Crouy-sur-Ourcq
Crouy-sur-Ourcq est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Crouy (homonymie).
Crouy-sur-Ourcq | |||||
La mairie. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Meaux | ||||
Intercommunalité | CC du Pays de l'Ourcq | ||||
Maire Mandat |
Victor Étienne 2020-2026 |
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Code postal | 77840 | ||||
Code commune | 77148 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Crouyciens | ||||
Population municipale |
1 825 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 94 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 05′ 23″ nord, 3° 04′ 30″ est | ||||
Altitude | Min. 52 m Max. 165 m |
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Superficie | 19,42 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de La Ferté-sous-Jouarre | ||||
Législatives | 6e circonscription de Seine-et-Marne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | crouy-sur-ourcq.fr | ||||
Géographie
Localisation
Située dans l'extrême nord du département de Seine-et-Marne à environ 21,5 km par la route au nord-est de Meaux et à 76 km au nord-est du centre Paris, la commune est limitrophe des départements de l'Aisne et de l'Oise[1],[Note 1].
Communes limitrophes
Géologie et relief
L'altitude varie de 165 mètres pour le point le plus haut à 52 mètres dans la partie aval de la vallée de l'Ourcq, le village étant vers 60 à 70 mètres d'altitude.
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[4].
Hydrographie
Le réseau hydrographique de la commune se compose de douze cours d'eau référencés : Le ru la Croix Hélène traverse la commune d'est en ouest ;
- La rivière l'Ourcq, longue de 86,49 km[5], et ses marais bordent la partie ouest de la commune, ainsi que :
- un bras de 1,55 km[6], et huit des affluents et sous-affluents de l'Ourcq :
- le Grand Fossé, 4,94 km[7] ;
- le Marais de Négando, 1,03 km[8], affluent du Grand Fossé ;
- le cours d'eau 01 des Aunes de Gesvres, 1,52 km[9] ;
- le fossé Boudou, cours d'eau naturel et canal de 1,27 km[11] ;
- le canal 02 de la Commune de Crouy-sur-Ourcq, 0,91 km[12] ;
- le ru la Croix Hélène ou ru Roland, 6,16 km[13] ;
- le cours d'eau 01 de la Grande Prairie, 1,12 km[14], affluent du ru la Croix Hélène ;
- le Grand Fossé, 4,94 km[7] ;
- un bras de 1,55 km[6], et huit des affluents et sous-affluents de l'Ourcq :
- le canal 01 de la Commune de Crouy-sur-Ourcq, 0,95 km[15], qui conflue avec l’Ourcq et le Grand Fossé ;
- Le Clignon, long de 29,96 km[16] et ses marais bordent sa partie nord.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 17,03 km[17].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 11 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[18].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[19]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[18]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[20]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Creil, qui se trouve à 47 km à vol d'oiseau[21], où la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[22], à 10,9 °C pour 1981-2010[23], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[24].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Crouy-sur-Ourcq comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 3],[25],[Carte 1] :
- la « La Campenne » (48,71 ha), couvrant 2 communes du département[26] ;
- la « La Reposée » (7,09 ha)[27] ;
- les « Marais de Negando et bois de la Garenne » (252,33 ha)[28] ;
et un ZNIEFF de type 2[Note 4],[25], la « vallée de l'Ourcq » (1 434,36 ha), couvrant 4 communes du département[29].
- Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Crouy-sur-Ourcq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[30],[31],[32].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[33],[34].
Lieux-dits et écarts
La commune compte 120 lieux-dits administratifs[Note 7] répertoriés consultables ici[35] dont Fussy, la Chaussée, le château de Gesvres-le-Duc (source : le fichier Fantoir).
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,1% ), terres arables (33% ), zones urbanisées (5,9% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3% ), zones humides intérieures (1% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[36].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[37],[38],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Marne Ourcq, approuvé le et porté par le syndicat Mixte Marne-Ourcq regroupant 41 communes du Pays de l'Ourcq et du Pays Fertois[39].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[40]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 776 dont 78,5 % de maisons et 21,4 % d'appartements[Note 8].
Parmi ces logements, 88,6 % étaient des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et 6,9 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 75 % contre 23,6 % de locataires[41] dont, 0,1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 9] et, 1,5 % logés gratuitement.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la gare de Crouy-sur-Ourcq sur la ligne Paris - La Ferté-Milon.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Croyacum en 1226[42] ; Croiacum au XIIIe siècle[43],[44].
L'origine viendrait d'un nom d'homme gaulois Crodius d'après Kaspers ou germanique Chrodius suivant Soubeiran[45].
L'Ourcq et ses marais bordent la partie ouest de la commune.
Histoire
Dès le XIIe siècle sont mentionnés deux seigneurs, les deux frères Olivier et Henry de Crouy[réf. nécessaire].
Du milieu du XIIe siècle à la fin du XIIIe siècle, Crouy fait partie des nombreuses seigneuries de la famille des Barres. Ses seigneurs constituent d'ailleurs une des neuf branches de cette maison, la branche no 2 dite ici « de Crouy », pour simplifier[46],[Note 10].
On peut citer quelques témoignages :
- dès 1154, Guillaume Ier, seigneur de Crouy et Houssoy, est cité comme vassal de Thibaut de Crépy (donc dépendant du Valois)[47] ;
- en 1226, Jean II « de Crouy » donne, par charte, une chapellenie dans sa maison de « Croyaco » à l’Église de Meaux[48] ; vers 1250, le même, homme d'arme, possède une maison-forte en ces lieux[49] ;
- en 1299, Guillaume IV des Barres, vend à Charles, comte de Valois et frère cadet de Philippe le Bel, ses seigneuries de Croy et Haussoy, Villegenard, tout en en gardant l’usufruit[50].
D'autre part, un bon nombre de sceaux appendus à des actes archivés soulignent la présence des seigneurs de Crouy à cette époque : Jean II est cité en 1213, 1239, 1243, 1246 ; Jean « Peau de chat » en 1272 ; Jeanne, dame de Crouy, en 1292/1293 ; Guillaume IV et sa femme en 1299[51].
- Blason des seigneurs de Crouy.
- Blason de « Jean Peau de chat ».
Charles de Valois ne conserve pas Crouy et Houssoy, qu'on voit dès 1311 aux mains de la famille de Sépoix[52],[53] (seigneur de Chepoix en Picardie) : Jean Ier, l'acquéreur cité en 1311, fils de l'amiral et maître des Arbalétriers Thibaut ; suivi par son propre fils Jean II, amiral de France en 1334, commandant des galères que Philippe de Valois envoya contre les Turcs en 1334, prisonnier des Anglo-Navarrais au siège du château de Mauconseil en 1358.
Le château fort du Houssoy est construit par Jean III de Sépoix, fils de Jean II, au XIVe siècle. il sera partiellement détruit pendant les guerres de la Fronde et saccagé par les Espagnols en 1652[54].
Louis de Sépoix, fils de Jean III, meurt à Azincourt en 1415, suivi par Jean IV, chambellan de Louis XI, et son fils Charles de Sépoix, chambellan de Louis XII. Le fils de Charles, Méry, adoubé chevalier sur le champ de bataille de Marignan en 1515 et vice-amiral de Bretagne, meurt en 1559. Son fils Robert de Sépoix (1538-1586), capitaine-gouverneur de St-Quentin, bailli du Valois, négocie avec l'abbaye de Chelles l'acquisition en 1564 des justices féodales de Crouy (haute, moyenne et basse justice), qu'elle détenait ; les Dames de Chelles avaient aussi la seigneurie de Coulombs ; Mery et son fils Robert de Sépoix rénovent l'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte de Crouy.
La veuve héritière de Robert, Louise d'Ongnies, se remarie en 1602 au maréchal-duc Charles II de Cossé-Brissac. Succèdent alors le duc François de Cossé-Brissac (issu du 1er mariage du duc Charles avec Judith d'Acigné) et son fils le duc Louis. En 1655/1665, les Cossé-Brissac vendent la seigneurie de Crouy, acquise le 27 juin 1665 par René Potier, 1er duc de Tresmes (voir ci-dessous), Potier ; la famille Potier de Tresmes et de Gesvres garde le domaine jusqu'à la Révolution (Louis-Joachim Potier (1733-1794), 5e duc de Gesvres, guillotiné le 7 juillet 1794).
En 1814, pendant la campagne de France, Crouy et Gesvres-le-Duc sont livrés à la vindicte des troupes de Blücher. Une bataille a lieu vers Gesvres, et Crouy est alors pillé.
L'ordonnance du fixe la limite territoriale de la commune de Crouy avec celle de Coulombs.
Crouy-sur-Ourcq et Gesvres (Tresmes)[52] ont formé deux paroisses distinctes jusqu'en 1790. L'histoire des deux localités se confond en bien des points (voir plus bas : Lieux et Monuments-château de Gesvres). Situé sur les limites du Valois et de la Brie champenoise, Crouy a été placé tantôt dans l'une, tantôt dans l'autre de ces divisions provinciales[54].
Bénéficiant d'une « heureuse situation » pour le commerce, la commune en tirait toute sa richesse. Dès 1610, c'est une place commerciale renommée. Crouy possédait de temps immémorial un marché qui attirait une foule nombreuse. En 1770, on y comptait 70 artisans et commerçants, 47 maraîchers et chanvriers. La création du Canal de l'Ourcq participa également au développement de la localité[54].
Un témoignage sur les faits survenus pendant la Seconde Guerre mondiale du 9 au à Neufchelles et Crouy-sur-Ourcq, est dû à Maître Pierre Véron[55].
La commune a accueilli une antenne du Bureau pour le développement des migrations dans les départements d'outre-mer à compter de 1965 jusqu'à sa dissolution.
Politique et administration
Liste des maires
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [58],[59].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Crouy-sur-Ourcq est assurée par la communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [60],[61],[62].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[63]. La communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[60],[64].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [60],[65].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur CCPO[66].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[67]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[68].
En 2019, la commune comptait 1 825 habitants[Note 11], en diminution de 1,4 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 638, représentant 1 647 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 22 570 euros[71].
Emploi
En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de 243, occupant 809 actifs résidants (dont 13,7 % dans la commune de résidence et 86,3 % dans une commune autre que la commune de résidence).
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 68 % contre un taux de chômage de 8,7 %. Les 23,3 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,9 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,8 % de retraités ou préretraités et 7,6 % pour les autres inactifs[72].
Entreprises et commerces
Au , le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 111 dont 6 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 21 dans la construction, 34 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 3 dans l’Information et communication, 2 dans les activités financières et d'assurance, 1 dans les activités immobilières, 19 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 13 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 12 étaient relatifs aux autres activités de services[73].
- Marché le deuxième dimanche du mois.
En 2020, 18 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 11 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[74].
Agriculture
Crouy-sur-Ourcq est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 12] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[75].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[76]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 6 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 63 ha en 1988 à 71 ha en 2010[75]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Crouy-sur-Ourcq, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
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Dimension économique[75],[Note 13] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 6 | 4 | 2 |
Travail (UTA) | 7 | 6 | 3 |
Surface agricole utilisée (ha) | 377 | 307 | 142 |
Cultures[77] | |||
Terres labourables (ha) | 361 | 286 | s |
Céréales (ha) | 253 | s | s |
dont blé tendre (ha) | 150 | 133 | s |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 68 | s | s |
Tournesol (ha) | 29 | s | |
Colza et navette (ha) | 23 | s | s |
Élevage[75] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 14]) | 45 | 54 | 14 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte (ou Juliette) : datant du XIIe siècle, elle a été remaniée en 1550 par Robert de Sepoix, seigneur de Crouy. Elle possède une tour romane et une double nef gothique à croisée d'ogive. Le chœur possède de superbes boiseries du XVIIe siècle. L'église possède plusieurs vitraux du XVIe siècle. Elle doit son nom à saint Cyr, jeune martyr chrétien du IVe siècle et à sa mère sainte Julitte.
- Château du Houssoy (XIVe siècle) : l'aile garnie de mâchicoulis s'étendant sur l'avenue de la Gare est classée par l'arrêté du ; le donjon et le grand mur pignon de l'ancien logis y compris les cheminées qui y sont adossées, sont classés monuments historiques par l'arrêté du .
- Ruines du château de Gesvres-le-Duc, à Tresmes/Gesvres, datant du XVIe siècle, dont l'architecte fut François Mansart (monument historique, arrêté du ). Le pavillon d'entrée subsiste ainsi que les douves avec leurs ponts et le portail d'entrée avec sa grille.
- La famille Potier, duc de Tresmes et de Gesvres : Tresmes est un lieu-dit de Crouy, siège d'un comté en janvier 1610, et Gesvres le nom du duché-pairie élevé sur le domaine de Tresmes en souvenir d'un fief familial des Potier[78] : Gesvres au Maine, qui fut une baronnie mancelle en janvier 1597 puis un marquisat en janvier 1626 ; le duché-pairie de Tresmes fut érigé en novembre 1648 à Crouy, puis enregistré par le Parlement lors de l'étrange fournée de 1663 (dixit Saint-Simon), puis rebaptisé de Gesvres en juillet 1670 ; la paroisse de Tresmes prit le nom de Gesvres le 1er janvier 1723.
- En plus de Gesvres au Maine, les Potier détenaient Gesvres en Tresmes de façon héréditaire : Nicolas Le Mire de Bobigny, † 1391, l'acquit vers la mi-XIVe siècle, et sa fille Jeanne Le Mire dite la Miresse, dame de Tresmes et de Bobigny, le transmit à son époux Étienne Braque, marié vers 1374 et † av. 1400, neveu de Nicolas ; leur fille Jeanne Braque, dame de Tresmes, Bobigny, épousa Mathieu II de Montmorency-Goussainville-Avraymesnil, † 1414, petit-fils de Jean Ier. Leur petite-fille Catherine de Montmorency-Goussainville, dame de Tresmes, Avremesnil et Goussainville, maria Philippe III d'Aulnay sire de Louvres, Orville, Goussainville en partie, Silly-en-Multien (son quadrisaïeul était Philippe Ier d'Au(l)nay, héros malheureux de l'affaire de la tour de Nesle en 1314), et ils eurent pour petit-fils (par leur fille Jeanne d'Aulnay épouse de Thibault Baillet) René Baillet, † 1576, sire de Sceaux, de Tresmes et de Silly, 1er Président du Parlement de Bretagne, dont la fille Charlotte Baillet épousa Louis Potier (vers 1645-1630), baron de Gesvres au Maine en 1597 (fief hérité de sa mère Françoise Cueillette), et comte de Tresmes en 1610 du chef de sa femme : parents du duc René Potier.
- Avant Nicolas Le Mire de Bobigny : les vicomtes de Meaux avaient Tresmes, dont le bienheureux connétable Jean de Montmirail, † 1217. Sa fille Marie (1192-1273) épousa Enguerrand III de Coucy (1182-1242), et les Coucy détinrent Tresmes jusque dans la 1re moitié du XIVe siècle.
- Château de Champivert (XVIIe siècle), place de Champivert.
- Musée de la vie quotidienne et du terroir.
- La place du Marché et sa fontaine aux trois angelots.
- Notre-Dame du Chêne[79]. La chapelle date du XIXe siècle et son oratoire de 1865.
- Monument aux morts sculpté en 1922 par François Mourgues (1884-1954).
- L'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte.
- Porche de l'église.
- Vitrail du XVIe siècle dans l'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte.
- Château de Champivert (collège).
- Château de Gesvres-le-Duc
vestiges : le pont franchissant les douves et le pavillon de François Mansart. - Gare de Crouy-sur-Ourcq.
- Ce qu'était le château de Gesvres en 1711.
Personnalités liées à la commune
- Léopold Massard (1812-1889), peintre et graveur, y est né.
- César Poulain (1822-1886), maire de Reims, y est né.
- Georges Poujouly (1940-1960) était en colonie de vacances à Crouy-sur-Ourcq, lorsque le réalisateur René Clément le repéra pour l'engager dans son célèbre film Jeux interdits.
- Famille Saint Phalle[Où ?]
- Prince de Broglie[Lequel ?]
Voir aussi
Bibliographie
- Louis Benoist, Notice historique et statistique sur Crouy-sur-Ourcq, Lorisse, Le Livre d'Histoire, (ISBN 2-84178-122-4)
- Jean Mesqui, Île-de-France Gothique 2 : Les demeures seigneuriales, Paris, Picard, , 404 p. (ISBN 2-7084-0374-5), p. 171-179
- Étienne Pattou, Maison des Barres, 2006-2016 (lire en ligne). .
- Pierre Sesmat, Société française d'archéologie, « Crouy-sur-Ourcq, église Saint-Cyr-et-Sainte-Juliette », Congrès archéologiques de France, Paris, A. et J. Picard, vol. 174 « Monuments de Seine-et-Marne (174e session, 2008-2014, Seine-et-Marne) », , p. 111-120 (ISBN 978-2-901837-56-5)
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées par la voie routière à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
- Il faut lire dans Quesvers, pour la hiérarchisation actuelle des Guillaume des Barres, un numéro en moins que celui affiché par l'auteur. Ainsi, Guillaume III cité par Quesvers est-il désigné comme Guillaume II par les auteurs actuels.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
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- Notre-Dame de France ou histoire du culte de la Sainte Vierge en France... par André Jean Marie Hamon, sur Google Books.
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