Gare d'Abbeville

La gare d'Abbeville est une gare ferroviaire française, située à environ 800 mètres du centre-ville de la commune d'Abbeville, sous-préfecture du département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Localisation
Abbeville
Le bâtiment voyageurs.
Pays	France
Commune	Abbeville
Adresse	Place de la Gare 80100 Abbeville
Coordonnées géographiques	50° 06′ 08″ nord, 1° 49′ 27″ est
Gestion et exploitation
Propriétaire	SNCF
Exploitant	SNCF
Code UIC	87317362
Site Internet	La gare d'Abbeville sur le site de la SNCF
Services	TER Fret
Caractéristiques
Ligne(s)	• Longueau à Boulogne-Ville • Abbeville à Eu • Fives à Abbeville • Abbeville à Dompierre
Voies	5 (+ voies de service)
Quais	3
Transit annuel	505 759 voyageurs (2020)
Altitude	5 m
Historique
Mise en service	1847 (station provisoire) 1862 (BV de la gare actuelle)
Protection	Inscrit MH (1984)
Correspondances
Autobus et autocar	voir Intermodalité

Elle est mise en service en 1847 par la Compagnie du chemin de fer d'Amiens à Boulogne, avant de devenir une gare de la Compagnie des chemins de fer du Nord qui ouvre en 1862 le bâtiment voyageurs actuel. Puis, jusque dans les années 1940 – 1950, elle est un important nœud ferroviaire local, comportant jusqu'à quatre branches principales plus une secondaire.

Gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), elle est desservie par des trains régionaux (réseau TER Hauts-de-France).

Situation ferroviaire

Infrastructures ferroviaires (dont les carrés) au nord de la gare, vues depuis le quai des voies 1 et 3. La ligne d'Abbeville à Eu part au fond à gauche, tandis que la ligne de Longueau à Boulogne-Ville (voies principales à droite, avec le signal à voie libre) continue tout droit.

Établie à 5 mètres d'altitude, la gare d'Abbeville est située au point kilométrique (PK) 175,407 de la ligne de Longueau à Boulogne-Ville, entre les gares ouvertes de Pont-Remy et de Noyelles-sur-Mer (s'intercale celle fermée de Port-le-Grand)[1].

C'est une gare de bifurcation, origine de la ligne d'Abbeville à Eu (non exploitée ; la gare suivante est celle fermée de Faubourg-de-Rouvroy), et aboutissement (au PK 134,555[2]) de la ligne de Fives à Abbeville (déclassée entre les gares de Saint-Pol-sur-Ternoise et d'Abbeville ; la précédente est celle fermée d'Abbeville-Porte-du-Bois). Sur la ligne d'Abbeville à Eu, se trouvait deux raccordements d'accès direct à la ligne de Longueau à Boulogne-Ville[3], respectivement à environ 700 et 1 100 mètres[4] au nord-ouest-quart-ouest ; de même, ces deux lignes étaient également reliées via l'ouest[3], par la voie d'évitement de la gare d'Abbeville[4].

À cela s'ajoutait : la ligne d'Abbeville à Dompierre (à voie métrique)[5], totalement déclassée et déferrée, dont la gare était l'origine (au PK 0,000) et qui précédait la halte d'Abbeville-Porte-Saint-Gilles — ayant été détruite depuis sa fermeture[6] — ; un dépôt annexe[3] (arrondissement de traction d'Amiens) et un triage[3] (créé lors de la Première Guerre mondiale, pour des raisons stratégiques : Abbeville est, à la fin du conflit, une gare régulatrice[7]).

Histoire

Première gare : une station provisoire (1847)

Lors de la seconde assemblée générale des actionnaires de la Compagnie du chemin de fer d'Amiens à Boulogne (qui s'est tenue le 23 octobre 1846), l'ingénieur en chef Pierre-Dominique Bazaine indique, qu'à Abbeville, il n'était pas possible d'établir une station définitive du fait que le site choisi correspond à des terrains militaires, dans l'enceinte des fortifications ; il est donc nécessaire d'avoir une autorisation du ministère de la guerre, alors non obtenue. Ainsi, le choix d'une station provisoire s'imposait. Elle est située au plus près de la ville, à 800 mètres de la porte de Rouen, à proximité immédiate du passage à niveau de la route de Rouen[8]. Des dépenses relativement peu importantes sont prévues, car le choix a été de construire des bâtiments en charpente devant ensuite être démontés et reconstruits sur l'emplacement définitif, comme remises et hangars à marchandises[9].

La « station d'Abbeville » est mise en service le 15 mars 1847 par ladite compagnie, lorsqu'elle ouvre à l'exploitation la section d'Amiens à Abbeville. Le prolongement jusqu'à Neufchâtel-Hardelot est ouvert le 21 décembre 1847, et la totalité de la ligne le 17 avril 1848[10]. Abbeville est alors la sixième station de cette ligne, après Pont-Remy[11].

En 1851, elle devient une gare de la Compagnie des chemins de fer du Nord, lorsque celle-ci accepte une fusion-absorption avec la compagnie primitive qui ne peut résister à la concurrence de sa grande rivale[12]. Il s'agit toujours de la station provisoire.

Deuxième gare : à l'emplacement définitif (1855)

La gare, vers 1905.

La gare définitive est édifiée à partir de 1855, à la suite d'un débat contradictoire (entre la Compagnie du Nord, la municipalité et la chambre de commerce) concernant le choix de son emplacement ; ces travaux sont accompagnés d'une ouverture dans le rempart et de la construction de ponts (sur le canal de Transit et le fossé des fortifications), permettant l'accès au site depuis le reste de la ville[13]. L'actuel bâtiment voyageurs est quant à lui ouvert en 1862 ; d'un style régional balnéaire (avec une ossature bois parée de briques rouges évoquant les villas de Mers-les-Bains[14], répondant en outre par sa légèreté aux exigences de l'autorité militaire d'alors)[13], il fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 28 décembre 1984[15]. Elle est considérée, par Jean-Marie Duthilleul, comme la dernière gare en bois construite en France jusqu'à Meuse TGV en 2007[16]^,[17]. Le bâtiment a été modifié et agrandi en 1912, avec notamment l'avancée de sa façade ; l'un des deux pavillons, édifiés symétriquement sur ses flancs, a par contre été démoli par la suite[13]^,[18].

Abbeville fut reliée à Lille par la ligne de Fives à Abbeville (ouverte en juin 1879, sur la section entre Abbeville et Frévent[19]), via Saint-Pol-sur-Ternoise et Béthune[6]. La section Abbeville – Frévent a été fermée aux voyageurs le 18 décembre 1956, puis déclassée jusqu'à Auxi-le-Château le 17 octobre 1994[19]. Cette dernière a été prolongée par la ligne d'Abbeville à Eu (vers Le Tréport)[20]^,[6], mise en service le 4 décembre 1882[4], et temporairement fermée depuis la fin mai 2018[21].

La gare était également desservie par le réseau secondaire à voie métrique des Chemins de fer départementaux de la Somme. Sa ligne Abbeville – Dompierre[5], mise en service le 19 juin 1892, fut fermée au trafic voyageur en 1947 (la section comprise entre Abbeville et Abbeville-Porte-du-Bois ayant cependant été déferrée pendant la Seconde Guerre mondiale, à la suite de la destruction du pont sur la Somme en mai 1940)[22]^,[6].

Le 7 juillet 1907, l'inauguration du monument La Barre a entraîné un pic de fréquentation, car 15 000 personnes, arrivées à Abbeville par trains entiers, ont assisté à cet évènement. D'ailleurs, pendant la Première Guerre mondiale, c'est un cheminot local qui évita que la plaque de bronze de ce monument soit chargée dans un train pour être fondue, en la cachant dans un ruisseau.

Plaques « Morts pour la France » 1914 – 1918 et 1939 – 1945, dans le hall du bâtiment voyageurs.

Le 28 juillet 1927, au sémaphore de Menchecourt, situé à environ 1 800 mètres au nord de la gare, le rapide Bâle – Calais, arrêté à la suite d'une avarie de ses freins et couvert par des pétards posés trop près par son chef de train, est percuté par le rapide Paris – Calais, qui le suit de près, ce dernier défonçant le wagon-lits et le fourgon situés en queue du premier train ; le fourgon du train tamponneur est également détruit. Les secours ont été organisés par la gare ; le bilan définitif fait état de dix blessés (dont trois grièvement, l'un d'entre eux étant finalement décédé à l'hôpital), ainsi que de nombreux voyageurs contusionnés[23].

La Compagnie du Nord édite, en 1930, une affiche de Pierre Commarmond, pour promouvoir Abbeville et sa desserte ferroviaire auprès des Parisiens ; elle vante le temps de trajet et la proximité de la mer (« 2 heures de Paris », « 2 pas de la mer »), tout en montrant la ville dont la collégiale Saint-Vulfran en arrière-plan[24]. Une autre affiche, similaire par son message à la première, fut également éditée en partenariat avec le syndicat d'initiative et de tourisme ; elle représente cette fois-ci les tourelles de guet qui surmontent ladite collégiale[25].

Train express à destination de Paris — tracté par une locomotive à vapeur 231 K et comprenant des voitures rapides Nord —, le soir du 24 juin 1956. Le pavillon, visible derrière le tender et la première voiture, n'existe plus désormais.

La gare est intégrée dans le réseau de la SNCF, en 1938. Au cours des deux guerres mondiales, elle n'a pas subi de dommages[13], notamment le 20 mai 1940 (où la ville fut pourtant lourdement bombardée, lors de la bataille de France), ou encore le 22 juin 1944 (date à laquelle l'avion américain B-17 « Spare Charlie », qui devait bombarder le site où stationnait des forces allemandes, a été abattu par des canons antiaériens installés à proximité)[26]. Toujours pendant la Seconde Guerre mondiale, un train de DCA était stationné en gare sous l'Occupation (comme en juin 1943)[27].

Au milieu des années 1970, la gare connaît un trafic de marchandises significatif, s'élevant alors à 82 000 tonnes par an (dont 37 000 tonnes d'arrivages et 45 000 tonnes d'expéditions)[28]. Par ailleurs, une première rénovation du bâtiment voyageurs a lieu en 1993[14].

En avril 2001, les inondations de la vallée de la Somme ont affecté la gare durant plusieurs semaines. De ce fait, le bâtiment voyageurs a été fermé, les rails ont rouillé, et la signalisation ainsi que les appareils de voie ont été rendus hors-service, avec de plus un train de fret immobilisé. Un temps transformé en gare routière avec comme guichet une camionnette stationnée dans l'avenue de la Gare[29], l'établissement est rouvert au trafic ferroviaire fin mai, à la suite de la remise en état de l'ensemble de ses installations. Depuis lors, le « Buffet de la Gare », attenant au bâtiment voyageurs, était abandonné[30] ; après divers projets avortés, il est finalement racheté en novembre 2015, et a été reconverti en boutique de mariage[31].

La gare a remporté le second Prix spécial des Gares du Conseil national de villes et villages fleuris en 2006, derrière celle de Cahors[32]. En 2007, elle accueille plus de 2 000 voyageurs par jour ouvrable[33]. La même année, la communauté de communes de l'Abbevillois a engagé un chantier d'aménagement d'un espace multimodal sur la place de la Gare[33].

Train TER (rame X 72500) arrivant en gare, en avril 2014. À gauche, l'ancienne halle Sernam (dont la réhabilitation est alors en cours de finitions).

En 2009, la fréquentation de la gare était de 2 859 voyageurs par jour[34]. C'est d'ailleurs à cette période que l'offre ferroviaire a commencé à fortement progresser, sous l'impulsion du conseil régional de Picardie. Ce dernier a financé du nouveau matériel roulant pour les TER, la rénovation complète des quais (à l'exception de la mise en place d'une nouvelle passerelle équipée d'ascenseurs[35], dont les travaux sont réalisés ultérieurement, soit en 2016 – 2017[36]), ainsi que la modernisation de la signalisation avec l'installation d'un nouveau poste d'aiguillage[37] (qui, lors de sa mise en service, a remplacé le Poste 1 datant de 1968 — détruit au début des années 2010 —, mais également l'ancien Poste 2 qui était implanté au sein du bâtiment voyageurs[14]).

En 2013, année où la fréquentation quotidienne de la gare atteint les 3 200 voyageurs, les travaux de ravalement extérieur et de modernisation intérieure (avec de nouveaux guichets, accessibles aux personnes à mobilité réduite) du bâtiment voyageurs se terminent ; leur coût a été de 1,1 million d'euros[38]. Une cérémonie d'inauguration a été faite à cette occasion, en présence du président du conseil régional, Claude Gewerc[38]. Toutefois, le clocheton a été déposé en juillet 2018, à cause de sa fragilité, puis entreposé dans une caisse en bois placée sur un parking de la SNCF ; en mars 2021, sa restauration n'a pas encore pu être effectuée, la direction régionale des Affaires culturelles ayant rejeté les permis de construire de SNCF Gares & Connexions qui se voit contrainte de réaliser un diagnostic patrimonial[39]. Finalement, ce clocheton sera réparé (pour un montant de 180 000 €) à partir de septembre 2022[40], puis devrait être réinstallé au premier trimestre de 2023[41].

Par ailleurs, l'ancienne halle Sernam (fermée en 1998[42]) a été transformée en un bâtiment à vocation tertiaire, nommé Garopôle ; équipé d'une toiture végétalisée[43], ledit bâtiment est principalement occupé depuis début 2015 par le siège de la communauté de communes de l'Abbevillois[44] (devenue la communauté d'agglomération de la Baie de Somme en 2017).

En 2018, la région Hauts-de-France reçoit, dans le cadre de la 8^e édition des « Grands prix des régions » (organisés par le magazine Ville, Rail & Transports), le prix de la plus belle gare pour celle d'Abbeville[45].

Selon les estimations de la SNCF, la fréquentation annuelle de cette gare s'élève à 758 410 voyageurs en 2015 ; ce nombre atteint 727 081 en 2016, 750 298 en 2017, 710 325 en 2018, 757 362 en 2019 et 505 759 en 2020[46].

Service des voyageurs

Accueil

La gare, vue depuis sa passerelle.

Abbeville est une gare de la SNCF, qui dispose d'un bâtiment voyageurs (avec guichet), ouvert tous les jours. Elle est équipée d'automates pour l'achat de titres de transport. C'est une gare « Accès TER » disposant d'aménagements, d'équipements et services pour les personnes à la mobilité réduite[47].

Elle possède 5 voies à quai, plusieurs voies de service et 3 quais : le quai 1 (latéral, voie 2, longeant le bâtiment voyageurs), d'une longueur utile de 295 mètres ; le quai 2 (central), de 298 mètres (voie 1) ou 169 mètres (voie 3) ; le quai 3 (central), de 172 mètres (voie 5) ou 258 mètres (voie 7)[48].

Sur les voies principales (1 et 2), la vitesse limite est de 140 km/h[49]. Pour les autres voies (3, 5 et 7), utilisées principalement comme terminus pour des trains de voyageurs, mais également sur celles de service, elle est de 30 km/h.

La circulation sur l'ensemble des voies de la gare, ainsi que sur une partie de la ligne de Longueau à Boulogne-Ville (en l'occurrence la section entre la gare de Saint-Roch — exclue — et Abbeville, équipée du block automatique lumineux) et sur l'intégralité de la ligne d'Abbeville à Eu (dont le trafic est suspendu), est gérée par un unique poste d'aiguillage de type PIPC, nommé Poste 2[14].

Desserte

Rames Régiolis assurant un TER (ex-Intercités) Calais – Paris, un dimanche après-midi en septembre 2020.

La gare est desservie par des trains du réseau régional TER Hauts-de-France, qui effectuent les liaisons suivantes[47] :

Paris – Longueau – Amiens – Abbeville – Noyelles-sur-Mer – Rue – Rang-du-Fliers – Étaples – Boulogne-sur-Mer – Calais (K16) ;
Amiens – Abbeville – Noyelles-sur-Mer – Rue – Rang-du-Fliers – Étaples – Boulogne-sur-Mer – Rinxent – Calais (K21) ;
Albert / Amiens – Ailly-sur-Somme – Longpré-les-Corps-Saints – Abbeville (P21) ;
Laon – Tergnier – Ham – Amiens – Abbeville – Noyelles-sur-Mer – Rue – Rang-du-Fliers – Étaples – Boulogne-sur-Mer – Calais (S05, en été).

Intermodalité

Un abri sécurisé pouvant contenir 40 bicyclettes (exploité par la communauté d'agglomération de la Baie de Somme)[50], un parc à vélos (dont des arceaux couverts), ainsi qu'un parking et un dépose-minute, sont aménagés à proximité immédiate de la gare[47].

Elle est l'un des nœuds du réseau urbain « BAAG » (géré par la communauté d'agglomération), en étant desservie par les autobus des lignes R1, R2 et R3, mais également par des lignes de transport à la demande[51]. Le dépôt de ce réseau jouxte l'extrémité sud de l'ancienne halle Sernam.

À cela s'ajoutent les autocars du réseau « Trans'80 » (géré par le conseil régional des Hauts-de-France), dont plusieurs lignes régulières desservent la place de la Gare : 702, 703, 705, 706, 709, 710, 711, 712, 713, 714, 715, 716, 717, 726, 732 et 751[52]. La ligne 732 permet, en tant que substitution à la ligne ferroviaire d'Abbeville à Eu (fermée), d'atteindre Le Tréport[53]^,[47].

Service des marchandises

Aperçu d'un train (composé de wagons-trémie, chargés de ballast) du service infrastructure, stationné sur l'une des voies de service.

Cette gare est ouverte au service de fret, mais également au service infrastructure (SNCF Réseau), par l'intermédiaire de ses voies de service[48].

Au début du mois de février 2016, elle est utilisée de manière exceptionnelle pour le transbordement d'un transformateur de 179 tonnes, destiné au poste électrique RTE de Limeux alors en construction[54].

À la télévision

En 2015, une scène du début du téléfilm Le Vagabond de la Baie de Somme est tournée en gare. On y voit l'arrivée du gendarme Paul Beaujour (rôle interprété par Jérôme Robart) en train TER, puis sa sortie de l'établissement par le bâtiment voyageurs[55].

Notes et références

Reinhard Douté, Les 400 profils de lignes voyageurs du réseau ferré français : (311) Longueau – Boulogne, vol. 1 – lignes 001 à 600, Paris, La Vie du Rail, 2011, 238 p. (ISBN 978-2-918758-34-1), p. 117.
Fascicule : Gares et lignes du nord, édité par le COPEF en 1985, planche n^o 55.
D'après le plan de la gare d'Abbeville en avril 1933, édité par la Compagnie des chemins de fer du Nord.
« ABBEVILLE - EU (76) », archive du site de Blaise Pichon (consultée le 28 mai 2018).
D'après les images publiées dans « La SE Somme » (p. 31), sur passion-metrique.net (consulté le 25 mars 2017).
Maurice Testu, « En draisine de Abbeville à Auxi le Château le 26 mai 1989 » [vidéo], sur youtube.com, 28 août 2015 (consulté le 19 juin 2020).
« Ligne des 100 jours » [PDF], sur inventaires-ferroviaires.fr (consulté le 3 novembre 2020).
D'après ce comparatif de cartes (1820–1866 / actuelle) (consulté le 12 avril 2022) de l'IGN ; la station provisoire était ainsi approximativement située à cet emplacement : 50° 05′ 40″ N, 1° 49′ 36″ E.
Pierre-Dominique Bazaine (ingénieur en chef), « Compagnie du chemin de fer d'Amiens à Boulogne : rapport de l'ingénieur en chef : Station provisoire d'Abbeville », Le Journal des chemins de fer, vol. 4, n^o 238,‎ 24 octobre 1846, p. 854 (lire en ligne, consulté le 7 octobre 2018).
Adolphe Joanne, Atlas historique et statistique des chemins de fer français, L. Hachette, 1859, p. 22 ; lire (consulté le 25 mars 2017).
Voyage en chemin de fer de Paris à Boulogne et à la frontière du Nord, Lenoel-Herouart (imprimeur-libraire), 1847, p. 41 ; lire (consulté le 5 octobre 2018).
François Caron, Le Nord, dans Les grandes compagnies de chemin de fer en France : 1823-1937, Librairie Droz, 2005 (ISBN 9782600009423), pp. 71-72 ; lire (consulté le 5 octobre 2018).
« principaux monuments : La Gare • place de la gare », sur abbeville.fr (consulté le 22 juin 2019).
« Modernisation à Abbeville », publié par Papy (agent SNCF) le 6 décembre 2009, sur trainsfrancais.com (consulté le 21 septembre 2020) ; cette page est une archive.
Notice n^o PA00116020, base Mérimée, ministère français de la Culture (consultée le 25 mars 2017).
Cf. cette brève publiée le 25 mai 2007 par Le Nouvel Observateur (consultée le 14 octobre 2021).
N.B. : pourtant, d'autres gares françaises ont été construites en bois après celle d'Abbeville, par exemple Gravelines et Lyon-Est.
N.B. : ce pavillon se trouvait à l'emplacement de l'accès direct aux quais, à gauche du bâtiment voyageurs (en regardant depuis le parvis).
« ABBEVILLE - FREVENT (62) », archive du site de Blaise Pichon (consultée le 19 mars 2018).
Chemin de fer de Lille au Havre (section d'Abbeville à Eu et au Tréport). Commission d'enquête pour le chemin de fer d'Abbeville à Eu et au Tréport : Prolongement de la ligne de Béthune à Abbeville. Procès-verbaux et documents, Imp. de Briez, Paillart et Retaux (Abbeville), 1873, 69 p. (lire en ligne), p. 35 (consulté le 10 décembre 2019).
« Abbeville - Le Tréport : les derniers jours d'une ligne SNCF », sur francetvinfo.fr, 25 mai 2018 (consulté le 28 mai 2018).
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« Chemins de fer du Nord. Abbeville et ses environs, à 2 heures de Paris, à 2 pas de la mer, affiche publicitaire, s. d. (Musée des arts décoratifs de Paris ; RI 2009.1.223). » (version du 23 décembre 2017 sur l'Internet Archive), sur inventaire.hautsdefrance.fr ; cette page est une archive.
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A.M., « ABBEVILLE L’ancien Buffet de la gare reconverti en boutique de mariage », sur courrier-picard.fr, 4 novembre 2015 (consulté le 1^er janvier 2019) ; cette page est une archive.
« LES PRIX SPECIAUX – Lauréats 2006 – Prix spécial des Gares », sur villes-et-villages-fleuris.com (archive consultée le 18 mai 2018).
« Les travaux d’aménagement de la Gare Multimodale » (archive de l'ancien site cc-abbevillois.fr, consultée le 19 mars 2018).
« Fiche de Synthèse – Amiens-Abbeville 2012 » (voir à la p. 2) [PDF], sur train.picardie.fr (consulté le 30 juillet 2019) ; ce document est une archive.
N.B. : l'ancienne passerelle, uniquement équipée d'escaliers et accolée à la nouvelle, est conservée.
X. T., « ABBEVILLE Travaux d’accessibilité à la gare », sur courrier-picard.fr, 17 septembre 2016 (consulté le 1^er janvier 2019) ; cette page est une archive.
« Deux lignes passent à la vitesse supérieure ! – Amiens-Abbeville, une ligne rénovée », publié le 16 décembre 2009 sur picardie.fr (consulté le 1^er janvier 2019) ; cette page est une archive.
« La gare d’Abbeville revêt ses plus beaux atours : Les travaux commencés en septembre 2012 sont terminés », sur picardie.fr, 10 décembre 2013 (consulté le 29 avril 2022) ; cette page est une archive.
Alexandra Mauviel, « Le clocheton de la gare d’Abbeville attend toujours sa remise en état », sur courrier-picard.fr, 25 mars 2021 (consulté le 11 mai 2022).
Alexandra Mauviel, « À Abbeville, le clocheton de la gare sera restauré à partir de septembre 2022 », sur courrier-picard.fr, 8 mai 2022 (consulté le 11 mai 2022).
Yann Defacque, « La gare d'Abbeville va (enfin) retrouver son clocheton », sur actu.fr/le-journal-d-abbeville, 25 avril 2022 (consulté le 11 mai 2022).
« LONGPRE-LES-CORPS-SAINTS - ABBEVILLE », archive du site de Blaise Pichon (consultée le 19 mars 2018).
A. B., « La halle Sernam change d'ère », sur courrier-picard.fr, 2 novembre 2013 (consulté le 1^er janvier 2019) ; cette page est une archive.
« ABBEVILLE: la halle Sernam ouverte début 2015 », sur courrier-picard.fr, 3 octobre 2014 (consulté le 1^er janvier 2019) ; cette page est une archive.
RD, « La région Hauts-de-France récompensée pour la beauté de la gare d'Abbeville », sur france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france, 20 mai 2018 (consulté le 22 juin 2019).
« Fréquentation en gares : Abbeville », sur SNCF Open Data, 3 septembre 2021 [cf. l'onglet des informations] (consulté le 29 avril 2022).
« Gare de Abbeville », sur ter.sncf.com/hauts-de-france (consulté le 29 avril 2022).
« Document(s) de Référence du Réseau », sur sncf-reseau.com (consulté le 21 septembre 2020) ; cf. les annexes du DRR de l'année en cours ou de la suivante.
SNCF Réseau, « Vitesse maximale nominale sur ligne : ligne 311000 », sur SNCF Open Data, 29 septembre 2020 [cf. l'onglet des informations] (consulté le 26 novembre 2020) ; la gare d'Abbeville, située au PK 175,407 de la ligne de Longueau à Boulogne-Ville, se trouve donc sur une section où la vitesse est limitée à 140 km/h.
« Un parc à vélo sécurisé à la gare d’Abbeville », sur baiedesomme3vallees.fr (consulté le 30 juin 2021).
« Horaires & plans des lignes », sur baiedesommeagglo.fr (consulté le 26 novembre 2020).
Site Trans'80 – « Les horaires des lignes → Lignes qui desservent ABBEVILLE » (consulté le 9 juillet 2020) ; voir les fiches horaires pour connaître les modalités précises de desserte (régulière ou à la demande, lignes concernées) de l'arrêt ABBEVILLE Gare SNCF.
Site Trans'80 – « Les tarifs » (consulté le 9 juillet 2020) ; cf. la mention « Usagers de la ligne 732 « Abbeville – Feuquières – Le Tréport » mise en place en substitution de la ligne ferroviaire ».
X. T., « VIMEU Plus de 300 tonnes sur les routes », sur courrier-picard.fr, 3 février 2016 (consulté le 1^er janvier 2019) : « Le transformateur, de 179 tonnes, est parti par train spécial de la ville allemande de Mönchengladbach, pour la gare d’Abbeville. Il a été ensuite chargé sur une remorque équipée d’une vingtaine d’essieux directionnels, avec un camion à l’avant et un autre à l’arrière » ; cette page est une archive.
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Voir aussi

Articles connexes

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Ligne de Longueau à Boulogne-Ville / Schéma de la ligne de Longueau à Boulogne-Ville
Ligne d'Abbeville à Eu / Schéma de la ligne d'Abbeville à Eu
Ligne de Fives à Abbeville / Schéma de la ligne de Fives à Abbeville
Autres gares abbevilloises (désaffectées) : Abbeville-Porte-du-Bois et Faubourg-de-Rouvroy
Liste des gares de France protégées aux monuments historiques
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Liens externes

/ La gare d'Abbeville, sur le site officiel Gares & Connexions de la SNCF
La gare d'Abbeville, sur le site officiel SNCF / TER Hauts-de-France

Origine	Arrêt précédent		Arrêt suivant	Destination
Calais-Ville ou Boulogne-Ville	Noyelles-sur-Mer	TER Hauts-de-France (Krono)	Amiens	Paris-Nord
Calais-Ville	Noyelles-sur-Mer	TER Hauts-de-France (Krono)	Saint-Roch (Somme)	Amiens
Terminus	Terminus	TER Hauts-de-France (Proxi)	Pont-Remy ou Longpré-les-Corps-Saints	Amiens ou Albert
Calais-Ville	Noyelles-sur-Mer	TER Hauts-de-France (ligne saisonnière)	Amiens	Laon

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[1] Reinhard Douté, Les 400 profils de lignes voyageurs du réseau ferré français : (311) Longueau – Boulogne, vol. 1 – lignes 001 à 600, Paris, La Vie du Rail, 2011, 238 p. (ISBN 978-2-918758-34-1), p. 117.

[2] Fascicule : Gares et lignes du nord, édité par le COPEF en 1985, planche n^o 55.

[plan_gare_1933-3] D'après le plan de la gare d'Abbeville en avril 1933, édité par la Compagnie des chemins de fer du Nord.

[blaise-pichon-4] « ABBEVILLE - EU (76) », archive du site de Blaise Pichon (consultée le 28 mai 2018).

[passion_metrique-5] D'après les images publiées dans « La SE Somme » (p. 31), sur passion-metrique.net (consulté le 25 mars 2017).

[Maurice_Testu-6] Maurice Testu, « En draisine de Abbeville à Auxi le Château le 26 mai 1989 » [vidéo], sur youtube.com, 28 août 2015 (consulté le 19 juin 2020).

[7] « Ligne des 100 jours » [PDF], sur inventaires-ferroviaires.fr (consulté le 3 novembre 2020).

[8] D'après ce comparatif de cartes (1820–1866 / actuelle) (consulté le 12 avril 2022) de l'IGN ; la station provisoire était ainsi approximativement située à cet emplacement : 50° 05′ 40″ N, 1° 49′ 36″ E.

[9] Pierre-Dominique Bazaine (ingénieur en chef), « Compagnie du chemin de fer d'Amiens à Boulogne : rapport de l'ingénieur en chef : Station provisoire d'Abbeville », Le Journal des chemins de fer, vol. 4, n^o 238,‎ 24 octobre 1846, p. 854 (lire en ligne, consulté le 7 octobre 2018).

[10] Adolphe Joanne, Atlas historique et statistique des chemins de fer français, L. Hachette, 1859, p. 22 ; lire (consulté le 25 mars 2017).

[11] Voyage en chemin de fer de Paris à Boulogne et à la frontière du Nord, Lenoel-Herouart (imprimeur-libraire), 1847, p. 41 ; lire (consulté le 5 octobre 2018).

[12] François Caron, Le Nord, dans Les grandes compagnies de chemin de fer en France : 1823-1937, Librairie Droz, 2005 (ISBN 9782600009423), pp. 71-72 ; lire (consulté le 5 octobre 2018).

[histoire_gare_mairie_Abbeville-13] « principaux monuments : La Gare • place de la gare », sur abbeville.fr (consulté le 22 juin 2019).

[pipc-14] « Modernisation à Abbeville », publié par Papy (agent SNCF) le 6 décembre 2009, sur trainsfrancais.com (consulté le 21 septembre 2020) ; cette page est une archive.

[15] Notice n^o PA00116020, base Mérimée, ministère français de la Culture (consultée le 25 mars 2017).

[16] Cf. cette brève publiée le 25 mai 2007 par Le Nouvel Observateur (consultée le 14 octobre 2021).

[17] N.B. : pourtant, d'autres gares françaises ont été construites en bois après celle d'Abbeville, par exemple Gravelines et Lyon-Est.

[18] N.B. : ce pavillon se trouvait à l'emplacement de l'accès direct aux quais, à gauche du bâtiment voyageurs (en regardant depuis le parvis).

[blaise-pichon_bis-19] « ABBEVILLE - FREVENT (62) », archive du site de Blaise Pichon (consultée le 19 mars 2018).

[20] Chemin de fer de Lille au Havre (section d'Abbeville à Eu et au Tréport). Commission d'enquête pour le chemin de fer d'Abbeville à Eu et au Tréport : Prolongement de la ligne de Béthune à Abbeville. Procès-verbaux et documents, Imp. de Briez, Paillart et Retaux (Abbeville), 1873, 69 p. (lire en ligne), p. 35 (consulté le 10 décembre 2019).

[21] « Abbeville - Le Tréport : les derniers jours d'une ligne SNCF », sur francetvinfo.fr, 25 mai 2018 (consulté le 28 mai 2018).

[22] « Le Réseau des Bains de Mer : La Seconde Guerre mondiale », sur chemindefer-baiedesomme.fr (consulté le 19 juin 2020).

[23] Le Petit Parisien du 29 juillet 1927 (p. 3), disponible sur gallica.bnf.fr (consulté le 29 avril 2022).

[24] « Affiche Abbeville Chemin de Fer du Nord 1930 Commarmond », sur french-vintage-posters.fr (consulté le 9 juillet 2020).

[25] « Chemins de fer du Nord. Abbeville et ses environs, à 2 heures de Paris, à 2 pas de la mer, affiche publicitaire, s. d. (Musée des arts décoratifs de Paris ; RI 2009.1.223). » (version du 23 décembre 2017 sur l'Internet Archive), sur inventaire.hautsdefrance.fr ; cette page est une archive.

[26] Yann Defacque, « Abbeville. Il y a 75 ans, le bombardier Spare Charlie s’est crashé dans les marais », sur actu.fr/le-journal-d-abbeville, 22 juin 2019 (consulté le 22 juin 2019).

[27] Colonel (ER) Philippe Blanchet, « Le 22^e RIC sur la Somme en 1940 (Chapitre 3/5). Pèlerinage à Abbeville, en juin 1943 » (version du 18 novembre 2016 sur l'Internet Archive), Amicale des anciens du 22^e de Marine, sur anciens22demarine.com, 17 février 2015 ; ce document est une archive.

[28] Bernard Collardey, « Amiens - Calais : La ligne de la côte se modernise », Rail Passion, n^o 158,‎ décembre 2010, p. 51 (ISSN 1261-3665).

[29] « Inondations Abbeville », 17 avril 2001 [vidéo] ; archive de l'Ina, publiée sur YouTube le 9 juillet 2012 (consultée le 25 mars 2017).

[30] Alexandra Mauviel, « ABBEVILLE L’ancien buffet de la gare cherche toujours preneur », sur courrier-picard.fr, 26 décembre 2014 (consulté le 1^er janvier 2019) ; cette page est une archive.

[31] A.M., « ABBEVILLE L’ancien Buffet de la gare reconverti en boutique de mariage », sur courrier-picard.fr, 4 novembre 2015 (consulté le 1^er janvier 2019) ; cette page est une archive.

[32] « LES PRIX SPECIAUX – Lauréats 2006 – Prix spécial des Gares », sur villes-et-villages-fleuris.com (archive consultée le 18 mai 2018).

[CCA-33] « Les travaux d’aménagement de la Gare Multimodale » (archive de l'ancien site cc-abbevillois.fr, consultée le 19 mars 2018).

[34] « Fiche de Synthèse – Amiens-Abbeville 2012 » (voir à la p. 2) [PDF], sur train.picardie.fr (consulté le 30 juillet 2019) ; ce document est une archive.

[35] N.B. : l'ancienne passerelle, uniquement équipée d'escaliers et accolée à la nouvelle, est conservée.

[36] X. T., « ABBEVILLE Travaux d’accessibilité à la gare », sur courrier-picard.fr, 17 septembre 2016 (consulté le 1^er janvier 2019) ; cette page est une archive.

[37] « Deux lignes passent à la vitesse supérieure ! – Amiens-Abbeville, une ligne rénovée », publié le 16 décembre 2009 sur picardie.fr (consulté le 1^er janvier 2019) ; cette page est une archive.

[renovation_conseil_regional_picardie-38] « La gare d’Abbeville revêt ses plus beaux atours : Les travaux commencés en septembre 2012 sont terminés », sur picardie.fr, 10 décembre 2013 (consulté le 29 avril 2022) ; cette page est une archive.

[39] Alexandra Mauviel, « Le clocheton de la gare d’Abbeville attend toujours sa remise en état », sur courrier-picard.fr, 25 mars 2021 (consulté le 11 mai 2022).

[40] Alexandra Mauviel, « À Abbeville, le clocheton de la gare sera restauré à partir de septembre 2022 », sur courrier-picard.fr, 8 mai 2022 (consulté le 11 mai 2022).

[41] Yann Defacque, « La gare d'Abbeville va (enfin) retrouver son clocheton », sur actu.fr/le-journal-d-abbeville, 25 avril 2022 (consulté le 11 mai 2022).

[42] « LONGPRE-LES-CORPS-SAINTS - ABBEVILLE », archive du site de Blaise Pichon (consultée le 19 mars 2018).

[43] A. B., « La halle Sernam change d'ère », sur courrier-picard.fr, 2 novembre 2013 (consulté le 1^er janvier 2019) ; cette page est une archive.

[44] « ABBEVILLE: la halle Sernam ouverte début 2015 », sur courrier-picard.fr, 3 octobre 2014 (consulté le 1^er janvier 2019) ; cette page est une archive.

[45] RD, « La région Hauts-de-France récompensée pour la beauté de la gare d'Abbeville », sur france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france, 20 mai 2018 (consulté le 22 juin 2019).

[46] « Fréquentation en gares : Abbeville », sur SNCF Open Data, 3 septembre 2021 [cf. l'onglet des informations] (consulté le 29 avril 2022).

[SNCF_TER-47] « Gare de Abbeville », sur ter.sncf.com/hauts-de-france (consulté le 29 avril 2022).

[doc_sncf-reseau-48] « Document(s) de Référence du Réseau », sur sncf-reseau.com (consulté le 21 septembre 2020) ; cf. les annexes du DRR de l'année en cours ou de la suivante.

[49] SNCF Réseau, « Vitesse maximale nominale sur ligne : ligne 311000 », sur SNCF Open Data, 29 septembre 2020 [cf. l'onglet des informations] (consulté le 26 novembre 2020) ; la gare d'Abbeville, située au PK 175,407 de la ligne de Longueau à Boulogne-Ville, se trouve donc sur une section où la vitesse est limitée à 140 km/h.

[50] « Un parc à vélo sécurisé à la gare d’Abbeville », sur baiedesomme3vallees.fr (consulté le 30 juin 2021).

[51] « Horaires & plans des lignes », sur baiedesommeagglo.fr (consulté le 26 novembre 2020).

[52] Site Trans'80 – « Les horaires des lignes → Lignes qui desservent ABBEVILLE » (consulté le 9 juillet 2020) ; voir les fiches horaires pour connaître les modalités précises de desserte (régulière ou à la demande, lignes concernées) de l'arrêt ABBEVILLE Gare SNCF.

[53] Site Trans'80 – « Les tarifs » (consulté le 9 juillet 2020) ; cf. la mention « Usagers de la ligne 732 « Abbeville – Feuquières – Le Tréport » mise en place en substitution de la ligne ferroviaire ».

[54] X. T., « VIMEU Plus de 300 tonnes sur les routes », sur courrier-picard.fr, 3 février 2016 (consulté le 1^er janvier 2019) : « Le transformateur, de 179 tonnes, est parti par train spécial de la ville allemande de Mönchengladbach, pour la gare d’Abbeville. Il a été ensuite chargé sur une remorque équipée d’une vingtaine d’essieux directionnels, avec un camion à l’avant et un autre à l’arrière » ; cette page est une archive.

[55] Cette scène est visible entre 1 min 13 s et 1 min 53 s.