Breux-Jouy

Breux-Jouy (prononcé [bʁø ʒui] ) est une commune française située à trente-six kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Breux et Jouy.

Breux-Jouy

L’hôtel de ville.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Étampes
Intercommunalité CC Le Dourdannais en Hurepoix
Maire
Mandat
Alberto Rodrigues
2020-2026
Code postal 91650
Code commune 91106
Démographie
Gentilé Brojiciens
Population
municipale
1 290 hab. (2019 )
Densité 276 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 33′ 41″ nord, 2° 10′ 40″ est
Altitude Min. 55 m
Max. 151 m
Superficie 4,68 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dourdan
Législatives 3e circonscription de l'Essonne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Breux-Jouy
Géolocalisation sur la carte : France
Breux-Jouy
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Breux-Jouy
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Breux-Jouy
Liens
Site web http://www.breux-jouy.fr/

    Il s'agit de là réunion de deux villages distincts : Breux et Jouy. Breux est situé dans la vallée de la Renarde, Jouy dans la vallée de l'Orge. Breux possède l’église et le cimetière, Jouy la mairie et l'école primaire.

    Ses habitants sont appelés les Brojiciens[1].

    Géographie

    Situation

    Position de Breux-Jouy en Essonne.

    Breux-Jouy est située en Île-de-France, à trente-six kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[2], point zéro des routes de France, vingt-et-un kilomètres au sud-ouest d'Évry, quatorze kilomètres au nord-est d'Étampes, six kilomètres au sud-ouest d'Arpajon, onze kilomètres au sud-ouest de Montlhéry, treize kilomètres au nord-est de Dourdan, quinze kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais, dix-sept kilomètres au sud-ouest de Palaiseau, vingt-trois kilomètres au sud-ouest de Corbeil-Essonnes, vingt-huit kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt.

    Elle est par ailleurs située à quatre-vingt-trois kilomètres au sud-est de son homonyme Breux-sur-Avre dans l'Eure[3] et à deux-cent-soixante kilomètres au sud-ouest de son homonyme Breux dans la Meuse[4].

    Le point le plus bas de la commune est situé à cinquante-cinq mètres d'altitude et le point culminant à cent cinquante-et-un mètres[5].

    La desserte de la commune est assurée par la gare de Breuillet-Village, située sur la branche de Dourdan de la ligne C du RER d'Île-de-France.

    Le Sentier de grande randonnée 1 traverse le territoire de la commune.

    La commune est desservie par la ligne 68.06 de la société de transport Keolis Meyer. Celle-ci fonctionne en semaine en période scolaire permettant aux élèves de venir ou de rejoindre la gare de Saint-Chéron[réf. nécessaire].

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    L'Orge, et son affluent, La Renarde, traversent la commune.

    Elles sont des affluents de la rive gauche de la Seine.

    Climat

    Breux-Jouy bénéficie d'un climat océanique atténué, caractérisé par des hivers frais, des étés doux et des précipitations également réparties sur l'année. Les températures moyennes relevées à la station départementale de Brétigny-sur-Orge s'élèvent à 10,8 °C avec des moyennes maximales et minimales de 15,2 °C et 6,4 °C. Les températures réelles maximales et minimales relevées sont de 24,5 °C en juillet et 0,7 °C en janvier, avec des records établis à 38,2 °C le et −19,6 °C le . La situation en grande banlieue de la commune entraîne une moindre densité urbaine et une différence négative de un à deux degrés Celsius avec Paris. Toutefois, située à proximité du centre urbain et sans présence de vastes espaces de culture, l'ensoleillement de la commune s'établit à 1 798 heures annuellement, comme sur l'ensemble du nord du département. Avec 598,3 millimètres de précipitations cumulées sur l'année et une répartition approximative de cinquante millimètres par mois, la commune est arrosée dans les mêmes proportions que les autres régions du nord de la Loire.

    Données climatiques à Breux-Jouy.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,7 1 2,8 4,8 8,3 11,1 13 12,8 10,4 7,2 3,5 1,7 6,4
    Température moyenne (°C) 3,4 4,3 7,1 9,7 13,4 16,4 18,8 18,5 15,6 11,5 6,7 4,3 10,8
    Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,6 11,4 14,6 18,6 21,8 24,5 24,2 20,8 15,8 9,9 6,8 15,2
    Ensoleillement (h) 59 89 134 176 203 221 240 228 183 133 79 53 1 798
    Précipitations (mm) 47,6 42,5 44,4 45,6 53,7 51 52,2 48,5 55,6 51,6 54,1 51,5 598,3
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Brétigny-sur-Orge de 1948 à 2002[6],[7].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    Rimoron (ferme et château, près de Saint-Sulpice-de-Favières) - la Soupane (près de Breuillet).

    Urbanisme

    Typologie

    Breux-Jouy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

    Occupation des sols en 2008.
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Espace urbain construit 9,7 % 46,07
    Espace urbain non construit 4,4 % 20,93
    Espace rural 86,0 % 410,11
    Source : Iaurif-MOS 2008[16]

    Toponymie

    Brueil vers 1370, Brolium vers 1520[17].

    Dérivé du mot gaulois brogi, le mot bas-latin brogilus a le sens de "petit bois enclos"[17], un taillis ou les gibiers pouvaient se réfugier[18].

    Breux représente une corruption de breuil[18].

    La commune est instituée en 1793 par la Révolution française sous le seul nom de Breux, la dénomination actuelle de Breux-Jouy date de 1976[19],[18].

    Histoire

    Les traces d'occupation humaine dans la vallée de la Renarde remontent au Paléolithique moyen (80 000 à 30 000 ans av. J.-C.).

    Les Celtes, puis les Gaulois y trouvent d'excellentes conditions de vie. Une tête d'homme en marbre blanc témoigne de l'installation d'une colonne romaine à Rimoron.

    La région est christianisée vers le IIIe siècle et la paroisse de Breux existe au XIe siècle.

    L’activité agricole se développe, les moulins se multiplient, certains comme celui de Breux en 1380 ont un vivier. Aux XIVe et XVe siècles, la succession ininterrompue de guerres, d'épidémies et de pillages ruine cette prospérité. Il faut tout reconstruire : les petits seigneurs cherchent à entrer dans la clientèle des grands. Ainsi, François de Grancher, seigneur de Breux se place sous la protection de Jeanne de Graville, baronne de Saint-Yon. La terre et la seigneurie de Breux passent au XVIe siècle. la terre et la seigneurie de Breux passent au XVIe siècle aux mains de ses descendants. L’une d'elles, Marie-Charlotte de Balzac d'Entragne cède ses biens à l'Hôtel-Dieu de Paris.

    Par suite d'échanges, Breux entre en 1659 dans le marquisat de Baville appartenant à Guillaume de Lamoignon, premier président du Parlement de Paris. Breux vit dans l'orbite de Breuillet jusqu'en 1866, année de la création de l'école de garçons à Jouy -rattaché à Breux pour ne former une seule commune.

    Seconde Guerre mondiale

    Le 19 août 1944, lors des combats de la Libération de la France, alors que les soldats allemands commençaient à battre retraite, un événement malheureux se produisit au moulin de Breux. Un groupe de sept résistants en attente d'intervention au pont Guérin tira sur une automobile allemande et fut repéré. Il s'ensuivit une opération de représailles : un cadre de la résistance se réfugia au moulin de Breux, où Aldo Vallicelli — d'origine italienne et ayant réussi à échapper au régime de Mussolini — lui proposa de se changer afin qu'il ne fût pas reconnu et proposa de le laisser seul afin de ne pas éveiller de soupçon. Il s'esquiva donc par une fenêtre arrière donnant sur la forêt qu'il connaissait bien. Il fut abattu avant de l'atteindre[20].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[21], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement d'Étampes après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Dourdan-Nord de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place des Hauts-de-Seine, elle intègre le canton de Saint-Chéron [19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Dourdan

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Essonne.

    Intercommunalité

    Breux-Jouy est membre de la communauté de communes Le Dourdannais en Hurepoix, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2005 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Tendances politiques et résultats

    Élections présidentielles

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections législatives

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections européennes

    Résultats des deux meilleurs scores :

    Élections régionales

    Résultats des deux meilleurs scores :

    Élections cantonales et départementales

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections municipales

    Résultats des deuxièmes tours :

    Référendums

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[36].
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2008 Jean-Claude Hillion DVD  
    2008 mai 2020 Pascale Boudart   Vice-présidente de la CC Le Dourdannais en Hurepoix (2014 → )
    mai 2020[37] En cours
    (au 8 octobre 2020)
    Alberto Rodrigues    

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008[38].

    Jumelages

    La commune de Breux-Jouy n'a développée aucune association de jumelage[Quand ?].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].

    En 2019, la commune comptait 1 290 habitants[Note 3], en augmentation de 4,12 % par rapport à 2013 (Essonne : +3,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    399453502458433391398408421
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    401383391374404363378350350
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    349355395344387429371410488
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    5416767839081 0761 2591 2351 2301 233
    2017 2019 - - - - - - -
    1 2451 290-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,5 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 626 hommes pour 623 femmes, soit un taux de 50,12 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,98 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ou +
    1,2 
    5,9 
    75-89 ans
    9,2 
    17,8 
    60-74 ans
    16,8 
    24,8 
    45-59 ans
    23,0 
    18,5 
    30-44 ans
    17,2 
    15,9 
    15-29 ans
    14,4 
    17,0 
    0-14 ans
    18,4 
    Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2018 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,2 
    5,2 
    75-89 ans
    6,9 
    12,7 
    60-74 ans
    13,6 
    20,2 
    45-59 ans
    19,6 
    20 
    30-44 ans
    20,2 
    19,9 
    15-29 ans
    18,3 
    21,6 
    0-14 ans
    20 

    Enseignement

    Les élèves de Breux-Jouy sont rattachés à l'académie de Versailles.

    La commune dispose en 2010 sur son territoire de l'école primaire Henri-Le Cocq[44].

    Lieux de culte

    La paroisse catholique de Breux-Jouy est rattachée au secteur pastoral des Trois-Vallées-Arpajon et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Martin[45].

    Médias

    L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

    Économie

    Par le passé, Breux a une vocation exclusivement agricole : y sont pratiquées la culture des céréales et de la vigne, la polyculture maraîchère et surtout la culture des plantes à graines destinées aux établissements Vilmorin, Clause ou Simon. Dans les années 1950 tous ces produits sont écoulés avec difficulté et les terres sont cédés à des Parisiens en mal de verdure. La voie ferrée n'apporte pas de développement industriel mais accroît le nombre de résidents.

    Breux-Jouy reste aujourd'hui une commune rurale.

    Emplois, revenus et niveau de vie

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 45 352 , ce qui plaçait Breux-Jouy au 802e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[46].

    Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
      Agriculteurs Artisans, commerçants,
    chefs d’entreprise
    Cadres et professions
    intellectuelles supérieures
    Professions
    intermédiaires
    Employés Ouvriers
    Breux-Jouy - - - - - -
    Zone d'emploi de Dourdan 0,7 % 6,0 % 18,9 % 28,5 % 26,3 % 19,6 %
    Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
    Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
      Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
    entreprises
    Services aux
    particuliers
    Breux-Jouy - - - - - -
    Zone d'emploi de Dourdan 1,7 % 10,4 % 7,5 % 11,8 % 21,6 % 6,9 %
    Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
    Sources : Insee[47],[48],[49]

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Les berges de l'Orge et de la Renarde, les bois au sud et au nord-ouest et les champs au nord ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[50].

    Le château de Baville du XVIIe siècle a été inscrit aux monuments historiques le [51].

    Il y a un pont de l'époque romaine sur la Renarde, au niveau de la ferme de Rimoron qui date du XVIe siècle ; elle est située sur les hauts de Breux-Jouy, tout près de Saint-Sulpice.

    L'église Saint-Martin XIIIe/XVIe, remaniée aux siècles suivants : portail XIIIe, tympan roman soutenu par deux colonnes à chapiteaux décorés de palmes, tour carrée épaulée de contreforts et coiffée en bâtière ; retables en bois sculpté XVIIe et XVIIIe, lutrin XVIIe.

    Personnalités liées à la commune

    Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Breux-Jouy :

    Héraldique

    La commune ne dispose pas de blason.


    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Breux-Jouy », p. 876–879
    • Simone Rivière, La vallée de la Renarde : Saint-Yon, Boissy-sous-Saint-Yon, Breuillet, Breux, Saint-Sulpice-de-Favieres, La Briche, Souzy, Villeconin, Venant, Boissy-le-Sec, Imprimerie Tardy,

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 01/04/2009.
    2. Orthodromie entre Breux-Jouy et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
    3. Orthodromie entre Breux-Jouy et Breux-sur-Avre sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
    4. Orthodromie entre Breux-Jouy et Breux sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
    5. « Données géographiques » sur Géoportail (consulté le 19/02/2013.)..
    6. « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur le site de lameteo.org (consulté le ).
    7. « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 07/11/2010.
    17. – Marianne Mulon –Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207).
    18. Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak, Origine des noms de lieux de Paris et grande couronne (91-92-93-94-95), page 100
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. André Garriot "Dourdan et ses environs 1939-1945" Imprimerie Le Cloître 29800 Saint-Thonan, juillet 2008".
    21. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    22. Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
    23. Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
    24. Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 07/05/2012.
    25. Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
    26. Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
    27. Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 20/06/2012.
    28. Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
    29. Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
    30. Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
    31. Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 30/03/2010.
    32. Résultats de l'élection cantonale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
    33. Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/01/2013.
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    35. Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 29/06/2009.
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