Chézy-sur-Marne
Chézy-sur-Marne est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Chézy.
Chézy-sur-Marne | |||||
Mairie de Chézy-sur-Marne. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Château-Thierry | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du canton de Charly-sur-Marne | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Bereaux 2020-2026 |
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Code postal | 02570 | ||||
Code commune | 02186 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Guernouillats | ||||
Population municipale |
1 351 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 60 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 59′ 19″ nord, 3° 22′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 57 m Max. 220 m |
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Superficie | 22,43 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Essômes-sur-Marne | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairie-chezysurmarne.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Guernouillats et Guernouillates, la commune ayant adopté pour emblème la grenouille.
Géographie
Situation
Chézy-sur-Marne est située sur le plateau de la Brie champenoise, à sept kilomètres au sud-ouest de Château-Thierry.
Communes limitrophes
Lieux-dits
- Hameaux
Château de l'Abbaye ; le Moncet ; les Roches.
- Écarts
Ancien moulin des Bois ; Arrouard (ancien moulin) ; Bayard (ancien moulin) ; la Casinière ; Chaillois-l'Abbaye ; les Estolins ; Grand-Ru ; Guilleterie ; Ragrenet (ancien moulin) ; la Petite-Queue ; la Queue ; Saint-Jean ; les Verdelettes.
- Fermes
Les Avréaux ; la Bézarderie ; Brochot ; Chaillouet ; Chevance ; Harmandot ; le Grand Luquis ; le Petit Luquis ; Pislouvet ; Proslins ; la Ramonerie ; le Grand Troncet ; le Petit Troncet.
Hydrographie
Le village est traversé par le ru du Dolloir, un affluent de la Marne.
L'aqueduc de la Dhuis, conçu par le baron Haussmann pour alimenter Paris en eau, traverse également le territoire de la commune.
Chezy appartient au canton de Charly-sur-Marne, à l'intercommunalité du canton de Charly-sur-Marne.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par une gare (Chézy-sur-Marne) de la ligne Paris - Château-Thierry ( ).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montfaucon », sur la commune de Montfaucon, mise en service en 1977[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 789,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à 92 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Chézy-sur-Marne est une commune rurale[Note 6],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].
Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,1 %), forêts (19,7 %), prairies (12,8 %), cultures permanentes (8,8 %), zones urbanisées (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Après avoir été nommé Casiacus, puis Casiei le village fut dénommé Chézy-l'Abbaye de la fondation de l'abbaye de Saint-Pierre de Chézy jusqu'à la Révolution française[21].
Histoire
Le site de la commune est peuplé depuis 4 000 ans. À l'époque gallo-romaine, elle se nomme Casiacus, puis Casiei.
Après la fondation de l'abbaye de Saint-Pierre sur les bords de la Marne par l'ordre bénédictin, elle devient Chézy-l'Abbaye. L'abbaye brûle en 887 lors des invasions normandes. Au XIIe siècle, fuyant les combats entre les troupes de Louis VI le Gros et de Thibaud de Champagne, les moines reconstruisent l'abbaye au cœur du village. En 1414, pendant la guerre de Cent Ans, afin de contrer l'envahisseur anglais, le village est fortifié et l'abbaye transformée en château fort, mais celui-ci est aussitôt incendié et sera définitivement détruit peu après la Révolution. En 1791[réf. nécessaire], Chézy-l'Abbaye est devenue Chézy-sur-Marne.
Avant 1755, au temps où la route d'Allemagne (actuelle route nationale 3 de Paris à Sarrebruck) longe encore ses remparts, le bourg connaît une assez grande prospérité. On y fabrique des étoffes et on y fait le commerce du vin et des grains, grâce à un port marchand établi sur la Marne. Pendant plusieurs siècles, outre l'église abbatiale, le bourg possède deux églises paroissiales : Saint-Martin-d'en-Bas, située en dehors des murs au bord du Dolloir qui sera détruite vers 1850, et Saint-Martin-d'en-Haut qui, dévastée par la guerre de Cent Ans, sera reconstruite entre 1515 et 1555. À l'époque moderne, malgré de terribles ravages dus à la guerre de 1870 et aux deux guerres mondiales, la construction d'une gare SNCF sur la ligne Paris - Strasbourg donnera un nouvel essor au village.
Le vignoble
Attestée dès 855 par un manuscrit signé par Charles le Chauve, la viticulture est étroitement liée à l'histoire de la commune. En témoignent aussi les registres paroissiaux qui font état de nombreuses familles de vignerons. On relate que du vin de Luquis, terre de Chézy, aurait été servi à la table de François Ier. Entre 1760 et 1900, la commune compte environ 110 hectares de vignes. Le vin de Chézy reçoit l'appellation champagne en 1889. À la suite des ravages du phylloxéra qui suivirent, il faudra plusieurs décennies pour que le vignoble retrouve toute son étendue. Celle-ci est d'environ 150 hectares en 2005. Le cépage se compose en majeure partie de pinot noir. Plusieurs vignes de Chézy appartiennent au domaine Moët & Chandon.
L'orage et les inondations du
La commune a été touchée de plein fouet par une coulée de boue lors d'un violent orage le . Cette coulée emporta des voitures, inonda des caves, immergea des maisons dans deux mètres d'eau par endroits[22]. Les alentours ont été aussi touchés.
Sur les 1 300 habitants, 300 sinistrés ont subi les inondations de la rivière le Dolloir qui est montée à plus de 3,50 m ravageant la majeure partie du centre bourg. Aucune victime ne fut à déplorer, mais les dégâts matériels furent très importants (évaluation au : 945 000 euros pour la commune). La déclaration de catastrophe naturelle a été validée le .
À la suite de ces inondations, la mairie a mis en place un certain nombre de mesures afin d'éviter que ces inondations ne se reproduisent. D'importants travaux ont eu lieu afin de sécuriser les voies et les inondations, de même qu'un important nettoyage de la rivière qui était sortie de son lit, le Dolloir.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Chézy-sur-Marne est membre de la communauté de communes du Canton de Charly-sur-Marne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Charly-sur-Marne. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[23].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Château-Thierry, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[24]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Essômes-sur-Marne pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[24], et de la cinquième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[25].
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].
En 2019, la commune comptait 1 351 habitants[Note 8], en augmentation de 3,52 % par rapport à 2013 (Aisne : −1,61 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
- Melitta France SAS, fabricant de filtres à café, avec un effectif de 300 salariés en 2004, 55 salariés en 2012. Il ne reste plus que la logistique, la production étant repartie en Allemagne.
- 35 petites entreprises en 2005, dont plusieurs exploitations agricoles et vinicoles.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Martin, classée en 1913[32]. La tour du clocher, de style Renaissance, porte les monogrammes de Henri II et de Catherine de Médicis, ainsi que le croissant de lune de Diane de Poitiers. Un bas-relief du portail nord représente la salamandre, emblème de François Ier. L'église abrite une réduction de d la statue de sainte Geneviève protégeant Paris, œuvre de Paul Landowski.
- Ruines de l'abbaye Saint-Pierre, sur la place du village. Place nommée du nom du soldat ayant couvert la retraite des soldats français vers Coulommiers à l’aide du sapeur Feuillebois armé d’une mitrailleuse, et tombé au combat à Chezy-sur-Marne : le lieutenant Lehouq (FR).
- La Cour des Tournelles, ancienne demeure seigneuriale datant de l'époque médiévale.
- Maison du XVe siècle, sur la place du village, avec galerie et colombages.
- Ancien pressoir et ancien lavoir, sur les rives du Dolloir.
Personnalités liées à la commune
- Louis de Bassompierre (1610-1676), abbé de Chézy-sur-Marne.
- Jean-Émile Buland (1857-1938), peintre et graveur, y possédait une résidence secondaire.
- Christian Cabrol (1925-2017), chirurgien et pionnier de la greffe du cœur, député européen en 1994-1999, adjoint au maire de Paris en 1996-2001. Natif de la commune, il est inhumé dans le cimetière du village.
- Paul Landowski (1875-1961), sculpteur, résident du château des Etolins[33], à qui l'on doit le Monument aux morts de la commune, ainsi que la statue du Christ Rédempteur qui domine la baie de Rio de Janeiro. Il est aussi le sculpteur du monument Les Fantômes de la butte de Chalmont à Oulchy-le-Château, commémorant la seconde bataille de la Marne.
- André Rossi (1921-1994), maire de Chézy-sur-Marne en 1962-1971, député de l'Aisne en 1958-1981, secrétaire d'État et porte-parole du gouvernement Jacques Chirac en 1974-1976, ministre du Commerce extérieur du gouvernement Raymond Barre en 1976-1978.
Chézy au cinéma
Chézy-sur-Marne et ses environs furent les lieux de tournage du film Les Otages de Raymond Bernard sorti en 1939 avec, entre autres, Saturnin Fabre, Fernand Charpin, Annie Vernay, Pierre Larquey, Jean Paqui et Noël Roquevert.
Héraldique
Blason | Écartelé : aux 1er à deux fleurs de lis rangées en barre, au 2e au sceau de la ville, au 3e au château de deux tours, couvert, au 4e à l'étoile et à la grappe de raisin rangées en barre; à la double cotice potencée contre-potencée remplie brochant sur la partition[34]. |
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Détails | Blason adopté par la municipalité. |
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Montfaucon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Chézy-sur-Marne et Montfaucon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Montfaucon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chézy-sur-Marne et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Chézy. Un peu d'Histoire » sur mairie-chezysurmarne.fr.
- Voir l'article sur meteo-world.com, consulté le .
- « communauté de communes du Canton de Charly-sur-Marne - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Chézy-sur-Marne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
- « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Notice no PA00115596, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Site de la mairie de Chézy-sur-Marne.
- « 02186 Chézy-sur-Marne (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Annexes
Bibliographie
- Alexandre-Eusèbe Poquet, Notice historique et archéologique sur le bourg et abbaye de Chézy-sur-Marne, , 50 p..
Articles connexes
Liens externes
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- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie.
- Chézy-sur-Marne sur le site de la communauté de communes du Canton de Charly sur Marne.
- Chézy-sur-Marne sur le site de l'Institut géographique national.
- Chézy-sur-Marne sur le site de l'Insee.
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