André Derain

André Derain est un peintre français, né le à Chatou (Seine-et-Oise, aujourd'hui Yvelines) et mort le à Garches (Seine-et-Oise, aujourd'hui Hauts-de-Seine)[1]. Il est l'un des fondateurs du fauvisme. Il est également peintre de décors et costumes de ballets et de théâtre, graveur, illustrateur, sculpteur et écrivain.

Pour les articles homonymes, voir Derain (homonymie).

André Derain
André Derain en 1928
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
André Louis Derain
Nationalité
Française
Formation
Activité
Père
Louis Derain (d)
Conjoint
Alice Derain (d)
Autres informations
Membre de
Conflit
Mouvement
Représenté par
Genres artistiques
Influencé par
Œuvres principales
Enfant courant sur la plage (d), pont de Charing Cross (d)
Signature

Salué comme le pionnier d'un nouvel art, le fauvisme, avant la guerre de 1914, il s'oriente après 1918 vers un réalisme au classicisme renouvelé où s'exprime son goût du théâtre et des lettres qui en fait l’une des figures majeures de l'entre-deux-guerres. Mis en cause à la Libération comme collaborateur, il est blâmé[2] et apparaît ensuite comme le survivant d'un ancien monde pour « qui la violence a donné l'illusion de la force[3] ».

Biographie

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (septembre 2015). 
Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.
Premier Salon d'automne, 1903, couverture du catalogue.

André Derain est né à Chatou, dans une famille aisée[4]. Son père Louis-Charlemagne, crémier-glacier au 87, rue Saint-Germain[5] est conseiller municipal. Sa mère, Clémentine Angélique Baffé, a perdu plusieurs enfants en bas âge, seul restait un frère aîné, René (1870-1890[6]). André Derain est placé dans une famille nourricière à Orgeval. Il commence à peindre vers 15 ans alors qu'il termine ses études secondaires au lycée Chaptal. À 18 ans, il entre à l'académie Camillo, dirigée par Eugène Carrière, un ami de Pierre Puvis de Chavannes. En 1900, il rencontre Maurice de Vlaminck dans un train de banlieue. En 1901, il fait la connaissance d'Henri Matisse au Louvre alors qu'ils effectuent des copies[5].

Jeunes peintres démunis avec Vlaminck, ils partagent un atelier dans la Maison Levanneur à Chatou. Il effectue son service militaire entre 1901 et 1904. Il commence à peindre ses premiers paysages et illustre les premiers romans de Vlaminck dont D'un lit dans l'autre[5]. Il rencontre le poète et critique Guillaume Apollinaire qui dédicacera un poème dans son recueil Alcools. Autodidacte, il fréquente assidûment les musées et nourrit sa réflexion esthétique d'un grand nombre de lectures (Zola, Nietzsche…). À l'influence déterminante de Vincent van Gogh, qu'il découvre en 1901, s'ajoute celle des néo-impressionnistes et surtout l'œuvre de Paul Cézanne qu'il voit au premier Salon d'automne en 1903.

L'invention du fauvisme

Publié dans L'Illustration, , « Les Fauves. Exposition au Salon d'automne 1905 ».
Affiche officielle de l'exposition Armory Show (New York, 1913).

Après avoir suivi les cours de l'académie Julian[7], Derain rejoint Matisse à Collioure en 1905. Ensemble ils créent la première révolution esthétique du XXe siècle : le Fauvisme (couleurs vives, dessin simplifié, etc. (Collioure, huile sur toile, 81 × 100,3 cm, 1905, Metropolitan Museum of Art, New York).)

Il expose au Salon d'automne, en 1905, dans la Salle aux fauves avec Matisse, Vlaminck, Braque, Camoin, Marquet, Girieud ; il signe la même année son contrat avec Ambroise Vollard (Bougival, huile sur toile, 41 × 33 cm, 1905, musée du Havre). En 1905 et 1906, il voyage à Londres (Londres, Westminster, Regent Street, Londres, huile sur toile, 66 × 99,4 cm, 1906, Metropolitan Museum of Art, New York). Il est alors considéré comme un des meilleurs représentants du fauvisme[5].

En 1906-1907, il est bouleversé par la découverte des arts « primitifs » à Londres et commence avec Vlaminck à collectionner ce que l'on appelle, alors, l’« art nègre ». Il achète un masque Fang. En étroite relation avec Matisse, il poursuit sa réflexion sur les liens entre décoration et expression. Il s'intéresse aux arts décoratifs : céramique, bas-reliefs en bois, sculpture qu'il pratique sur pierre. Il réalise de grands panneaux sur le thème de l'âge d'or, de la danse ou des baigneuses. Après 1906, l'influence de Paul Gauguin décroit sur sa peinture, sa palette change. Puis l'année suivante, il déménage à Montmartre pour se rapprocher de ses amis Pablo Picasso, Braque, Apollinaire, Kees van Dongen et Max Jacob… Il fréquente le Bateau-Lavoir, est influencé par Picasso. Il rencontre alors à Montmartre Alice Géry, la femme de Maurice Princet, mathématicien et théoricien du cubisme[5]. Elle se sépare de son mari et épousera André Derain en 1926 ; ce dernier peindra à de nombreuses reprises son visage sévère et élégant[8].

Alice Géry (1884-1975)

Alice Géry est une fille d'ouvrier qui ressemblait à une « Madone aux cheveux libres », suivant la description que fait d'elle Gertrude Stein dans ses mémoires : « Elle a les pouces solides[9]. » Elle est un des modèles de Picasso de la période bleue (Jeune fille accoudée, dessin, 1903). « Femme sauvage », selon Gertrude Stein, qui dit l'avoir toujours aimée[10]. Alice a un caractère trempé ; elle et Derain assumeront l'éducation de sa nièce Geneviève, née en 1919. Mme Derain organise la vie et supporte les aventures de son mari André. Elle pose pour Charles Despiau en 1922[11].

Le retour au classicisme

En 1906, Derain séjourne à l'Estaque où il travaille avec Braque. En 1907 il passe l'été à Cassis, où Matisse le visite.

En 1908, Derain séjourne à MartiguesFriesz, Braque et Dufy sont ses voisins. Il peint une série de paysages précubistes représentant la ville et ses environs puis avec Dufy à L'Estaque. Il illustre le premier livre de poésie de Guillaume Apollinaire, L'Enchanteur pourrissant (1909). Après avoir peint des paysages de Cagnes-sur-Mer, il rejoint Picasso en Espagne à Cadaqués en 1910[12]. Il participe avec Braque et Picasso à la première phase de l'invention du cubisme dite cézano-cubiste : 1908-1910 (Maisons au bord de l'eau, huile sur toile, 61 × 102,3 cm, 1910, musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg). Il s'installe au 13, rue Bonaparte dans le VIe arrondissement. Dès 1911, il revient à une facture qui semble plus traditionnelle, amorce un retour à la perspective et au clair-obscur, à la suite d'un séjour dans le nord et le centre de la France. Il anticipe alors le retour au classicisme qui s'imposera après 1918 à Picasso, Braque et à la nouvelle génération des peintres. Cette période de son œuvre, dite gothique ou byzantine, d'une grande originalité, a fortement influencé la peinture métaphysique italienne d'après-guerre (De Chirico, Sironi, etc.) et la peinture allemande de la Nouvelle Objectivité. Elle a également beaucoup impressionné les futurs poètes surréalistes français (Breton, Aragon, Desnos...)[13].

En 1912, il séjourne à Vers (Lot), près de Cahors. Il loge dans le presbytère (Église à Vers, huile sur toile, 65,5 × 92,3 cm, 1912, musée de Cardiff). Plusieurs des toiles qu'il a peintes alors se trouvent aujourd'hui au MoMA à New York ou en Russie. Il participe à Londres à la Second Postimpressionnist Exhibition[5]. Il illustre un recueil de poèmes de Max Jacob en 1912 : Œuvres burlesques et mystiques du frère Matorel mort au parloir. En 1913, il retrouve Vlaminck à Martigues et participe à l'exposition de la Toison d'Or à Moscou et de l'Armory Show à New York. En 1914, il expose dans les galeries de l'expressionnisme allemand, à la Neue Galerie de Berlin ; puis à Düsseldorf, enfin à Dresde. Pendant l'été il est à Montfavet près d’Avignon, avec Braque et Picasso, quand éclate la guerre. Il s'éloignera de Picasso à l'issue de la guerre, leurs liens s'étant distendus.

La Première Guerre mondiale

Au début de la Première Guerre mondiale, Derain est mobilisé dans l'artillerie, au régiment d'infanterie de Lisieux. Il sert en Champagne, dans la Somme, à Verdun, au chemin des Dames jusqu'en 1917, puis dans l’Aisne et les Vosges. Le , il écrit à sa femme Alice : « J'avais toujours pensé, espéré même, tout d'une guerre et je crois que je ne suis tout de même pas à la hauteur. Je n'y comprends rien au fond. Cette guerre continuelle, journalière, sans histoire, est vraiment terrible. C'est pourquoi on n'en sortira difficilement. Jamais on ne comprendra. » Il est donné une fois pour mort. À partir de 1915, Derain est mentionné dans diverses revues expressionnistes allemandes comme symbole d'amitié et de respect. En 1915, le peintre et poète allemand Carl Einstein fait paraître un long poème Gedenken des André Derain (Souvenir d'André Derain) dans la revue berlinoise et expressionniste Aktion (nos 20-21 du [14]).

En 1919, Derain fournit des illustrations pour le premier livre d'André Breton, Mont de Piété. Il reste peu de dessins connus de la période, et le titre d'une seule toile perdue : Le Cabaret du Front, vue par André Breton en 1921 dans l'atelier du peintre[15]. Il est démobilisé en 1919 ; on peut lire sur son livret militaire : « Campagne contre l'Allemagne du 2 août 1914 au 10 mars 1919. Pas de blessures ni de décoration. Sait lire et écrire. Ne sait pas nager[16]. » Derain est porté à l’ordre du jour du régiment en pour sa conduite sur la route de Bras à Douaumont[17].

Le retour à l'ordre

André Derain en 1910 à côté de son Nu debout[18].

En 1919, Cocteau, dans son article « Au revoir, Derain », explique la rupture qu'opère Derain, par rapport au cubisme de Braque et de Picasso (période 1911-1912) dans lequel il n'a pas prolongé son engagement : « Les enseignes, des fresques de boulangers, de marchands de poisson à Pompéi légitiment ses natures mortes pour ceux qui veulent reconnaître[19]. », présentant ainsi l'idéal néo-classique de Derain en rupture avec l'avant-garde d'avant la Première Guerre mondiale.

Il se brouille avec Vlaminck. Et accueille définitivement sa belle-sœur, Suzanne Géry, avec sa fille Geneviève (née en 1919), que Derain adorait ; il la peindra une centaine de fois[20] (Le Peintre et sa famille, huile sur toile, 176 × 124 cm, 1939, Tate Gallery, Londres).

Un décorateur de théâtre et de ballet demandé

Pour le ballet La Boutique fantasque, de Diaghilev, animateur des Ballets russes, joué à Londres en , il crée des marionnettes mécaniques[21]. La création a lieu à Londres, cette expérience l'amène à concevoir de nombreux décors et costumes de ballets pendant les années 1920 et 1930 pour la scène[22]. Pendant la guerre, il a créé des masques avec des boîtes et des coquillages ; en 1919 les costumes et décors pour L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel, pour une tournée en Scandinavie. En 1924, il participe au premier film de Jean Renoir, La Fille de l'eau, dans le rôle du patron du café, avec Catherine Hessling en vedette et dont il a fait le portrait. En 1926, il dessine les décors pour le ballet Jack in the Box, musique d’Erik Satie pour les Ballets russes (Serge Grigoriev's photo album/scrapbook, Library of Congress, Washington, USA). Il réalise les décors pour les ballets : La Concurrence, en 1932, Les Fastes et Les Songes, en 1933, dont il a écrit les arguments[22]. Au total, « Entre 1918 et 1953, il a créé les décors et costumes de 13 ballets, 2 opéras, et 2 pièces de théâtre »[23].

Il renouvelle son contrat avec la galerie Kahnweiler en 1920. En 1922, il expose ses tableaux à Stockholm, à Berlin, Munich et à New York. Paul Guillaume devient son marchand attitré en 1923. Sa réputation grandit encore lorsqu'il reçoit le prix Carnegie en 1928 pour le tableau La Chasse et continue à exposer dans le monde entier : à Londres, Berlin, Francfort, Düsseldorf, New York et Cincinnati. Entre 1925 et 1928, les prix des tableaux de Derain passent de 10 000 F à 87 000 F[24]. Célèbre figure des Années folles, cet homme de haute taille (1,83 m), collectionne les voitures[25] (les Bugatti), les châteaux (à Chailly-en-Bière, à Parouzeau) et les conquêtes féminines[26].

En 1929, il se fait construire une maison-atelier par l'architecte Zielensky au 5, rue du Douanier-Rousseau dans le 14e arrondissement de Paris, en face de chez Braque. Il étonne par son esprit pratique, il aime réparer les voitures, pratiquer la musique, jouer du piano ou de l'orgue, monter des maquettes d'avion ou tirer les cartes au tarot… Ainsi, en 1931, il écrit à la demande d'André Breton, qui le considère comme le peintre du « trouble moderne[27],[28] », un petit traité du tarot, « Le Critérium des as », qui est publié dans la revue du surréalisme, Le Minotaure. Certains critiques y voient un touche-à-tout fantasque, velléitaire. En 1931, un numéro spécial des Chroniques du Jour paraît : « Pour ou contre Derain[29] ». Pour ses partisans, Derain devient le représentant d'une peinture classique de tradition française réaliste, aux références éclectiques et assumées. Sa palette est caractérisée par des couleurs brunes et des clairs-obscurs, ses natures mortes et nus féminins évoquent Courbet, ses paysages l'École de Barbizon ou Corot. Il est alors qualifié de « plus grand peintre français vivant », de « régulateur », loué par Élie Faure[30] et André Salmon.

En 1931, la galerie Paul Guillaume fait une grande exposition de ses tableaux personnels à Paris ; Derain y a une grande place.

En 1934-1935, Derain renforce ses liens avec un jeune peintre admirateur, Balthus, lequel exécute son portrait, qui se trouve aujourd'hui au MoMA de New York. Le , son marchand Paul Guillaume meurt. Dorénavant, Derain n'a plus de marchand attitré. En 1935, il vend ses propriétés et achète une grande maison à Chambourcy avec un domaine qui « comporte des bassins et leurs cascades, des arbres immenses et centenaires, un terrain de tennis à l’abandon, une « petite folie japonisante », un verger, un potager, une serre et des roses et une orangerie où il peindra ses grands formats et où il installera par la suite un four et un atelier de potier. Il aménagera son atelier au premier étage de la demeure, dans une pièce avec double ouverture sur cour et sur parc, donnant accès à la terrasse[31] ». Là il recevra ses amis Braque, Poiret, Lifar, Jouhandeau, Balthus, Malraux et Louise de Vilmorin, auxquels il fait découvrir le désert de Retz. C'est à cette époque qu'il rencontre Giacometti.

Un illustrateur prolifique

Son activité d'illustrateur de 1932 à 1942 devient essentielle : Ovide, Oscar Wilde, Rabelais, et aussi Héliogabale, d’Antonin Artaud. En 1934, il grave 33 burins sur cuivre pour un projet d'illustration du Satyricon de Pétrone, commandé par Ambroise Vollard[32]. En 1935, la Kunsthalle de Berne organise la première grande rétrospective de ses œuvres. En 1937, à l'occasion de l'Exposition universelle, une exposition de groupe est organisée au Salon des Indépendants, au Petit Palais, à Paris. L'œuvre de Derain bénéficie d'une salle d'exposition particulière.

En 1938, Derain, avec Arp, Braque, Auguste Herbin, Picasso, participe au comité antinazi pour la défense d'Otto Freundlich, peintre et sculpteur allemand pionnier de l'abstraction, dont une des sculptures figure sur la couverture de l'exposition « L'Art dégénéré » (Entartete Kunst), à Munich[33]. Cependant, aux dires d'Otto Abetz, Derain aurait été invité à l'ambassade d'Allemagne. La femme de l'ambassadeur avait posé pour le peintre[34], au cours des années 1920, comme elle avait posé pour Picasso et d'autres. De même, Demetra Massala, la femme du sculpteur nazi Arno Breker, avait également été leur modèle. Brecker, qui avait longtemps vécu à Montparnasse dans les années 1920 et 1930, fréquentait les artistes et collectionnait des tableaux : il y avait des œuvres de Derain, mais aussi de Picasso, Vlaminck, Léger et Ozenfant, dans son château de Jäckelsbruch près de Berlin[35]. En 1939, Derain expose à New York. Waldemar George, dans un article intitulé « André Derain ou l'apprenti sorcier » paru en , qualifie l'œuvre d'André Derain, en opposition à celle de Picasso et de Matisse, comme étant d'essence « contre-révolutionnaire[36] » dans le domaine esthétique. Le style fauviste de Derain a beaucoup influencé la vulgate du style d'illustration de l'entre-deux-guerre, ainsi par exemple les couvertures de la revue Science et Vie ont un style très « dedainesque », avec les mêmes couleurs fauves, les mêmes aplats contrastés violets et chauds.[réf. nécessaire]

La Seconde Guerre mondiale

Image de propagande allemande publiée en 1942 présentant la réconciliation de Derain et Vlaminck.

Pendant l'exode de 1940, il fuit avec sa famille vers le sud, en Ariège, et y retrouve Braque. Sa maison de Chambourcy est occupée et pillée par l'armée allemande, en . Aussi Alice Derain aurait demandé à Werner Lange, officier allemand chargé de la Propaganda Staffel, la restitution de La Roseraie. Derain continue de peindre dans l'atelier de son ami Léopold Lévy, 112, rue d'Assas, parti prendre la direction des Beaux-Arts d'Istanbul. En janvier 1941 il loue à Mme Aron, 20 rue de Varennes, un appartement où il s'installe avec Alice, et établit rue Vavin son modèle Raymonde Knaublich et leur fils Boby.

Pendant l'occupation allemande, Derain vit à Paris. Il réalise des cartons de tapisseries. L'éditeur suisse Albert Skira lui commande cent soixante-dix-neuf bois gravés en couleurs pour illustrer le Pantagruel de Rabelais[37]. Derain refusera toute exposition publique dans la capitale pendant la durée de la guerre. En outre, André Derain ne s’implique pas dans la politique culturelle du gouvernement de Vichy. Il refuse la proposition de Georges Hilaire de prendre la direction de l'école des Beaux-Arts et n’accepte aucune responsabilité officielle.

Néanmoins, aux dires de Werner Lange et Otto Abetz, il aurait été en contact avec eux. Et c'est Abetz lui-même qui réconcilie Derain et Vlaminck[38]. Derain est courtisé par les Allemands comme symbole prestigieux de la culture française, alors qu'il expose à la Pierre Matisse Gallery à New York la même année. En échange de la promesse de libération de prisonniers français et de récupérer sa maison de Chambourcy[39], il accepte une invitation d'artistes français pour une visite officielle en Allemagne en 1941, avec notamment Paul Landowski et son ami Maurice de Vlaminck, Kees van Dongen ou encore les sculpteurs Louis-Aimé Lejeune et Paul Belmondo, vice-président de la section des arts plastiques du groupe Collaboration[40], avec lequel il est au comité de l'exposition « Arno Breker », inaugurée le à l'Orangerie de Paris[41]. C'est Jean Cocteau qui ouvre par un discours cette exposition.

Ce voyage organisé par la propagande allemande a un grand retentissement et sera reproché à ses participants. Selon Breker, Derain et Maillol auraient reçu des commandes de Berlin[42] auxquels les artistes n'ont pas donné suite. L'architecte Albert Speer précise dans ses mémoires, Au cœur du Troisième Reich qu'il a aidé Derain, Vlaminck et Despiau à plusieurs reprises, en leur passant différentes commandes[43]. Pour Jean Hélion, Derain donne dans « la sénilité, la platitude et le léchage de botte des nazis[42] ». Un artiste anonyme, qui prend de manière abusive le pseudonyme d'André Deran pour créer la confusion, travaille pour le service Kultur de la propagande allemande et réalise des affiches. L'une signée en 1941 : Les bobards… sortent toujours du même nid, violemment antisémite, stigmatise les francs-maçons et les alliés. Cela peut expliquer qu'André Derain apparaît alors sur une liste noire de collaborateurs français qui devaient être assassinés ou jugés après la Libération, avec Céline, Jacques Chardonne, Jean Luchaire, Pétain, Pierre Laval, etc. liste publiée par Life Magazine aux États-Unis, le [44]. À la Libération, Derain est mis en cause en raison de sa participation au voyage de 1941[45],[46],[47],[48]. Le , un collectif de « juges improvisés » se réunit sous la présidence de Picasso. Derain est exonéré des accusations portées contre lui[49]. En revanche, un an plus tard, le comité national des artistes institué par les pouvoirs publics frappe Derain d'une interdiction professionnelle d'exposer pendant un an. Derain n'acceptera jamais ce verdict et se retirera dans sa maison de Chambourcy[50].

Sa nièce Geneviève se marie en avec Joseph Robert Taillade. Braque est son témoin[6] (Geneviève Taillade (nièce de l'artiste) avec un manteau orange, huile sur toile, 61,6 × 50,5 cm, 1928, musée des beaux-arts de Boston).

Après la guerre

Après la guerre, Derain refuse toute manifestation publique de sa production. Il quitte l'atelier de la rue d'Assas et rend l'appartement de la rue de Varennes[51],[52]. Il vit dans sa demeure de Chambourcy (Yvelines), avec sa femme, sa belle-sœur, ainsi que sa nièce, son mari et leurs enfants, tout en travaillant sur des décors de ballets et d'opéras. En 1947, il dessine les costumes et décors de Mam’zelle Angot, un ballet représenté à Covent Garden à Londres[53]. En 1948, il réalise les décors et costumes pour Le Diable l’emporte des ballets de Roland Petit au théâtre Marigny de Paris. Roland Petit déclare alors : « Derain, lui, a tout fait. Il a choisi la musique et l'orchestrateur. Il a écrit le sujet du ballet pour finir par faire ce pour quoi il avait du génie, c'est-à-dire les costumes et les décors[22]. » Il illustre « le Génie du vin » pour les établissements Nicolas.

C'est à cette époque que l'imprimeur Pierre Mourlot tente de réunir dans un livre en trois volumes préfacés par Marcel Camus l'œuvre peint de l'artiste, l'un pour les nus, le deuxième pour les paysages, le troisième pour les décors. Ce projet, qui apportait à l'artiste la caution morale d'un « résistant littéraire », échoue[54]. En 1947, Derain rencontre Edmonde Charles-Roux, journaliste à Vogue, de quarante ans sa benjamine, avec qui il noue une idylle. Elle pose régulièrement pour lui, comme le prouve par exemple le Portrait d'Edmonde de Charles-Roux au collier de perles[55]. Avec elle, Balthus et Giacometti viennent souvent rendre visite au vieux maître. En 1949, la galerie de Berri lui rend hommage par une exposition. Marcel Duchamp écrit alors dans le catalogue de la Société anonyme, légué à la Yale University : « Derain fut constamment l'adversaire des théories. Il a toujours été un vrai croyant du message artistique, non falsifié par des explications méthodiques, et appartient jusqu'à ce jour au petit groupe d'artistes qui « vivent » leur art[56]. »

En 1950, Derain illustre les Contes de La Fontaine et Citadelle, un roman de Saint-Exupéry et recommence à pratiquer la sculpture et le modelage. Grâce à l'entregent d'Edmonde Charles-Roux, il conçoit les décors de L'Enlèvement au sérail de Mozart, pour le festival d'Aix-en-Provence et, un an avant sa mort, ceux du Barbier de Séville pour le même festival. Ses relations avec sa femme se dégradent au point qu'Alice Derain fait saisir les comptes de son mari. De 1947 à 1954, Derain est assisté par la jeune sculptrice Nicole Algan, formée par Charles Despiau. Selon Michel Charzat, Derain aurait eu avec elle un fils (caché)[57].

Il est atteint soudain d’une maladie des yeux. Alors qu’il s'en remet progressivement, il meurt à l'hôpital de Garches, le , des suites d'un accident de voiture. Il est enterré au cimetière de Chambourcy.

On retrouve dans son atelier les fragments d'un Traité de la peinture, que la galerie Maeght publie partiellement en 1957 dans sa revue Derrière le miroir[58], ainsi qu'un plaidoyer où il tente d'expliquer les pressions qui l'ont amené à accepter le voyage en Allemagne. Néanmoins, des historiens comme Jonathan Petropoulos [59] prétendent que Derain aurait accepté le mécénat de Ribbentrop[60]. Ce dernier avait dépêché un émissaire pour lui proposer de passer l'été dans son château au Tyrol et de faire le portrait des membres de sa famille : Derain avait refusé.

Après 1954

Le musée national d'art moderne à Paris lui consacre une rétrospective, du au , sous le commissariat de Jean Cassou. Alberto Giacometti manifeste toujours son admiration pour Derain[61]. « Depuis le jour, […] en 1936, où une toile de Derain vue par hasard dans une galerie — trois poires sur une toile se détachant sur un immense fond noir — m'a arrêté, m'a frappé. […] Les qualités de Derain n'existent qu'au-delà du ratage, de l'échec, de la perdition totale […] Derain est le peintre qui me passionne le plus[62]. » Le , le sculpteur Paul Landowski lui écrit : « Exposition de l'ensemble de l'œuvre de Derain. Et bien, non, celui-là non plus n'est pas un grand bonhomme. De manière générale c'est faible et impersonnel dans le mauvais sens du terme. L'homme est habile, mais cherche souvent le vent. Avant de se mettre à un tableau, il devait lever son pinceau, ou son doigt mouillé, pour sentir d'où venait le vent. C'est comme pour Dufy, quoique mieux peint et moins antipathique. C'est dommage. Il y avait là un don. Encore une victime de l'époque. Si d’une époque passée on a pu la qualifier de Belle Époque, celle-ci mérite le nom de la Sale Époque. Et en grande partie ce sont les hommes de lettres sans courage les responsables[63]. » Marcel Duchamp déclare quant à lui : « Derain a toujours cru fermement au message artistique vierge de toute explication méthodique et aujourd’hui encore appartient au petit groupe d’artistes qui vivent leur art »[64].

Pour régler les frais de succession, sa femme Alice Derain et le fils du peintre, Boby, mettent en vente les 9 et , les objets de Chine de haute époque, d'art africain et précolombien, du Louristan, d'Égypte, de Grèce, de l'Antiquité classique et du Moyen Âge, ainsi que la collection d'instruments de musique, les marionnettes, les ex-votos, etc., que Derain avait collectionnés. Puis, le , ce fut au tour de la collection de peintures, de dessins et autres de Cézanne, Corot, Ingres, Modigliani, Renoir, Seurat, Toulouse-Lautrec, Utrillo, Vlaminck, d'être vendue[65].

Son épouse Alice est morte le , à 91 ans. Sa nièce Geneviève Taillade vend la maison de Chambourcy en 1989 ; sa fille, Geneviève Taillade, dite « Javotte », petite-nièce du peintre[66] est actrice[67] et présidente de l'association des amis d'André Derain. Rachetée en 2014 par la ville de Chambourcy, la maison est en cours de restauration, afin d'y créer un Espace Derain, destiné aux associations et à la culture[68].

Une partie de l'œuvre de Derain, provenant de l'ancienne collection de son fils, André Charlemagne Derain, dit « Boby » (1939-1992), soit 4 200 dessins a été dispersée aux enchères à Saint-Germain-en-Laye, les 23 et (succession de madame Raymonde Knaublich, mère de Boby[69]).

En , les ayants droit d'André Derain mettaient en vente chez Christie's[70] les photographies d'Eugène Atget découvertes fortuitement lors du déménagement de la Roseraie.

Présentation de l'œuvre

Avant la Première Guerre mondiale, Derain pratique un art pictural d'avant-garde, post-impressionniste et fauve, fait de couleurs pures, franches et juxtaposées. Par la suite, son œuvre réaliste se concentre sur des sujets et thèmes classiques qui font écho aux œuvres des musées, dans une volonté de prolongement ou de retour à une tradition classique. Ce mouvement, également appelé par Jean Cocteau le « retour à l'ordre », caractérise l'art néo-classique figuratif des années 1920 aux années 1940[71].

Si l'œuvre de Derain est essentiellement picturale, il a également signé les décors et les costumes de nombreux ballets, illustré une trentaine de livres et réalisé des affiches. Il est également connu comme sculpteur. Une grande partie de son œuvre (80 peintures, 77 sculptures, des dessins, mais aussi des objets d'art primitif lui ayant appartenu), précédemment dans la collection Pierre et Denise Lévy, est présentée au musée d'art moderne de Troyes[72]. Elle est représentée dans un nombre considérable de musées dans le monde et en France.

En 2012, le galeriste Michael Werner donne 16 œuvres de Derain, provenant de galeries allemandes, au musée d'art moderne de la ville de Paris.

Élèves

Deux élèves d'André Derain sont notables :

Décors et costumes de ballets, opéras et théâtre

  • 1918 : La Boutique fantasque, ballet de Diaghilev, musique de Rossini, les Ballets russes (repris en 1950 à l'Opéra-Comique de Paris)
  • 1918 : L’Annonce faite à Marie, de Paul Claudel
  • 1924 : Gigue, ballet de Leonid Massine
  • 1926 : Jack in the Box, ballet de Diaghilev, musique d’Erik Satie, les Ballets russes
  • 1932 : La Concurrence, ballet de Balanchine, les Ballets russes
  • 1933 : Les Fastes, ballet de Balanchine, musique d'Henri Sauguet, les Ballets russes, théâtre des Champs-Élysées
  • 1933 : Les Songes, ballet de Balanchine, musique de Darius Milhaud, les Ballets russes, théâtre des Champs-Élysées
  • 1935 : Salade, ballet de Serge Lifar, musique d'Albert Flamand et de Darius Milhaud, les Ballets russes, théâtre des Champs-Élysées
  • 1935 : Dreams, ballet de Balanchine, musique Georges Antheil, Adelphi Theater, New York
  • 1936 : L'Épreuve d'amour au Chang-Yang, ballet de Fokine, les Ballets de Monte-Carlo
  • 1936 : Le Mandarin cupide, ballet de Fokine, musique de Mozart, les Ballets de Monte-Carlo
  • 1937 : Le Misanthrope de Molière, théâtre universitaire de Cambridge
  • 1938 : Harlequin in the Street, Massine et le Sadlers Well Ballet, musique de Couperin, Covent Garden, Londres[74]
  • 1941 : Divertiemento (Songes), American Ballet Caravan, Theatro Municipal, Rio de Janeiro
  • 1947 : Mam’zelle Angot, Massine et le Sadlers Well Ballet, Covent Garden, Londres
  • 1948 : Que le diable l’emporte, ballet de Roland Petit, théâtre Marigny, Paris
  • 1949 : Les Femmes de bonne humeur, ballet de Massine, prod. marquis de las Cuevas[75]
  • 1950 : La Valse, ballet de Massine, musique de Maurice Ravel, Opéra-Comique de Paris
  • 1950 : L'Enlèvement au sérail de Mozart pour le festival d'Aix-en-Provence
  • 1951 : Le Barbier de Séville de Rossini pour le festival d'Aix-en-Provence

Projets de films (abandonnés ou perdus)

  • 1932 : N'Bongo, scénario d'André Derain, film de Jean Renoir avec Michel Simon[76]
  • sd : suite de courts-métrages avec Georges Braque, perdus en 1940.

Peinture

Signatures d'André Derain.

Collections en institutions artistiques

Liste non exhaustive. Les lieux sont classés par ordres alphabétiques (pays puis villes et noms).

Allemagne

Australie

Canada

Danemark

  • Statens Museum for Kunst, Copenhague
    • Deux Danseuses (1904-1907) aquarelle (43,8 × 54,6 cm)[95]
    • Femme en chemise ou La Danseuse (1906) huile sur toile (100 × 81 cm)[96]
    • Les Arbres (vers 1908) huile sur toile (35 × 28,5 cm)[97]
    • L'Église de Carrières-sur-Seine (1908) huile sur toile (35 × 41 cm)[98]
    • Paysage avec un clocher (1909) huile sur toile (46 × 55 cm)[99]
    • Nature morte à la pipe (1911) huile sur toile (38 × 55 cm)[100]
    • Nature morte (1913) huile sur toile (46,5 × 55 cm)[101]
    • L'Italienne (1913) huile sur toile (79,5 × 65 cm)[102]
    • Pinède à Sausset-les-Pins (1913) huile sur toile (92 × 73 cm)[103]
    • Les Deux Sœurs (1914) huile sur toile (195,5 × 130,5 cm)[104]
    • Tête de jeune homme (1914) huile sur toile (46 × 38 cm)[105]
    • Nature morte à la palette (1914) huile sur toile (92 × 73 cm)[106]
    • Arlequin (1923) huile sur toile (92 × 73 cm)[107]
    • Paysage du Midi (1923) huile sur toile (47 × 48 cm)[108]
    • Portrait de Madame Derain (1923) huile sur toile (33,5 × 24 cm)[109]
    • Tête de jeune femme (1923) huile sur toile (22 × 20 cm)[110]
    • Nu aux bras croisés (1924) huile sur toile (46 × 38 cm)[111]
    • Paysage du Midi (vers 1925) huile sur toile (46 × 55 cm)[112]
    • Femme nue au coussin rouge (vers 1925) huile sur toile (41,5 × 26 cm)[113]
    • Modèle féminin assis, à moitié nu (1933) huile sur toile (92 × 73,5 cm)[114]

Espagne

États-Unis

  • Baltimore, Evergreen House, The Johns Hopkins University
    • Nature morte au journal (1912) huile sur toile (65 × 50 cm)[28]
  • Baltimore Museum of Art
    • Paysage aux deux nus (1909) huile sur carton (29,7 × 27 cm)[118]
    • Tête de femme (1920) huile sur toile (54,6 × 47,6 cm)[119]
    • Dans l'Atelier (vers 1920-1921) huile sur panneau (15,7 × 22,1 cm)[120]
    • Paysage boisé (1926) huile sur toile (54,1 × 65,1 cm)[121]
    • Tête de femme (1929) huile sur toile (39,1 × 31,1 cm)[122]
    • Vue d'Eygalières (vers 1932) huile sur toile (54,1 × 65,1 cm)[123]
  • Bloomington, Eskenazi Museum of Art
    • Profil de femme avec un chignon (vers 1930) huile sur toile (31,1 × 27,3 cm)[124]
  • Boston, Museum of Fine Arts
    • Paysage du Sud de la France (1917-1927) huile sur toile (50,5 × 60,6 cm)[125]
    • Geneviève Taillade (nièce de l'artiste) avec un manteau orange (1928) huile sur toile (61,6 × 50,5 cm)[126]
  • Buffalo, Albright-Knox Art Gallery
    • Les Arbres (vers 1906) huile sur toile (59,4 × 72,4 cm)[127]
    • Tête de jeune fille (vers 1919-1920) huile sur bois (33 × 23,5 cm)[128]
    • Paysage aux environs de Castel Gandolfo (1921) huile sur toile (50,8 × 62,2 cm)[129]
    • Jeune Fille pelant un fruit (1938-1939) huile sur toile (92,1 × 73,7 cm)[130]
  • Chapel Hill, Ackland Art Museum, The University of North Carolina
    • Anémones dans un vase brun (date non déterminée) huile sur toile (40.8 x 33.1 cm)[131]
  • Chicago, Art Institute
    • La Forêt à Martigues (vers 1908-1909) huile sur toile (81,3 × 100,3 cm)[132]
    • Cagnes (1910) huile sur toile (54,8 × 76,4 cm)[133]
    • Paysage avec cyprès (1910-1924) aquarelle sur papier vélin crème (31,7 × 48,2 cm)[134]
    • Le Dernier Repas (La Cène) (1911) huile sur toile (220 × 280 cm)[135]
    • Raisins (1920-1925) huile sur toile (25 × 44,1 cm)[136]
    • Fontaine (début années 1920) huile sur panneau (27,6 × 34,9 cm)[137]
    • Paysage (vers 1920-1925) huile sur panneau (58.75 × 71.4 cm)[138]
    • Danseuse de ballet (1925-1930) huile sur toile (45,6 × 37 cm)[139]
    • Paysage de Provence (vers 1930) huile sur panneau (37,8 × 55 cm)[140]
  • Cincinnati Art Museum
    • Le Pont du Pecq (1904-05) huile sur toile (88,3 × 115,6 cm)[141]
    • Tête de jeune femme (vers 1925) huile sur toile (66 × 55,7 cm)[142]
    • Les Trois Paniers (1939-40) huile sur toile (110,5 × 110,8 cm)[143]
  • Cleveland, Museum of Art
    • Le Parlement depuis le pont de Westminster (1906) huile sur toile (73,6 × 92 cm)[144]
    • La Petite Fille en bleu (vers 1928) huile sur toile (69,3 × 62,4 cm)[145]
  • Columbus Museum of Art, Ohio
    • Portrait du peintre Etienne Terrus (1905) huile sur toile (65,4 × 49,5 cm)[146]
    • Portrait de Maud Walter (vers 1904-1906) huile sur planche (37,8 × 26,7 cm)[147]
    • La Route de Camiers (1911) huile sur toile (72,4 × 91,4 cm)[148]
    • La Baie (vers 1918-1920) huile sur toile (33 × 40,6 cm)[149]
    • Tête de femme (vers 1918-1920) huile sur toile (38,1 × 32,4 cm)[150]
    • L'Égyptien (1920) gouache (35,2 × 50,8 cm)[151]
    • Composition (vers 1910-1920) aquarelle et crayon graphite (30,2 × 25,4 cm)[152]
    • Femme se coiffant (vers 1920) huile sur panneau (54,6 × 43,8 cm)[153]
  • Detroit Institute of Arts
    • Baie de La Ciotat (vers 1925) huile sur toile (47,0 × 55,9 cm)[154]
    • Jeune fille huile sur toile (91,4 × 73,7 cm)[155]
  • Houston, Museum of Fine Arts
    • Le Virage, L'Estaque (1906) huile sur toile (129,5 × 194,9 cm)[156]
    • Cagnes (1910) huile sur toile (65,4 × 92,1 cm)[157]
  • Indianapolis Museum of Art
    • Paysage (non daté) huile sur toile (38,1 × 47 cm)[158]
  • Kansas City, The Nelson-Atkins Museum of Art
    • Joueur de guitare (1928) huile sur toile (82,5 × 97,6 cm)[159]
  • Minneapolis Institute of Art
    • Londres: la cathédrale Saint-Paul vue depuis la Tamise (1906) huile sur toile (99,7 × 81,9 cm)[160]
    • Le Joueur de cornemuse (1910-1911) huile sur toile (188 × 150 cm)[161]
  • New Orleans Museum of Art
    • Paysage à Cassis (Paysage au lac) (1907) huile sur toile (61 × 50,8 cm)[28]
  • New York, Brooklyn Museum
    • Paysage de Provence (vers 1908) huile sur toile (32,2 × 40,6 cm)[162]
    • Paysage à Sanary (vers 1921-1924) huile sur toile (33,2 × 40,8 cm)[163]
  • New York, The Metropolitan Museum of Art
    • Bateaux de pêche, Collioure (1905) huile sur toile (81 × 100,3 cm)[164]
    • Portrait de Lucien Gilbert (1905) huile sur toile (81,3 × 60,3 cm)[165]
    • Le Chemin creux, L'Estaque (1906) huile sur toile (41,3 × 33,3 cm)[166]
    • Regent Street, London (1906) huile sur toile (66 × 99,4 cm)[167]
    • Le Palais de Westminster (1906-1907) huile sur toile (78,7 × 99,1 cm)[168]
    • Plateau de pêches (1907-1908) huile sur toile (19,1 × 24,4 cm)[169]
    • La Table (1911) huile sur toile (96,5 × 131,1 cm)[170]
    • Paysage; Camiers (1911) huile sur toile (54.3 × 65.1 cm)[171]
    • Pichet et plats (vers 1912) huile sur toile (46 × 54,9 cm)[172]
    • L'Artiste dans son atelier (1920) gouache sur papier (57,8 × 42,9 cm)[173]
    • Moïse Kisling (1921) huile sur toile (74,3 × 60,3 cm)[174]
    • Nu (vers 1923) huile sur toile (43,5 × 58,1 cm)[175]
    • Dikran G. Kelekian (portrait de Dikran Garabed Kélékian) (1924) huile sur contreplaqué (54,9 × 45,4 cm)[176]
    • Rita van Leer (vers 1928) huile sur toile (41.3 × 33.7 cm)[177]
    • Le Boa noir (1935) huile sur toile (162,6 × 97,8 cm)[178]
  • New York, Museum of Modern Art,
    • Peupliers (vers 1900) huile sur toile (41.3 x 32.7 cm)[179]
    • Bateaux de pêche, Collioure (1905) huile sur toile (38.2 x 46.3 cm)[180]
    • Le Pont de Charing Cross (1905-1906) huile sur toile (81.7 x 100.7 cm)[181]
    • Danse bacchique (1906) aquarelle et crayon sur papier (49.5 x 64.8 cm)[182]
    • Pont sur le Riou (1906) huile sur toile (82.6 x 101.6 cm)[183]
    • La Seine à Chatou (1906) huile sur toile (74 x 123.8 cm)[184]
    • Le Pont de Londres (hiver 1906) huile sur toile (66 x 99.1 cm)[185]
    • Baigneuses (1907) huile sur toile (132,1 × 195 cm)[186]
    • Paysage près de Cassis (1907) huile sur toile (46 × 54,9 cm)[187]
    • Alice à la robe verte (1907) huile sur toile (73 × 60 cm)[188]
    • Vallée du Lot à Vers (1912) huile sur toile (73,3 × 92,1 cm)[28]
    • La Fenêtre vers le parc (Fenêtre à Vers) (1912) huile sur toile (130,8 × 89,5 cm)[189]
    • La Répétition (1933) huile sur toile (68.3 x 77.2 cm)[190]
  • New York, Solomon R. Guggenheim Museum
    • Portrait de jeune homme (vers 1913-1914) huile sur toile et graphite (91,8 × 73,6 cm)[191]
  • Norfolk, Chrysler Museum of Art
    • Nature morte (vers 1911)[192]
  • Oberlin, Allen Memorial Art Museum
    • Buste de femme (vers 1927) huile sur toile (54 × 45,1 cm)[193]
  • Philadelphie, Barnes Foundation
    • Nu (vers 1920-1923) huile sur toile (22,2 × 18,1 cm)[194]
    • Fleurs (vers 1921) huile sur toile (41 × 33,3 cm)[195]
  • Philadelphie, Museum of Art
    • Portrait d'Henri Matisse (Henri Matisse accoudé à une table) (1905) huile sur toile (33,6 × 41,2 cm)[196]
    • Femme (vers 1914) huile sur toile (61,3 × 47 cm)[197]
  • Phoenix Art Museum
    • Nature morte (1933) gouache sur papier journal sur toile[198]
  • Pittsburgh, Carnegie Museum of Art
    • Portrait d'une anglaise (vers 1920) huile sur toile (108,3 × 69,8 cm)[199]
    • Nature morte (1928) huile sur toile (132 × 197 cm avec cadre)[200]
  • Portland Art Museum
    • Nature morte au pichet et à la miche de pain (1912) huile sur toile (39,4 × 31,7 cm)[201]
    • Le Pin (1913) huile sur toile (91,4 × 65,1 cm)[202]
  • Providence, Rhode Island School of Design Museum
    • Deux Roses dans un vase en verre (vers 1927-1928) huile sur toile[203]
  • Raleigh, North Carolina Museum of Art
    • Portrait d'Isabel (1935-1939) huile sur toile (75,6 × 74 cm)[204]
  • Richmond, Virginia Museum of Fine Arts
    • Le Port de Douarnenez (1936) huile sur toile (50,8 × 60,3 cm)[205]
  • Saint Louis Art Museum
    • Le Bal à Suresnes (1903) huile sur toile (180 × 145,1 cm)[206]
  • San Francisco, Fine Arts Museums
    • Tête d'un jeune modèle (vers 1926) huile sur toile (47 × 40 cm)[207]
  • San Francisco Museum of Modern Art
    • Paysage du Midi (1906) huile sur toile sur panneau (48,3 × 63,2 cm)[208]
    • Groupe biblique (1912) huile sur toile (27 × 34,9 cm)[209]
    • Nature morte aux fruits (vers 1937-1939) huile sur toile (33 × 41 cm)[210]
  • Santa Barbara Museum of Art
    • Les Deux Hommes (vers 1935) huile sur toile (97 × 130 cm)[211]
    • Nature morte au potiron (1939) huile sur toile (102 × 132 cm)[212]
    • Vase d'anémones huile sur toile (63 × 78 cm)[213]
  • Stanford University Museum of Art
    • Nature morte aux fruits (1938) huile sur toile (66 × 82 cm)[214]
  • Toledo Museum of Art
    • Paysage (1906) huile sur toile (53,3 × 80,6 cm)[215]
  • Washington, National Gallery of Art
    • Les Montagnes à Collioure (1905) huile sur toile (81,3 × 100,3 cm)[216]
    • Vue de la Tamise (Sur la Tamise) (1906) huile sur toile (73,3 × 92,2 cm)[217]
    • Le Pont de Charing Cross, Londres (1906) huile sur toile (80,3 × 100,3 cm)[218]
    • Le Vieux Pont (1910) huile sur toile (81 x 100.3 cm)[219]
    • Nature morte (1913) huile sur toile (73 × 92 cm)[220]
    • Nature morte (1913) huile sur toile (92 × 73 cm)[221]
    • Arlequin (1919) huile sur toile (74 x 61 cm)[222]
    • Femme dans un fauteuil (1920-1925) huile sur toile (92 × 74 cm)[223]
    • Maison abandonnée en Provence (1920-1935) huile sur toile (34.7 x 42.9 cm) [224]
    • Route en Provence (1920-1935) huile sur toile (33.3 x 41.4 cm)[225]
    • Portrait d'une jeune fille (1923-1924) huile sur toile (61 x 46.4 cm)[226]
    • Tête de femme (1926) huile sur toile (36.2 x 33 cm)[227]
    • Femme en chemisier (vers 1928) huile sur toile (78 × 61 cm)[228]
    • Fleurs dans un vase (1932) huile sur toile (75 x 94 cm)[229]
    • Marie Harriman (1935) huile sur toile (114.3 x 118.4 cm)[230]

France

  • Calais, musée des Beaux-Arts
    • Gravelines (1934) huile sur toile (65 × 90 cm)[231]
  • Chartres, musée des Beaux-Arts
    • Portrait du père de l'artiste (1904-1905) huile sur toile (28,5 × 23,7 cm)[232]
  • Musée Fournaise, Chatou
    • Paysage de l'Île-de-France[réf. nécessaire]
    • La Chapelle Saint-Léonard à Croissy-sur-Seine (vue de l'île)[réf. nécessaire]
  • Granville, musée d'Art Moderne Richard Anacréon
    • Baigneuses à la cascade (nd) huile sur toile (38 × 33,5 cm)[233]
    • Bouquet de fleurs (nd) huile sur bois (27 × 14,3 cm)[234]
    • Nu au foulard (nd) huile sur toile (26,8 × 12,2 cm)[235]
    • Nu au foulard (nd) huile sur toile (27 × 14,3 cm)[236]
    • Donnemarie-en-Montois (nd) huile sur toile (60 × 75 cm)[237]
    • La Balustrade (nd) huile sur toile (31 × 13 cm)[238]
  • Grenoble, musée de Grenoble
    • Cyprès à Cassis (1907) huile sur toile (46 × 38 cm)[239]
    • Carrières-sur-Seine (1909) huile sur toile (46 × 55 cm)[240]
    • Portrait de Paul Poiret (1915) huile sur toile (100 × 73 cm)[241]
    • Jeune Métis à la chemise blanche huile sur toile (41 × 33,3 cm)[242]
    • Femme nue huile sur toile (46 × 38,5 cm)[243]
  • Le Havre, musée d'art moderne André-Malraux, Le Havre
    • Bougival (vers 1904) huile sur toile (41,5 x 33,5 cm) [244],[245]
  • Les Sables d'Olonne, musée de l'Abbaye Sainte-Croix
    • Barques échouées à Camaret (1936) huile sur toile (60,5 × 73,5 cm)[246]
  • Lille Métropole, musée d'Art moderne, d'Art contemporain et d'Art brut
    • Baigneuses (vers 1906-1907) aquarelle sur papier (19 x 28 cm)[247],[248]
    • Le Parc des Carrières de Saint-Denis (1909) huile sur toile (45,8 x 55 cm)[249]
    • Nature morte: pichet, verre, pots et poire (1912) huile sur toile (55 x 46 cm)[250]
  • Musée des Beaux-Arts, Lyon
    • Le Repos[251][réf. obsolète]
    • Paysage au pont[252][réf. obsolète]
    • Paysage aux pins parasols[253][réf. obsolète]
    • Paysage de Bretagne. Le port de Granville[254][réf. obsolète]
    • Tête de femme au corsage rose[255][réf. obsolète]
    • Tête de femme brune[256][réf. obsolète]
    • La Femme aux cheveux bouclés[257][réf. obsolète]
  • Marseille, musée Cantini
    • Jusqu'en 2020: Pinède, Cassis (1907) huile sur toile (54 × 65 cm)[258],[28]. Œuvre restituée aux héritiers de René Gimpel[259].
    • Vue de Saint-Maximin (1930) huile sur toile (60 × 73 cm)[260]
  • Martigues, musée Ziem
    • Paysage aux environs de Martigues (1908) huile sur toile (55 × 46 cm)[261]
  • Nancy, musée des Beaux-Arts
    • La Blonde (1928) huile sur toile (37,5 × 31,5 cm)[262]
  • Nice, musée Matisse
    • Portrait d'Henri Matisse (Matisse dans l'atelier) (1905) huile sur toile (93 × 52,5 cm) [263],[28]
  • Paris, Centre national d'Art et de Culture Georges-Pompidou
    • La Seine au Pecq (1904) huile sur toile (85 × 95,5 cm)[264]
    • Le Vieil Arbre (1904) huile sur toile (41 × 33 cm)[265]
    • Le Faubourg de Collioure (Vue de Collioure) (1905) huile sur toile (59,5 × 73,2 cm)[266]
    • Les Deux Péniches (1906) huile sur toile (80 x 97,5 cm)[267]
    • Londres, Westminster (1906) huile sur toile (81,5 x 100 cm)[268]
    • Les Quais de la Tamise (1906-1907) huile sur toile (81 x 100 cm)[269]
    • Nature morte à la carafe (1912) huile sur toile (92 x 73 cm)[270]
    • Portrait de Lucie Kahnweiler (1913) huile sur toile (92 × 73 cm)[271]
    • Portrait d'Iturrino (Portrait d'un guitariste espagnol) (1914) huile sur toile (92 × 65 cm)[272]
    • Portrait d'Alice Derain (1920-1921) huile sur toile (91,5 x 73,5 cm)[273]
    • Portrait de Madame Lucie Kahnweiler (vers 1922) huile sur toile (80,7 × 65 cm)[274]
    • Nu devant un rideau vert (1923) huile sur toile (92 × 73 cm)[275]
    • La Forêt de Fontainebleau (1927) huile sur toile (43,5 × 65 cm)[276]
    • Portrait de femme (vers 1927-1928) huile sur toile (32 x 25 cm)[277]
    • Portrait de femme (vers 1928) huile sur toile (46,4 x 38,5 cm)[278]
    • Nature morte aux oranges (1931) huile sur toile (89 × 117 cm)[279]
    • La Parisienne (1932) huile sur toile (81,7 x 66 cm)[280]
    • Retour d'Ulysse (vers 1938) huile sur toile (152 × 391 cm)[281]
    • Nature morte au lapin (1938-1939) huile sur toile (89,2 x 116,2 cm)[282]
    • La Chasse ou L'Âge d'or (Paradis terrestre) (1938-1944) huile sur papier marouflé sur toile (274 × 479 cm)[283]
    • Nature morte au vase noir (1948-1949) huile sur toile (18,5 × 22 cm)[284]
    • Nature morte aux grappes de raisin (1951) huile sur toile (98 × 131 cm)[285]
  • Paris, musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme
    • Portrait de Jacques Lipchitz huile sur panneau de bois (34,5 × 26,5 cm)[286]
  • Paris, musée d'Art moderne de la ville
    • La Rivière (Après-midi d'été) (1904-1905) huile sur carton (74 × 90 cm)[287]
    • Le Phare de Collioure (1905) huile sur toile (32,5 × 40,5 cm)[288]
    • Trois Personnages assis sur l'herbe (1906) huile sur toile (38 × 55 cm)[289]
    • Baigneuses (vers 1908) huile sur toile (38 × 46 cm)[290]
    • Nature morte à la table (1910) huile sur toile (92 × 71 cm)[291]
    • Le Dos (vers 1923) huile sur toile (63 × 54 cm)[292]
    • Nature morte au panier de cerises (vers 1923) huile sur toile marouflée sur bois (19 x 31 cm)[293]
    • Le Gitan (vers 1926) huile sur toile (101 x 81 cm)[294]
    • Nu assis (vers 1928) huile sur toile (55 x 46 cm)[295]
    • Portrait de femme (vers 1928) huile sur toile (58 x 42 cm)[296]
    • Nu au canapé vert (vers 1930-1938) huile sur toile (38 x 55 cm)[297]
    • Nu assis à la draperie verte (vers 1930) huile sur toile (65,09 x 54,5 cm)[298]
    • Tête de femme (vers 1935-1936) huile sur toile (33 x 24 cm)[299]
    • Grande Bacchanale noire (1935-1945) huile sur toile (224,5 x 224,5 cm)[300]
    • Nature morte aux poires (avant 1936) huile sur toile (24 × 41 cm)[301]
    • Marée basse à Camaret (1936) huile sur toile (27,5 x 28,5 cm)[302]
    • Nature morte aux cerises (1936-1938) huile sur toile (15 x 29 cm)[303]
    • Nature morte aux raisins et aux poires (vers 1938) huile sur toile (30,5 x 36,5 cm)[304]
    • Nature morte aux poires (1938-1939) huile sur toile (43 × 56,5 cm)[305]
    • Les Chèvres à Chambourcy (1948-1949) huile sur toile (81 x 65 cm)[306]
  • Paris, musée de la Chasse et de la Nature
    • Les Chasseurs (vers 1930) huile sur toile(200 × 160 cm)[307]
  • Paris, musée de l'Orangerie
    • La Gibecière (1913) huile sur toile (116 × 81 cm)[308]
    • Portrait de Paul Guillaume (1919) huile sur toile (81 × 64 cm)[309]
    • Nature morte champêtre (1921) huile sur toile (58 × 117 cm)[310]
    • La Table de cuisine (entre 1922 et 1925) huile sur toile (119 × 119 cm)[311]
    • Le Beau Modèle (1923) huile sur toile (115 × 90 cm)[312]
    • Arlequin et Pierrot (vers 1924) huile sur toile (176 × 176 cm)[313]
    • Arlequin à la guitare (1924) huile sur toile (190 × 97 cm)[314]
    • Le Modèle blond (1924) huile sur toile (100 × 68 cm)[315]
    • Nu à la cruche (1925) huile sur toile (170 × 131 cm)[316]
    • Nature morte au panier (1927) huile sur toile (58 × 72 cm)[317]
    • Grand Nu couché (entre 1926 et 1927) huile sur toile (97 × 139 cm)[318]
    • La Danseuse Sonia (entre 1926 et 1927) huile sur toile (47 × 34 cm)[319]
    • Melon et fruits (1927) huile sur toile (50 × 58 cm)[320]
    • Nature morte au panier (1927) huile sur toile (58 × 72 cm)[317]
    • Portrait de madame Paul Guillaume au grand chapeau (1928) huile sur toile (92 × 73 cm)[321]
    • Poires et cruche (1928) huile sur toile (25 × 29 cm)[322]
    • Nature morte au verre de vin (1928) huile sur toile (37 × 52 cm)[323]
    • Nu au canapé (entre 1929 et 1930) huile sur toile (83 × 183 cm)[324]
    • Le Gros Arbre (entre 1929 et 1930) huile sur toile (72 × 93 cm)[325]
    • Paysage de Provence (1930) RF 1963-42 huile sur toile (33 × 41 cm)[326]
    • Paysage de Provence (1930) RF 1963-44 huile sur toile (33 × 41 cm)[327]
    • Le Noir à la mandoline (1930) huile sur toile (92 × 73 cm)[328]
    • La Nièce du peintre (1931) huile sur toile (171 × 77 cm)[329]
    • La Nièce du peintre assise (1931) huile sur toile (97 × 78 cm)[330]
    • Roses dans un vase (entre 1931 et 1932) huile sur toile (55 × 46 cm)[331]
    • Arbres et villages (1932) huile sur toile (50 × 61 cm) [332],[333]
    • La Route (1932) huile sur toile (65 × 50 cm)[334]
    • Roses sur fond noir (1932) huile sur toile (73 × 60 cm)[335]
    • Paysage du midi (entre 1932 et 1933) huile sur toile (65 × 54 cm)[336]
  • Paris, musée d'Orsay
    • Le Pont de Charing Cross (1906) huile sur toile (81 × 100,6 cm)[337]
    • Enfant courant sur la plage (vers 1920) huile sur toile (24,5 × 19,5 cm)[338]
  • Paris, musée national Picasso
  • Rouen, musée des Beaux-Arts
  • Saint-Etienne Métropole, musée d'Art moderne et contemporain
  • Saint-Tropez, musée de l'Annonciade
    • Effets de soleil sur l'eau, Londres (1905) huile sur toile (80 × 99 cm)[28]'[343]
    • Westminster, Londres (1905) huile sur toile (81,4 × 100 cm)[344],[345]
    • Pont sur la Tamise (1906) huile sur toile (80 × 100 cm) [346],[347]
    • Forêt de Fontainebleau (1930) huile sur toile (50 × 61 cm)[348]
    • Portrait de jeune femme (vers 1930) huile sur toile (61 × 50 cm) [349],[350]
  • Toulouse, musée de la Fondation Bemberg
    • La Clairière (vers 1906) huile sur toile (33 × 41,2 cm)[351]
  • Troyes, musée d'Art moderneLe Port de Collioure (1905) huile sur toile (72 × 91 cm) [352]
    • Big Ben, Londres (1905) huile sur toile (79 × 98 cm) [353]
    • Hyde Park (1906) huile sur toile (66 × 99 cm)[28],[354]
    • Jusqu'en 2020 : Vue de Cassis (1907) huile sur toile (54 × 64 cm)[28],[355]. Œuvre restituée aux héritiers de René Gimpel[259].
    • Jusqu'en 2020 : La Chapelle-sous-Crécy (vers 1910) huile sur toile (38 × 55 cm)[356]. Œuvre restituée aux héritiers de René Gimpel[259]
    • La Table garnie (1921-1922) huile sur toile (97 × 132 cm)[28],[357]
    • Femme dans un atelier: Isabelle Damiler (1933) huile sur toile (46,5 × 51 cm)[358]
    • Deux Femmes nues et nature morte (1935) huile sur toile (112 × 104 cm)[28],[359]
    • La Chasse au cerf (1938) huile sur toile (199 × 160 cm)[28],[360]
    • Nature morte aux poissons et à la poêle (1939) huile sur toile (86 × 108 cm)[361]
    • Nature morte au pain (1938-1939) huile sur toile (96 × 130 cm)[28],[362]
    • Paysage sur les bords de la Loire à Ousson (1943) huile sur toile (65 × 92 cm)[363]
    • Les Deux Hangars (1943) huile sur toile (80 × 99 cm)[364]
    • Nature morte sur fond noir (vers 1945) huile sur toile (97 × 130 cm)[28],[365]
    • Les Bacchantes (vers 1945) huile sur toile (50 × 61 cm)[28],[366]
    • Nature morte aux fruits et feuillage (vers 1945) huile sur toile (114 × 143 cm)[367]
    • Paysage triste (1946) huile sur toile (36 × 40 cm)[28],[368]
    • Vue d'Amiens (1946-1947) huile sur toile (90 × 109 cm)[369],[370]
    • Nature morte aux poissons (1947) huile sur toile (85 × 93 cm)[371]
    • Portrait de Denise et Claire Lévy (1949) huile sur toile (91 × 72 cm)[372]
    • Bateaux à Noirmoutier (1950) huile sur toile (46 × 53 cm)[373]
    • Paysage sinistre (vers 1950) huile sur toile (20 × 38 cm)[28],[374]

Grèce

Iran

Japon

  • Hakone, musée d'Art Pola
    • Paysage d'Italie (vers 1920-1921) huile sur toile (38,1 × 46,1 cm)[378]
    • Nature morte (vers 1932) huile sur toile (38 × 46,1 cm)[379]
    • Vue de Donnemarie-en-Montois (vers 1942-1943) huile sur toile (37 × 44,4 cm)[380]
  • Hiroshima, musée d'Art
    • Nu dans un paysage (1925-1926) huile sur toile (97 × 116 cm)[381]
    • Panorama, paysage de Provence (vers 1930) huile sur toile (80 × 179 cm)[382]
    • Femme blonde dans un paysage (1936-1937) huile sur toile (150 × 99,5 cm)[383]
  • Komaki, musée d'Art Menard
    • Paysage d'Ile-de-France (1904-1905) huile sur toile (40,5 × 54,3 cm)[384]
    • Les Buveurs (les Joueurs de billard) (1913-1914) huile sur toile (140 × 88 cm)[385]
  • Saitama, musée d'Art moderne de la préfecture de Saitama
    • Nu (1925) huile sur toile (65,2 × 50,3 cm)[28]
  • Sapporo, musée d'Art moderne d'Hokkaïdo
    • Paysage aux Martigues (1908) huile sur toile (100 × 81 cm)[28]
  • Tokyo, musée national de l'Art occidental
    • Madame Jean Renoir (Catherine Hessling) (vers 1923) huile sur toile (90.4 x 75.2 cm)[386]
    • Baigneuses (date non indiquée) huile sur papier collé sur carton (16.7 x 20.4 cm)[387]
    • Fruits (date non indiquée) huile sur toile (64.8 x 89.5 cm)[388]

Norvège

Pays-Bas

Royaume-Uni

Russie

  • Moscou, musée d'État des Beaux-Arts Pouchkine
    • Le Séchage des voiles (1905) huile sur toile (82 × 101 cm)[408]
    • Le Château (Ancien Quartier de Cagnes) (1910) huile sur toile (66 × 82 cm)[409]
    • Le Vieux Pont (1910-1912) huile sur toile (73 × 92 cm)[410]
    • Le Sentier dans les rochers (1911-1912) huile sur toile (92 × 65 cm)[411]
    • Nature morte devant la fenêtre (1912) huile sur toile (128 × 79 cm)[412]
    • La Pinède (vers 1913) huile sur toile (92 × 73 cm)[413]
    • Le Samedi (1913) huile sur toile (181 × 228 cm)[414]
  • Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage
    • Port (1905) huile sur toile (62 × 73 cm)[415]
    • Chemin de montagne (1907) huile sur toile (81 × 100 cm)[416]
    • Maisons au bord de l'eau (1910) huile sur toile (61 × 102,3 cm)[417]
    • Portrait d'homme avec journal (1911-1914) huile sur toile (162,5 × 97,5 cm)[418]
    • Table et chaises (1912) huile sur toile (88 × 86,5 cm)[419]
    • Nature morte au crâne (1912) huile sur toile (72 × 119 cm)[420],[28]
    • Le Bosquet (1912) huile sur toile (116,5 × 81,3 cm)[421],[28]
    • Falaises (1912) huile sur toile (60,5 × 81 cm)[422]
    • Nature morte avec pichet en terre cuite et serviette blanche (1912) huile sur toile (61 × 50 cm)[423]
    • Nature morte. Corbeille à pain et vin rouge (1913) huile sur toile (100,5 × 118 cm)[424]
    • Martigues (Port de Provence) (1913) huile sur toile (141 × 90 cm)[425]
    • Femme en noir (vers 1913) huile sur toile (93 × 60,5 cm)[426]
    • Portrait d'une femme en noir (1913) huile sur toile (116,5 × 89,3 cm)[427]
    • Paysage avec bateau sur la berge (1915) huile sur toile (100 × 65 cm)[428]

Suède

Suisse

  • Bâle, Kunstmuseum[430]
    • Les Vignes au printemps (vers 1904-1905) huile sur toile (89.2 x 116.3 cm)
    • Nature morte à la brioche (Verre et bouteille) (1911) huile sur toile (50.1 x 60.8 cm)
    • Nature morte au calvaire (1912) huile sur toile (65.3 x 57.3 cm)
    • Nature morte au broc (1912) huile sur bois (70 x 54 cm)
    • La Paysanne grecque (1919) huile sur toile (92.7 x 73 cm)
  • Berne, Kunstmuseum
    • Le Christ marchant au calvaire, d'après Biagio d'Antonio (1901) huile sur toile (166 × 169,2 cm)[28]
    • Maisons à Cagnes (1910) huile sur toile (60 × 81 cm)[28]
  • Genève, Musée du Petit Palais
    • La Clairière (Le Déjeuner sur l'herbe) (1938) huile sur toile (138 × 250 cm)[28]
  • La Chaux-de-Fonds, Musée des Beaux-Arts
  • Zürich, Kunsthaus
    • Vue de Martigues (1908) huile sur toile (73 × 91 cm)[28]
  • Zürich, Sammlung Emil Bührle
    • Scène d'intérieur (vers 1904) huile sur toile (94 × 85 cm)[432]

Rép.tchèque

  • Prague, Národní Galerie
    • Les Baigneuses (1908) huile sur toile (180 × 230 cm)[28]
    • Nature morte à la cruche (1913) huile sur toile (102 × 73 cm)[433]
    • Nature morte au panier (1914) huile sur toile (33,5 × 41 cm)[434]
    • Nature morte avec fruits (1920-1922) huile sur toile (37 × 46 cm)[435]
    • Nu assis (1920-1923) huile sur toile (73 × 60 cm)[436]
    • Paysage avec arbres (1925) huile sur toile (81,5 × 91,5 cm)[437]

Vatican

Collections privées

  • Paysage de jeunesse (1899), huile sur toile (54 × 75 cm) [28]
  • La Route de Carrières (1899) huile sur toile (48 × 64,2 cm) [28]
  • L'Enterrement (vers 1899) huile sur toile (45,7 × 35,5 cm) [28]
  • Paysage, la pluie de Chatou (vers 1904) huile sur toile (73 × 59 cm) [28]
  • Femme en jaune sur fond bleu (vers 1904) huile sur panneau (31 × 22 cm)[28]
  • Arbre, paysage au bord d'une rivière (1904-1905) huile sur toile (60 × 80,5 cm) [28]
  • Restaurant du Pecq (1904-1905) huile sur toile (65 × 50 cm)[28]
  • Le Balcon (1905) huile sur toile (40 × 33 cm)[28]
  • Pêcheurs à Collioure (1905) huile sur toile (46 × 54,2 cm)[28]
  • Port de Collioure (Bateaux au port de Collioure) (1905) huile sur toile (46 × 38 cm)[28]
  • Bateaux dans le port, Collioure (1905) huile sur toile (72 × 95 cm)[28]
  • Petit Port méditerranéen, Collioure (1905) huile sur carton marouflé sur toile (36,5 × 46,5 cm)[28]
  • Madame Matisse en kimono (1905) huile sur toile (80 × 65 cm)[28]
  • Autoportrait à la casquette (vers 1905) huile sur toile[439]
  • Portrait de Vlaminck (vers 1905) huile sur toile (41 × 33 cm)[28]
  • Les Voiles rouges (1906) huile sur toile (41 × 33 cm) [28]
  • Les Remorqueurs (Bateaux sur la Tamise) (1906) huile sur toile (65 × 100 cm) [28]
  • La Tamise, Londres (1906) huile sur toile (66 × 99 cm)[28]
  • La Danse (1906) huile sur toile (175 × 225 cm)[28]
  • Bistrot à l'Estaque (1906) huile sur toile (82 × 102 cm) [28]
  • D'après Gauguin (Baigneuses dans un paysage) (1906) huile sur toile (28 × 42 cm) [28]
  • Baigneuses (1906-1907) huile sur toile (50 × 45 cm) [28]
  • Baigneuses (Baignade) (vers 1908) huile sur toile (180 × 225 cm) [28]
  • Cadaquès (1910) huile sur toile (60,5 × 73 cm) [28]
  • Rose dans un verre (vers 1911) huile sur toile (35 × 25,8 cm) [28]
  • Nature morte devant le calvaire (1912) huile sur toile (55 × 38 cm) [28]
  • Poires et bananes dans une coupe (1913) huile sur toile (31 × 36 cm) [28]
  • Nature morte au damier (1913) huile sur toile (100 × 80 cm) [28]
  • Le Parc (1913) huile sur toile (70 × 93 cm) [28]
  • Autoportrait (1913) huile sur toile (116 × 90 cm) Sdb "a.Derain"[28]
  • Autoportrait (1913) huile sur toile (116 × 89 cm) S. en haut "André Derain peintre" [28]
  • Portrait d'homme (Le Poète) (1913) huile sur toile (92 × 74 cm) [28]
  • Autoportrait à la pipe (1913) huile sur toile (50 × 31,5 cm) [28]
  • Les Deux Sœurs (1914) huile sur toile (100 × 81 cm) [28]
  • La Mappemonde (1914) huile sur toile (102,5 × 72,5 cm) [28]
  • L'Artiste et sa famille (1920-1921) huile sur toile (116 × 89 cm) [28]
  • Portrait d'un garçon au chapeau (1920-1922) huile sur toile (49,5 × 49,5 cm) [28]
  • Nu au chat (1923) huile sur toile (115 × 87 cm) [28]
  • Le Sentier dans la forêt (1928) huile sur toile (54 × 65 cm) [28]
  • Femme endormie (1929) huile sur toile (39 × 46 cm) [28]
  • Le Port d'Etaples (vers 1930) huile sur toile (74 × 92 cm) [28]
  • Nature morte aux fruits (vers 1932) huile sur toile (35,5 × 41 cm) [28]
  • Grand nu (vers 1935) huile sur toile (97 × 195 cm) [28]
  • Nature morte (1935-1937) huile sur toile (78 × 95 cm) [28]
  • Geneviève à la pomme (1937-1938) huile sur toile (92 × 73 cm) [28]
  • Nu à la pomme (1941) huile sur toile (195,5 × 96,5 cm) [28]
  • Deux figures de "La grande bacchanale noire" (1940-1945) huile sur toile (155 × 144,8 cm) [28]
  • Nature morte aux poires vertes (1951) huile sur toile (53,2 × 81 cm) [28]
  • Nature morte à la corbeille d'osier (après 1953) huile sur toile (95 × 200 cm) [28]
  • Autoportrait à la pipe (vers 1953) huile sur toile (35,5 × 33 cm) [28]

Dessins

Livres illustrés

Divers

Expositions

Notes et références

  1. Archives des Yvelines, commune de Chatou, acte de naissance no 88, année 1880 (avec mentions marginales de mariage et de décès) (pages 109/241).
  2. Par le comité national d’épuration des artistes peintres, dessinateurs, sculpteurs et graveurs, le 5 avril 1946 à un an de suspension professionnelle. Procès-verbal du 5 avril 1946, in Paul Landowski, Journal, à lire sur http://journal.paul-landowski.com/node/177
  3. Selon le mot de Pierre Francastel, cité dans le Grand Larousse, article « Derain », 1973, p. 3770.
  4. « Le peintre », sur andrederain.fr, (consulté le )
  5. Pierre Cabanne, André Derain, Somogy, Paris, 1990, p. 134.
  6. Conférence de Geneviève-Javotte Taillade, http://www.amisfournaisechatou.com/_documents/gazettes/Gazette_N10.pdf
  7. Dictionnaire Delarge http://www.ledelarge.fr/fiche_bio.php?IDFiche=19277&artiste=DERAIN%2C+Andr%E9
  8. (en) « L'œuvre Portrait d'Alice Derain - Centre Pompidou », Centrepompidou.fr (consulté le )
  9. She was rather a madonna like creature, with large lovely eyes and charming hair. Fernande afterwards explained that she was the daughter of a workingman and had the brutal thumbs that of course were a characteristic of workingmen. She had been, so Fernande explained, for seven years with Princet who was in the government employ and she had been faithful to him in the fashion of Montmartre. Then they married. No sooner were they married than Alice Princet met Dérain and Derain met her. It was wat the french call un coup de foudre… She and Derain went off together and they have never separated since. I always liked Alice Derain. She had a certain wild quality that perhaps had to do with her brutal thumbs and was curiously in accord with her madonna face, dans http://bioart.pbworks.com/w/page/7918466/Alice%20Princet
  10. (en) « artists / Alice Princet », Bioart.pbworks.com (consulté le )
  11. Voir répertoire de la sculpture française : http://frenchsculpture.org/fr/sculpture/1963-madame-alice-derain?rk=39
  12. « "Le peintre" », sur andrederain.fr
  13. Michel Charzat, Le titan foudroyé, Hazan,
  14. Liliane Meffre, Carl Einstein, 1885-1940. Itinéraires d'une pensée moderne, PUS, Paris 2002, p. 50.
  15. « La couleur des larmes. Les peintres de la Grande Guerre », mémorial de Caen, http://www.memorial-caen.fr/10EVENT/EXPO1418/fr/present.html
  16. Patrice Bachelard, Derain, un fauve pas ordinaire, Gallimard, 1994, p. 52-53.
  17. Michel Charzat, André Derain, Le titan foudroyé, Paris, Hazan, , p. 105
  18. (en) Gelett Burgess, The Wild Men of Paris, Architectural Record, mai 1910, sculpture Nu debout (Standing Woman), 1907.
  19. Jean Cocteau, Le Rappel à l'ordre, Éditions Stock, Paris, 1926, p. 95.
  20. (en) André Derain18801954, « La Nièce du peintre | Musée de l'Orangerie », Musee-orangerie.fr (consulté le )
  21. Une photographie Photograph of Boutique Fantasque, n.d, Library of Congress, Washington DC.
  22. (en) « La scène selon Derain », Chroniques.bnf.fr (consulté le )
  23. Hélène Celhay de Larrard, André Derain et la scène, Paris, Bibliothèque nationale de France BNF, , 48 p. (ISBN 978-2-7177-2273-4), page 4
  24. François Chaubet, Histoire intellectuelle de l'entre-deux-guerres. Culture et politique, Nouveau Monde Éditions, Paris, 2006.
  25. Il était considéré comme un fou du volant et deux de ses amies meurent carbonisées dans une course poursuite effrénée avec lui, dans Le Populaire, 6 novembre 1929.
  26. Christiane Duparc, « Les infidélités d'André Derain », L'Express, 24 novembre 1994.
  27. André Breton, « Idées d'un peintre. André Derain », Les Pas perdus, 1924.
  28. Catalogue André Derain, « Le peintre du trouble moderne », musée d'art moderne de la Ville de Paris, 1994.
  29. in Patrice Bachelard, André Derain, un fauve pas ordinaire, p. 110-115.
  30. (en) « Encyclopédie Larousse en ligne - André Derain », Larousse.fr (consulté le )
  31. Conférence de Geneviève-Javotte Taillade, 2e semestre 2014, in http://www.amisfournaisechatou.com/_documents/gazettes/Gazette_N10.pdf
  32. Notice bibliographique du catalogue général de la BnF.
  33. Laurence Bertrand-Dorléac, L'Art de la défaite, 1940-1944, Éditions du Seuil, Paris 1993, p. 329.
  34. (en) Alex Danchev, On Art, On War and Terror, Edinburgh, Edinburgh University Press, 2009, p. 113.
  35. (en) Jonathan Petropoulos, The Faustian Bargain: The Art World in Nazi Germany, Oxford University Press Inc., New York, 2000, p. 231.
  36. Waldemar George, André Derain ou l'apprenti sorcier, La Renaissance, Paris, 1939, p. 37-41.
  37. Pierre Cabanne, André Derain, 1990, p. 112.
  38. Werner Lange, Les Artistes en France sous l'Occupation, Éditions du Rocher, Paris, 2015, p. 89-90.
  39. Laurence Bertrand-Dorléac, L'Art de la défaite 1940-1944, p. 78-79.
  40. Laurence Bertrand-Dorléac, L'Art de la défaite, 1940-1944, p. 292.
  41. Limore Yagil, Au nom de l'art, 1933-1945 : exils, solidarités et engagements, Fayard, 2015.
  42. Alex Dantchev, Georges Braque, le défi silencieux, Éditions Hazan, Paris, 2013, p. 219.
  43. Albert Speer, Au cœur du Troisième Reich, Éditions Pluriels, Paris, 2011.
  44. (en) Life Magazine, Richard de Rochemont, « The French Underground, Black List », 24 août 1942, p. 86.
  45. Laurence Bertrand-Dorléac, L'Art de la défaite, 1940-1944, p. 291.
  46. « À l’époque, je les [Derain et Vlaminck] ai jugés sévèrement et aujourd’hui, je continue à réprouver leur attitude. Mais de là à les arrêter et à les empêcher de peindre, il y a un abîme que Picasso a comblé allègrement. Il se débarrasse de la concurrence et fait le démagogue », in Maurice Garçon, de l’Académie française, Journal (1939-1945), édition établie, présentée et annotée par Pascal Fouché et Pascale Froment, Les Belles Lettres, Paris, 2015.
  47. Pierre Cabanne, André Derain, p. 113.
  48. Paul Landowki, « Un an de suspension professionnelle », Journal, procès-verbal du 5 avril 1946, à lire sur http://journal.paul-landowski.com/node/177
  49. Michel Charzat, André Derain, Le titan foudroyé, Hazan, page 309
  50. Laurence Bertrand Dorléac, L'Art de la défaite
  51. Michel charzat, Derain, le titan foudroyé, Hazan
  52. Michel Charzat, Derain, le titan foudroyé, Paris, Hazan,
  53. Biographie publiée par Galerie Broomhead Junker : http://www.bj-fineart.com/info/derain-andré/andré-derain-biographie
  54. Pierre Cabanne, André Derain, p. 115.
  55. Jean-Noël Liaut, Elle, Edmonde, Allary Éditions, 2017.
  56. Pierre Cabanne, André Derain, p. 116.
  57. Michel Charzat, André Derain. Le titan foudroyé, Paris, Hazan, 2015. L'auteur y évoque une centaine de lettres écrites par Derain à Nicole Algan entre 1947 et 1954.
  58. (en) Rosanna Warren, « A Metaphysic of Painting: The Notes of André Derain », in The Georgia Review, vol. 32, no 1, printemps 1978, p. 94-120.
  59. (en) Jonathan Petropoulos, Art as Politicsin the Third Reich, Univesity of North Carolina Press, 1992-2003 (ISBN 978-1-405-51360-9), pages 200-210
  60. Pierre Cabanne, André Derain, p. 109-110.
  61. « Une soirée avec Giacometti. Carnet d'un collectionneur », Che vuoi ?, 1/2003 (no 19), p. 87-91.
  62. Alberto Giacometti, Écrits, Hermann éditeurs, Paris, 2001, p. 75-76.
  63. (en) « Décembre-1954 | Journal de Paul Landowski », Journal.paul-landowski.com (consulté le )
  64. Marcel Duchamp, Duchamp du signe, Paris, Flammarion, , page 199
  65. Pierre Cabanne, André Derain, p. 120.
  66. Catalogue de l'exposition « Les Enfants modèles », du 25 novembre 2009 au 8 mars 2010, musée de l'Orangerie, RMN, Paris 2010.
  67. C'est une voix bien connue pour tous ceux de la génération Amuse 3 et du Club Dorothée, http://www.planete-jeunesse.com/staff-1674-genevieve-taillade.html
  68. http://www.chambourcy.fr/culture-patrimoine-loisirs/maison-andre-derain
  69. Voir sur lesechos.fr du 14 mars 2002.
  70. Paris, vente du 10 novembre 2016.
  71. Kenneth Silver, Vers le retour à l'ordre, Flammarion, Paris, 1991, p. 377.
  72. Voir sur musees-de-france-champagne-ardenne.culture.fr..
  73. Association des études tsiganes, Études tsiganes, Paris, janvier 1987, p. 32.
  74. J. P. Wearing, The London Stage 1930-1939: A Calendar of Productions, Performers, and Personnel, Snd éditions, p. 715.
  75. Debra Craine et Judith Mackrell, The Oxford Dictionary of Dance, article « Derain », Oxford University, 2010 p. 129.
  76. Pascal Mérigeau, Jean Renoir, Flammarion, Paris, 2012, p. 171.
  77. (de) Online Katalog der Kunsthalle Bremen, « le Don » (consulté le )
  78. (de) Museum Ludwig, « Blick auf Saint-Paul-de-Vence » (consulté le )
  79. (de) Museum Ludwig, « La Ferme » (consulté le )
  80. (de) Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen, « Bateaux à Collioure » (consulté le )
  81. La Parisien libéré, « Les grands scandales de l'art : les Fauves rugissent au Grand Palais » (consulté le )
  82. FRANCE INFO, « Le jeune Derain au Centre Pompidou : dix ans de création radicale » (consulté le )
  83. (de) Hamburger Kunsthalle, « Stillleben, 1911 » (consulté le )
  84. (de) Kunsthalle Mannheim, « Le vallon de Sausset-les-Pins » (consulté le )
  85. (de) « Die Felsen » (consulté le )
  86. (de) UNICEF Deutschland, « Die Zypressen - Œuvre en dépôt au Arp museum » (consulté le )
  87. (de) Deutsches Dokumentationszentrum für Kunstgeschichte, « Arbres à Carrières-sur-Seine // La grille du parc » (consulté le )
  88. (de) Staatsgalerie Stuttgart, « Le port de Collioure (Der Hafen von Collioure) » (consulté le )
  89. (en) National Gallery of Australia, Canberra, « Le Cavalier au cheval blanc [Knight on a white horse] » (consulté le )
  90. (en) National Gallery of Australia, Canberra, « Autoportrait dans l'atelier [Self-portrait in the studio] » (consulté le )
  91. (en) NGV, « Roses in blue jug » (consulté le )
  92. (en) Art Gallery of NSW, « Nature morte 1921 1922 » (consulté le )
  93. (en) Art Gallery of NSW, « Paysage vers 1928 » (consulté le )
  94. Musée des Beaux Arts du Canada, « Paysage au bord de la mer : la Côte d'Azur près d'Agay » (consulté le )
  95. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « To danserinder » (consulté le )
  96. (da) Statens Museum for Kunst, « La femme en chemise » (consulté le )
  97. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Træer ved Martigues » (consulté le )
  98. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Kirken ved Carrières-sur-Seine » (consulté le )
  99. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Landskab med kirketårn » (consulté le )
  100. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Opstilling med pibe » (consulté le )
  101. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Opstilling » (consulté le )
  102. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Italienerinden » (consulté le )
  103. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Pinjeskov ved Sausset-les-Pins » (consulté le )
  104. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « De to søstre » (consulté le )
  105. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Tête de jeune homme » (consulté le )
  106. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Opstilling med palet » (consulté le )
  107. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Arlequin » (consulté le )
  108. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Landskab fra Sydfrankrig » (consulté le )
  109. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Portrait de Madame Derain » (consulté le )
  110. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Tête de jeune femme » (consulté le )
  111. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Nu aux bras croisés » (consulté le )
  112. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Landskab fra Sydfrankrig » (consulté le )
  113. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Femme nue au coussin rouge » (consulté le )
  114. (da) Slots- og Kulturstyrelsen, « Siddende kvindelig model, halvnøgen » (consulté le )
  115. (en) Thyssen-Bornemisza National Museum, « Paysage des environs de Chatou » (consulté le )
  116. (en) Thyssen-Bornemisza National Museum, « Le Pont de Waterloo » (consulté le )
  117. (en) Thyssen-Bornemisza National Museum, « L'Eglise de Chatou » (consulté le )
  118. « Landscape with Two Nudes »
  119. « Head of a Woman »
  120. « In the Studio »
  121. « Wooded Landscape »
  122. « Head of a Woman »
  123. « View of Eygalières »
  124. (en) Eskenazi Museum of Art, « Profil de femme avec un chignon » (consulté le )
  125. (en) Museum of Fine Arts, Boston, « Paysage du sud de la France » (consulté le )
  126. (en) Museum of Fine Arts, Boston, « Genevieve Taillade in an Orange Jacket » (consulté le )
  127. (en) Albright-Knox Art Gallery, « Les Arbres (vers 1906) » (consulté le )
  128. (en) Albright-Knox Art Gallery, « Tête de jeune fille » (consulté le )
  129. (en) Albright-Knox Art Gallery, « Paysage aux environs de Castel Gandolfo » (consulté le )
  130. (en) Albright-Knox Art Gallery, « Jeune fille pelant un fruit » (consulté le )
  131. (en) Ackland Art Museum, The University of North Carolina, « Anemones in a Brown Vase » (consulté le )
  132. (en) The Art Institute of Chicago, « La Forêt à Martigues » (consulté le )
  133. (en) The Art Institute of Chicago, « Cagnes » (consulté le )
  134. (en) The Art Institute of Chicago, « Paysage avec cyprès » (consulté le )
  135. (en) The Art Institute of Chicago, « The Last Supper » (consulté le )
  136. (en) The Art Institute of Chicago, « Grapes » (consulté le )
  137. (en) The Art Institute of Chicago, « Fountain » (consulté le )
  138. (en) The Art Institute of Chicago, « Paysage » (consulté le )
  139. (en) The Art Institute of Chicago, « Ballet Dancer » (consulté le )
  140. (en) The Art Institute of Chicago, « Landscape in Provence » (consulté le )
  141. (en) Cincinnati Art Museum, « The Bridge at Le Pecq » (consulté le )
  142. (en) Cincinnati Art Museum, « Head of a Girl » (consulté le )
  143. (en) Cincinnati Art Museum, « The Three Baskets » (consulté le )
  144. (en) Cleveland Museum of Art, « The Houses of Parliament from Westminster Bridge » (consulté le )
  145. (en) Cleveland Museum of Art, « Little Girl in Blue » (consulté le )
  146. (en) Columbus Museum of Art, « Portrait du peintre Etienne TERRUS » (consulté le )
  147. (en) Columbus Museum of Art, « Portrait de Maud Walter » (consulté le )
  148. (en) Columbus Museum of Art, « La route de Camiers » (consulté le )
  149. (en) Columbus Museum of Art, « La Baie » (consulté le )
  150. (en) Columbus Museum of Art, « Tête de femme » (consulté le )
  151. (en) Columbus Museum of Art, « L'Egyptien » (consulté le )
  152. (en) Columbus Museum of Art, « Composition » (consulté le )
  153. (en) Columbus Museum of Art, « Femme se coiffant » (consulté le )
  154. (en) Detroit Institute of Arts, « Bay of Ciotat » (consulté le )
  155. (en) Detroit Institute of Arts, « Young Girl » (consulté le )
  156. (en) The Museum of Fine Arts, Houston, « The Turning Road, L'Estaque » (consulté le )
  157. (en) The Museum of Fine Arts, Houston, « Cagnes » (consulté le )
  158. (en) Indianapolis Museum of Art, « Landscape » (consulté le )
  159. (en) The Nelson-Atkins Museum of Art, « Guitar Player » (consulté le )
  160. (en) Minneapolis Institute of Art, « St. Paul's Cathedral seen from the Thames » (consulté le )
  161. (en) Minneapolis Institute of Art, « The Bagpiper » (consulté le )
  162. (en) Brooklyn Museum, « Paysage de Provence » (consulté le )
  163. (en) Brooklyn Museum, « Landscape at Sanary » (consulté le )
  164. (en) The Metropolitan Museum of Art, « Fishing Boats, Collioure » (consulté le )
  165. (en) The Metropolitan Museum of Art, « Portrait of Lucien Gilbert » (consulté le )
  166. (en) The Metropolitan Museum of Art, « The Sunken Path, L'Estaque » (consulté le )
  167. (en) The Metropolitan Museum of Art, « Regent Street, London » (consulté le )
  168. (en) The Metropolitan Museum of Art, « The Palace of Westminster » (consulté le )
  169. (en) The Metropolitan Museum of Art, « Plate of Peaches » (consulté le )
  170. (en) The Metropolitan Museum of Art, « The Table » (consulté le )
  171. (en) The Metropolitan Museum of Art, « Landscape: Camiers » (consulté le )
  172. (en) The Metropolitan Museum of Art, « Pitcher and Dishes » (consulté le )
  173. (en) The Metropolitan Museum of Art, « The Artist in his Studio » (consulté le )
  174. (en) The Metropolitan Museum of Art, « Moïse Kisling » (consulté le )
  175. (en) The Metropolitan Museum of Art, « Nu » (consulté le )
  176. (en) The Metropolitan Museum of Art, « Dikran G. Kelekian » (consulté le )
  177. (en) The Metropolitan Museum of Art, « Rita van Leer » (consulté le )
  178. (en) The Metropolitan Museum of Art, « The Black Feather Boa » (consulté le )
  179. « Peupliers »
  180. « Bateaux de pêche, Collioure »
  181. « Le Pont de Charing Cross »
  182. « Danse bacchique »
  183. « Pont sur le Riou »
  184. « La Seine à Chatou »
  185. « Le pont de Londres »
  186. « Baigneuses »
  187. « Paysage près de Cassis »
  188. « Alice à la robe verte »
  189. « Fenêtre à Vers »
  190. « La Répétition »
  191. (en) The Solomon R. Guggenheim Foundation, « Portrait of a Young Man (Portrait de jeune homme) » (consulté le )
  192. (en) Chrysler Museum of Art, « Derain » (consulté le )
  193. (en) Allen Memorial Art Museum, « Bust of a Woman » (consulté le )
  194. (en) Barnes Foundation, « Nude » (consulté le )
  195. (en) Barnes Foundation, « Flower Piece » (consulté le )
  196. (en) Philadelphia Museum of Art, « Portrait of Henri Matisse » (consulté le )
  197. (en) Philadelphia Museum of Art, « Woman » (consulté le )
  198. (en) Phoenix Art Museum, « Still Life » (consulté le )
  199. (en) Carnegie Museum of Art, Carnegie Institute, « Portrait of an Englishwoman » (consulté le )
  200. (en) Carnegie Museum of Art, Carnegie Institute, « Still Life » (consulté le )
  201. (en) Portland Art Museum, « Still Life with Pitcher and Loaf of Bread » (consulté le )
  202. (en) Portland Art Museum, « The Pine Tree » (consulté le )
  203. (en) RISD, « Two Roses in a Glass Vase » (consulté le )
  204. (en) North Carolina Museum of Art Foundation, Inc, « Portrait of Isabel » (consulté le )
  205. (en) Virginia Museum of Fine Arts, « Le Port de Douarnenez » (consulté le )
  206. (en) Saint Louis Art Museum, « At the Suresnes Ball » (consulté le )
  207. (en) Fine Arts Museums of San Francisco, « Head of a Young Model » (consulté le )
  208. (en) San Francisco Museum of Modern Art, « Paysage du Midi » (consulté le )
  209. (en) San Francisco Museum of Modern Art, « Biblical Group » (consulté le )
  210. (en) San Francisco Museum of Modern Art, « Nature morte aux fruits » (consulté le )
  211. (en) Santa Barbara Museum of Art, « Les deux hommes » (consulté le )
  212. (en) Santa Barbara Museum of Art, « Still Life with Pumpkin » (consulté le )
  213. (en) Santa Barbara Museum of Art, « Vase of Anemones » (consulté le )
  214. (en) Stanford University, « Still Life with Fruit » (consulté le )
  215. (en) Toledo Museum of Art, « Landscape » (consulté le )
  216. (en) National Gallery of Art, « Mountains at Collioure » (consulté le )
  217. (en) National Gallery of Art, « View of the Thames » (consulté le )
  218. (en) National Gallery of Art, « Charing Cross Bridge » (consulté le )
  219. (en) National Gallery of Art, « The Old Bridge » (consulté le )
  220. (en) National Gallery of Art, « Still Life » (consulté le )
  221. (en) National Gallery of Art, « Still Life » (consulté le )
  222. (en) National Gallery of Art, « Harlequin » (consulté le )
  223. (en) National Gallery of Art, « Woman in an Armchair » (consulté le )
  224. (en) National Gallery of Art, « Abandoned House in Provence » (consulté le )
  225. (en) National Gallery of Art, « Road in Provence » (consulté le )
  226. (en) National Gallery of Art, « Portrait of a Girl » (consulté le )
  227. (en) National Gallery of Art, « Head of a Woman » (consulté le )
  228. (en) National Gallery of Art, « Woman in a Chemise » (consulté le )
  229. (en) National Gallery of Art, « Flowers in a Vase » (consulté le )
  230. (en) National Gallery of Art, « Marie Harriman » (consulté le )
  231. RMN, « Gravelines » (consulté le )
  232. Centre Pompidou, « Portrait du père de l'artiste (dépôt au MBA de Chartres) » (consulté le )
  233. « Baigneuses à la cascade », notice no 06830000086, base Joconde, ministère français de la Culture.
  234. « Bouquet de Fleurs », sur pop.culture.gouv.fr/notice/joconde/06830000071 (consulté le )
  235. « Nu au foulard », notice no 06830000069, base Joconde, ministère français de la Culture.
  236. « Nu au foulard », sur pop.culture.gouv.fr/notice/joconde/06830000070 (consulté le )
  237. « Donnemarie-en-Montois », notice no 06830000085, base Joconde, ministère français de la Culture.
  238. « La Balustrade », notice no 06830000067, base Joconde, ministère français de la Culture.
  239. Musée de Grenoble, « Cyprès à Cassis » (consulté le )
  240. Musée de Grenoble, « Carrières-sur-Seine » (consulté le )
  241. Musée de Grenoble, « Portrait de Paul Poiret » (consulté le )
  242. Musée de Grenoble, « Jeune métis à la chemise blanche » (consulté le )
  243. Musée de Grenoble, « Femme nue » (consulté le )
  244. « Bougival », notice no 07200002009, base Joconde, ministère français de la Culture.
  245. MuMa Le Havre, « DERAIN, Bougival » (consulté le )
  246. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Barques échouées à Camaret » (consulté le )
  247. « Baigneuses », notice no 06390000079, base Joconde, ministère français de la Culture.
  248. « Baigneuses (aquarelle) ».
  249. « La Parc des Carrières de Saint-Denis ».
  250. « Nature morte: pichet, verre, pots et poire ».
  251. « Le Repos », notice no 000PE029126, base Joconde, ministère français de la Culture.
  252. « Paysage au pont », notice no 000PE029130, base Joconde, ministère français de la Culture.
  253. « Paysage aux pins parasols », notice no 000PE029128, base Joconde, ministère français de la Culture.
  254. « Paysage de Bretagne. Le port de Granville », notice no 000PE029125, base Joconde, ministère français de la Culture.
  255. « Tête de femme au corsage rose », notice no 000PE029124, base Joconde, ministère français de la Culture.
  256. « Tête de femme brune », notice no 000PE029129, base Joconde, ministère français de la Culture.
  257. « La Femme aux cheveux bouclés », notice no 000PE029127, base Joconde, ministère français de la Culture.
  258. « Pinède, Cassis », notice no 09150100169, base Joconde, ministère français de la Culture.
  259. « André Derain : la justice ordonne la restitution aux héritiers d'un marchand d'art juif », lefigaro.fr, 30 septembre 2020.
  260. « Vue de Saint Maximin » (consulté le ).
  261. Cécile Debray (dir.), André Derain, 1904-1914, la décennie radicale, Paris, Editions du Centre Pompidou, , p. 174
  262. Centre Pompidou, « La blonde (dépôt au MBA de Nancy) » (consulté le )
  263. « Portrait de Matisse », notice no 00000068026, base Joconde, ministère français de la Culture.
  264. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « La Seine au Pecq » (consulté le )
  265. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Le vieil arbre » (consulté le )
  266. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Le Faubourg de Collioure » (consulté le )
  267. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Les Deux Péniches »,
  268. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Londres, Westminster » (consulté le )
  269. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Les Quais de la Tamise » (consulté le )
  270. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Nature morte » (consulté le )
  271. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Portrait de Lucie Kahnweiler » (consulté le )
  272. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Portrait d'Iturrino » (consulté le )
  273. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Portrait d'Alice Derain » (consulté le )
  274. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Portrait de Madame Lucie Kahnweiler » (consulté le )
  275. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Nu devant un rideau vert » (consulté le )
  276. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « La forêt de Fontainebleau » (consulté le )
  277. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Portrait de femme » (consulté le )
  278. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Portrait de femme » (consulté le )
  279. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Nature morte aux oranges » (consulté le )
  280. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « La parisienne » (consulté le )
  281. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Retour d'Ulysse » (consulté le )
  282. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Nature morte au lapin » (consulté le )
  283. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « La chasse » (consulté le )
  284. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Nature morte au vase noir » (consulté le )
  285. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « Nature morte aux grappes de raisin » (consulté le )
  286. Musée d’art et d’histoire du Judaïsme, « Portrait de Jacques Lipchitz » (consulté le )
  287. « La Rivière ».
  288. « Le phare de Collioure ».
  289. « Trois personnages assis dans l'herbe ».
  290. « Baigneuses ».
  291. « Nature morte à la table ».
  292. « Le dos ».
  293. « Nature morte au panier de cerises ».
  294. « Le gitan ».
  295. « Nu assis ».
  296. « Portrait de femme ».
  297. « Nu au canapé vert ».
  298. « Nu assis à la draperie verte ».
  299. « Tête de femme ».
  300. « Grande Bacchanale noire ».
  301. « Nature morte aux poires (avant 1936) ».
  302. « Marée basse à Camaret ».
  303. « Nature morte aux cerises ».
  304. « Nature morte aux raisins et aux poires ».
  305. « Nature morte aux poires ».
  306. « Les chèvres à Chambourcy ».
  307. « Les Chasseurs », notice no 03630000268, base Joconde, ministère français de la Culture.
  308. « La Gibecière », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  309. « Portrait de Paul Guillaume », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  310. « Nature morte champêtre », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  311. « La Table de cuisine », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  312. « Le Beau Modèle », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  313. « Arlequin et Pierrot », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  314. « Arlequin à la guitare », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  315. « Le Modèle blond », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  316. « Nu à la cruche », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  317. « Nature morte au panier », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  318. « Grand nu couché », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  319. « La Danseuse Sonia », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  320. « Melon et fruits », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  321. « Portrait de Madame Paul Guillaume au grand chapeau », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  322. « Poires et cruche », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  323. « Nature morte au verre de vin », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  324. « Nu au canapé », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  325. « Le Gros Arbre », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  326. « Paysage de Provence », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  327. « Paysage de Provence », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  328. « Le Noir à la mandoline », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  329. « La Nièce du peintre », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  330. « La Nièce du peintre assise », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  331. « Roses dans un vase », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  332. « Arbres et village », notice no 00000089465, base Joconde, ministère français de la Culture.
  333. « Arbres et village », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  334. « La Route », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  335. « Roses sur fond noir », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  336. « Paysage du Midi », sur musee-orangerie.fr (consulté le )
  337. « Pont de Charing Cross », sur musee-orsay.fr (consulté le )
  338. « Enfant courant sur la plage », sur musee-orsay.fr (consulté le )
  339. « Baigneuses ».
  340. « Portrait de jeune fille », notice no 50430000702, base Joconde, ministère français de la Culture.
  341. « Portrait de femme », notice no 07290022635, base Joconde, ministère français de la Culture.
  342. Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, « La tasse de thé » (consulté le )
  343. « Effets de soleil sur l'eau », notice no 000PE024065, base Joconde, ministère français de la Culture.
  344. « Westminster », notice no 000PE024066, base Joconde, ministère français de la Culture.
  345. « Westminster (Londres) ».
  346. « Pont sur la Tamise », notice no 000PE024067, base Joconde, ministère français de la Culture.
  347. « Le Pont sur la Tamise ».
  348. « Forêt de Fontainebleau ».
  349. « Portrait de jeune femme », notice no 000PE024068, base Joconde, ministère français de la Culture.
  350. « Portrait de jeune femme ».
  351. « La Clairière ».
  352. « Le Port de Collioure », notice no 000PE028456, base Joconde, ministère français de la Culture.
  353. « Big Ben », notice no 000PE028457, base Joconde, ministère français de la Culture.
  354. « Hyde Park ».
  355. « Paysage à Cassis ».
  356. « La Chapelle-sous-Crécy ».
  357. « La table garnie ».
  358. « Femme dans un atelier : Isabelle Damiler ».
  359. « Deux femmes nues et nature morte ».
  360. « La chasse au cerf ».
  361. « Nature morte aux poissons et à la poêle ».
  362. « Nature morte ».
  363. « Paysage sur les bords de la Loire à Ousson ».
  364. « Les deux hangars ».
  365. « Nature morte sur fond noir ».
  366. « Les Bacchantes ».
  367. « Nature morte aux fruits et feuillage ».
  368. « Paysage triste ».
  369. « Amiens », notice no 000PE028503, base Joconde, ministère français de la Culture.
  370. « Vue d'Amiens ».
  371. « Nature morte aux poissons ».
  372. « Portrait de Denise et Claire Lévy ».
  373. « Bateaux, à Noirmoutier ».
  374. « Paysage sinistre ».
  375. (en) « Nature morte »
  376. (en) « Nu »
  377. (en) « La ville italienne » (consulté le )
  378. « Landscape in Italy »
  379. « Still Life »
  380. « View of Donnemarie-en-Montois »
  381. « Nu dans un paysage »
  382. « Panorama, paysage de Provence »
  383. « Femme blonde dans un paysage »
  384. « Paysage d'Ile-de-France »
  385. « Les Buveurs »
  386. (en) Musée de l'Art occidental, « Madame Jean Renoir (Catherine Hessling) » (consulté le )
  387. (en) Musée de l'Art occidental, « Bathers » (consulté le )
  388. (en) Musée de l'Art occidental, « Fruit » (consulté le )
  389. « Femme au châle »
  390. « Painting »
  391. (nl) Museum de Fondatie, « Staand naakt » (consulté le )
  392. « Landscape near Cagnes »
  393. « Bartolomeo Savona »
  394. (en) National museum of Wales, « Madame Zborowska » (consulté le )
  395. (en) National museum of Wales, « Eglise à Vers » (consulté le )
  396. (en) Art UK, « Collioure » (consulté le )
  397. « Blackfriars Bridge, London »
  398. « Trees by a Lake, Le Parc de Carrières-St-Denis »
  399. « Flowers in a Vase »
  400. « Henri Matisse »
  401. « Le Bassin de Londres »
  402. « Madame Derain au châle blanc »
  403. « Paysage près de Barbizon »
  404. « Le Peintre et sa Famille »
  405. « Nature morte (vers 1943) »
  406. « Still Life with Fruit »
  407. « Jardins à Donnemarie en Montois »
  408. « Le séchage des voiles »
  409. « Le Château »
  410. « Le Vieux Pont »
  411. « Le Sentier dans les rochers »
  412. « Nature morte devant la fenêtre »
  413. « La Pinède »
  414. « Le Samedi »
  415. Port.
  416. Chemin de montagne.
  417. Maisons au bord de l'eau.
  418. Portrait d'homme avec journal.
  419. Table et chaises.
  420. Nature morte avec crâne.
  421. Bosquet.
  422. Falaises.
  423. Nature morte avec pichet en terre cuite et serviette blanche.
  424. Nature morte. Corbeille à pain et vin rouge.
  425. Martigues (port de Provence).
  426. Femme en noir.
  427. Portrait d'une femme en noir.
  428. Paysage avec bateau sur la berge.
  429. « Head of a Woman »
  430. (de) Basel Kunstmuseum, « Collection en ligne » (consulté le )
  431. « Collection Junod »
  432. « Scène d'intérieur »
  433. « Nature morte à la cruche »
  434. « Nature morte au panier »
  435. « Nature morte aux fruits »
  436. « Nu assis »
  437. « Paysage avec arbres »
  438. « Landscape with Bell Tower », sur photo.rmn.fr (consulté le )
  439. (de) Thomas Schmutz, « André Derains Autoportrait à la casquette: Ein Selbstbildnis als ungenützte Strategie », dans Zeitschrift für Kunstgeschichte, vol. 64, n° 3, 2001, p. 397-403 Aperçu en ligne.
  440. « Portrait de Picasso », notice no 50430000701, base Joconde, ministère français de la Culture
  441. « Paysage », notice no 00160003721, base Joconde, ministère français de la Culture.
  442. Livre d'artiste fait à Paris chez H. Kahnweiler, format 27 × 20 cm, en 106 exemplaires, impression du texte et des gravures par P. Birault, cf. W.-J. Strachan, The Artist and the Book in France, éd. P. Owen, Londres, 1969, p. 38, 45-46, 49, 330.
  443. Plusieurs éditions de 1934 à 1951 ; voir les notices bibliographiques du catalogue général de la BnF. Plus celle du Club français du livre de 1959.
  444. Voir sur moma.org.
  445. « timbre le phare de collioure »
  446. « Timbre les Péniches »
  447. Musée d'art moderne de la ville de paris

Annexes

Bibliographie

  • Patrice Bachelard, André Derain, un fauve pas ordinaire, Gallimard, Paris, 1994, 128 p. (ISBN 978-2070532858).
  • Laurence Bertrand-Dorléac, L'Art de la défaite, 1940-1944, Seuil, Paris, 1993, 396 p. (ISBN 978-2021018806).
  • Arno Breker, Paris, Hitler et moi, Presses de la Cité, Paris, 1970.
  • Pierre Cabanne, André Derain, Somogy, 1990 ; Folio, coll. « Folio Essais », Paris, 1994, 272 p. (ISBN 978-2070328567).
  • Michel Charzat, André Derain, le titan foudroyé, Hazan, Paris, 2015, 384 p. (ISBN 978-2754107457).
  • Philippe Dagen, André Derain, dessins inconnus, 1901-1954, Éditions Maeght, Paris, 1992, 99 p., (ISBN 978-2869411821).
  • André Derain, Lettres à Vlaminck. Suivies de la correspondance de guerre, Philippe Dagen (dir.), Paris, Flammarion, 1994, 298 p., (ISBN 978-2080117564).
  • Dictionnaire Bénézit, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, vol. 4, Éditions Gründ, , 13440 p. (ISBN 2-7000-3014-1), p. 458-461.
  • Werner Lange, Les Artistes en France sous l'Occupation. Van Dongen, Picasso, Utrillo, Maillol, Vlaminck, Éditions du Rocher, Paris, 2015, 176 p. (ISBN 978-2268076492).
  • (en) Jane Lee, « The Prints of Andre Derain », Print Quarterly, vol. VII, no 1, 1990.
  • Jean-Noël Liaut, Elle, Edmonde, Éditions Allary, 240 p. (ISBN 978-2370731159).
  • Isabelle Monod-Fontaine, André Derain : An outsider in French art, Copenhague, Statens Museum for Kunst, .
  • Jonathan Petropoulos, The Faustian Bargain: The Art World in Nazi Germany, Oxford University Press Inc., New York, 2000.
  • Albert Speer, Au cœur du Troisième Reich, Éditions Pluriels, Paris, 2011, 848 p. (ISBN 9782818500316).
  • Limore Yagil, Au nom de l'art, 1933-1945. Exils, solidarités et engagements, Éditions Fayard, Paris, 2015 568 p. (ISBN 978-2213680897).
  • Catalogue de l'exposition « L'Art en guerre, 1938-1947 », Laurence Bertrand-Dorléac (dir.) et de Jacqueline Munck, du au , musée d'art moderne de la ville de Paris, Paris Musées, 2012.
  • André Derain, le peintre du "trouble moderne", Catalogue de l'exposition du 18 novembre 1994 au 19 mars 1995 au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, Paris-musées 1994 (ISBN 978-2879001760)
  • Sous la direction de Cécile Debray, André Derain, 1904-1914, la décennie radicale, Éditions du Centre Pompidou, Paris, 2017

Liens externes

Bases de données et dictionnaires

  • Portail de la peinture
  • Portail de la sculpture
  • Portail de la gravure et de l'estampe
  • Portail de l’histoire de l’art
  • Portail de la Première Guerre mondiale
  • Portail de la Seconde Guerre mondiale
  • Portail de la France
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.