Saint-Jean-de-Nay
Saint-Jean-de-Nay est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Jean.
Saint-Jean-de-Nay | |||||
Mairie de Saint-Jean-de-Nay. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Le Puy-en-Velay | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Puy-en-Velay | ||||
Maire Mandat |
Dominique Thollet 2020-2026 |
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Code postal | 43320 | ||||
Code commune | 43197 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
351 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 04′ 11″ nord, 3° 41′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 868 m Max. 1 301 m |
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Superficie | 28,26 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Le Puy-en-Velay (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Paulien | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Géographie
- Villages, écarts, lieux-dits : Beyssac, Cereix, Freycenet, Les Granges, Laglandière, La Peyre, Lespasseyres, Le Ménial, Montagnac, Montagnazet, Le Poux, Pralong, Les Quatre Routes, Rapine, Le Relais, Saint-Rome, Vergonges. Au XVIIIe siècle existaient deux lieux habités aujourd'hui disparus : Sollages et Le Chauffour.
- Origine du nom : connue jusqu'au XVIIIe siècle sous le nom de Nay, qui découle probablement du thème prélatin et préceltique Nava signifiant creux, vallée, d'où rivière (de la vallée).
Localisation
La commune de Saint-Jean-de-Nay se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 18 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à 14 km de Saint-Paulien[2], bureau centralisateur du canton de Saint-Paulien dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Le Vernet (4,1 km), Chaspuzac (4,1 km), Vergezac (4,6 km), Loudes (4,6 km), Vazeilles-Limandre (5,0 km), Siaugues-Sainte-Marie (5,7 km), Saint-Bérain (6,4 km), Sanssac-l'Église (6,8 km).
Urbanisme
Typologie
Saint-Jean-de-Nay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[4],[I 2],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (30,8 %), terres arables (26,2 %), prairies (22,8 %), forêts (19,5 %), zones humides intérieures (0,6 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 265, alors qu'il était de 265 en 2013 et de 264 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 58,6 % étaient des résidences principales, 21,3 % des résidences secondaires et 20,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,7 % des appartements[I 6].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Jean-de-Nay en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (21,3 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (92 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].
Typologie | Saint-Jean-de-Nay[I 5] | Haute-Loire[I 8] | France entière[I 9] |
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Résidences principales (en %) | 58,6 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 21,3 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 20,1 | 12,4 | 8,2 |
Histoire
Une borne milliaire, découverte vers 1840 en remploi dans le mur du cimetière du village, comportait une inscription de quatre lignes qui permet de la dater du règne de Postume (260-268)[7]. La distance comptée à partir de Saint-Paulien (Ruessio) est de 8 000 pas.
Près des Passeyres ont été trouvés, vers 1860, des tuiles à rebords, des briques avec dessins en creux, des pierres de petit appareil en tuf volcanique, des morceaux de marbre, un petit chapiteau de bronze, des médailles romaines.
Au terroir dit Ville de Meu, près de Beyssac, ce sont vestiges de sépultures, abreuvoir, moulin à bras de l'époque gallo-romaine qui sont signalés avant 1886.
À 200 m de Vergonges, l'abbé Frugère fouille dès 1851 des sépultures gallo-romaines et médiévales. Il recueille des tegulae, deux bols, un pot, des poteries variées (Ier et IIe siècles) : en terre blanche à filets rouges, à glaçure rouge, une bague en argent ornée d'un chrisme (XVIe ?)[objets au musée Crozatier]. En 1896, c'est l'abbé Achard, curé de Loudes, qui remarque au même endroit des sarcophages, un bloc lapidaire triangulaire avec évidement.
L'histoire de la commune de Saint-Jean-de-Nay est entièrement liée à celle de Cereix, dont le castrum (Cereis, Cereirs, Sereys) apparaît dans les textes dès le XIe siècle. Il est le siège d'une importante baronnie frontière de l'Auvergne et du Velay, aux mains tout d'abord d'une famille éponyme, puis des Bulhon, seigneurs originaires d'Auvergne, des Apchier, seigneurs du Gévaudan, puis des Crussol d'Uzès à partir de 1636 et à une de leurs branches, les Crussol-Florensac vers 1732, jusqu'à la Révolution.
Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Nay ou Nay-la-Montagne[8].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Saint-Jean-de-Nay est membre de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[I 10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Puy-en-Velay. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[9].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 10].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Paulien pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 10], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[10].
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[13].
En 2019, la commune comptait 351 habitants[Note 5], en diminution de 5,14 % par rapport à 2013 (Haute-Loire : +0,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 39,2 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 173 hommes pour 179 femmes, soit un taux de 50,85 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 156 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 351 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 540 €[I 13] (20 800 € dans le département[I 14]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 15] | 2,9 % | 5,8 % | 5,8 % |
Département[I 16] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 17] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 189 personnes, parmi lesquelles on compte 74,5 % d'actifs (68,7 % ayant un emploi et 5,8 % de chômeurs) et 25,5 % d'inactifs[Note 7],[I 15]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 18]. Elle compte 88 emplois en 2018, contre 89 en 2013 et 117 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 132, soit un indicateur de concentration d'emploi de 66,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,9 %[I 19].
Sur ces 132 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 66 travaillent dans la commune, soit 50 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 66,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 8,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 24,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Jean-Baptiste : remaniée, agrandie et son clocher construit dans la première moitié du XIXe siècle, l'église Saint-Jean présente une façade d'un bel appareil et une remarquable porte d'entrée de style Louis XIII. Mais son principal intérêt artistique est de conserver un exceptionnel reliquaire-monstrance du XVe siècle, récemment exposé aux fidèles dans une vitrine sécurisée.
- Sur son pied, insculpé des initiales DR (qui peuvent être attribuées à Dieudonné de Rose, orfèvre du Puy mentionné en 1496), on peut voir le blason émaillé de la donatrice Anne de la Gorce, épouse de Béraud d'Apchier.
- Cereix : vestiges du château. Une promenade dans la rue centrale permet de trouver deux autres blasons de la famille d'Apchier, fragments lapidaires remployés en façade des maisons Tonson et Rapatel.
- Pralong : fragment lapidaire aux armes de Jean d'Apchier et de Marguerite de Chazeron (datation : entre 1571 et 1584).
Personnalités liées à la commune
- Louis Saint-Ange de La Colombe (1755-1802), dit le chevalier de La Colombe, proche de La Fayette, il participe activement avec celui-ci à la guerre d'indépendance des États-Unis et à la Révolution française. Il est né dans la commune.
Voir aussi
Bibliographie
- Bernard Rémy, Inscriptions latines d'Aquitaine, Vellaves, 1995, p. 132-133.
- Annales Soc. Acad. du Puy, 1851, p. 204 et 211.
- Mémoires et Procès-verbaux de la Société d'Agriculture de la Haute-Loire, IX (1896), p. 12.
- Alain Romeuf, Aux marges de l'Auvergne et du Velay, le château de Cereix, commune de Saint-Jean-de-Nay dans Les Cahiers de la Haute-Loire, 2005, p. 113-183[16]
- Gérard Sabatier, Économie et vie paysanne en Velay aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle : le domaine de l’Hôtel-Dieu au Poux : in Cahiers de la Haute-Loire 1981, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Saint-Jean-de-Nay » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Jean-de-Nay » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Jean-de-Nay - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Jean-de-Nay - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Saint-Jean-de-Nay » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Jean-de-Nay (43197) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Jean-de-Nay » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Jean-de-Nay » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Jean-de-Nay » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Jean-de-Nay et Le Puy-en-Velay », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Jean-de-Nay et Saint-Paulien », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Jean-de-Nay », sur www.villorama.com (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Bernard Rémy, Inscriptions latines d'Aquitaine, Vellaves, 1995, p.132-133.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Jean-de-Nay », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- « communauté d'agglomération du Puy-en-Velay - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 20 octobre 2020).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Les Cahiers de la Haute-Loire
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