Champcenest
Champcenest [ʃɑ̃sənɛ] est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Champcenest | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Provins | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Provinois | ||||
Maire Mandat |
Catherine Perrin 2020-2026 |
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Code postal | 77560 | ||||
Code commune | 77080 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
196 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 16 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 40′ 13″ nord, 3° 17′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 142 m Max. 173 m |
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Superficie | 12,46 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Provins | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | champcenest.fr | ||||
Au dernier recensement de 2019, la commune comptait 196 habitants.
Géographie
Localisation
La commune est située à environ 14,2 kilomètres par la route[1],[Note 1]. au nord de Provins[Carte 1].
Communes limitrophes
Géologie et relief
L'altitude de la commune varie de 142 mètres à 173 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 168 mètres d'altitude (mairie)[2]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[3].
Réseau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés :
- le ruisseau de la Visandre, long de 30,93 km[4], affluent de l'Yerres en rive gauche ;
- le ru de l'Étang, long de 2,67 km[5], affluent du l’Aubetin ;
- le fossé 01 des Maréchères, 3,45 km[6], affluent du ru de l'Étang ;
- le cours d'eau 01 du Bois Narel, 1,73 km[7], affluent de l'Aubetin ;
- le ruisseau des Rieux, 3,11 km[8], affluent de l'Aubetin.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,21 km[9].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[10]. La commune fait partie de deux SAGE : « Yerres » et « Petit et Grand Morin ».
Le SAGE « Yerres » a été approuvé le . Il correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[11]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[12].
Le SAGE « Petit et Grand Morin » a été approuvé le . Il comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[13]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[14].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 10,5 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[15].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[15]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 45 km à vol d'oiseau[16], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[17] à 11,6 °C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[19],[20],[21].
Urbanisme
Typologie
Champcenest est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[22],[23],[24].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].
Lieux-dits et écarts
La commune compte 44 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[27] (source : le fichier Fantoir).
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,5% ), forêts (19,9% ), zones agricoles hétérogènes (2,3% ), zones urbanisées (0,2 %)[28].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[29],[30],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[31].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[32]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].
Logement
En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 97 dont 94,6 % de maisons et 5,4 % d'appartements[Note 6].
Parmi ces logements, 83,9 % étaient des résidences principales, 12,6 % des résidences secondaires et 3,6 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 83,1 % contre 16,9 % de locataires[33].
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Campus Genestus en 1154[34] ; Ecclesia de Cappella Campisenes en 1164[35] ; Apud Campum Senes en 1194[36] ; Champcenes en 1236[37] ; Chamgenays en 1249[38] ; Chansennes vers 1260[39] ; Chamsenes en 1263[40] ; Champsenes en 1277[41] ; Champcenais en 1290[42] ; Champsenez en 1313[43] ; Champceneis en 1335[44] ; Campus Senectus vers 1350[45] ; Champcenes en 1396[46] ; Chancenetz en 1498[47] ; Chansenes en 1507[48] ; Chancenetz en Brye en 1514[49] ; Champchenetz en 1527[50] ; Chancenays en 1561[51] ; Champcenay en 1607[52] ; Campus Senectus en 1668[53],[45].
La graphie la plus ancienne Campus Genestus en 1154 laisse penser a affaire à un champ de genêts, mais on rencontre quelques années plus tard la forme Campisenes en 1164. Le second élément du toponyme pourrait être un nom de personne, Genesius selon Ernest Nègre, Senecius selon Albert Dauzat.
Hameaux
Foussoles, Courtenot, Baleine et Maisoncelles.
Histoire
Forteresse de Montaiguillon
La forteresse de Montaiguillon a vraisemblablement été construite dans la première moitié du XIIIe siècle. En 1423, le château de Montaguillon, défendu par Prigent VII de Coëtivy est assiégé pendant six mois par Salisbury[54].
Pendant la guerre de Cent Ans, par l’ordonnance et le commandement du duc anglais Bedford (qui se disait « Régent de France »), le comte anglais Salisbury (gouverneur du Pays de Champagne et de Brie) assiégea en 1423 (*1) avec ses troupes la dite forteresse. À l’intérieur de celle-ci, les assiégés armagnacs étaient au nombre de 120 combattants sous le commandement de trois capitaines : le sire de la Bourbe, le sire de Cotigny et un homme d’armes nommé Bourghenon. Le siège dura près de six mois et était régulièrement complété par des assauts anglais. Passé ce temps, les assiégés n’étaient plus qu’une trentaine de survivants. Lesquels, en conclusion, furent contraints de manger leurs chevaux pour survivre. Finalement, ils décidèrent de se rendre au comte Salisbury en promettant qu’ils paieraient pour avoir la vie sauve. Salisbury leur rétorqua qu’il exigeait le paiement de 22 000 saluts d’or (*2). Les assiégés, qui n’avaient d’autres choix, acceptèrent et laissèrent quatre otages comme gages, jusqu’au paiement complet de la somme exigée. Lorsque les tractations furent réglées, Salisbury ordonna la démolition de la forteresse[55].
Par la suite, il se pourrait qu'il ait servi de repère à des bandes de soudards et autres militaires désœuvrés qui ne s'en écartaient que pour détrousser les honnêtes voyageurs.
En 1613, Richelieu fait démanteler Montaiguillon afin de rendre la forteresse indéfendable pour que les capitaines félons ne puissent plus s'y réfugier[56].
Ce château est aujourd'hui en ruine, mais ces importantes ruines féodales, encore ceinturées de murailles imposantes, en pleine et belle forêt, sont la curiosité majeure du canton de Villiers-Saint-Georges. Montaiguillon constitue un des quelques exemples d'architecture militaire médiévale encore visibles en Ile-de-France.
Politique et administration
Le 3 mars 2017, Jean-Claude Rambaud fait parler de sa commune en devenant le premier maire Seine-et-Marnais à apporter son parrainage à Jacques Cheminade, candidat à l'élection présidentielle. Les prises de position du fondateur de Solidarité et Progrès semblent avoir trouvé un écho dans cette petite commune briarde.
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [57],[58].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de Champcenest ne dispose pas d'assainissement collectif[59],[60].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[61]. La communauté de communes du Provinois assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[59],[62].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie[59],[63],[64].
Population et société
En 1753, 28 feux sont dénombrés à Champcenest, d'après l'ouvrage de Pierre Doisy : Le royaume de France, et les états de Lorraine, disposés en forme de dictionnaire, Paris, Tilliard, 1753, p. 381.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[66].
En 2019, la commune comptait 196 habitants[Note 7], en augmentation de 8,89 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
En 2018, la commune était classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également. Le classement des communes en ZRR était valable jusqu’au [69],[70].
Revenus de la population et fiscalité
En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 77, représentant 197 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 130 euros[71].
Emploi
En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de 28, occupant 94 actifs résidants (dont 18,7 % dans la commune de résidence et 81,3 % dans une commune autre que la commune de résidence).
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 72,6 % contre un taux de chômage de 3,2 %. Les 24,2 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 7,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,6 % de retraités ou préretraités et 11,3 % pour les autres inactifs[72].
Entreprises et commerces
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 16 dont 2 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 4 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans les activités immobilières, 2 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 2 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 1 était relatif aux autres activités de services[73].
En 2020, 3 entreprises individuelles ont été créées sur le territoire de la commune.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[74].
Agriculture
Champcenest est dans la petite région agricole dénommée la « Brie est », une partie de la Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[75].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[76]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 8 en 1988 à 5 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 114 ha en 1988 à 167 ha en 2010[75]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Champcenest, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[75],[Note 9] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 8 | 5 | 5 |
Travail (UTA) | 16 | 6 | 7 |
Surface agricole utilisée (ha) | 910 | 787 | 834 |
Cultures[77] | |||
Terres labourables (ha) | 910 | 787 | 834 |
Céréales (ha) | 720 | 570 | 574 |
dont blé tendre (ha) | 484 | 378 | 356 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 226 | 109 | 130 |
Tournesol (ha) | 48 | s | |
Colza et navette (ha) | s | 87 | 79 |
Élevage[75] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 10]) | 4 | 0 | 0 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Allée couverte de l'Étang des Essarts : reconstruction d'un édifice mégalithique dont l’authenticité n'est pas avérée.
- L'église paroissiale Saint-Martin, classée monument historique[78].
Personnalités liées à la commune
- Louis Quentin de La Vienne, marquis de Champcenetz, gouverneur du château de Meudon.
- Jean Louis Quentin de Richebourg, marquis de Champcenetz, gouverneur du château de Meudon, de Bellevue, et des Tuileries.
- Albertine Elisabeth de Champcenetz (1742-1805) : noble contre-révolutionnaire, femme de cour, épouse du précédent.
- Louis Pierre Quentin de Richebourg, gouverneur du château de Meudon.
- Louis René Quentin de Richebourg de Champcenetz (1759-1794) : homme de lettres français.
Héraldique
Blason | De gueules à une fleur de lys d'or accompagnée de deux cotices en barre, et surmontée de deux châteaux de même. |
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Détails | Figure dans la salle du conseil municipal[79]. Il existe un doute sur la figure en cœur. |
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Alias |
Voir aussi
Bibliographie
- Cléry Rivière, Un paysage de Brie: la vallée de l'Aubetin, Paris, Picard, 1950, p. 289, 299, 300.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées par la voie routière à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Localisation de Champcenest » sur Géoportail (consulté le 5 mars 2020)..
- « Champcenest - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
- fr.distance.to, consulté le 25 octobre 2021
- « Champcenest » sur Géoportail. Carte IGN classique.
- « Plan séisme consulté le 26 octobre 2021 ».
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- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de l'Etang (F6564000) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Maréchères (F6564100) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 du Bois Narel (F6564700) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau des Rieux (F6565000) » (consulté le ).
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 10 décembre 2018
- « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
- « SAGE Yerres - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
- site officiel du Syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
- « SAGE Petit et Grand Morin - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
- site officiel du Syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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- Archives de la Seine-et-Marne, E 1902.
- Archives nationales, P 1642, n° 1678.
- Archives nationales, P 1773, n° 684.
- Archives nationales, P 1773, n° 691.
- Archives nationales, P 1651, n° 1755.
- Pouillé d'Alliot.
- René Kerviler, "Répertoire général de bio-bibliographie bretonne. Livre premier, Les bretons. 9,CHES-COND", 1886-1908, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6116498p/f224.image.r=Plouvien.langFR
- -En 1420 (ou en 1421, nouv. st.), le maréchal de France, Claude de Beauvoir de Chastellux s’était déjà rendu maître de la forteresse avec ses troupes bourguignonnes. – (*1) : 1423, date anc. st. – (*2) : Salut d’or : monnaie frappée à Rouen sous et par les rois anglais Henry V et Henry VI, aux armes d’Angleterre et de France.
- http://www.brionautes.com/article.php?sid=2282
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