Saint-Salvy-de-la-Balme

Saint-Salvy-de-la-Balme est une commune française située dans le département du Tarn en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Sidobre, un territoire granitique couverts de forêts, à l'est de Castres.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Salvy.

Saint-Salvy-de-la-Balme

Mairie de Saint-Salvy-de-la-Balme

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté de communes Sidobre Vals et Plateaux
Maire
Mandat
Francis Galindo
2020-2026
Code postal 81490
Code commune 81269
Démographie
Gentilé Saint-Salviols, Saint-Salvioles
Population
municipale
510 hab. (2019 )
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 36′ 44″ nord, 2° 23′ 57″ est
Altitude Min. 305 m
Max. 704 m
Superficie 18,36 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Castres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Castres-2
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Salvy-de-la-Balme
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Saint-Salvy-de-la-Balme
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Saint-Salvy-de-la-Balme
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Saint-Salvy-de-la-Balme

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Durencuse, le Lézert et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc.

    Saint-Salvy-de-la-Balme est une commune rurale qui compte 510 habitants en 2019. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castres. Ses habitants sont appelés les Saint-Salviols ou Saint-Salvioles.

    Géographie

    Communes limitrophes

    Saint-Salvy-de-la-Balme est limitrophe de six autres communes.

    Communes limitrophes de Saint-Salvy-de-la-Balme[1]
    Burlats Le Bez
    Castres Cambounès
    Noailhac Boissezon

    Géologie et relief

    Le village est situé au cœur du massif granitique du Sidobre.

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par la Durencuse, le Lézert, le ruisseau de Chabbert, le ruisseau de Ganoubre, le ruisseau de Lézertou, le ruisseau de Mirgou et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[3],[Carte 1].

    La Durencuse, d'une longueur totale de 17,7 km, prend sa source dans la commune du Bez et s'écoule d'est en ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Durenque à Boissezon, après avoir traversé 5 communes[4].

    Le Lézert, d'une longueur totale de 16,5 km, prend sa source dans la commune de Teillet et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il se jette dans le Dadou à Terre-de-Bancalié[5].

    Réseaux hydrographique et routier de Saint-Salvy-de-la-Balme.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[6].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 120 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Burlats », sur la commune de Burlats, mise en service en 1980[11]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 918,5 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 42 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[15] à 13,8 °C pour 1991-2020[16].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18].

    La commune fait partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[19]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[20],

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Salvy-de-la-Balme est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[21],[I 1],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (75,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77,6 %), prairies (10,1 %), zones agricoles hétérogènes (6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), mines, décharges et chantiers (2,1 %), zones urbanisées (1,3 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Histoire

    Pyromorphite - mine de Saint-Salvy.
    Église de Saint-Salvy-de-la-Balme

    La commune a été créée par le décret du et rattachée au canton de Mazamet. Elle faisait partie auparavant du territoire de Boissezon. Par le décret no 73-675 du , elle a été rattachée au canton de Mazamet-Nord-Est. Pendant une vingtaine d'années, une mine de zinc située à cheval entre les communes de Saint-Salvy et Noailhac (un village voisin) a été exploitée. La commune vit presque exclusivement de l'exploitation et de la transformation du granite brut à l'usage du secteur public (monuments) ou des particuliers (cuisines, etc.) On trouve sur le territoire de cette commune les Carrières Plo, la plus grande carrière de granite à ciel ouvert d'Europe. La teinte et la pureté du granite de cette carrière a valu à l’entreprise Plo d’être choisie pour le dallage des Champs-Élysées à Paris[24] et la façade de la Passion de la Sagrada Família[25].

    Héraldique

    Son blasonnement est : Parti : au premier de gueules aux deux épis de blé d'or passés en sautoir, au second d'or aux quatre pierres de granit cousues d'argent formant un seul bloc, une en chef, une en pointe et deux en pal ; au chef d'azur chargé de trois pommes de pin d'or.


    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2014 En cours Francis Galindo Divers droite  
    mars 1971 mars 2014 Jean Richard    
    19 septembre 1953 18 mars 1971 Fernand Raynaud    
    17 mai 1945 19 septembre 1953 Louis Raynaud    
    19 juillet 1935 17 mai 1945 Henri Lucas (fils)    
    19 mai 1935 19 juillet 1935 François Raynaud (décédé en fonction)    
    17 mai 1925 19 juillet 1935 Joseph Mialhe    
    10 décembre 1919 17 mai 1925 Henri Lucas (père)    
    19 mai 1912 10 décembre 1919 Jean Gau    
    1 juillet 1906 19 mai 1912 Henri Lucas (père)    
    26 juillet 1889 1 juillet 1906 Jean Estève (décédé en fonction)    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1891. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27]. En 2019, la commune comptait 510 habitants[Note 6], en diminution de 5,73 % par rapport à 2013 (Tarn : +2,07 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936
    787757724688659534526521509
    1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
    484466488522550634590569574
    2007 2012 2017 2019 - - - - -
    575551522510-----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 255 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 499 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 390 [I 4] (20 400  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]7,6 %7,5 %10 %
    Département[I 7]8,2 %9,9 %10 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 314 personnes, parmi lesquelles on compte 76,3 % d'actifs (66,3 % ayant un emploi et 10 % de chômeurs) et 23,7 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castres, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 198 emplois en 2018, contre 217 en 2013 et 242 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 210, soit un indicateur de concentration d'emploi de 94,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,2 %[I 10].

    Sur ces 210 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 79 travaillent dans la commune, soit 38 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 84 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 8,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    68 établissements[Note 9] sont implantés à Saint-Salvy-de-la-Balme au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble68
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    3044,1 %(13 %)
    Construction811,8 %(12,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1319,1 %(26,7 %)
    Activités immobilières34,4 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    710,3 %(13,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    22,9 %(15,5 %)
    Autres activités de services57,4 %(9 %)

    Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 44,1 % du nombre total d'établissements de la commune (30 sur les 68 entreprises implantées à Saint-Salvy-de-la-Balme), contre 13 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations201195
    SAU[Note 11] (ha)314409452470

    La commune est dans la Montagne Noire, une petite région agricole située dans le sud du département du Tarn[30]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 4]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (20 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 470 ha[32],[Carte 5],[Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Chaos de la Balme ;
    Le rocher de l'Hamburger (Chaos de la Balme)
    Le chapeau de Napoléon (Chaos de la Balme)
    • Site de l'Enclume ;
    • Église Saint-Salvy de Saint-Salvy-de-la-Balme.
    • Rocher tremblant des Sept Faux.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[31].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Salvy-de-la-Balme » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Castres » (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Salvy-de-la-Balme » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Salvy-de-la-Balme » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Salvy-de-la-Balme » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Salvy-de-la-Balme » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    3. « Fiche communale de Saint-Salvy-de-la-Balme », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    4. Sandre, « la Durencuse »
    5. Sandre, « le Lézert »
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station météofrance Burlats - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Saint-Salvy-de-la-Balme et Burlats », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météofrance Burlats - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Saint-Salvy-de-la-Balme et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    18. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    19. « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    20. [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Anne Fortier Kriegel, Les paysages de France, Presses Universitaires de France, , p. 141.
    25. Sagrada Familia – Barcelone – France
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    30. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    31. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    32. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Salvy-de-la-Balme - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Liens externes

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