Villiers-Saint-Georges

Villiers-Saint-Georges est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Villiers, Saint-Georges, Saint Georges et Georges.

Villiers-Saint-Georges

La mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes du Provinois
Maire
Mandat
Tony Pita
2020-2026
Code postal 77560
Code commune 77519
Démographie
Gentilé Villersois
Population
municipale
1 189 hab. (2019 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 39′ 03″ nord, 3° 24′ 21″ est
Altitude Min. 140 m
Max. 191 m
Superficie 33,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Provins
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Villiers-Saint-Georges
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Villiers-Saint-Georges

    Géographie

    Localisation

    Villiers-Saint-Georges est située à 14 km au nord-est de Provins[Carte 1]. Elle appartient à la région historique de la Champagne.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Villiers-Saint-Georges.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés :

    • la rivière Aubetin, longue de 61,15 km[2], affluent du Grand Morin ;
      • le cours d'eau 03 du Gravier, 0,58 km[3], y prend sa source et conflue avec un bras de l'Aubetin.
      • le fossé 01 des Paraclins, 1,25 km[4], et ;
      • le fossé 01 du Bois Letrée, 2,17 km[5], affluents de l'Aubetin.
        • le fossé 01 des Terres des Carreaux, 1,89 km[6], qui conflue avec le fossé 01 du Bois Letrée.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 11,35 km[7].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[8].

    La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[9]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[10].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,7 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,7 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 741 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,2 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -4,4 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[13]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 54 km à vol d'oiseau[14], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[15] à 11,6 °C pour 1991-2020[16].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Villiers-Saint-Georges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[20],[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].

    Lieux-dits et écarts

    La commune compte 122 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[25] dont Brantilly, Champcouelle, les Granges, Brasseaux, Champfay, Verse.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91% ), forêts (6,7% ), zones urbanisées (2,4 %)[26].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[27],[28],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[29].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[30]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 511 dont 92,2 % de maisons et 7,8 % d'appartements.

    Parmi ces logements, 84,9 % étaient des résidences principales, 4,3 % des résidences secondaires et 10,8 % des logements vacants[Note 5].

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait t à 74 % contre 23,7 % de locataires[31] dont, 11,1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 6] et, 2,3 % logés gratuitement.

    Voies de communication et transports

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes de Villers en 1194 ; de Villaribus en 1264[32].

    Villiers-Saint-Georges : vient de villare, dérivé de villa (domaine), villare (partie du domaine, écart, ferme) a ici une valeur religieuse[33]. Vers la fin du VIe siècle, Hagnéric, aïeul de Saint Valbert, fit construire sur cette terre une chapelle dédiée à Saint Georges; alors le hameau prit le nom de Villiers-Saint-Georges.

    Histoire

    De 1320 au XVIe siècle, les Verdelot furent seigneurs de Villiers[34].

    Le , les Allemands furent repoussés à Villiers-Saint-Georges. Le général Maud'huy installa son P.C. dans le château de Flaix situé sur le territoire de la commune[35].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2008 mars 2014 Georges-Michel Grespier UMP  
    mars 2014 En cours Tony Pita LR  

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [36],[37].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Villiers-Saint-Georges gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[38].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[39]. La communauté de communes du Provinois assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[38],[40].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [38],[41],[42].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[44].

    En 2019, la commune comptait 1 189 habitants[Note 7], en diminution de 1,74 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    426411456461437551838881905
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9401 023998945959951959991953
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0811 0891 1261 0291 0751 1121 0391 1111 074
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 1681 1271 0369449261 0301 1301 1371 213
    2015 2019 - - - - - - -
    1 2141 189-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    • Le collège de la ville Les Tournelles dispose d'une association sportive pour les élèves.
    • Le stade, situé à côté du collège, dispose de plusieurs installations sportives extérieures ainsi que d'un gymnase accueillant divers clubs sportifs.

    Des rencontres de football ont également lieu le mercredi et le samedi sur la pelouse du stade.

    Villiers-Saint-Georges possède une association sportive de football.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 445, représentant 1200 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 21 130 euros[47].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 256, occupant 464 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 65,9 % contre un taux de chômage de 10,9 %. Les 23,2 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,2 % de retraités ou préretraités et 6,1 % pour les autres inactifs[48].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 63 dont 3 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 8 dans la construction, 23 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 3 dans l’information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 10 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 9 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 6 étaient relatifs aux autres activités de services[49].

    En 2019, 13 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 11 individuelles.

    Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[50].

    Secteurs d'activité

    En 2018, la commune était classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également. Le classement des communes en ZRR était valable jusqu’au [51],[52].

    Agriculture

    Villiers-Saint-Georges est dans la petite région agricole dénommée la « Brie champenoise » (ou Provinois), une partie de la Brie autour de Provins[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[53].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[54]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 28 en 1988 à 25 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 102 ha en 1988 à 147 ha en 2010[53]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Villiers-Saint-Georges, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Villiers-Saint-Georges entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[53],[Note 9]
    Nombre d’exploitations (u) 28 29 25
    Travail (UTA) 46 49 32
    Surface agricole utilisée (ha) 2 859 3 581 3 674
    Cultures[55]
    Terres labourables (ha) 2 820 3 544 3 658
    Céréales (ha) 1 900 2 267 2 341
    dont blé tendre (ha) 1370 1677 1615
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 431 264 306
    Tournesol (ha) 112 s
    Colza et navette (ha) 263 428 621
    Élevage[53]
    Cheptel (UGBTA[Note 10]) 127 105 303

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Georges - Cloche de l'église à 15 h :
    • La nécropole nationale de Villiers-Saint-Georges est un cimetière militaire français de la Première Guerre mondiale rassemblant 61 corps dont 52 en tombes individuelles et 9 en ossuaire.
    • L'église Saint-Georges et sa tour-clocher, rénovée au XIXe siècle puis en 1962 (nouveau clocher)[56].

    Héraldique

    Blason
    De sinople à saint Georges d'or, sur un cheval d'argent harnaché d'or, terrassant un dragon de sable, armé et lampassé de gueules[57].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Villiers-Saint-Georges », p. 1494–1497

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Villiers-Saint-Georges, » sur Géoportail (consulté le 11 avril 2020)..
    2. « Villiers-Saint-Georges - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’ Aubetin (F65-0410) ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 03 du Gravier (F6561500) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Paraclins (F6561800) ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Bois Letrée (F6561700) ».
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Terres des Carreaux (F6561750) ».
    7. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 1 juillet 2019
    8. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
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    10. site officiel du Syndicat Mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
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    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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