Saint-Jean-de-Fos
Saint-Jean-de-Fos (en occitan Sant Joan de Fòrcs) est une commune française située dans le nord du département de l'Hérault en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Jean.
Saint-Jean-de-Fos | |
Tour de l'église | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Hérault |
Arrondissement | Lodève |
Intercommunalité | Communauté de communes Vallée de l'Hérault |
Maire Mandat |
Pascal Delieuze 2020-2026 |
Code postal | 34150 |
Code commune | 34267 |
Démographie | |
Gentilé | Jeannifossiens |
Population municipale |
1 727 hab. (2019 ) |
Densité | 122 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 42′ 06″ nord, 3° 33′ 06″ est |
Altitude | Min. 30 m Max. 528 m |
Superficie | 14,19 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Montpellier (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Gignac |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Hérault, le ruisseau de l'Avenc et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « gorges de l'Hérault » et les « hautes garrigues du Montpelliérais ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Jean-de-Fos est une commune rurale qui compte 1 727 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Jeannifossiens ou Jeannifossiennes.
Géographie
Saint-Jean-de-Fos est un village situé à la sortie des gorges de l'Hérault, là où le massif de la Séranne (massif calcaire) appelé aussi causses du Larzac, rejoint la plaine de la vallée de l'Hérault. Il se trouve sur les bords de l'Hérault là où le pont du Diable enjambe le fleuve. Le climat est méditerranéen, chaud et ensoleillé.
Le village est en circulade et est à ce titre membre de l'association le réseau des Circulades[réf. nécessaire].
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Pouget », sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[6] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de précipitations de 680,8 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 35 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[14] :
- les « gorges de l'Hérault », d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[15]
et un au titre de la directive oiseaux[14] :
- les « hautes garrigues du Montpelliérais », d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs régionaux[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[17] : la « rivière de l'Hérault de Gignac à Canet » (317 ha), couvrant 8 communes du département[18] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[17] :
- le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » (976 ha), couvrant 22 communes du département[19] ;
- le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » (21 342 ha), couvrant 17 communes du département[20].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Jean-de-Fos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[21],[I 1],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (60,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (52,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (17,2 %), forêts (12,6 %), zones agricoles hétérogènes (10,4 %), zones urbanisées (6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 751 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 1 732 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 550 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 10,4 % | 11,3 % | 11,1 % |
Département[I 7] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 036 personnes, parmi lesquelles on compte 77 % d'actifs (65,9 % ayant un emploi et 11,1 % de chômeurs) et 23 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 370 emplois en 2018, contre 258 en 2013 et 230 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 697, soit un indicateur de concentration d'emploi de 53,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,2 %[I 10].
Sur ces 697 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 263 travaillent dans la commune, soit 38 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 79,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 10,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
164 établissements[Note 11] sont implantés à Saint-Jean-de-Fos au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 164 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 18 | 11 % | (6,7 %) |
Construction | 35 | 21,3 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 39 | 23,8 % | (28 %) |
Information et communication | 2 | 1,2 % | (3,3 %) |
Activités financières et d'assurance | 6 | 3,7 % | (3,2 %) |
Activités immobilières | 7 | 4,3 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 21 | 12,8 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 26 | 15,9 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 10 | 6,1 % | (8,1 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,8 % du nombre total d'établissements de la commune (39 sur les 164 entreprises implantées à Saint-Jean-de-Fos), contre 28 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[24] :
- Le Roc Pointu, hébergement médicalisé pour personnes âgées (1 261 k€)
- Oyas Environnement, fabrication d'articles céramiques à usage domestique ou ornemental (1 256 k€)
- Grotte De Clamouse Societe G Vila, gestion des sites et monuments historiques et des attractions touristiques similaires (762 k€)
- Chateau De Valloubiere, culture de la vigne (301 k€)
- Emmanuelle Beze Architecture, activités d'architecture (36 k€)
La principale économie du village est la viticulture, l'oléiculture, la production de poterie (11 ateliers et galeries de potiers) et le tourisme avec les visiteurs du pont du Diable et Argileum. De nombreux hébergements touristiques sont proposés.
L'artisanat y est aussi bien implanté. Chaque année le Marché des Potiers réunit 50 exposants pour le plus grand rassemblement autour de la céramique du département.[25]
Agriculture
La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[26]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la viticulture[Carte 3].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 113 | 94 | 75 | 66 |
SAU[Note 14] (ha) | 704 | 714 | 533 | 507 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 113 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 94 en 2000 puis à 75 en 2010[28] et enfin à 66 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 42 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[29],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 704 ha en 1988 à 507 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 6 à 8 ha[28].
Histoire
On trouve les premières mentions du lieu en 804 sous le nom Litenis.
Le village s'est ensuite développé autour de l'église de St-Jean entre 1031 et 1060 à la suite de la construction du Pont du Diable qui constitue un relais important entre Saint-Guilhem-le-Désert et Aniane.
La place a été successivement fortifiée au Moyen Âge.
Saint-Jean-de-Fos a connu la renommée grâce à ses potiers du XIVe au XVIe siècle. Cette tradition de poterie, notamment la poterie vernissée verte, s'est perpétuée et est toujours visible dans les rues du village au travers d'éléments de faîtages, de descentes de chenaux et de gouttières par exemple.
Les potiers fabriquaient aussi des petites trompes en terre cuite (troïna ou trumpet) qui furent utilisées de la seconde moitié du XVe siècle jusqu'au début du XXe siècle. Les cloches étant « parties à Rome », entre le Jeudi Saint et Pâques, les enfants de chœur, armés de ces petites cornes, trompetaient pour appeler les fidèles à la messe. Le dimanche de Pâques une cérémonie avait lieu sous la croix de la Vierge du Roc Pointu. Il fallait s’emparer de la corne de son voisin et la briser contre le rocher. Le bas du rocher est encore recouvert des tessons accumulés pendant des années[30].
Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, créée en . Elle est baptisée « société populaire régénérée » en floréal an II. Elle compte 88 membres à cette date[31]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Fort-l’Hérault[31].
Politique et administration
Démographie
Au dernier recensement, la commune comptait 1727 habitants.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La grotte de Clamouse, une des plus belles grottes de France
- Argileum, le musée de la Poterie
- Le Pont du diable sur l'Hérault
- L'église Saint-Jean-Baptiste de Saint-Jean-de-Fos, d’architecture romane et dont la construction a commencé au XIe siècle, complétée d'une tour au XIIe siècle et agrandie au XVIe siècle. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2014[34].
- L'église Saint-Géniès de Litenis, église romane des XI-XIIe siècles et située à quelques kilomètres au sud du village. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[35]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[35].
Personnalités liées à la commune
- Louis Godefroy, alias « Rivière », né le à Barbaste (Lot-et-Garonne), décédé le à Saint-Jean-de-Fos, résistant français de la Seconde Guerre mondiale, compagnon de la Libération.
- Peter Lörincz est un peintre allemand né à Berlin en 1938. Il enseigne aux Beaux-Arts de Mayence en Allemagne. Il s’installe dans le centre de Saint-Jean-de-Fos en 1984, et fait de sa maison, la galerie du Moustique, un atelier. Se définissant comme peintre Pararéaliste, il peint de nombreux édifice de la région. Il meurt le à l'âge de 75 ans. Il est inhumé au cimetière communal de Saint-Jean-de-Fos.[36]
- Michel Capmal est un poète français né en 1948 à Saint-Jean-de-Fos.
- Jean-Christophe Victor y serait décédé, fin 2016.
Jumelages
Héraldique
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Les armoiries de Saint-Jean-de-Fos se blasonnent ainsi : de vair au pal fuselé d'argent et d'azur.
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Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[27].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Jean-de-Fos » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Jean-de-Fos » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Jean-de-Fos » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Jean-de-Fos » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Le Pouget - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Jean-de-Fos et Le Pouget », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Le Pouget - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Jean-de-Fos et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Jean-de-Fos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101388 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Jean-de-Fos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « ZNIEFF le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Entreprises à Saint-Jean-de-Fos », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Marché des potiers de Saint-Jean-de-Fos », sur www.saintguilhem-valleeherault.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Jean-de-Fos - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
- Troinas et trumpets de Saint-Jean-de-Fos
- Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 416.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Eglise paroissiale Saint-Jean-Baptiste », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Eglise Saint-Geniès », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Vallée de l'Hérault : l'artiste peintre graveur Peter Lörincz s'est éteint à l'âge de 75 ans », sur midilibre.fr (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Pierre David, « L'épidémie de peste à Saint-Jean-de-Fos (17 octobre 1631 - 8 mai 1632) », Cahiers d'arts et traditions rurales, no 10, , p. 205-214
- Groupe Mémoire de Saint-Jean-de-Fos, Cadastre de compois général de toute la paroisse de Saint Jean de Fos au diocèse de Lodève (anno 1678) : édition et transcription, S.l., Arts et traditions rurales, , 756 p.
- Groupe Mémoire de Saint-Jean-de-Fos, Le livre de compoix de Saint-Jean-de-Fos (1610-1612) : édition et transcription, S.l., Arts et traditions rurales, , 756 p.
- Jean-Claude Richard Ralite, « Les moulins et la seigneurie de Clamouse : Saint-Jean-de-Fos », Les Moulins de l'Hérault, no 17, , p. 141-178
- Vayssettes Jean-Louis, Poteries de Saint-Jean-de-Fos, Gignac, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Région Languedoc Roussillon, (ISBN 2-910096-07-6)
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Saint-Jean-de-Fos (1314-1960) [9,99 ml]. Cote : 267 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Liens externes
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- Site officiel de la mairie de Saint-Jean-de-Fos
- Office de Tourisme
- Saint-Jean-de-Fos sur le site de l'Institut géographique national
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