Saint-Amour (Jura)
Saint-Amour est une commune française située dans le département du Jura en région Bourgogne-Franche-Comté.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Amour.
Saint-Amour | |||||
Mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Jura | ||||
Arrondissement | Lons-le-Saunier | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Porte du Jura | ||||
Maire Mandat |
Valérie Vaucher 2020-2026 |
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Code postal | 39160 | ||||
Code commune | 39475 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Amourain | ||||
Population municipale |
2 392 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 205 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 26′ 11″ nord, 5° 20′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 200 m Max. 446 m |
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Superficie | 11,65 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Saint-Amour (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Saint-Amour (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Amour (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Jura
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | saintamourjura.com | ||||
Ses habitants sont les Saint-Amourains et Saint-Amouraines.
Géographie
Situé à l'extrême sud-ouest de la région de Franche-Comté, Saint-Amour occupe les premières pentes du massif jurassien tout en débordant sur la plaine bressane toute proche. Saint-Amour se trouve à 28 km de Bourg-en-Bresse, 33 km de Lons-le-Saunier, 30 km de Louhans, 90 km de Lyon, 125 km de Besançon, 130 km de Dijon et 95 km de Genève.
Communes limitrophes
Condal (Saône-et-Loire) | Balanod | |||
Domsure (Ain) | N | Les Trois Châteaux (L'Aubépin) | ||
O Saint-Amour E | ||||
S | ||||
Les Trois Châteaux (Chazelles) |
Les Trois Châteaux (Nanc-lès-Saint-Amour) |
Urbanisme
Typologie
Saint-Amour est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Amour, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[4] et 3 501 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Amour, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,2 %), forêts (16,9 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), zones urbanisées (12,4 %), terres arables (10,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,6 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Histoire
Moyen-Age
En 585, Gontran Ier, roi de Bourgogne, petit-fils de Clovis, fit édifier à Vincennes-la-Jolie qui n'était alors qu'une bourgade dans un territoire appartenant aux évêques de Mâcon, puis dans la 1re moitié du Xe siècle à Albéric de Narbonne-Mâcon[11], une église destinée à abriter les reliques de saint Amator et saint Viator : deux soldats chrétiens de la légion thébaine censés avoir été tués à Saint-Maurice d'Agaune en Valais. La garde des reliques fut confiée à des religieux qui établirent un monastère proche de l'église. Les miracles attribués aux reliques attirèrent de nombreux pèlerins dans la bourgade qui se développa autour de son église. Les successeurs de Gontran donnèrent ce fief à l'évêque de Saint-Vincent-de-Mâcon : celui-ci fit construire un château et des murailles pour la défense du bourg, qui au fil des siècles, prit le nom de Saint-Amour.
Au Moyen Âge sont édifiés une forteresse et des remparts pour conforter la position stratégique de la bourgade, située entre le massif jurassien et la plaine bressanne sur la route de Lyon à Strasbourg.
De 1262 à 1789, Saint-Amour dépend du bailliage royal d'Orgelet. Six maisons y régnèrent successivement, et les sires, barons puis comtes de St-Amour étaient Grand-maréchal de l'Eglise de Besançon[12] :
- les sires de Salins (descendants d'Albéric de Narbonne) jusqu'à leurs héritiers directs de la Maison de Mâcon-Vienne ; Gaucher III († 1175) et son frère Humbert IV de Salins sont suivis par la fille héritière de Gaucher, Maurette de Salins († entre 1184 et 1200), femme en 1152 de Géraud Ier de Mâcon-Vienne (1124 - 1184), d'où Gaucher IV de Mâcon-Salins (1153-1219)) ;
- les sires de l'Aubépin (XIIe siècle-1454), à partir de Geoffroy de Laubépin qui obtint St-Amour en fief de Gaucher IV (semble-t-il dans la 2e moitié du XIIe siècle, donc avant 1200) ;
- les Toulongeon, environ de 1452 à 1460/1462 : car Claudine de Laubépin († 1497 ; fille héritière de Claude de Laubépin qui fonda le couvent des Augustins de St-Amour en 1438, et de sa femme Marguerite, fille de Guillaume IV de Tournon), maria : 1° avant 1452 Jehan III de Toulongeon de Sennecey (né v. 1416/1425-† v.1460/1462), veuf de Catherine de Roussillon ; et 2° vers 1464 Jean Ier de Damas († 1481), seigneur de Digoine et de Clessy, chambellan du duc Charles, chevalier de la Toison d'Or en 1468, gouverneur du Mâconnais, rallié à Louis XI en refusant de servir le parti de Marie de Bourgogne ; le frère de Claudine de L'Aubépin, Guillaume de Laubépin, associé à leur père Claude, était mort après 1441, mais avant ce dernier ;
- la famille de Damas de Digoine, de 1464 environ à 1548, par le 2° mariage de Claudine de Laubépin ;
- la famille de La Baume (La Balme)-Saint-Amour (1548-1770), car Jean II de Damas de Digoine, fils de François de Damas de Digoine et petit-fils de Jean Ier et Claudine de Laubépin, céda en 1548 St-Amour à son beau-frère Philibert II de La Baume, sire de Pérès et Corgenon († vers 1568 ; fils de Philibert Ier de La Baume/de La Balme et beau-fils de Péronne de Poupet de la Chaux, une des femmes de Philibert Ier), époux en octobre 1531 de sa sœur Françoise de Damas ; le fils de Françoise et Philibert II, Louis de La Baume, est fait comte de Saint-Amour en 1570 par Philippe II d'Espagne, comte de Bourgogne ; leur descendance court jusqu'à Jacques-Philippe de La Baume, comte de St-Amour et sire de La Chaux, † en 1770 sans postérité ;
- enfin, Claude-Antoine-Clériadus de Choiseul (1733-guillotiné en 1794) prit le nom de Choiseul-La Baume en l'honneur de sa femme Diane-Gabrielle de La Baume-Montrevel, mais aussi car ledit comte Jacques-Philippe de La Baume lui légua en 1770 la terre de St-Amour, dont il fut le dernier comte et seigneur jusqu'à la Révolution.
L'âge d'or de la cité (1548-1637)
À partir de 1548, la cité passe sous a suzeraineté de la famille De La Baume (ou de La Balme en Bugey). Philibert de la Baume, développe le commerce, l'industrie et l'agriculture[13]. Il fait planter des châtaigniers dont les fruits nommés Marrons de Lyon, firent la réputation et la richesse de Saint-Amour. De nombreuses fabriques voient le jour et particulièrement un fabrique de chapeau : la première de la région[14]. Une carrière de marbre est découverte et exploitée, servant notamment à la décoration du château et de l'église. Saint-Amour devient une des villes les plus prospères de la Franche-Comté. La Baume développe aussi les marchés qui permettent l'écoulement des produits de la cité dans les régions voisines de la Bresse, du Bugey et de Savoie.
En 1552, elle décrite par Cousin comme une ville remarquable par son commerce, assez grande et assez puissante (...). Cette ville s'honore d'un certain nombre d'hommes distingués par toute sorte de mérites...
XVII et XVIIIe siècle
Saint-Amour a subi trois sièges et cinq invasions liées à la conquête française. Elle résiste aux assauts des troupes de Louis XI (1477) et d'Henri IV (1595), mais celles du duc de Longueville (1637) et de Louis XIV (1673-1674) la dévastent. Ville riche, prospère et stratégique, elle fait partie des premiers objectifs des français lors de la guerre de Dix ans. Elle est démantelée puis rattachée à la France, avec la Franche-Comté en 1678 par le Traité de Nimègue. Mais c'est particulièrement le siège de 1637 ainsi que les destructions qui s'ensuivirent qui mirent à bas la prospérité de la cité et détruisirent son commerce si florissant.
Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les « souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions » (sic), à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour « Franc-Amour »[15].
Les couvents
Saint-Amour possède quatre couvents sous l'Ancien Régime : le premier, construit par les Grands Augustins en 1438 sur les fonds de Claude de l'Aubépin, seigneur de Saint-Amour, instruit la jeunesse locale. Le deuxième couvent, celui des Capucins, date de 1620 et abrite une douzaine de moines qui ne vivent que de dons et soignent la population, tout en prêchant aux alentours. Les Annonciades célestes arrivent de Pontarlier en 1622 ; c'est le couvent le mieux préservé aujourd'hui. Enfin, les Visitandines font construire leur couvent entre 1633 et 1679 ; en plus de leur vie contemplative, elles instruisent les fillettes de la région. Ces quatre couvents sont supprimés par la Révolution en 1790 et vendus comme biens nationaux[16].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].
En 2019, la commune comptait 2 392 habitants[Note 3], en augmentation de 1,27 % par rapport à 2013 (Jura : −0,5 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Politique et administration
Les maires de Saint-Amour
Tendance politique
Pour le référendum sur la constitution européenne, le , les électeurs de Saint-Amour ont voté à 58,85 % en faveur du « non » et à 41,15 % pour le « oui » tandis que 32,62 % se sont abstenus[21].
Au 1er tour de l'élection présidentielle de 2007, Nicolas Sarkozy arrive en tête avec 29,13 % des suffrages exprimés, suivi de Ségolène Royal avec 27,49 %, François Bayrou avec 15,97 % et Jean-Marie Le Pen avec 11,51 %. Le taux de participation atteint 85,41 %. Au 2e tour, les Saint-Amourains ont voté à 51,16 % pour Nicolas Sarkozy et 48,84 % pour Ségolène Royal. Le taux de participation est de 85,29 %[22].
Au 1er tour de l'élection présidentielle de 2012, François Hollande arrive en tête avec 29,07 % des suffrages exprimés, suivi de Nicolas Sarkozy avec 23,93 %, Marine Le Pen avec 19,98 % et Jean-Luc Mélenchon avec 12,56 %. Au 2e tour, les Saint-Amourains ont voté à 53,17 % pour François Hollande et 46,83 % pour Nicolas Sarkozy[23].
Au 1er tour de l'élection présidentielle de 2017, Marine Le Pen arrive en tête avec 24,62 % des suffrages exprimés, suivi de Jean-Luc Mélenchon avec 21,33 %, Emmanuel Macron avec 20,66 % et François Fillon avec 16,19 %. Le taux de participation est de 78,03 %. Au 2e tour, les Saint-Amourains ont voté à 59,90 % pour Emmanuel Macron et 40,10 % pour Marine Le Pen. Le taux de participation est de 75,68 %[24].
Économie
En 2004, le taux de chômage s'élève à 8,6 % de la population active et le revenu moyen par ménage à 14 060 €/an[25].
Enseignement
- École maternelle
- École primaire Marius Picquand
- Collège Lucien Febvre
- Lycée professionnel Ferdinand Fillod : en 2008-2010 (plus une révision complète en 2019-2021), réalisation par les élèves du LP du premier voilier français en aluminium, le Andy 27, pour personnes handicapées (10 mètres de long, pour trois personnes à mobilité réduite et deux skippers).
- École de musique
Lieux et monuments
- L'église paroissiale :
Église collégiale jusqu’à la Révolution, elle a souffert des outrages de la conquête française, en 1637 puis des révolutionnaires. Souvent modifiée, elle ne conserve plus rien de son caractère primitif ; le chœur (XVe siècle) constitue la partie la plus ancienne. Le clocher comtois (XVIIe siècle), et ses 48 mètres de haut, contribue à donner à l’édifice une imposante majesté. Le monument conserve le reliquaire contenant les reliques de Saint-Amator (Saint-Amour).
- L'apothicairerie (classée Monument historique) :
Elle contient un ensemble de pots, potiches, pichets et flacons des XVIe, XVIIIe et XIXe siècles.
- la Tour Guillaume :
La tour (XIIIe siècle-XVIe siècle) était autrefois incluse dans les fortifications de la ville. Elle porte le nom de l'illustre théologien, Guillaume de Saint-Amour (v. 1200-1272), enfant du pays, qui légua sa fortune aux pauvres de la ville et fut l'un des fondateurs de l'Hôtel-Dieu.
- L'auditoire et les prisons royales (classées Monument historique) :
Datant de 1741, ces bâtiments constituaient une des Justices des Gabelles créées par le roi en 1705 pour juger les contrebandiers des sels, tabacs, étoffes… L’ensemble, unique dans le Jura, comprend : l’auditoire avec deux corps de garde au rez-de-chaussée et deux salles d’audience au premier étage, à l’arrière, les prisons proprement dites avec la cour et l’appartement du geôlier, la pistole, la chapelle, la cour des prisonniers, deux salles de détention, trois cachots en sous-sol avec portes à guichet.
- l'ancien couvent des Annonciades célestes fondé en 1621.
Église de Saint-Amour Chevet de l'église Clocher de l'église Fontaine rue de la brêche
- La Chevalerie, salle de spectacles de la Communauté de communes du pays de Saint-Amour[26]
Personnalités liées à la commune
- Guillaume de Saint-Amour (Saint-Amour 1202 - id. 1272) : théologien, enseignant à l'université de Paris. Exilé dans son village natal sur ordre de Louis IX de France ou Saint-Louis pour avoir écrit un ouvrage Tractus brevis de periculis novissimorum temporum très hostile au Pape Alexandre IV.
- Philippe de la Baume-Saint-Amour (1616-1688), comte de Saint-Amour et gouverneur de la Franche-comté de 1661 à 1688
- Guy Colombet (Saint-Amour 1632 - Saint-Étienne, Loire 1708)
- Jean-Marie Aberjoux (, à Saint-Amour ✝ , à Saint-Amour), lieutenant-colonel, Chevalier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'Empire (lettres patentes du ),
- Claude Marie Meunier (Saint-Amour 1770 - Paris 1846), général d'Empire (gendre du peintre David).
- Xavier de Dananche (1828-1894), peintre et graveur, né dans cette commune.
- Maurice Célard (1836-1906), marbrier).
- Andrée Mégard (Saint-Amour 1866 - Saint-Amour 1952), actrice de théâtre, épouse du suivant.
- Firmin Gémier [Firmin Tonnerre] (Aubervilliers, Seine-Saint-Denis 1869 - Paris 1933), comédien et directeur de théâtre.
- Lucien Febvre (Nancy, Meurthe-et-Moselle 1878 - Saint-Amour 1956), historien. Il meurt et est inhumé à Saint-Amour en 1956. Le collège de la ville porte aujourd'hui son nom.
- Léon Werth (Remiremont, Vosges 1878 - Paris 1955), critique d'art et écrivain, possédait une maison à Saint-Amour[27].
- Jeanne Hatto de son vrai nom Jeanne Frère (1879 Saint-Amour -1958 Paris), cantatrice reconnue du début du XXe siècle et compagne de Louis Renault.
- Marcel Moyse (Saint-Amour 1889 - Brattleboro, Vermont, États-Unis 1984), flûtiste de renommée mondiale. Il est inhumé au cimetière de Saint-Amour. Une place de la commune porte son nom.
- Ferdinand Fillod (1891 - 1956), inventeur de la maison métallique préfabriquée.
- Pierre-Marie Prost (1776-1855), sculpteur français.
Héraldique
Blason | D'or au lion de sable, armé et couronné d'argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias |
Voir aussi
Articles connexes
Sources
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Amour », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- C'est l'époque où les comtes de Mâcon étendent leur influence Outre-Saône, dans les royaumes de Transjurane puis des Deux-Bourgognes (ou Royaume d'Arles), acquérant Salins et préparant ainsi la formation du comté de Bourgogne aux alentours de l'an mil.
- « Seigneuries de St-Amour, p. 46-70 », sur Tablettes historiques, biographiques et statistiques de la ville de St-Amour, par Corneille Saint-Marc, in Mémoires de la Société d'émulation du Jura, année 1868, chez Gauthier frères, à Lons-le-Saunier, 1869
- Gilbert Cousin de Nozeroy University of Michigan, La Franche-Comté au milieu du XVIe siècle: ou, Description de la Haute ..., L. Declume, (lire en ligne)
- Société d'émulation du Jura, Mémoires, (lire en ligne)
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Le Progrès, article du 14 janvier 2017
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- http://www.lesbiographies.com/Biographie/JACQUIER-Gerard,74305
- Saint-Amour (Jura - 39160) : démographie
- Résultats des élections : Saint-Amour - Jura (39160). Election législative Saint-Amour
- « Résultats Saint-Amour - Présidentielle 2012 - 1er et 2nd tour », sur Le Monde.fr (consulté le ).
- « Présidentielle 2017 à Saint-Amour : découvrez les résultats définitifs du second tour », sur election-presidentielle.linternaute.com (consulté le ).
- Saint-Amour - Jura (Code postal - 39160)
- La Chevalerie sur le site de la, salle de spectacles de la Communauté de communes du pays de Saint-Amour, consulté le 9 janvier 2013.
- Alain Dessertenne, Françoise Geoffray, Deux témoins de l'Exode et de l'Occupation : Irène Némirovsky et Léon Werth, article paru dans la revue trimestrielle « Images de Saône-et-Loire » (publiée par l'association Groupe Patrimoines 71), n° 203 de septembre 2020, pages 6 à 9.
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