Cazilhac (Hérault)

Cazilhac est une commune française située dans le nord-est du département de l'Hérault en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Cazilhac.

Cazilhac

Église Saint-Léonce de Cazilhac-le-Bas

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes des Cévennes gangeoises et suménoises
Maire
Mandat
Pierre Compan
2020-2026
Code postal 34190
Code commune 34067
Démographie
Gentilé Cazilhacois
Population
municipale
1 536 hab. (2019 )
Densité 131 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 55′ 28″ nord, 3° 42′ 09″ est
Altitude 166 m
Min. 132 m
Max. 523 m
Superficie 11,69 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Ganges
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lodève
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Cazilhac
Géolocalisation sur la carte : France
Cazilhac
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Cazilhac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Cazilhac

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Hérault, la Vis, le Rieutord et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « gorges de la Vis et de la Virenque » et les « gorges de l'Hérault ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Cazilhac est une commune urbaine qui compte 1 536 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine de Ganges. Ses habitants sont appelés les Cazilhacois ou Cazilhacoises.

    Géographie

    Carte

    Cazilhac se situe dans la haute vallée de l'Hérault, à 45 km au Nord de Montpellier, 60 km au Nord-Ouest de Nîmes. La commune s'étend entre le massif de la Séranne et le cours d'eau de l'Hérault, elle jouxte la commune de Ganges, chef-lieu du canton.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 17,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 210 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Moules-et-Baucels », sur la commune de Moulès-et-Baucels, mise en service en 1985[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 113,8 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 42 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[14] :

    • les « gorges de l'Hérault », d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[15] ;
    • les « gorges de la Vis et de la Virenque », d'une superficie de 5 501 ha, un grand site régional qui entaille et sépare l'ensemble des grands causses méridionaux. Il présente deux intérêts majeurs : des habitats aquatiques et des ripisylves, avec six espèces de l'annexe II et des habitats de rochers avec des chauves-souris, les pentes avec de grands éboulis et des pentes boisées de hêtraie calcicole[16] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[17] : les « gorges de la Vis » (3 661 ha), couvrant 8 communes dont cinq dans le Gard et trois dans l'Hérault[18] et trois ZNIEFF de type 2[Note 6],[17] :

    • le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » (44 035 ha), couvrant 33 communes dont une dans l'Aveyron, deux dans le Gard et 30 dans l'Hérault[19] ;
    • les « gorges de la Vis et de la Virenque » (9 620 ha), couvrant 16 communes dont dix dans le Gard et six dans l'Hérault[20] ;
    • le « plateau du Taurac » (2 196 ha), couvrant 8 communes dont une dans le Gard et sept dans l'Hérault[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Cazilhac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[22],[I 1],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Ganges, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[I 2] et 8 042 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 5],[I 6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (57,6 %), forêts (21,2 %), zones agricoles hétérogènes (11,7 %), zones urbanisées (6,3 %), prairies (3,2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Le village de Cazilhac est fort ancien puisqu'il est mentionné dès 1107 par le cartulaire de Gellone sous le nom de Casialacum. Au XIIe siècle, Casialacum devient Cassillac, puis enfin Cazilhac au XVIIe siècle[25].

    Le 14 septembre 1885, la commune de Cazilhac-le-Bas prend le nom de Cazilhac[26].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1793 Cambon    
    1793 1795 ? Antoine Bathélémy Garric    
    1800 1803 Jean Ribard    
    1803 1813 Pierre Foulquier    
    1813 1813 François Guibal   Démissionnaire
    1813 1815 Louis Castelviel    
    1815 1820 Pierre Garric    
    1820 1821 André Pouget   Adjoint maire par intérim
    1821 1830 André Pouget   Démissionnaire
    1830 1834 François Barthélémy Guibal    
    1834 1834 Pierre Foulquier   Démissionnaire
    1834 1837 Pierre Guibal    
    1837 1847 François Gounelle   Démissionnaire
    1847 1848 Victor Delarbre    
    1848 1850 François Gounelle   Démissionnaire
    1850 1866 Pierre Garric   Décédé
    1866 1871 Charles Barral    
    1871 1871 Paul Gounelle   Président de la commission spéciale provisoire
    1871 1878 Barthélémy Garric    
    1878 1884 Paul Gounelle    
    1884 1896 Achille Gros    
    1896 1898 Clément Ribard    
    1898 1902 Barthélémy Fesquet    
    1902 1904 Henri Ricard    
    1904 1944 Henri de Rodez Benavent    
    1944 1944 Emile Anguiviel   Président de la délégation spéciale, démissionnaire
    1944 1944 Raymond Poncet   Vice-président, président par intérim de la délégation spéciale
    1944 1945 Raymond Poncet   Président de la délégation spéciale
    1945 1947 Clément Cambon    
    1947 1977 Roger Fesquet    
    1977 1995 Maurice Gros RPR  
    1995 2014 Pierre Servier DVD  
    mars 2014 En cours Pierre Compan UDI Agent général d'assurances
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

    En 2019, la commune comptait 1 536 habitants[Note 8], en augmentation de 7,34 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    362399450427503582551659645
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    674676666720690685711719675
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    656710723649721684664633675
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    7468578409151 0041 1611 2391 2511 269
    2014 2019 - - - - - - -
    1 4811 536-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 657 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 1 538 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 250 [I 7] (20 330  dans le département[I 8]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 9]8,1 %8,6 %10,2 %
    Département[I 10]10,1 %11,9 %12 %
    France entière[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 856 personnes, parmi lesquelles on compte 76,7 % d'actifs (66,4 % ayant un emploi et 10,2 % de chômeurs) et 23,3 % d'inactifs[Note 10],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 12]. Elle compte 128 emplois en 2018, contre 140 en 2013 et 129 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 579, soit un indicateur de concentration d'emploi de 22,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,3 %[I 13].

    Sur ces 579 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 76 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 91,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 3,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    93 établissements[Note 11] sont implantés à Cazilhac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble93100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    88,6 %(6,7 %)
    Construction3234,4 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1314 %(28 %)
    Information et communication55,4 %(3,3 %)
    Activités financières et d'assurance11,1 %(3,2 %)
    Activités immobilières22,2 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1212,9 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    99,7 %(14,2 %)
    Autres activités de services1111,8 %(8,1 %)

    Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 34,4 % du nombre total d'établissements de la commune (32 sur les 93 entreprises implantées à Cazilhac), contre 14,1 % au niveau départemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[31] :

    • A2Web Communication, activités des agences de publicité (39 k€)
    • Agantico Informatique, conseil en systèmes et logiciels informatiques (13 k€)

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations352164
    SAU[Note 13] (ha)13215950191

    La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[32]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (35 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 191 ha[34],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Cazilhac-le-Haut, Temple réformé.
    • Temple protestant de la Tuilière, Cazilhac-le-Haut.
    • Les Meuses de Cazilhac, datant de la fin du XVIIIe siècle servent à l’irrigation de la plaine. Ce sont six grandes roues élévatrices en bois, couvertes de mousse, disposées tout au long d’un canal alimenté par l’eau de la Vis[35].
    • Anciennes filatures le long de la rive droite de l'Hérault face à Ganges.
    • Belle cloche de la fin du XVIIIe, réalisée par le fondeur Guillaume Poutingon, fils de Jean Poutingon et réinstallée à la fin du XIXe sur le bâtiment de la mairie-école pour l'horloge de ce bâtiment.
    Projet d'horloge et de cloche : plan (1899).

    Héraldique

    Les armes de Cazilhac se blasonnent ainsi :

    D'or à deux lions léopardé de gueules, à la bordure de sinople chargée de huit besants d'argent.


    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 de Ganges » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Cazilhac » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Cazilhac » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Cazilhac » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Cazilhac » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Moules-et-Baucels - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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    8. « Station Météo-France Moules-et-Baucels - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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    Voir aussi

    Bibliographie

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    • Céline Fages, Les Meuses de Cazilhac : mise en place d'un sentier de découverte, S.l., s.n., , 138 p.
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    • Christine Marichy, Réalité toponymique et représentation administrative : contribution méthodologique à une étude de microtoponymie portant sur 17 communes du département de l'Hérault (34), Villeneuve d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, , 1847 p.
    • Clément Ribard, Notes d'histoire cévenole d'après des documents, la plupart inédits, Nîmes, Ollé-Lacour,, , 344 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

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