Villuis

Villuis est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Villuis

La mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes de la Bassée - Montois
Maire
Mandat
Joël Pachot
2020-2026
Code postal 77480
Code commune 77523
Démographie
Gentilé Villuisiens
Population
municipale
261 hab. (2019 )
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 24′ 39″ nord, 3° 21′ 20″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 147 m
Superficie 9,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Provins
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Villuis
Géolocalisation sur la carte : France
Villuis
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Villuis
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Villuis

    Géographie

    Localisation

    Carte des communes limitrophes de Villuis.

    Villuis est située à 9,5 km à l'est de Bray-sur-Seine[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est située sur le contrefort sud de la plaine alluviale de la Bassée. Son altitude varie de 62 mètres à 147 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 75 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Villuis.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

    • le cours d'eau 01 du Moulin Hauts Champs, long de 5,39 km[3], conflue avec un bras de la Seine ;
    • le fossé 01 de Champsouchard, long de 3,50 km[4], conflue avec le canal 01 de Mézières.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 2,01 km[5].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[6].

    La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[7],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[8].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,6 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 5,1 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 656 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 3,3 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -1,8 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[11]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Troyes-Barberey, qui se trouve à 54 km à vol d'oiseau[12], où la température moyenne annuelle évolue de 10,5 °C pour la période 1971-2000[13], à 10,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[15].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »[17],[Carte 2] :

    • la « Bassée et plaines adjacentes », d'une superficie de 27 643 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine bordée par un coteau marqué au nord et par un plateau agricole au sud. Elle abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d’une avifaune très riche[18],[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Villuis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[20],[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].

    Lieux-dits et écarts

    La commune compte 60 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[25] (source : le fichier Fantoir) dont la vallée de Saint Michel.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,8% ), forêts (4,2% ), zones urbanisées (4 %)[26].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[27],[28],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[29].

    La commune disposait en 2019 d'une carte communale approuvée et un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes de la Bassée - Montois était en élaboration[30],[31].

    Logement

    En 2014, le nombre total de logements dans la commune était de 136 (dont 100 % de maisons).

    Parmi ces logements, 79,4 % étaient des résidences principales, 14,7 % des résidences secondaires et 5,9 % des logements vacants.

    La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 94,4 % contre 2,8 % de locataires[32].

    Transports

    La commune est desservie par les lignes d’autocars 1, 2, 4 P-A (scolaires) et M1 du Réseau de bus Cars Moreau.

    Voies de communication

    On accède à la commune par :

    • la D 59, de Fontaine-Fourches à l’est à km et Bray-sur-Seine à l’ouest à 10 km ;
    • la D 78, de Noyen-sur-Seine au nord à 5,8 km.

    Toponymie

    Du latin villa, « domaine ».

    • Formes anciennes : Villedois ou Villebois au XIe siècle, Vileuis en 1191, Vilois vers 1201, Parrochia et leprosi de Villois en 1218, Villoys en 1233, Villehuys vers 1240, Vilehuis en 1249, Villa Louys, Villuis en Champagne en 1327, Villuys en Champagne en 1344[33].

    Histoire

    Villuis faisait partie de l'élection de Nogent-sur-Seine et de la généralité de Paris en 1789, et suivait la coutume de Troyes.

    L'église paroissiale Saint Martin appartenait au diocèse de Sens[33].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1978 mars 2014 Philippe Renaudat   Agriculteur
    mars 2014 En cours Joël Pachot[34]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [35],[36].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Villuis ne dispose pas d'assainissement collectif[37],[38].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[39]. La communauté de communes de la Bassée - Montois (CCBM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[37],[40].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [37],[41],[42].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bassée Montois[43].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].

    En 2019, la commune comptait 261 habitants[Note 5], en diminution de 2,61 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    312314294348315321335343369
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    380406439412396399384376358
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    341354351305313338303297278
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    256209185168185222248256268
    2018 2019 - - - - - - -
    260261-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 112, représentant 263 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 22 640 euros[48].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 23, occupant 105 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 63,6 % contre un taux de chômage de 5,2 %. Les 32,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 11 % de retraités ou préretraités et 9,1 % pour les autres inactifs[49].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 14 dont 1 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 1 dans la construction, 5 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans les activités immobilières, 3 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 2 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 1 était relatif aux autres activités de services[50].

    En 2019, 5 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 4 individuelles.->

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[51].

    Agriculture

    Villuis est dans la petite région agricole dénommée la « Bassée » ou « Basse Seine », au sud-est du département[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[52].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[53]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 8 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 92 ha en 1988 à 204 ha en 2010[52]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Villuis, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Villuis entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[52],[Note 7]
    Nombre d’exploitations (u) 8 5 4
    Travail (UTA) 12 10 6
    Surface agricole utilisée (ha) 735 822 817
    Cultures[54]
    Terres labourables (ha) 732 814 816
    Céréales (ha) 501 510 551
    dont blé tendre (ha) 350 s s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 78 s 37
    Tournesol (ha) 41 s s
    Colza et navette (ha) 0 s 88
    Élevage[52]
    Cheptel (UGBTA[Note 8]) 2 0 0

    Culture locale et patrimoine

    L'église.

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin, XIIe siècle[55].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    6. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    7. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    8. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Villuis » sur Géoportail (consulté le 20 mai 2018)..
    2. « Sites Natura2000 de Villuis » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    3. « Villuis - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Villuis » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    2. « Plan séisme consulté le 4 avril 2021 ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 du Moulin Hauts Champs (F2203000) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Champsouchard (F2201500) » (consulté le ).
    5. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 14 décembre 2018
    6. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    7. « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    8. « Ile SDDEA et sa régie », sur www.sddea.fr, (consulté le ).
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    13. « Station météorologique de Troyes-Barberey - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Troyes-Barberey - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Troyes-Barberey - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
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    18. « Bassée et plaines adjacentes - ZPS - FR1112002 », sur www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, 2 septembre 2019, modifié (consulté le ).
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