Barnabé

Joseph, surnommé Barnabé ou Barnabas, est un juif, lévite lié à l'île de Chypre (Ac 4,36), qui tient une place importante dans les Actes des apôtres, comme étant celui qui introduisit saint Paul auprès des apôtres à Jérusalem (Ac.9:27) et plus tard auprès des chrétiens d'Antioche, et fut son premier compagnon de voyage dont il est chef de mission.

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Barnabé

Barnabé (en vert) avec saint Pierre et saint Paul, vitrail de la cathédrale Saint-Corentin, Quimper.
Saint, apôtre, martyr
Naissance fin du Ier siècle av. J.-C. ou début de Ier siècle
Salamine, province romaine de Chypre
Décès vers 61 
Salamine, province romaine de Chypre
Vénéré à monastère de Saint Barnabé, Famagouste, Chypre
Vénéré par L'Église catholique, les Églises orthodoxes, les Églises anglicanes, les Églises luthériennes et les Églises des trois conciles
Fête 11 juin
Attributs branche d'olivier, bâton de pèlerin, Évangile selon Matthieu
Saint patron Chypre, Antioche ; paix, invoqué contre la grêle

Le Codex Bezae identifie explicitement Joseph Barnabas à Joseph Barsabas (Ac 1,23), Barnabas étant un surnom positif de son nom[1], ce qui est moins clair dans les versions des Actes des Apôtres que nous connaissons. Sur la base de ces versions des Actes, les Églises occidentales distinguent Barnabé de Joseph Barsabas, alors qu'il s'agit peut-être du même personnage. Il est mentionné dans les Actes des Apôtres au chapitre 15 au sujet du concile de Jérusalem.

Bien qu'il ne soit pas un des douze apôtres, l'Église catholique et l’Église orthodoxe lui donnent le titre d'apôtre, comme à saint Paul qui est dans le même cas. Il figure dans les listes de saints et est liturgiquement commémoré le 11 juin.

Éléments biographiques

Barnabé ne faisait pas partie du groupe des douze apôtres. Cependant les Actes des Apôtres lui en attribuent le titre au sens large, comme à Paul. Cf. Ac 14,14 : « Informés de la chose, les apôtres Barnabé et Paul déchirèrent leurs vêtements… ». Barnabé était le cousin de Marc l'évangéliste dont la mère, Marie était ainsi sa tante (Actes 12,12 et Col 4,10). Conformément aux règles de l'Église primitive à Jérusalem, il vendit un champ dont il mit le montant de la vente à la disposition des apôtres (Ac 4,36-37). Même s'il ne fait pas partie des douze Apôtres, Barnabé est un personnage de rang quasi apostolique. Clément d'Alexandrie indique qu'il faisait partie des septante disciples de Jésus et que ceux-ci ont reçu la « gnose » par l'intermédiaire des douze après la Résurrection[2].

Barnabé est le chef de mission du premier voyage missionnaire dans lequel Paul et Marc l’accompagnent. Il est mentionné dans les Actes des Apôtres au chapitre 15 dans le contexte du concile de Jérusalem, toutefois cet épisode a probablement été déplacé par le deuxième rédacteur des Actes pour suggérer que Paul  et donc Barnabé  ont assisté à cette réunion, à laquelle la tradition chrétienne donne une grande importance.

Paul et Barnabé connurent un désaccord au sujet de la composition de leur équipe, lors du second voyage apostolique de Paul. Barnabé voulait emmener Marc, mais Paul n'était pas de cet avis. Ils se séparèrent donc et formèrent deux équipes. Paul et Silas partirent pour la Lycaonie, tandis que Barnabé et Marc s'en allèrent évangéliser Chypre (Ac 15,36-40).

Saint Barnabé soignant les pauvres de Véronèse, musée des Beaux-Arts de Rouen.

Là s'arrêtent les données fondées sur des documents fiables remontant au Ier siècle. La suite repose sur des traditions plus tardives et moins sûres.

Barnabé se serait rendu dans l'île de Chypre pour l'évangéliser. Il y serait mort martyrisé près de Salamine, non loin de l'actuelle Famagouste. La forme du martyre diverge selon les sources : pendaison ou crémation[3] ou lapidation[4]. Son tombeau, découvert sous l'empereur Zénon (Ve siècle), aurait contenu un exemplaire de l'Évangile de Matthieu[5]. Tout proche de ce tombeau se situe le monastère Saint Barnabé.

Étymologie du surnom de Barnabé

Le mot français Barnabé vient du grec Βαρνάβας (Barnabas), qui lui-même transcrit un nom araméen.

Selon les Actes des Apôtres, le nom de Barnabé vient du surnom que lui auraient donné les apôtres qui l'ont appelé « Barnabas ce qui veut dire « fils d'encouragement » (Ac 4,36). », « fils du réconfort » ou « fils de consolation » (selon la traduction que l'on choisit du grec). Cette étymologie proposée par les Actes des Apôtres selon un procédé de style appelé paronomase, est fantaisiste. L'étymologie la plus vraisemblable est « Bar Nébo », « fils de Nébo », Nébo étant une divinité babylonienne[6], ou « Bar nebuah » (ou nabi), « fils de la prophétie » (ou de « prophète »)[7].

Barnabé dans les Actes des Apôtres

Les Actes des Apôtres parlent de Barnabé principalement lorsque saint Paul se trouve avec lui.

Carte du premier voyage missionnaire.
  • Le texte occidental, tel qu'attesté notamment par le Codex Bezae identifie Joseph Barnabas (c'est-à-dire Barnabé) avec Joseph Barsabas (Ac 1,23), le surnom de Barnabas (Barnabé) étant un surnom positif à partir de son nom[1], qui est un des deux « candidats » au remplacement de Judas.
  • Avant même l'apparition de Saul dans le récit, il est mentionné comme exemple de piété et de la Communauté de biens de l'Église primitive, puisqu'il vend son champ pour en apporter le prix au pied des apôtres (4,36-37).
  • Il se trouve donc à Jérusalem lorsque Saul y revient après un séjour de « trois ans en Arabie » (c'est-à-dire la Nabatène). C'est lui qui « amena [Paul] aux apôtres et leur raconta comment, sur le chemin, Saul avait vu le Seigneur (Jésus), qui lui avait parlé, et avec quelle assurance il avait prêché à Damas au nom de Jésus (Ac 9,27) ».
  • Plus d'un an après, Barnabé dirige une mission d'évangélisation accompagné de deux auxiliaires, Jean-Marc (en) et Saul. Ils embarquent à Séleucie et se rendent à Chypre.
  • De là, ils embarquent pour retourner sur le continent, puis se rendent directement à « Pergé, en Pamphylie (Ac 13,13) ».
  • Jean-Marc retourne alors à Jérusalem et Barnabé assisté de Paul effectue ce que la tradition chrétienne appelle le Premier voyage missionnaire de Paul (premier voyage estimé de 45 à 49), au cours duquel ils se rendent dans de nombreuses villes.
Son tombeau près de l'ancienne Salamine, monastère Saint Barnabé, Chypre.
  • De retour à Antioche, la communauté de cette ville les envoie avec « quelques autres » à Jérusalem « auprès des apôtres et des anciens pour traiter [du] litige [né au sujet du caractère obligatoire ou non de la circoncision (Ac 15,3) ». Ils assistent au Concile de Jérusalem.
  • Étant à nouveau retourné à Antioche, Paul et Barnabé se séparent de façon conflictuelle (Ac 15,37-39), à cause de l'attitude à adopter face à Jean-Marc.
  • Après cette séparation d'avec Paul, Barnabé disparaît définitivement des Actes des Apôtres. Tout ce que l'on sait, c'est que son étape suivante est à nouveau l'île de Chypre vers laquelle il se dirige, accompagné de Jean-Marc (Ac 15,39), alors que Paul quitte Antioche.

Barnabé dans le roman pseudo-clémentin

Les écrits pseudo-clémentins n'associent pas Barnabé à Chypre mais à deux autres lieux :

  • Les Reconnaissances indiquent que le « négociant en toiles », anonyme dans les Homélies, qui convainc le futur évêque Clément à Rome en lui exposant « la doctrine de l'unité divine », est en fait Barnabé[8].
  • Les Homélies associent Barnabé à Alexandrie où il réside lorsque le futur évêque Clément le rencontre alors qu'il arrive de Rome[9].

Hormis le lieu de rencontre, les deux récits sont quasiment parallèles. Or, selon l'opinion majoritaire des chercheurs actuels, les deux formes du roman pseudo-clémentin dépendent d'un « écrit de base » dont la reconstruction ne fait pas consensus au sein de la communauté scientifique, au point que l'existence même de cet écrit de base est encore soumise à discussion[10]. La question de savoir la version alexandrine ou la version romaine de la mission de Barnabé est celle présente dans cet écrit de base ne fait pas non plus l'objet de consensus[11].

La fonction principale de Barnabé dans le roman est de servir d'intermédiaire entre Clément et Pierre, présentant le premier au second, comme dans les Actes des apôtres il introduit Paul auprès des apôtres. En outre Barnabé présente dans le roman pseudo-clémentin, par son opposition à des philosophes païens, des similitudes avec la figure de Paul dans les Actes des Apôtres. Au bout du compte, Clément et Barnabé permettent au rédacteur du roman pseudo-clémentin « d'éliminer » Paul comme figure majeure du christianisme primitif[12], ce qui constitue une marque supplémentaire de son anti-paulinisme[13].

Ainsi le roman pseudo-clémentin se distingue des Actes des apôtres sur deux points majeurs : il ne relie pas Barnabé à Paul et ne le lie pas à Chypre.

Œuvres attribuées à Barnabé

  • Il est aussi parfois associé à l’Épître de Barnabé, bien que les exégètes modernes pensent qu'il est plus probable que cette épître ait été écrite à Alexandrie dans les années 130. Le texte de cette épître ne permet pas d'identifier son auteur avec le Barnabé du Nouveau Testament. Du reste, un seul manuscrit, tardif, associe explicitement le Barnabé de cette Épître avec le Barnabé compagnon de Paul, et le texte lui-même ne sous entend pas une telle association[15].
  • L'antique Évangile de Barnabé est perdu. Il existe un Évangile de Barnabé beaucoup plus tardif, souvent attribué aux musulmans par les chercheurs bien que ces derniers le rejettent et ne reconnaissent pas son authenticité (Il contredit les récits du Coran et l'histoire de Maryam (la mère de Jésus-Îsâ) telle qu'elle est relatée dans la tradition musulmane).

Œuvres relatives à Barnabé

Tradition chypriote

  • Il existe une Louange de Barnabé écrite par Alexandre de Chypre au VIe siècle, visant à défendre l'autocéphalie Chypriote[16].

Tradition milanaise

Les listes d'apôtres et de disciples du Pseudo-Épiphane et du Pseudo-Dorothée mentionnent dès le VIIIe – IXe siècles un rattachement à Milan, bien qu'on explique mal l'origine de ce rattachement à Milan dans des listes d'origine byzantines. Toutefois l'Histoire Datiana ou Liber de situ civitatis Mediolanensis, un texte du XIe siècle, rapporte en détail un séjour milanais de Barnabé. Or l'époque de rédaction correspond à une période de conflit entre Milan, Venise et Aquilée pour la domination ecclésiastique en Italie du Nord et contre la suprématie de l'Église de Rome. Ainsi, comme pour les textes de la tradition chypriote, il existe une corrélation étroite entre lutte ecclésiale et textes relatifs à Barnabé[17].

Il existe plusieurs textes hagiographiques en latin reprenant ce dossier, mais pas ou partiellement édités (BHL 988-990).

Dictons de la Saint-Barnabé (11 juin)

En référence à la saint Médard célébrée le 8 juin, divers dictons sont liés à la saint Barnabé célébrée le 11 juin, le jour du solstice d'été avant la réforme du calendrier grégorien :

  • « Ce que saint Médard fait, saint Barnabé le défait. »[18]
  • « De Barnabé, la journée clairette, Saint-Médard, rachète. »[18]
  • « Le soleil de Saint-Barnabé, à Saint-Médard casse le nez. »[18]
  • « S'il pleut à la Saint-Médard, il pleut quarante jours plus tard, à moins que Saint-Barnabé ne lui coupe l'herbe sous le pied/ne vienne lui casser le nez. »[19]
  • « Si Saint-Médard est un grand pissard, Saint-Barnabé, Dieu soit loué lui reboutonnera la culotte »[20]
  • « S'il pleut à la Saint-Médard, il pleut quarante jours plus tard, à moins que Barnabé remette le pain dans la maie. Mais s'il pleut à la Saint-Barnabé, ça repousse jusqu'à la Saint-Gervais (19 juin) qui ferme le robinet. »[18]
  • « Si Médard et Barnabé comme toujours, s'entendaient pour te jouer des tours, tu auras encore Saint-Gervais, qui le beau va ramener. »[18]
  • « À la Saint-Barnabé, la faux au pré. »[18]
  • « À la Saint-Barnabé, le jour croît d'un saut de baudet. »[21]
  • « À Saint-Barnabé, canards potelés. »[18]
  • « À Saint-Barnabé, on sème le navet. »[18]
  • « S'il pleut à la Saint-Barnabé, le seigle perd pied. »[18]
  • « À la Saint-Barnabé, le seigle sort de sa peau. »[18]
  • « Au temps de la Saint-Barnabé, la gerbe retourne à l’abbé. »[22]
  • « Blés fleuris à Saint-Barnabé font abondance et qualité. »[18]
  • « Le plus grand jour de tout l'été, c'est le jour de Saint-Barnabé. »[23]
  • « Ondée de Saint-Barnabé, maison inondée. »[18]
  • « Pour la Saint-Barnabé, le soleil rayonne au fond du pichet. »[18]
  • « S'il pleut à la Saint-Barnabé, il y a de l'avoine partout où l'on a semé. »[18]
  • « S’il pleut à la Saint-Barnabé, la moisson sera inondée/ diminue la récolte de moitié. »[24]
  • « S’il pleut à la Saint-Barnabé, la vendange coule jusqu’au panier. »[18]

Bibliographie

Sources primaires

Voir les bibliographies dans :

Sur la figure historique

  • (de) Öhler, Markus, Barnabas : Die historische Person und ihre Rezeption in der Apostelgeschichte (Wissenschaftliche Untersuchungen zum Neuen Testament156), Tübingen : Mohr Siebeck, 2003

Sur la figure littéraire

  • Starowieyski, Marek « La légende de Saint Barnabé » dans F. Amsler et al., Nouvelles intrigues pseudo-clémentines - Plots in the Pseudo-Clementine Romance : Actes du deuxième colloque international sur la littérature apocryphe chrétienne, Lausanne - Genève, 30 août - 2 septembre 2006 (Publications de l'Institut Romand des Sciences Bibliques 6), Prahins : Éditions du Zèbre, 2006, p. 135-148.
  • (it) Tomea, Paolo, Tradizione apostolica e coscienza cittadina a Milano nel medioevo : La leggenda di san Barnaba, Milan : Vita e Pensiero, 1993.
  • (en) Verheyden, Joseph, « Presenting Minor Character in the Pseudo-Clementine Novels : the Case of Barnabas » dans F. Amsler et al., Nouvelles intrigues pseudo-clémentines - Plots in the Pseudo-Clementine Romance : Actes du deuxième colloque international sur la littérature apocryphe chrétienne, Lausanne - Genève, 30 août - 2 septembre 2006 (Publications de l'Institut Romand des Sciences Bibliques 6), Prahins : Éditions du Zèbre, 2006, p. 249-257.

Notes et références

  1. Sylvie Chabert d'Hyères, Commentaire des Actes des Apôtres selon le codex Bezæ Cantabrigiensis, Commentaire sur Ac 1,23.
  2. Editrice Anselmiana, Studia anselmiana: Sacramentum, no 79-80, 1980, p. 325.
  3. Actes de Barnabé, 23, trad. Enrico Norelli, dans Écrit Apocryphes Chrétiens t. 2, Gallimard, 2005, p. 641, le texte n'est pas clair pour savoir si le corps a été brûlé une fois mort ou encore vivant
  4. (la) Alexandre de Chypre, Laudatio Barnabae, 539-541, éd. Peter Van Deun, CCSG 26, p. 105-106).
  5. (la) Alexandre de Chypre, Laudatio Barnabae, 724-676, éd. Peter Van Deun, CCSG 26, p. 114-116.
  6. (de) Markus Öhler, Barnabas : Die historische Person und ihre Rezeption in der Apostelgeschichte (Wissenschaftliche Untersuchungen zum Neuen Testament 156), Tübingen : Mohr Siebeck, 2003, p. 141-167.
  7. (en) Bernd Kollmann, Joseph Barnabas : His Life and Legacy, Liturgical Press, , p. 16.
  8. Reconnaissances, I, 7-11, trad. Luigi Cirillo et André Schneider, dans Écrits apocryphes chrétiens t. 2, Paris, Gallimard 2005, p. 1631-1636.
  9. Homélies, I, 9-13, trad. André Schneider, dans Écrits apocryphes chrétiens t. 2, Paris, Gallimard 2005, p. 1241-1245.
  10. Frédéric Amsler, « État de la recherche récente sur le Roman Pseudo-Clémentin » dans F. Amsler et al., Nouvelles intrigues pseudo-clémentines - Plots in the Pseudo-Clementine Romance : Actes du deuxième colloque international sur la littérature apocryphe chrétienne, Lausanne - Genève, 30 août - 2 septembre 2006 (Publications de l'Institut Romand des Sciences Bibliques 6), Prahins : Éditions du Zèbre, 2006, p. 30-38.
  11. (en) Joseph Verheyden, « Presenting Minor Character in the Pseudo-Clementine Novels : the Case of Barnabas » dans F. Amsler et al., Nouvelles intrigues pseudo-clémentines - Plots in the Pseudo-Clementine Romance : Actes du deuxième colloque international sur la littérature apocryphe chrétienne, Lausanne - Genève, 30 août - 2 septembre 2006 (Publications de l'Institut Romand des Sciences Bibliques 6), Prahins : Éditions du Zèbre, 2006, p. 253.
  12. Joseph Verheyden, « Presenting Minor Character in the Pseudo-Clementine Novels : the Case of Barnabas » dans F. Amsler et al., Nouvelles intrigues pseudo-clémentines - Plots in the Pseudo-Clementine Romance : Actes du deuxième colloque international sur la littérature apocryphe chrétienne, Lausanne - Genève, 30 août - 2 septembre 2006 (Publications de l'Institut Romand des Sciences Bibliques 6), Prahins : Éditions du Zèbre, 2006, p. 256-257.
  13. Luigi Cirillo, « L'antipaolonismo nelle Pseudoclementine. Un riesame della questione », dans G. Filoramo et C. Gianotto, Verus Israel : Nuove prospettive sul giudeocristianesimo - Atti del Colloquio di Torino (4-5 novembre 1999), Brescia : Paideia Editrice, 2001, p. 280-303.
  14. (en) Voir Erik de Boer, « Tertullian on “Barnabas' Letter to the Hebrews" in De pudicitia 20.1-5 », Vigiliae Christianae 68.3 (2014), p. 243-263.
  15. Pierre Prigent, « Introduction », in Épître de Barnabé, éd. Robert A. Kraft, trad., annot. et introd. par Pierre Prigent, Paris : Cerf, Sources Chrétiennes 172, p. 27.
  16. Alexandre de Chypre, Laudatio Barnabae, éd. Peter Van Deun, CCSG 26.
  17. Marek Starowieyski, « La légende de Saint Barnabé » dans F. Amsler et al., Nouvelles intrigues pseudo-clémentines - Plots in the Pseudo-Clementine Romance : Actes du deuxième colloque international sur la littérature apocryphe chrétienne, Lausanne - Genève, 30 août - 2 septembre 2006 (Publications de l'Institut Romand des Sciences Bibliques 6), Prahins : Éditions du Zèbre, 2006, p. 144-145. Voir l'ouvrage fondamental sur le sujet : Paolo Tomea, Tradizione apostolica e coscienza cittadina a Milano nel medioevo : La leggenda di san Barnaba, Milan : Vita e Pensiero, 1993.
  18. Gabrielle Cosson, Dictionnaire des dictons des terroirs de France, Paris, Larousse, , 380 p. (ISBN 978-2-03-585301-1, présentation en ligne), p. 28, 36, 45, 58, 128, 154, 179, 236, 252, 275, 280, 285, 328.
  19. Pierre Collombert, Alain Baraton et Émile Perro, Paysans : 366 proverbes et dictons au rythme des saisons, Romagnat, De Borée, , 365 p. (ISBN 2-84494-495-7, lire en ligne), p. 7
  20. Michel Giard, L'esprit de la brouette, Turquant, Cheminements, , 153 p. (ISBN 978-2-84478-270-0, lire en ligne), p. 32,
  21. Roger Pinon, Les mille et une mesures du temps : Croissance et décroissance de la journée dans les traditions populaires d'Europe occidentale, Liège, Éditions du Céfal, , 180 p. (ISBN 978-2-87130-231-5, lire en ligne), p. 51.
  22. Aimé de Soland, Proverbes et dictons rimés de l'Anjou, Angers, De Lainé frères, , 210 p. (lire en ligne), p. 28
  23. Jacques Collin de Plancy, Légendes du calendrier, Paris, Plon, , 398 p. (lire en ligne), p. 161
  24. Anne-Christine Beauviala, Météo et dictons régionaux, Éd. Christine Bonneton, 2010.

Annexes

Articles connexes

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