Étrepigney

Étrepigney est une commune française située dans le département du Jura en région Bourgogne-Franche-Comté. Les habitants d'Étrepigney sont nommés les Estrepignaciens.

Étrepigney

Blason
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Jura
Arrondissement Dole
Intercommunalité Communauté de communes Jura nord
Maire
Mandat
Laurent Chenu
2020-2026
Code postal 39700
Code commune 39218
Démographie
Gentilé Estrepignacien
Population
municipale
427 hab. (2019 )
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 07′ 48″ nord, 5° 41′ 32″ est
Altitude Min. 207 m
Max. 262 m
Superficie 15,6 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Besançon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mont-sous-Vaudrey
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Étrepigney
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Étrepigney
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Étrepigney
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Étrepigney

    Géographie

    Localisation

    Étrepigney est un petit village situé à 20 km de Dole et 40 km de Besançon, délimité par la forêt de Chaux au sud et le Doubs au Nord.

    Communes limitrophes

    Relief

    La vallée du Doubs
    Crue du Doubs

    Le village d'Étrepigney qui a été construit sur une terre gagnée sur la forêt se trouve à une altitude de 240 mètres alors que la plaine du Doubs se trouve à 210 mètres.

    Hydrographie

    Deux ruisseaux traversent Étrepigney :

    • La Chirelle, alimentée par les eaux de la forêt et les eaux pluviales des riverains, le traverse direction Sud Nord. En partie canalisée et recouverte de dalles, elle se jette dans la Doulonne au lieu-dit "le Pontot"
    • La Doulonne, de direction Est Ouest, va grossir les eaux du Doubs au lieu-dit "La Morte" près d'Orchamps

    Voies de communication et transport

    Étrepigney est traversée par la départementale 76 reliant Orchamps à Fraisans par la rive gauche du Doubs. Étant tracée dans la plaine du Doubs et bien que formant digue à certains endroits, celle-ci se trouve souvent fermée à la circulation lors des crues du Doubs.

    La gare d'Orchamps ou de Ranchot est à km avec plusieurs correspondances pour Dole ou Besançon par jour.

    Urbanisme

    Typologie

    Étrepigney est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Besançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 312 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,4 %), prairies (10,6 %), terres arables (4,9 %), zones urbanisées (1,6 %), eaux continentales[Note 3] (0,7 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Économie

    La forêt

    La forêt fournit du travail à 3 exploitants forestiers et à un négociant en bois. Elle produit aussi le bois de chauffage à moindre coût à des habitants par le biais de l'affouage.

    Le tourisme

    • La pêche dans le Doubs, la Doulonne ;
    • La chasse dans la forêt de chaux ;
    • Les promenades en forêt ;
    • La recherche de champignons, vénéneux ou comestibles ;
    • La vélo route (EV6) qui passe dans le village ;
    • L'Aéroport de Dole-Jura à proximité et la Gare de Besançon Franche-Comté TGV.
    • Le musée Joseph Martin, ouvert en Juillet/Aout

    Commerces

    • Une poterie, en haut du village, rue de la poterie
    • Le gars qui brode, en bas du village, rue Joseph Martin

    Histoire

    Toponymie

    Étrepigney vient du latin exstirpinicum : stirpis en latin signifie racine, et le verbe extirpare, extraire les racines (zone essartée). Le suffixe acum, lui, est d'origine gauloise et signifie lieu.

    Au Moyen Âge, la forme usitée était Esterpigney.

    Rousset propose l'étymologie suivante : strata pugnae, le chemin du combat. Selon lui, la tradition a en effet conservé le souvenir d'une grande bataille livrée sur les bords du Doubs, pour en défendre le passage[8].

    Le clocher

    De l'an 1000 à 1600

    En 1120, le pape Calixte II, né à Quingey, confirme, par une bulle, au prieuré de saint Paul de Besancon la possession de l'église d'Étrepigney[8] (Sous le patronage de Saint Étienne). Étrepigney fait alors partie du comté de Bourgogne.

    La seigneurie d'Étrepigney appartient tout d'abord à la famille de Rans, puis à la famille Salenove[9]. Quant au hameau de Cinq cens et sa motte féodale (y compris d'ailleurs Plumont), il était tenu en arrière-fief par la famille de Cinq cens.

    À la fin du seizième siècle, la seigneurie d'Étrepigney tombe aux mains de la Chambre des comptes de Dole.

    De 1634 à 1644, la guerre de dix ans décime la population d'Étrepigney à cause de la famine et d'une épidémie de peste. On estime que les 2/3 des Francs-Comtois sont morts pendant cette guerre. La démographie repart en 1652 et le village accueille des étrangers (on note 18 patronymes savoyards, dont la famille Besson de Lullin)[10]. .

    De 1700 à 1850

    Après l'annexion de la Franche-Comté par la France en 1678, celle-ci se trouve rattachée au domaine royal.
    En 1698, Louis XIV vend la seigneurie d'Étrepigney à Claude François Matherot de Preigney, conseiller au parlement de Besançon.

    • Apparition de la poterie[11]

    Dès 1630, les actes notariés font apparaître la poterie comme activité principale à Étrepigney. Les affaires sont florissantes, grâce à une qualité d'argile reconnue de tous .Cette qualité est tellement réputée qu'en 1729, les potiers d'Étrepigney sont obligés d'engager des gardes pour éviter les vols de terre.

    En 1742,le potier Besson réalise plus de 3000 pièces pour la réalisation d'une conduite d'eau à Abbans Dessous De 1750 à 1850, Étrepigney connait son âge d'or (850 habitants dont le tiers travaille pour la poterie). D'ailleurs, la majorité des maisons de pierre date de cette époque.
    La poterie se décline alors sous toutes ses formes.

    • Vaisselle réputée comme "la Canquelle" casserole à queue creuse, "la Milliassiére" plat à 2 oreilles, le pot à bouillon et les cafetières
    • Briques réfractaires
    • Moules de fonderie, etc.

    À partir de 1850, la poterie connaitra son déclin. Il ne subsiste aujourd'hui qu'une seule poterie

    La forêt de Chaux connait une période de réglementation sévère allant jusqu'à supprimer les droits d'usage

    En 1694 Abolition des droits aux bois d'usage à bâtir et à réparer
    En 1724 Abolition des droits d'usage de ramasser du bois mort

    Or, le bois de chauffage revêt une importance considérable pour les potiers d'Étrepigney (Il y avait une vingtaine de potiers dans le village à cette époque). Pour couronner le tout, en 1765, les maitres de forges achètent toutes les coupes de bois en bloc sans rien laisser aux artisans et aux potiers. Le petit peuple se soulève: C'est la révolte des demoiselles. À la suite de ce soulèvement seront rétablies en 1766 les délivrances payantes à prix modiques (les affouages)

    • La révolution française

    Le , Étrepigney participe à la révolution et constitue une milice nationale composée de trois compagnies « pour répondre aux intentions du meilleur des rois et de l'assemblée nationale  ». Les cocardes rouges et blanches sont de mise, mais « les étrangers qui ne possèdent aucun bien » ne sont pas les bienvenus.

    Années 1950

    Étrepigney était cette année-là dirigée par Eugène Courtois et était peuplée de 275 habitants. La mairie se situait vers l'école.

    La commune possédait alors une boucherie, une boulangerie, une épicerie, une fromagerie, une pharmacie, un café et un bureau de poste.

    Fin XXe - début XXIe siècle

    La mairie a déménagé en 1988. L'école n'a pas changé de place mais une classe a été rapatriée de La Bretenière après sa sortie du groupe scolaire Étrepigney-Plumont en 2009 et la classe a été ouverte en 2010.

    Tous les commerces ont fermé avant ou pendant les années 1980 mais La poste a fermé au début des années 2000. Un restaurant "La Doulonne" a ouvert fin des années 1970 et a fermé en 2009.

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    D'azur au dextrochère habillé, posé en pal, la main bénissante, le tout d'argent, accompagné à dextre d'une feuille de chêne d'or et à senestre d'une cruche à anse du même.


    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de l'arrondissement de Dole du département du Jura, en région Bourgogne-Franche-Comté.

    Pour les élections législatives, elle dépend de la 3e circonscription du Jura, le député actuel est Jean-Marie Sermier.

    Elle faisait partie du canton de Dampierre. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est rattachée au canton de Mont-sous-Vaudrey.

    Intercommunalité

    Étrepigney fait partie de la communauté de communes Jura Nord, créée le 1er janvier 1995 et celle-ci regroupe 33 communes et environ 11 311 habitants.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1791 Jean Petetin et Jean-Baptiste Gigard    
    1791 1792 Jean-Baptiste Jeanniaux    
    1792 1794 Jean-Baptiste Gigard    
    1794 1808 Jean-François Poux    
    1808 1828 Baptiste Matherot de Preigney    
    1828 1831 Jean-François Poux    
    1831 1848 Claude-François Bernoux    
    1848 1870 Claude-Ferdinand Poux    
    1870 1878 Jean-François Besson    
    1878 1881 Jean-Louis Cordonnier    
    1881 1892 Jean-François Besson    
    1892 1900 François Courtois    
    1900 1939 Alfred Besson    
    1939 1947 Georges Martin    
    1947 1953 Eugène Courtois    
    1953 1965 Delphin Plumet    
    1965 1977 Maurice Bailly    
    1977 2001 Bernard Boutonnet    
    2001 2008 André Plumet    
    2008 2014 Bernard Hugonnet    
    2014 2017[14] Didier Perez    
    2017 en cours Laurent Chenu    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[16].

    En 2019, la commune comptait 427 habitants[Note 4], en augmentation de 0,71 % par rapport à 2013 (Jura : −0,5 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    745804815834799877851798795
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    749732671612582571562540503
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    496443429385342350332275272
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    262279252297321357379420423
    2019 - - - - - - - -
    427--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 1851, selon Alphonse Rousset[8], il y avait 178 maisons représentant 229 ménages, à savoir : 10 dans la rue d'Orchamps, 15 dans la rue derrière l'Église, 10 dans la rue de la Chirelle, 27 dans la rue du Bois, 15 dans la rue Gardée, 31 dans la rue du Cuchot de la Ville, 9 dans la rue de Fontaine, 10 dans la Grande-Rue, 7 dans la rue du Presbytère, 13 dans la rue des Maréchaux, 1 au Moulin, 16 à Cinq-Cents, 1 à la Châtelaine et 7 aux Baraques.

    Enseignement

    Étrepigney dispose d'une école primaire et maternelle composée de 3 classes avec 3 enseignantes.

    Assistantes Maternelle

    La commune dispose de 6 assistantes maternelles.

    Sport et culture

    Étrepigney dispose d'une salle des fêtes (La cécilienne) et a une vie associative dynamique :

    • Batterie fanfare d'Étrepigney-Ranchot
    • Comité des fêtes
    • Croqu'vacances
    • Association de défense et de soutien au regroupement scolaire Etrepigney-Plumont
    • ACCA
    • Les bouilleurs de crus et récoltants de fruit
    • L'amicale des jeunes
    • L'Association des villages de la foret de Chaux
    • Les riottes de Cinq-Cens
    • Proxi Miam
    • Etrep' en Scène
    • Atelier créatif
    • Si vous "osier" les plantes
    • Club de Football Vétérans

    La fête d'Étrepigney a toujours lieu le 1er week-end d'août avec des jeux façon intervillages. Le , le comité des fêtes d'Étrepigney voit officiellement le jour. Il a pour but de regrouper les habitants du village voulant organiser et animer des manifestations récréatives pour tous et toujours dans un esprit de camaraderie et de solidarité.

    Étrepigney dispose d'un terrain multisports et d'une aire de jeux depuis 2016.

    Lieux et monuments

    • L'église
    Eglise

    Déjà mentionnée en 1120, elle est reconstruite en 1769 et inaugurée en 1780 .Construite à la place d'une ancienne église dont le clocher a été conservé
    Restauration de l'église par La construction lyonnaise, . Son intérieur a été restauré en 1958.

    • Croix de mission

    Croix sise au centre du cimetière communal. Elle date de 1851.

    • La mairie

    La mairie occupe l'ancien presbytère érigé en 1716 depuis 1988.

    • La salle des fêtes / La salle des associations

    L'une au-dessus de l'autre, elles ont été construites en 1989.

    La salle des fêtes se nomme "La Cécilienne"

    • Le domaine

    Constitué par la famille Matherot, construit en 1687 comme le laisse supposer une plaque posée contre la cheminée, il fit l'objet d'un partage avec la Nation après la Révolution.Il comprenait pour l'essentiel deux vastes demeures situées chacune de part et d'autre de la rue d'Amont aujourd'hui rue de la Poterie.

    Une des deux demeure de la famille Matherot
    • La Poterie
    Poterie

    La poterie de Joël Fumey, poterie qui existe depuis plus de 200 ans (il est à noter qu'il est le descendant de Joseph Martin et plus près de nous André Martin).

    • Le musée de la poterie

    Le fut inauguré le musée de la poterie dans l’ancien lavoir. Baptisé du nom de Joseph Martin, il présente de la poterie culinaire et artistique du XVIIIe siècle, à travers la vie de ce potier talentueux.

    • Les fontaines et puits
    • La vierge
    La vierge sous la neige

    Étrepigney possède une vierge.

    Le sentier du guêpier[19],[20]

    Le guêpier est un sentier de randonnée type forestière.

    Sentier

    Le guêpier est le nom du profane dans le langage des bons cousins charbonniers : « Je promets et engage ma parole d'honneur de ne jamais révéler à aucun guêpier [profane] les secrets des Bons Charbonniers, de ne jamais attenter à l'honneur de leurs femmes ni de leurs filles, de prêter à tout Bon Charbonnier tous les secours qui dépendront de moi. Dieu me soit en aide. »''.

    • Le baccu
    Le baccu

    Le baccu était la cabane de chantier des bucherons charbonniers Il était construit en bois pour une durée de un à 2 ans .Lorsque la coupe était finie, le bucheron démontait le baccu et le réimplantait plus loin[21] Le baccu ou bacul est l’habitat temporaire du charbonnier, le charbonnier comme son nom l'indique fabrique du charbon de bois (Le charbon de bois provient de la carbonisation du bois, brûlé sans air pendant un certain temps) , en forêt de Chaux le charbon était traditionnellement fabriqué avec le procédé dit de "la meule".

    • Le chêne à vierge
    • Le chêne à gui

    La population des « chênes à Gui » est estimée pour la forêt de Chaux à 5 individus Le chêne opposerait une barrière chimique empêchant la pénétration du Gui dans le rameau. Il ne peut se développer que sur des chênes ayant une déficience génétique ce qui explique sa rareté Le chêne étant le symbole de la force et le gui celui de l'immortalité, l'association de ces 2 végétaux ne pouvait qu'être magique pour nos ancêtres les celtes qui par l'intermédiaire de leurs druides récoltaient le gui le sixième jour de la lune de novembre pour la fête de la Samain. Le végétal sacré rentrait dans la fabrication de potions magiques.

    • La Jourmaine

    La fontaine de la Jourmaine.

    La source de la Jourmaine
    • La motte féodale

    Motte féodale ou plus précisément motte castrale.

    La motte féodale
    • L'oratoire Saint Thibaud

    En l'année 1057,Thibaud de Provins et son ami Gauthier en route sur les chemins de Compostelle et de Rome, prêchèrent parmi les charbonniers de la forêt de Chaux. Ainsi naquit la confrérie des bons cousins charbonniers. Une chapelle dédiée a Saint Thibaud fut érigée à La Bretenière et subsista jusqu'en 1790.

    Le nouvel oratoire Saint Thibaud du Sentier, en forme de meule de charbon, fut érigé en 1994 par l'Association des villages de la foret de Chaux et réalisé par les Compagnons de Mouchard.

    Saint Thibaud
    • Le four à pain

    Four à pain

    Cinéma

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Bibliographie

    • Histoire d'Étrepigney, de la Bretenière et de Plumont de Jean Rousseau (Librairie Guy SARL 1977)
    • Le sentier du guêpier édité par l'Association des villages de la foret de Chaux en 2011 Textes M Bouvier et Alain Goy
    • Alphonse Rousset, Dictionnaire Géographique, Historique et statistique des communes de la Franche-Comté et des hameaux qui en dépendent en six volumes.1854. Tome III.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de la Franche-Comté de A. ROUSSET Tome III (1854)
    9. Jean Rousseau: Histoire d'Étrepigney, de La Bretenière et de Plumont Page 18-19
    10. Jean Rousseau: Histoire d'Étrepigney, de La Bretenière et de Plumont Page 45
    11. Bulletin Municipal 102
    12. Article de Georges Plaisance dans "Revue forestiere française numéro 6 de juin 1963"
    13. Jean Rousseau: Histoire d'Étrepigney, de La Bretenière et de Plumont Page 54
    14. « Le maire a présenté sa démission », Le Progrès, , p. 1 (lire en ligne, consulté le ).
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    19. Le sentier du Guépier (édité par l'Association des villages de la forét de Chaux)
    20. Panneaux d'information sur le parcours)
    21. « Le guépier - uMap », sur osmfr.org (consulté le ).
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