Rosis

Rosis ['ʁo.zis] est une commune française située dans l'ouest du département de l'Hérault en région Occitanie.

Rosis

Mairie de Rosis, située à Andabre

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes des Monts de Lacaune et de la Montagne du Haut Languedoc
Maire
Mandat
Anne-Lise Sautérel
2020-2026
Code postal 34610
Code commune 34235
Démographie
Population
municipale
275 hab. (2019 )
Densité 5,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 37′ 20″ nord, 3° 00′ 16″ est
Altitude Min. 272 m
Max. 1 123 m
Superficie 52,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bédarieux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pons-de-Thomières
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Rosis
Géolocalisation sur la carte : France
Rosis
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Rosis
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Rosis

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Mare, le Bouissou, l'Héric, le Bitoulet, le Casselouvre, le ruisseau d'Arles, le ruisseau de Madale et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 le Caroux et l'Espinouse » et la « montagne de l'Espinouse et du Caroux »), deux espaces protégés (l'« Espinouse » et Le Caroux-Espinouse) et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Rosis est une commune rurale qui compte 275 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 783 habitants en 1821. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux.

    Géographie

    Carte

    La commune est située sur les Monts de l'Espinouse, dans le territoire du parc naturel régional du Haut-Languedoc.

    Communes limitrophes

    Hameaux

    Église romane Notre-Dame-de Douch et Stèle au maquis Bir-Hakeim
    Le hameau de Douch


    • Andabre ;
    • les Avels ;
    • le Bosc ;
    • le Cabaret ;
    • Caissenols (inhabité) ;
    • Les Cambaults ;
    • le Carrousel ;
    • les Combes ;
    • Compeyre ;
    • Cours ;
    • le Cros ;
    • Douch ;
    • la Fage ;
    • le Fageas ;
    • la Gineste ;
    • Héric ;
    • Madale ;
    • la Matte ;
    • Nostre Seigné (inhabité) ;
    • la Palisse ;
    • Perpignan de la Grave ;
    • Rosis ;
    • Rogainard ;
    • Sénas ;
    • les Taillades ;
    • le Tourel ;
    • le Vialais (inhabité).


    Andabre, allée centrale du parc : carte postale (1ère moitié du xxe siècle).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 306 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Aires », sur la commune des Aires, mise en service en 1995[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 128,5 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 53 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 10,9 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    Trois espaces protégés sont présents sur la commune :

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[21] :

    • « le Caroux et l'Espinouse », d'une superficie de 2 316 ha, un site remarquable par sa position intermédiaire entre les domaines atlantique, continental et méditerranéen. Il accueille les tourbières les plus méridionales du Massif central[22]

    et un au titre de la directive oiseaux[21] :

    • la « montagne de l'Espinouse et du Caroux », d'une superficie de 3 392 ha, connue pour la diversité des formations végétales et pour sa grande faune, en particulier le mouflon introduit avec succès il y a plusieurs décennies, son intérêt ornithologique est moins connu[23].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24] :

    • les « gorges d'Albine » (150 ha), couvrant 3 communes du département[25] ;
    • les « gorges de Colombières » (318 ha), couvrant 2 communes du département[26] ;
    • les « gorges d'Héric » (1 587 ha), couvrant 3 communes du département[27] ;
    • le « plateau du Caroux » (387 ha), couvrant 4 communes du département[28] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[24] : le « massif de l'Espinouse » (20 035 ha), couvrant 19 communes du département[29].

    Urbanisme

    Typologie

    Rosis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[30],[I 1],[31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (99 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (23,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,7 %), zones urbanisées (0,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Attestée sous les formes masage de Rosis (1650), Rozis (1680), Rosis (1770)...

    Il s'agit d'un terme hydronymique tiré d'un thème prélatin *rhod- à valeur inconnue[33].

    Histoire

    L'actuel territoire de Rosis est le résultat de plusieurs remaniements des limites. Sous l'ancien régime, l'essentiel de la commune dépendait du diocèse de Castres et de la sénéchaussée de Béziers. La paroisse de Notre-Dame-de Douch dépendait de la communauté de Taussac, mais servait de paroisse à une importante partie de la population de Rosis. Cette paroisse dépendait au religieux du diocèse de Béziers, au civil du diocèse civil de Castres. La commune de Rosis a été constituée en 1830 à partir de la commune disparue de Saint-Gervais-Terre (ou Saint-Gervais-Terre-Foraine), qui avait été elle-même constituée à partir de l'ancienne communauté de Saint-Gervais-Terre. Une partie des terres ont été rattachées aux communes de Castanet-le-Haut, Saint-Gervais-sur-Mare, Saint-Geniès-de-Varensal. Enfin Douch et quelques hameaux comme Madale, Héric, etc. ont été détachés de Taussac-la-Billière pour être rattachés à Rosis.

    En raison de sa géographie montagneuse, la commune possédait une mairie à Andabre et une mairie annexe à Rosis. Des registres d'état-civil étaient tenus dans chacune de ces mairies, malgré le petit nombre des actes enregistrés.

    Dans le hameau de Douch eut lieu, le , un des premiers combats importants de la Résistance (mentionné par le général de Gaulle). Il opposa un groupe de 47 maquisards dirigés par Christian de Roquemaurel à une colonne allemande forte de 200 hommes. Les maquisards se replièrent non sans avoir imposé de fortes pertes à l'ennemi.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989 1995 Robert Faliu    
    1995  ? Jacques Mendes SE Retraité
    Maire - vice-président de la communauté de communes de la Montagne du Haut Languedoc
    vice-président du parc naturel régional du Haut-Languedoc
    2020 En cours Anne-Lise Sautérel    
    Les données manquantes sont à compléter.
    Rosis

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2019, la commune comptait 275 habitants[Note 9], en diminution de 9,54 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6491 4981 7001 7838569901 000900861
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    879934891840830720741684641
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    608592606546534569572547513
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    425343269244257261294304304
    2018 2019 - - - - - - -
    280275-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 151 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 279 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 250 [I 4] (20 330  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]5,9 %12,8 %13,5 %
    Département[I 7]10,1 %11,9 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 155 personnes, parmi lesquelles on compte 72,3 % d'actifs (58,7 % ayant un emploi et 13,5 % de chômeurs) et 27,7 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Bédarieux, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 24 emplois en 2018, contre 19 en 2013 et 24 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 91, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,1 %[I 10].

    Sur ces 91 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 15 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités

    15 établissements[Note 12] sont implantés à Rosis au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 15 entreprises implantées à Rosis), contre 28 % au niveau départemental[I 14]. Aucune exploitation agricole ayant son siège dans la commune n'est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 13]</ref> (17 en 1988)[39],[Carte 3].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Les armoiries de Rosis se blasonnent ainsi :

    Écartelé : au premier d'or à une machine à fabriquer les clous de sable, au deuxième et au troisième de sinople à une rose d'or, au quatrième d'or à une tête de mouflon de sable.


    Voir aussi

    Bibliographie

    • Rémi Azemar, « Un menhir en réemploi ? : commune de Rosis (Hérault) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 15, , p. 3-5
    • Gilbert Massol, « Quelques éléments du petit patrimoine architectural rural de la haute vallée de Douch (commune de Rosis, Hérault) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 23, , p. 225-240
    • Gilbert Massol, « La restauration du moulin à eau de la Fage (commune de Rosis) : première partie », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 34, , p. 187-190
    • Gilbert Massol, « La restauration du moulin à eau de la Fage (commune de Rosis) : seconde partie », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 35, , p. 171-173

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Rosis » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Rosis » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Rosis » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Rosis » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Les Aires - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Rosis et Les Aires », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Les Aires - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Rosis et Millau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    14. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    16. [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    17. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    21. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Rosis », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « site Natura 2000 FR9101424 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « site Natura 2000 FR9112019 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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