Saint-Hilliers

Saint-Hilliers (anciennement en dialecte Saint Yé) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Saint-Hilliers

L'église Saint-Hilaire.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes du Provinois
Maire
Mandat
Catherine Gallois
2020-2026
Code postal 77160
Code commune 77414
Démographie
Gentilé Hilériens
Population
municipale
483 hab. (2019 )
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ 15″ nord, 3° 15′ 23″ est
Altitude Min. 136 m
Max. 176 m
Superficie 19,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Provins
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Hilliers
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Saint-Hilliers
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Saint-Hilliers
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Saint-Hilliers

    Géographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Saint-Hilliers dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune est située à environ 8,9 kilomètres au nord de Provins[Carte 1].

    Communes limitrophes


    Géologie et relief

    L'altitude de la commune varie de 136 mètres à 176 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 156 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Saint-Hilliers.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 8,33 km[7].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[8]. La commune fait partie de deux SAGE : « Yerres » et « Bassée Voulzie ».

    Le SAGE « Yerres » a été approuvé le . Il correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[9]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[10].

    Le SAGE « Bassée Voulzie » est en cours d'élaboration en décembre 2020. Il concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[11],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[12].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,6 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,5 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 747 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -1,3 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -3,6 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[13].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[14]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[13]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[15]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 43 km à vol d'oiseau[16], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[17] à 11,6 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Saint-Hilliers comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[19],[Carte 2], la « forêt domaniale de Jouy » (1 956,57 ha), couvrant 7 communes du département[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Hilliers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[21],[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].

    Lieux-dits et écarts

    La commune compte 93 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[26].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,1% ), forêts (17,1% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6% ), zones urbanisées (0,2 %)[27].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[28],[29],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[30].

    La commune disposait en 2019 d'une carte communale approuvée[31].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 220 dont 96,8 % de maisons et 2,7 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 81 % étaient des résidences principales, 7,4 % des résidences secondaires et 11,6 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 83,8 % contre 14,5 % de locataires et 1,7 % logés gratuitement[32].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Apud Sanctum Hilarium en 1225[33] ; Saint Elier en 1265[34] ; Saint Ylier en 1274[35] ; Saint Elyer en 1276[36] ; Saint Yllier lez Provins en 1385[37] ; Saint Illier en 1720[38] ; Saint Hilier en 1766[39].

    L'hagiotoponyme de la commune et l'église paroissiale sont sous l'invocation de Saint Hilaire de Poitiers[38].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2001 Daniel Pin    
    2001 2008 Jean-Pierre Foessel    
    2008 avril 2014 Jean-Pierre Boisvert   Agriculteur
    avril 2014 En cours Catherine Gallois[40]   Clerc de notaire

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [41],[42].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Saint-Hilliers gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[43].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[44]. La communauté de communes du Provinois assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[43],[45].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [43],[46],[47].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[49].

    En 2019, la commune comptait 483 habitants[Note 6], en augmentation de 4,09 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    509426451414446473482547559
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    582606613642608618650676641
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    627571546507518501507479455
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    353318291277340400427431459
    2017 2019 - - - - - - -
    473483-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 183, représentant 479 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 21 910 euros[52].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 79, occupant 216 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 64,5 % contre un taux de chômage de 12,3 %. Les 23,2 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,5 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,6 % de retraités ou préretraités et 6 % pour les autres inactifs[53].

    Entreprises et commerces

    En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture. ) par secteur d'activité était de 27 dont 7 dans la construction, 7 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans l’Information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 2 dans les activités immobilières, 5 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, et 3 étaient relatifs aux autres activités de services[54].

    En 2020, 5 entreprises individuelles ont été créées sur le territoire de la commune.

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[55].

    Agriculture

    Saint-Hilliers est dans la petite région agricole dénommée la « Brie champenoise » (ou Provinois), une partie de la Brie autour de Provins[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[56].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[57]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 18 en 1988 à 13 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 105 ha en 1988 à 174 ha en 2010[56]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Saint-Hilliers, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Saint-Hilliers entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[56],[Note 8]
    Nombre d’exploitations (u) 18 16 13
    Travail (UTA) 32 25 22
    Surface agricole utilisée (ha) 1 893 2 069 2 260
    Cultures[58]
    Terres labourables (ha) 1 885 2 068 2 258
    Céréales (ha) 1 287 1 300 1 473
    dont blé tendre (ha) 951 1070 s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 215 s s
    Tournesol (ha) 92
    Colza et navette (ha) 122 s 387
    Élevage[56]
    Cheptel (UGBTA[Note 9]) 37 34 0

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Hilaire, XIVe siècle : croisée d'ogives sous le clocher, abside percée de trois fenêtres, auquel il convient d’ajouter le patrimoine mobilier classé suivant :
      • Plaque funéraire de Jehan Nicolle[59] ;
      • Dalle funéraire de Jean de La Boirre et de Jeanne de Merlin, sa femme, mort en 1521 (Maçonnée dans le mur du collatéral droit )[60] ;
      • Dalle funéraire d'André de Bufay, mort en 1557, et de Nicole de Harville, sa femme, morte en 1559 (Maçonnée dans le mur du collatéral droit)[61] ;
      • Dalle funéraire de Guillaume de Mortery, mort en 1260, et de sa femme (Dallage du bas-côté gauche)[62] ;
      • Dalle funéraire de Robert Saillant, curé de Mortery, mort en 1347 (Dallage)[63] ;
      • Cloche en bronze de 1633[64] ;
      • Console en bois et marbre (Abside, au sud de l'autel)[65] ;
      • Statue de Saint Eloi en bois[66] ;
      • Statue de Sainte Barbe en pierre polychrome (Nef)[67].

    Héraldique

    Blason
    De gueules à la tour d'argent ouverte, ajourée et maçonnée de sable, accostée de deux couleuvres ondoyantes en pal et affrontées d'argent, le tout surmonté de trois glands d'or, la cupule en haut, rangés en chef[68].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Saint-Hilliers », p. 1270–1271

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Saint-Hilliers, » sur Géoportail (consulté le 5 mai 2020)..
    2. « Zones ZNIEFF de Saint-Hilliers » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    3. « Saint-Hilliers - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Saint-Hilliers » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    2. « Plan séisme consulté le 10 mai 2021 ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Grand Ru de l'Abbaye (F4714000) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Bois de Quincy (F4710700) » (consulté le ).
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Villars (F2313000) » (consulté le ).
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Bois Francs (F4714050) » (consulté le ).
    7. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 4 juillet 2018
    8. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    9. « SAGE Yerres - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    10. site officiel du Syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
    11. « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    12. « Ile SDDEA et sa régie », sur www.sddea.fr, (consulté le ).
    13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    14. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    15. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    18. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    33. Bull. Soc. Provins, VII, mars 1903, p. 64.
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    35. Cartulaire Renier Accorre, fol. 113 v°.
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