 les Normands saccagèrent le Vimeu, mais furent défaits en 881 par Louis III à Saucourt dans une sanglante bataille.
- En 1218, l'évêque Evrard attacha les revenus de la cure à la dignité de pénitencier. La paroisse est du doyenné d'Oisemont.
- 1230 : charte de Gamaches, Long et Fontaine-sur-Somme d'où viennent les seigneurs de Ramburelles.
- En 1340, au tout début de la guerre de Cent ans, les Anglais débarquèrent au Tréport avec 80 bateaux, longèrent la Bresles, arrivèrent à Gamaches, remontèrent la Vimeuse pillant et brûlant tout sur leur passage avant d'aller attaquer Abbeville.
- En 1346, Édouard III, venant d'Airaisnes quitta Oisemont pour se diriger vers Crécy. Il est probable qu'une partie, sinon la totalité, des troupes d'Edouard III est passée par Ramburelles.
La défaite française de Crécy fut considérable avec ses milliers de morts dont la majeure partie de la noblesse picarde.
- Ramburelles, comme bien d'autres localités de la région, fut souvent ravagée par les guerres et la peste.
- En 1507, « les Coutumes Locales de Ramburelles » furent rédigées.
- Ramburelles ressortissait de la prévôté du Vimeu.
- Les cahiers de doléances de Ramburelles furent rédigés et signés en date du .
- En 1832 et 1849, les épidémies de choléra touchèrent la région (4 décès en 1848, 15 en 1849 et 5 en 1850).
- Lors des deux guerres mondiales, Ramburelles a partagé le sort de multiples autres localités en perdant nombre de ses enfants.
- À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les troupes d'occupation incendièrent le château et endommagèrent l'école.
- En 1922, le conseil municipal donne son accord pour l'installation d'une cabine téléphonique[8]. Celle-ci sera effectivement opérationnelle en 1924, chez le cafetier à l'angle de la rue du Four et de la rue d'Oisemont.
- En 1922-1923, la commune fait connaissance avec l'électrification. Elle sera étendue en 1929 aux bâtiments communaux.
- En 1932, le conseil donne son accord pour l'adhésion au syndicat d'eau potable. Ce projet qui datait de 1929 sera effectivement réalisé en 1953.
- En , la commune de Ramburelles organise le 1er concours agricole régional. Avec l'édification, aux entrées du village, d'arcs de triomphe à ossatures végétales. Sous le haut patronage de personnalités politiques (dont Max Lejeune, ministre) l'évènement revêt une ampleur régionale importante.
- En 1948, le goudronnage des routes traversant la commune est en projet.
Les seigneurs de Ramburelles
Le blason des seigneurs de Ramburelles est d'azur à l'écusson d'argent.
La seigneurie de Ramburelles, « tenue noblement et en pairie » de la châtellenie de Bailleul-en-Vimeu, eut pour seigneurs[9] :
- en 1270, Jean de Monchy, qui confirma un achat fait par les religieux de Sery,
- en 1459, Gille de Fontaines, seigneur de la Neuville-au-Bois, fils de Guillaume,
- en 1492, Beaugeois, son fils, écuyer, qui épousa Michelle de Boencourt,
- en 1507, leur fils aîné, Jacques de Fontaines, seigneur de la Neuville-au-Bois, qui se maria avec Guyonne de Belloy,
- en 1538, leur fils Nicolas, qui épousa Françoise de Pas,
- en 1574 et 1581, leur fils Raoul de Fontaines, seigneur de Rambehen, Forcheville et Arondel,
- ensuite, son fils aîné Jacques, époux de Gabrielle de la Radde, qui paraissent avoir eu trois enfants :
- . Pierre qui, dans des titres de 1622 et 1623, est qualifié seigneur de Ramburelles,
- . Nicolas, qui l'est à son tour dans des titres de 1631 et de 1648,
- . une fille, Barbe de Fontaines, qui succéda à ses frères. Elle se maria en secondes noces avec Louis Gaillard de Longjumeau, seigneur du Fayet, lequel descendait de Michel Gaillard (chevalier, seigneur de Longjumeau et du Fayet, panetier ordinaire du roi), et de Souveraine d'Angoulême, qu'il avait épousée en 1512.
- Louis Gaillard et Barbe de Fontaines eurent deux fils, dont l'aîné, Charles Gaillard, chevalier seigneur de Ramburelles, épousa Jeanne Lebon. Messire Charles de Gaillard de Longjumeau, chevalier de Ramburelles, y est décédé le (registres paroissiaux de la commune). Âgé de 53 ans, il fut inhumé dans le chœur de l'église en présence du chanoine maitre Nicolas Wattebled, prêtre de l'église royale de Saint-Wulfran d'Abbeville et messire Nicolas de Gaillard de Longjumeau chevalier seigneur de Ramburelles, Tuly et autres lieux.
- leur fis aîné, Nicolas Gaillard, aussi chevalier, est qualifié seigneur de Ramburelles en 1678 ; il demeure une sentence entre lui et Elisabeh de Broutelles, veuve du seigneur de Frettemeule. Il est décédé le second jour de et est enterré au milieu du chœur de l'église le : « mademoiselle Suzanne, Françoise et Marie de Gaillard Longjumeau ses sœurs ont assisté à son inhumation » (extrait des registres paroissiaux de Notre-Dame de Ramburelles).
- en 1728, Suzanne de Gaillard Longjumeau possédait la seigneurie de Ramburelles. Elle la donna à son cousin Nicolas Antoine de Grouches, marquis de Chepy.
Suzanne de Gaillard Logjumeau est décédée à Maisnières le (registres paroissiaux de la commune). Les obsèques furent célébrées « en présence du puissant seigneur Nicolas Antoine de Grouches marquis de Chepy, seigneur et patron d'Huppy et autres, maréchal des camps et armées du Roy et commandeur de l'ordre Royal et militaire de Saint-Louis, et en présence également de Claude de Belloy seigneur de Rogean ».
En cette même année 1745, Suzanne de Gaillard Logjumeau a fait donation à la communauté des habitants de Ramburelles, de six journaux de terre pour la fondation d'un vicariat dans leur paroisse[10].
Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[14].
En 2019, la commune comptait 284 habitants[Note 2], en augmentation de 10,08 % par rapport à 2013 (Somme : −0,2 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Un château-fort a dû exister dans l'ancien herbage de Nicolas Peltier, appartenant ensuite à monsieur Lesage, rue du Four.
- Église
L'église de Ramburelles est sous le vocable de la Nativité-de-Notre-Dame. La nef est basse et paraît très ancienne. Le chœur, beaucoup plus élevé, est éclairé par neuf grandes fenêtres ogivales divisées en trois parties, dont les meneaux prismatiques se contournent en flammes capricieuses. Il s'agit d'un chœur gothique qui se compose de trois travées droites et de trois pans coupés égaux.
Datant du XVIe siècle (achevé en 1536), il a été commandé par Jacques de Fontaines.
Le , le consentement est donné au curé de la paroisse de Notre-Dame les demoiselles de Ramburelles de refondre les trois cloches endommagées (extrait des registres paroissiaux). Elles sont conduites à des fondeurs de cloches reconnus dans le voisinage au village de Valines commune de Franleu. Ces trois cloches portaient les inscriptions suivantes : Sur la grosse cloche, « Noble Seigneur Raoul de Fontaines Seigneur de Ramburelles Rambehen Forcheville et Arondel. Nicolas l'ainé et Jacques de Fontaines ses enfants 1574. Nous feit Me Ancel Gourdin. » Sur la seconde cloche, « Jean Du Gard écuier Seigneur de Marvilliers et Fresneville et Saulsoy, Conseilleur du Roy notre Sire son Sénéchal et gouverneur du Ponthieu. Damoiselle Jeanne de Fontaines sa femme et Marguerite de Fontaines sa sœur l'an 1574. » Sur la troisième, « Jacques Charles Lieutenant de Ramburelles, Pieirre Caullier menglier, Jehan Befer, Guillo Olive et Louis Davin tous paroissiens dudit lieu de Ramburelles en l'an MDLXXIIII. »
Le sixième jour de , les trois nouvelles cloches « rendues sonneuses à la satisfaction des demoiselles de Ramburelles furent bénies »...et ainsi baptisées : Suzanne pour la plus grosse cloche du nom de baptême de mademoiselle Suzanne de Gaillard Longjumeau, Françoise pour la deuxième par mademoiselle Françoise de Gaillard Longjumeau, demoiselle de Fayel et Marie pour la troisième par mademoiselle Marie de Gaillard Longjumeau, demoiselle de Courcelle.
- Château.
- Monument aux morts
Le monument aux morts fut inauguré le 2 juillet 1922. Les sapeurs-pompiers en uniforme ouvraient le cortège devant la fanfare de Oisemont. Des jeunes filles en costume lorrain et alsacien suivaient et précédaient les anciens combattants de 1870 et 1914 avec leur palme.
- Ancien puits
L'ancien puits, situé en face de l'école et de l'église, était avec d'autres puits dans le village, utilisé avant l'installation de l'eau potable dans la commune. Il présente une belle structure en bois travaillé avec couverture en zinc.
- Puits.
- École et puits.
- Château de brique sur l'axe Oisemont - Gamaches.
- Château de craie, face à l'église.
- Réplique de la Grotte de Lourdes.
- Monument aux morts pour la patrie.
- École
Selon le plan déposé aux archives départementales d'Amiens, et dressé pour une école mixte par un architecte abbevillois, Dingeon, dont le nom se retrouve sur plusieurs projets d'écoles de la région, la réalisation correspond d'assez près au projet. Seul le toit a été modifié pour ajouter la « tourelle » de la cloche. Le projet a été approuvé par le conseil municipal en date du , et signé par l'instituteur, Louis Séné, le . Le devis de l'époque était de 11 161 francs, dont 5 000 francs de subvention. Il était envisagé, alors, la vente d'arbres et de l'ancienne maison de l'école afin de participer au financement. Il semble que monsieur Delattre ait aussi participé au financement, l'école porte d'ailleurs son nom.
- Grotte Notre-Dame-de-Lourdes. Elle est érigée en 1958 sur la propriété de Thérèse Martin (homonymie avec Thérèse de Lisieux). Elle passe à la commune en 1988[18].
Héraldique
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Les armes de la commune se blasonnent ainsi : d'azur à l'écusson d'argent.
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Personnalités liées à la commune
- Paul Eugène Delattre (1830 - 1898).
- Avocat à Paris, ami de Clemenceau et de Gambetta, il devint préfet de la Mayenne en 1870 et 1871. En 1871, membre actif de la « Ligue d'union républicaine des droits de Paris », il a participé à chercher vainement un compromis entre Versailles et la Commune. Il fut également conseiller municipal de Paris entre 1874 et 1889. Élu député en 1881, siégeant à l'extrême-gauche, il est réélu en 1884 sur la liste radicale.
- C'était aussi un écrivain très productif.
- Léopold Eugène Arthur Delattre, dit « Delattre Aîné » ( - ). Frère du précédent, ce négociant à Abbeville (succursale de Ramburelles) sera maire de Ramburelles de 1856 à 1893, conseiller général, officier d'académie, inspecteur divisionnaire du travail des enfants dans l'industrie et suppléant du juge de paix.
- Alfred François Delattre ( - ?). Frère des deux précédents, ce négociant et fabricant en coton à Amiens puis manufacturier à Ramburelles, sera maire du village de 1835 à 1856. Les produits étaient teints et apprêtés dans l'établissement, mais la manufacture occupa environ 180 personnes, beaucoup travaillant chez eux.
- Quatre Ramburellois eurent la médaille de Sainte-Hélène, créée par Napoléon III, pour récompenser les 405 000 soldats, encore vivants en 1857, qui combattirent aux côtés de Napoléon Ier pendant les guerres napoléoniennes :
- Antoine Marcel Peltier, né le , soldat en l'an VII dans la campagne de France. Décédé le à Ramburelles ;
- Antoine Peltier, né le , soldat en l'an VII dans la campagne de France. Décédé le à Ramburelles ;
- Jean-Baptiste Pinguet, né le , soldat en période 1813-1814 dans la campagne de France ;
- Jean-François Delattre, né à Nibas le , gendarme en période 1811-1812 dans la campagne de France. Il est le père des trois frères Delattre précédemment nommés.
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Pierre-Louis Limichin, Le canton d'Oisemont, histoire et archéologie, Inval-Boiron, édit. Vague Verte, collection Jusant, , 177 p. (ISBN 978-2-913924-93-2).
Liens externes
- Clochers.org, site spécialisé sur les photos de clochers, proposant 3 vues de Notre-Dame-de-la-Nativité.
- Ramburelles sur le site de l'Institut géographique national
- Mémoire vivante de Picardie
Notes, sources et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Travail collectif de la Coopérative scolaire de Ramburelles
- « Description archéologique et historique du canton de Gamaches » - M.F.I Darsy - 1858
- Archives départementales de la Somme, Série B125 "registres"
- « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, éditeur :Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 69 (ASIN B000WR15W8).
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