Lavercantière
Lavercantière est une commune française, située dans l'ouest du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans la Bouriane, une région naturelle sablonneuse et collinaire couverte de forêt avec comme essence principale des châtaigniers.
Lavercantière | |
Le château de Lavercantière et l'église Saint-Quirin | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Lot |
Arrondissement | Gourdon |
Intercommunalité | Communauté de communes Cazals-Salviac |
Maire Mandat |
Gilles Vilard 2020-2026 |
Code postal | 46340 |
Code commune | 46164 |
Démographie | |
Population municipale |
251 hab. (2019 ) |
Densité | 17 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 38′ 18″ nord, 1° 19′ 11″ est |
Altitude | Min. 192 m Max. 355 m |
Superficie | 14,99 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Gourdon (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Gourdon |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://lavercantiere.com/ |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de l'Ourajoux et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Lavercantière est une commune rurale qui compte 251 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 505 habitants en 1800. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gourdon. Ses habitants sont appelés les Vercantiérains ou Vercantiéraines.
Géographie
Située à 16 km de Gourdon dans la région de la Bouriane.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cazals - Dde », sur la commune de Cazals, mise en service en 1959[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 940,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 12 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[16],[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[18] : les « landes, bois et zones tourbeuses du Frau de Lavercantière, hauts-vallons des ruisseaux du Degagnazès, de la Malemort et du Rivalès » (1 406 ha), couvrant 6 communes du département[19].
Urbanisme
Typologie
Lavercantière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[20],[I 1],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gourdon, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (59 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,7 %), zones agricoles hétérogènes (34,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %), prairies (2,2 %), terres arables (1,4 %), mines, décharges et chantiers (0,4 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le toponyme Lavercantière (en occitan Lavercantièra) est basé sur le mot occitan lo vèrnhe issu du gaulois verno qui désigne un arbre : l'aulne. Lavercantière désigne un taillis d'arbres et d'osiers[23].
Histoire
En 1200 dans les Coutumes de Lavercantière Alphonse de Poitiers, seigneur de Lavercantière, fait don du Frau, terre boisée de chênes, aux habitants de Lavercantière. Dans les siècles qui suivirent cette forêt fut utilisée pour la fabrication du fer, les vestiges de fours sont nombreux. Elle fut totalement détruite. Ce n'est que depuis quelques décennies que le Frau a fait l'objet de mesures de plantations de forêts.
Auparavant, le Frau n'était qu'une lande de fougères et de bruyères.
Aujourd'hui l'Office national des forêts et la commune ont réalisé un sentier d'interprétation dans le Frau. Ce circuit de promenade allie la découverte de l'environnement naturel et une étape sportive.
Le Frau possède une loge typique, qui est un abri végétal, construction rurale par l'homme en matériel végétal. Elle servait d'abri pour les animaux, elle a même servi d'habitation au début du XIXe siècle (au lieu-dit de Laville).
Liste des consuls
Les consuls de Lavercantière sous l'Ancien Régime sont [24] :
Année | Nom |
---|---|
1734 | Pierre Boisset |
1737 | Maury Potenegre |
1738 | Maury Pousille |
1739 | Marc Bonafous |
1740 | Rosières |
1741 | Besson |
1742 | François Cabanes |
1748 | Martin de Poutery |
1750 | Cassan de Pedamié |
1753-1754 | Berrié |
1755 | Boisset |
1756 | Marc Maury |
1757 | Antoine Delmon |
1758 | Marc Course |
1759 | Pouteau |
Politique et administration
Organisation religieuse
Lavercantière est un doyenné rattaché au prieuré bénédictin de Marcilhac-sur-Célé.
Nom | Dates | Tenue de la cure | Observations |
---|---|---|---|
Antoine Sourdes | 1735 - 1747 (résignation) | ||
Antoine Sourdes | - 1756 (typhoïde) | 1747 - 1756 | Neveu du précédent |
François Sourdes | 1756 | Frère du précédent. La prise de possession a été autorisée par titre de L’Evèque et de Monsieur Fouliac (vicaire general de l’abbé de Marcilhac) et suivant l’acte retenu par Rodes notaire a Degagnhac |
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2019, la commune comptait 251 habitants[Note 7], en augmentation de 6,81 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 102 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 223 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 710 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 7,4 % | 11,6 % | 8,8 % |
Département[I 7] | 7,3 % | 8,9 % | 9,6 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 148 personnes, parmi lesquelles on compte 69,6 % d'actifs (60,8 % ayant un emploi et 8,8 % de chômeurs) et 30,4 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gourdon, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 83 emplois en 2018, contre 79 en 2013 et 77 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 91, soit un indicateur de concentration d'emploi de 91,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,2 %[I 10].
Sur ces 91 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 28 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 82,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
21 établissements[Note 10] sont implantés à Lavercantière au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,8 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 21 entreprises implantées à Lavercantière), contre 29,9 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 20 | 7 | 6 | 6 |
SAU[Note 11] (ha) | 303 | 343 | 404 | 548 |
La commune est dans la « Bourianne », une petite région agricole occupant une partiede l'ouest du territoire du département du Lot[30]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 3]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (20 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 548 ha[32],[Carte 4],[Carte 5].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Dolmen de Surgès : dolmen situé à cheval sur les communes de Lavercantière et Thédirac. Classé MH (2014) Notice no PA46000063 44° 37′ 13″ N, 1° 18′ 17″ E
- Dolmen de Touron.
Château
Le château de Lavercantière, construit au XVIIe siècle et XVIIIe siècle, est inscrit au titre des monuments historiques depuis le protégeant : les façades et toitures, la salle dite des Gardes au rez-de-chaussée, l'escalier principal[33].
Le château se compose de deux bâtiments perpendiculaires l'un à l'autre, dotés de trois niveaux. Sur la façade extérieure des imbrications de pierre laissent penser que le plan initial n'a pas été complètement réalisé.
Le château de Lavercantière est une propriété privée, qui ne peut pas se visiter.
Entre 1942 et 1944 ce château a abrité et caché des juifs[34].
Louis Forestier, instituteur au château à cette époque, a contribué à cette action, il sera reconnu "Juste parmi les nations" par le comité français pour Yad Vashem.
Le , une cérémonie officielle a lieu à la mairie de Cahors pour lui rendre hommage, que soient associés celles et ceux qui ont accompagné ces actes généreux face à l'occupation nazie[35].
Églises
Le village a deux églises :
- Église Saint-Quirin de Lavercantière. Dans le bourg, une église romane connue sous le vocable de Saint-Quirin fut une doyenneté de l'abbaye Saint-Pierre de Marcilhac-sur-Célé. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[36].
- Église Saint-Martin-le-Désarnat de Saint-Martin. Au lieu-dit de Saint-Martin, cette ancienne paroisse est rattachée à la précédente. Elle porte le vocable de Saint-Martin-le-Désarnat. Cette église devait faire partie d'une ensemble abbatial fondé par l'abbaye d'Obazine (à Aubazine, région du Limousin) vers 1150 et aujourd'hui disparu. Cette fondation sera un échec, une seconde fondation réussie est réalisée au XIIIe siècle à Léobard (département du Lot). L'abbaye prend le nom de Sainte-Marie de Gourdon, mais est plus connue sous la dénomination d'abbaye Nouvelle.
Monument aux morts
Le monument aux morts de Lavercantière situé au cœur du village a été érigé en 1924 : il rend hommage aux poilus morts lors de la Première Guerre mondiale et à leurs familles.
Ce monument, réalisé par le sculpteur lotois Émile Mompart (1898-1972)[37], est un exemple de monuments aux morts dits pacifistes[38].
Le sculpteur a représenté une humble femme, le visage baissé et les mains jointes dans une attitude de recueillement. Sur le socle deux faces sont sculptées et représentent deux militaires. Émile Mompart a privilégié la langue d'oc, « langue du quotidien d'ordinaire jamais gravée », pour rédiger son inscription « Paoures droles » (pauvres enfants en français et « paures dròlles » en orthographe occitane normalisée)[37].
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lavercantière » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lavercantière » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lavercantière » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lavercantière » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Cazals - Dde - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lavercantière et Cazals », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Cazals - Dde - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lavercantière et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
- « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Lavercantière », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « landes, bois et zones tourbeuses du Frau de Lavercantière, hauts-vallons des ruisseaux du Degagnazès, de la Malemort et du Rivalès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 82.
- Famille de Boysson, Livre de raison (1732-1789).
- « Les maires de Lavercantière », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Lavercantière - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Inscription d'éléments du château à l'inventaire des monuments historiques au 16/9/1991, Notice no PA00095307, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Ma grand-mère en a été témoin (Jacqueline Lecoq)
- Laurent Benayoun., « Cahors. Louis Forestier, Juste parmi les Nations », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- « Église paroissiale Saint-Quirin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Monument aux morts de Lavercantière
- Monument aux morts de Lavercantière « Le monument aux morts est inauguré en 1924 et fait actuellement partie des rares monuments aux morts dits pacifistes. ».
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[31].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Bibliographie
- Jean-Luc Obereiner, Contribution à la connaissance des couvertures végétales en haut Quercy, 2e partie : la chaumière de Laville (Lavercantière), dans Quercy-Recherche, No 43, novembre-, p. 11-19
- Christian Lassure, Jean-Luc Obereiner, Une loge d'habitation du début du XIXe siècle à Laville, commune de Lavercantière (Lot), in L'architecture vernaculaire, CERAV, Paris, t. 5, 1981, p. 59-65
- Christian Lassure, Les loges végétales de Lavercantière (Lot) : tradition locale ou apport extérieur ?, in L'architecture vernaculaire, CERAV, Paris, t. 14, 1990, p. 31-48
Liens externes
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